Francis ne comprenait rien à la physique, mais l'énergie désordonnée de flynn mettait en évidence une loi naturelle qu'il pressentait en son for intérieur : il n'y avait qu'une façon pour une chose d'être entière et complète mais des millions de façons de la défaire.
Toutes les classes ont leur chouchou, leur bébé, leur malade imaginaire ,leur cancanier, et ainsi de suite. Une étiquette ne s'applique qu'à un enfant, et un seul. Si l'un deux rate l'occasion de s'emparer de cell qui lui va mieux, il devra s'accommoder d'une autre, même si, au début, cette façon de se définir ne lui semble pas naturelle
Le secret de la rapidité de Flynn( un mystère que Francis ne résoudrait jamais) tenait dans l'habileté et l'économie de ses mouvements.
Elle prenait rarement les choses personnellement et préférait donc dire la vérité en toutes circonstances plutôt que d'essayer de ménager les sentiments de l'un ou de l'autre. La vérité était utile, les sentiments avaient tendance à tout embrouiller.
Il donna un grand coup de batte et ferma les yeux sur l'imminence de sa honte.