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Critiques de Stephen Carrière (52)
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L'Enchanteur

Ils sont 5, dont une fille. Ils ont la légèreté qui sied aux adolescents et la gravité des adultes qu'ils deviendront...

Car, l'un d'eux va mourir.



C'est une pièce de théâtre qui se joue, "Le songe d'une nuit d'été", mais dans les coulisses, la mort rôde. C'est aussi un spectacle de magie, une illusion, un moment de prestidigitation.



Approchez, approchez, l'Enchanteur va tirer, de son chapeau, un ruban. Mais, ce ruban sera suivi d'un autre, et encore un autre: moins blanc, plus sombre, plus noir.

Il tombera de ce chapeau : un masque, un clochard, un riot gun, des cafards, de la suie et ... la peur. Qu'y a t il encore au fond du chapeau? Une grande amitié, et...



Ce livre vous tiendra en haleine jusqu'au bout de la nuit ... noire.
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L'Enchanteur

On suit 5 amis au lycée. L'arabe qui raconte, la fille qui boxe, le petit juif, le gros noir qui va mourir et le blanc qui réalise les rêves. Ils préparent un truc énorme que leur a demandé Dan, qui doit être réalisé avant sa mort.

Alors je me suis attachée à certains personnages : David, Jenny et Dan. Moins aux deux autres, et aux personnages secondaires. Et puis j'ai trouvé que c'était long à se mettre en place, autant la surprise que la survenue du fantastique.

Oui, car en plus de la préparation de la grosse surprise, il y a des phénomènes étranges qui se produisent et un groupe de fascistes qui sème la zizanie.

Ce n'est pas mal écrit, c'est même plutôt le contraire. Mais j'ai vraiment eu du mal à entrer dans le livre. Je ne saurais dire... peut-être un manque de crédibilité ? L'empathie, l'intérêt est venu au bout d'un moment, mais le démarrage laborieux m'a laissé une impression mitigée tout au long de la lecture finalement.
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L'Enchanteur

Bof bof je viens de finir ce roman. Rien de passionnant.

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L'Enchanteur

J'ai rarement lu un roman ado aussi complet en n'étant pas moralisateur! Je m'explique les 5 jeunes sont des outisders, le beau parleur, le malade, la boxeuse, le talentueux dessinateur et l'intellectuel. Ils sont la diversité un black, une russe, un juif, un maghrébin au coeur d'une ville où la peur de l'autre se tapit et s'apprête à frapper.

5 jeunes avec leurs doutes, leurs forces, forts ensemble, décident de réaliser un miracle pour celui qui va les quitter, pour prouver leur valeur... Un miracle qui se heurtera à la bêtise, au racisme, à ces forces sombres qui hantent l'Homme.

Un roman magnifique, avec des personnages forts et une écriture fine. Offrez-le à tous vos ados dès 14 ans!
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L'Enchanteur

Suspendez votre crédulité !



Stan, Daniel, Moh, Jenny et David. Cinq adolescents liés par un pacte autour de Stan, l’enchanteur, embobineur de première qui parvient à tirer n’importe qui de n’importe quel mauvais pas en échange d’un service à venir, resserrés autour de Daniel, atteint d’un cancer et que l’on sait condamner dès les premières pages, aux exploits racontés par Moh, narrateurs férus de Shakespeare et qui met en scène Songe d’une Nuit d’Eté, mis en couleurs par David, l’artiste de la bande, entourés par la puissance protectrice de Jenny, fille de boxeur.



Stephen Carrière met en scène un groupe hétérogène et hétéroclite. Inséparables par l’amitié qui les lie malgré quelques tensions au fil du récit, ils n’en sont pas mois tous très différents. Le groupe est un groupe multicolore : un groupe très black, blanc, beur, feuj et ruskof. Cela aurait pu être artificiel mais Stephen Carrière en joue admirablement en mettant en scène des problématiques liées à la fois à l’adolescence de ses personnages et à leurs « origines », sans en faire pour autant des archétypes.



On pourrait réduire le thème du livre au racisme ambiant qui combattent le groupe d’amis mais ce serait par trop réducteur. Stephen Carrière s’attaque dans son récit à toutes les formes de haines et de rejet de l’autre. C’est sur cette haine tous azimuts que grandit la force fantastique et maléfique qui semble prendre possession de la ville où habitent les jeunes héros et, à force de grandir et de se renforcer de ces haines rampantes, sourdes, de prendre corps et de perpétrer des actes de plus en plus violents, le tout ourdi par un marionnettiste malfaisant on ne peut plus humain. En donnant à ces haines une réalité physique, aussi fantastique soit-elle, jouant avec une figure maléfique du Golem juif, Stephen Carrière donne chair au combat purement moral qu'on doit mener, dans la vraie vie, contre celles-ci.



Stephen Carrière mélange allègrement, mais toujours de manière parfaitement crédible et argumentée, réalité et fantastique, reliant les agissements des uns et des autres dans un vaste plan d’ensemble visant à semer le chaos et le désordre que les cinq amis vont tenter, au nom de leur amitié pour Daniel, condamné à terme, de combattre en s’opposant autant aux être humains qui veulent semer la graine de la révolution violente qu’aux forces surnaturelles qui semblent se liguer contre leur environnement. Ils feront de l’inévitable échéance qui attend Daniel l’étincelle de vie et d’avenir qui contrecarrera tout le reste.



Le récit de Stephen Carrière oscille entre farce et tragédie, comme le fait le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare. Sous la plume de Stephen Carrière, Moh, le narrateur et metteur en scène, fait systématiquement le lien entre ce qu’il raconte et la pièce de Shakespeare, tout comme le lecteur ne peut que faire le lien entre le récit de Stephen Carrière et la pièce. Il y a, derrière une histoire qui emporte tout sur son passage, un vrai travail de construction du récit, servi, qui plus est, par un style au cordeau, une écriture limpide et émouvante (sans grandiloquence).



Stephen Carrière, par ailleurs éditeur aux éditions Anne Carrière et dans le collectif Anne Carrière qui regroupe quelques unes de mes maisons d’édition préférées, invite le lecteur à « suspendre sa crédulité » non pas pour accepter ou croire n’importe quoi qui ne serait pas crédible mais pour garder un esprit ouvert et à l’écoute du fantastique qui peuple notre monde. Notre monde a besoin de cette part de fantaisie, de fantastique, de rêve, donnez-lui le nom que vous voulez, non seulement pour être vivable mais aussi pour simplement exister. Stephen Carrière est un de ceux qui peuvent nous la montrer.



Ce roman est un vrai régal qui n’est pas destiné qu’aux adolescents, à mon sens, et qui plaira, a minima, aux adultes qui seraient restés d’éternels adolescents.
Lien : https://wp.me/p2X8E2-10N
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L'Enchanteur



Il va m’être difficile de parler de ce bouquin tant ça a été une lecture assez chaotique pour moi. Je ne m’attendais pas à ça. Je pense que c’est ce qui m’a le plus désarçonnée. De m’attendre à un schéma bien spécifique et à ne pas retrouver ce que j’étais venue chercher. Alors oui c’est original, mais j’ai été vraiment surprise par le fait qu’on tire vers un côté fantastique, qui ne m’a, vous l’aurez compris, pas convaincue. « L’enchanteur » de Stephen Carrière est très particulier. Je suis vraiment la première déçue de ne pas avoir accrochée à l’univers de l’auteur car d’ordinaire, quand je me plonge dans un young adult édité chez Pkj, je passe toujours un bon moment.





J’ai vraiment eu du mal à savoir où l’auteur nous emmenait et quel était le réel but de tout ça.

On commence l’histoire tout doucement, on fait la connaissance des personnages, de leur quotidien, tout se mets en place très lentement. Je dois dire que ça commençait plutôt bien, et pourtant au fur et à mesure des pages je n’y voyais plus très clair. C’est un style d’écriture que je n’ai pas l’habitude de lire, peut-être un peu trop moderne ? Un peu trop different ? Je n’ai pas passé un super moment et me suis même par moments un peu ennuyée si je dois être tout à fait honnête. J’ai l’impression de ne pas avoir lu le même livre que certains qui l’ont absolument adoré. J’ai vu énormément de coup de coeur défiler et je suis heureuse de voir que certains ont pu apprécier cette lecture, malheureusement ce ne fût pas mon cas. Néanmoins on ressent vraiment le fait que ce soit un auteur français qui l’a écrit. Même si la plume ne m’a pas vraiment transportée c’est toujours agréable d’avoir affaire au texte brut de l’auteur et non pas à une traduction aussi bien faite soit-elle.

Point positif tout de même pour le contexte très actuel qui est mit en avant dans cette histoire.





Le fait que l’histoire se déroule en France, qu’on aborde des sujets qui nous touchent tout particulièrement ces dernières années était très intéressant. J’ai également apprécié le fait de mettre une touche de suspense et de thriller en fond de tableau en nous parlant de meurtres suspects. Malheureusement ça n’a pas pris autant de place que je l’aurais souhaité.





Les thèmes de ce roman sont nombreux. On y parle tout aussi bien de maladie, de manipulation, de racisme mais aussi d’amitié et surtout de la période si complexe de l’adolescence. Et pourtant même si ce cocktail aurait pu me plaire, le fait que l’intrigue m’ai perdu, que je ne voyais pas où nous allions, et qu’aucun des personnages, aussi différents et originaux soient-ils ne m’ai touché, à renforcé mon sentiment de déception. Je ne peux que vous inciter à le tenter s’il vous fait grandement de l’oeil, ce n’est que comme ça que vous saurez s’il est fait pour vous ou non. Dans mon cas, ça ne l’était pas.




Lien : https://booksandrap.wordpres..
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L'Enchanteur

De jeunes lycéens, banlieusards de différentes origines, se rassemblent autour de l'enchanteur, Stan. Celui-ci essaie d'arranger les problèmes de tous et réussit des miracles, souvent en rusant et en utilisant le mensonge. Parmi les jeunes qui l'entourent, il y a Dan, atteint d'une tumeur. Il est passionné de comédies musicales et ses amis vont tenter de monter un spectacle avant sa mort. On voit alors l'enchanteur à l'oeuvre.

En même temps, ils vont tenter de résoudre l'énigme : un tueur en série fait rage dans la ville, s'attaquant à des adolescents. Ils ont l'impression d'avoir affaire à un monstre, et nous-mêmes, on est parfois tenté de croire à des phénomènes surnaturels.

Un autre mal s'accroît dans la ville : le racisme et l'affrontement entre bandes risque de surgir.

J'ai eu beaucoup de mal à m'accrocher à ce roman. On ignore où on va et on reste dans le flou jusque la fin, quand enfin l'intrigue se dénoue.

C'est bien écrit mais complètement utopiste d'imaginer des jeunes issus des cités et de cet âge s'intéresser à la philosophie, au théâtre ou à la comédie musicale comme le font les jeunes de cette bande. Par contre, les dernières pages sont magnifiques et mon effort a été récompensé.
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L'Enchanteur

Tout d’abord, Pourquoi ?

J’ai choisi ce livre dans le cadre d’un challenge littéraire pour lequel je devais lire un livre paru en 2019. Devant l’engouement de bookstagram pour « L’enchanteur », mon choix a été vite fait.

L’écriture de Stephen Carrère est agréable. L’idée d’un adolescent enchanteur, doté d’un talent exceptionnel pour arranger les intérets des uns et des autres, est excellente. Mais j’ai néanmoins eu un peu de mal a entrer dans l’histoire. Le roman est constitué de trois parties, et je suis en fait entrée dans l’histoire en fonction de chaque partie :

c’est à partir de la troisième partie que moi, j’ai été enchantée !

« L’Enchanteur » est publié aux éditions Pocket Jeunesse, et lorsque j’ai parlé de mon ressenti à mon fils aîne, il m’a expliqué que c’était normal, que je n’étais pas en adéquation avec le mot « jeunesse » !!

L’histoire ?

« Une bande inoubliable d'adolescents décide de lancer un défi à la mort.

Stan s'est taillé une place de choix au lycée. Ses camarades viennent le voir avec leurs problèmes et il élabore des stratagèmes insensés pour les résoudre. Aidé de sa bande d'amis fidèles, Daniel, Jenny, David et Moh, il est devenu un artiste en manipulation de la réalité. On l'appelle l'Enchanteur et, cette année, il va devoir réaliser son chef-d'oeuvre. Car Daniel est malade. Daniel va mourir. Comme il est fan de comédies musicales, il a demandé à Stan de transformer sa mort en un spectacle si grandiose qu'il lui offrira un peu d'immortalité. Il ne reste que neuf mois à l'Enchanteur et ses comparses pour accomplir ce " miracle ". Mais, dans les ruelles du centre-ville, un Mal ancien et féroce se répand... et, même s'ils préféreraient l'ignorer, nos héros semblent être plus impliqués qu'ils ne le souhaiteraient. »

Je pense que j’ai principalement été impatiente après avoir pris connaissance de la 4ème de couv., alors que la « mise en place » a, selon moi, été un peu longue. Mais cela reste un livre que j’ai apprécié et que je recommande !
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L'Enchanteur

En quelques mots :

Je n'ai pas adhéré ni à l'histoire ni au style de l'auteur. Un roman à la croisée de tout : du Young Adult et de l'Adulte ; du fantastique et du contemporain. Un roman qui traite de l'adolescence mais avec la pensée d'un adulte. Au final beaucoup d'ennuie pour ma part.



En beaucoup plus de mots :

Je ne vais certainement pas vous faire sourire avec ces quelques mots mais je n'ai pas été enchanté par ce roman. Non, non pas du tout enchantée. Avec un tel synopsis, je m'attendais à me retrouver à la croisée des chemins entre "Le club des cinq" et "ça". Le fantastique n'est ici qu'un leurre, une dénomination pour évoquer le "Mal" qui se propage dans le monde auquel nous appartenons : racisme, violence, agression. L'auteur en fait une analogie au Grand Mal tel un Grand Méchant Loup traquant sans relâche non pas le petit-chaperon rouge mais un groupe d'ami lycéen stéréotypé et/ou dérangés et/ou dé-rangé, à vous de vous faire votre propre opinion.



Je ne vais sans doute pas être très gentille envers Stephen Carrière, qui si par le plus grand des hasard me lit, j'espère qu'il ne m'en tiendra pas rigueur, mais j'ai eu l'impression durant toute ma lecture que l'auteur avait choisi d'écrire un roman qualifié jeunesse pour surfer sur un courant littéraire porteur, mais la vague était trop grande et trop forte conduisant à une chute inévitable.



Un auteur avec une plume très belle pour un public averti et expérimenté qui a choisir d'écrire pour un public plus jeune mais sans adapter son phrasé ce qui fait que même si les grandes idées sont présentes, le reste est ennuyeux. Je m'explique. Lorsque je lis de la littérature jeunesse, et je pense que je ne suis pas la seule à rechercher cela en ayant discuter avec pas mal de personne que ce genre littéraire, j'attends un rythme, de l'étonnement, des surprises au détriment parfois d'une histoire très bien construite au profil psychologique pas tout à fait abouti, qu'importe l'envie de connaitre la suite est la plus forte. Dans L'enchanteur c'est le twist complet : beaucoup d'état d'âme, de sentiments explorés, des interactions entre un nombre trop importants de personnages dont il est difficile de retenir les prénoms qui ont des sons proches et trop peu d'aventures au final.



C'est tout simplement un livre d'adulte écrit pour conquérir un nouveau public. Vous me trouvez trop directe, ou trop dure ? Après m'être fait ma propre opinion, j'ai consulter d'autres avis et les critiques sont nombreuses concernant le nombre de personnages, la lenteur et l'ennuie sans parler du nombre important d'abandon, ce qui n'est pas mon cas mais j'avoue y avoir pensé à de nombreuses reprises.



Ce roman m'a fait pensé à "Nous sommes l'étincelle" de Vincent Villeminot, je ne suis décidemment pas le bon public pour des pensées capilotractées. Même constat ici, je n'adhère pas.



Cependant, les vrais émotions sont présentes, la lecture fluide et on s'attache enfin à chacun de ces personnages pour seulement quelques lignes. Monsieur Stephen Carrière auriez vous été fatigué lors de la rédaction de la fin de ce roman ? Saviez-vous où vous vouliez nous emmener ? Car j'ai eu l'impression que vous lâchiez enfin prise et que vous vouliez aller plus vite, mais pas au détriment des personnages dont j'ai senti que vous affectionnez beaucoup. Alors si c'est le cas, continuer comme ça, car oui, la fin est grandiose comme l'équipe entière que forme ces cinq amis qui courent après le temps essayant de l'arrêter mais qui glisse inexorablement... A la fin de ce roman, le temps passe trop vite et c'est justement ce qui fait que l'on apprécie encore plus un roman.
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L'Enchanteur

Stanislas Danner est L'Enchanteur, il manipule les gens avec art et résout ainsi les problèmes de ses camarades de lycée. C'est le blanc de l'équipe. Ses aventures sont racontées par son ami, Mohammed Habes après l'année extraordinaire qu'ils ont vécue. Mo' est le maghrébin de l'équipe. Leur camarade Daniel Larochelle, un garçon noir, petit et gros, est atteint d'un cancer et il lui reste un peu moins d'un an à vivre. Stan lui a promis un spectacle, la mise en scène du Songe d'une nuit d'été de William Shakespeare. Ils sont aidés par leurs amis, David, un jeune juif artiste et fragile et Jenny, une fille tout en muscles. Mohammed a perdu ses parents quand il avait huit ans et il a été élevé par son oncle Mehdi et sa femme Isabelle dans une librairie, c'est l'intellectuel de la bande. Durant la préparation de cet événement hors normes au sein de leur petite ville, ils sont confrontés d'une part à un climat de défiance car un groupe de fascistes sème la terreur en faisant croire à des actes délinquants des jeunes des cités et d'autre part à une montée de la terreur avec un monstre qui assassine des adolescents.



Stephen Carrière est à la fois éditeur et auteur. Il a repris les éditions Anne Carrière, la maison de sa mère et il est par ailleurs le petit-fils de Robert Laffont. Il a publié Une vieille querelle en 2004 et Comme des héros sans guerre en 2006 chez Albin Michel. Il a aussi traduit les Dr Seuss en jeunesse pour leur réédition chez Le Nouvel Attila.



Il ne s'agit pas d'un roman pour la jeunesse mais d'un roman ayant pour protagonistes de grands adolescents voire de jeunes adultes. L'intrigue principale montre comment une bande d'adolescents organise un spectacle pour dire adieu à son camarade atteint d'un cancer devenu incurable. Cependant, s'y ajoutent deux autres histoires, celle du monstre qui tue de jeunes adolescents de manière horrifique et les complots d'une bande de néo-nazis qui terrifient la cité. Aussi, le narrateur, le jeune Mo', élevé par son oncle et sa tante libraire, se perd dans de nombreuses considérations sur Shakespeare, le Golem ou la vie politique. De ce fait, le roman peut intéresser pour l'ensembles des réflexions qu'il suscite mais il reste peu dynamique, il y a peu de dialogues ; les personnages peuvent sembler stéréotypés et en sont de ce fait moins attachants et les moments de suspense perdent aussi de leur saveur dans ce mélange de registres.

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L'Enchanteur

L’Enchanteur est un roman choral où l’on suit plusieurs protagonistes (...) L’histoire y est très riche et véhicule tout un panel de thèmes qui parlent, car ils sont tous d’actualité ( l’adolescence et ses découvertes, les problèmes de société, le racisme, la mort, les premiers émois…). On sent cette envie de l’auteur de ne laisser aucun de ses héros sur le côté de la route. Du coup, le lecteur se retrouve confronté à un roman riche en informations, sans doute un peu trop. Il faut suivre ! On a même le sentiment que ça part un peu dans tous les sens alors que le final prouvera que non, Stephen Carrière savait où il nous menait, et ce, depuis le début.
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L'Enchanteur

Stephen Carrière est lui-même un enchanteur. En lisant ce livre je me suis retrouvé, avec un immense plaisir, 35 ans en arrière, avec mes premières vraies lectures ado.



Ce roman est tout simplement une perle. J'ai pris un énorme plaisir à le lire, et je le transmettrais avec plaisir à ma fille.



Pas d'ados surentrainé aux capacités hors du commun dans un monde post-apocalyptique. Pas de leçon de morale. Ici nous nous retrouvons avec 5 jeunes dans une ville de province (qui peut être Bordeaux, Nantes, où vous voulez).

Ces 5 jeunes on une histoire à vous raconter, un conte. Ils sont magnifiques. Ils sont faibles. Ils sont forts. Ils sont humains. Ils sont unis. Ce sont des héros.



C'est une très belle histoire, c'est un très bon roman.



J'ai retrouvé en le lisant les sensations et la gamme de sentiments que j'éporouvé en lisant Stephen King. Pas uniquement le Talisman des territoires, comme indiqué par l'éditeurs, mais également la première partie de « Ca », ainsi que la nouvelle « le Corps » du livre Différentes Saisons (qui a donné lieu au film « Stand by Me »). Stranger Things oui, mais également un cote « Super 8 ».



Et ce « songe d'une nuit d'été » qui est omniprésent. J'ai envie de re-lire après avoir lu ce roman.



Que dire d'autre ? Comme d'autres l'ont signalé n'hésitez pas à le lire et surtout à le donner à vos ados !



On sort de cette lecture apaisé, heureux, enchanté et un peu triste et ému.



Une magnifique histoire, un beau poème, un super roman.

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L'Enchanteur

Pour être franche, je ne sais pas trop quoi penser de cette lecture. Il y a beaucoup de choses dans ces pages, trop peut-être.



Chaque personnage du roman est travaillé avec soin : chaque caractéristique qui le compose est scrupuleusement choisie. Au point que ça se voit. On croise un panel de personnages très hétéroclites : actuels, politiquement corrects mais avec une pointe d’exotisme ou de bizarrerie, toutes les origines ethniques sont représentées, toutes les couches sociales aussi. Mais on sent toujours le soucis de ne pas faire trop cliché alors on voit quand l’auteur fabrique un clash pour sortir des stéréotypes. Rien que la petite bande de Stan est un peu too much tellement tout y est représenté : l'homosexualité, le cancer, le génie, l'amitié multiraciale, le mélange des castes sociales... C'est sympa d'avoir voulu donner une place à tout le monde mais, du coup, ça part un peu dans tous les sens, je trouve. On a du mal à y croire.



L'intrigue est assez complexe et, pareil, veut tout aborder : l'hyper-actualité (terrorisme, manipulation médiatique, groupuscules politiques et complots), le fantastique, l'ésotérique et l'étrange, la sick-lit, la littérature classique et le théâtre, l'enquête, l'adolescence. D'un certain côté, Stephen Carrière arrive a bien mélanger tout ça car on lit se roman très aisément et on a envie de savoir comment ça va finir mais, d'un autre côté, ça part encore dans tous les sens.



Ce que j'ai aimé de façon certaine, par contre, c'est le parti pris de la narration. C'est Moh qui nous raconte l'histoire et, transparent dès le départ, il nous dit qu'il a interprété et inventé parfois, lorsqu'il n'était pas réellement témoins des scènes qu'il retranscrit. Il intercale des réflexions sur l'écriture entre les chapitres aussi. Il y a ici un travail sur l'art d'écrire qui est bien plus subtil que les gros mécanismes que je décris plus haut.



C'est une lecture entraînante que j'ai dévoré, je dois l'avouer, mais je n'ai pas adoré... aller, je la fais : c'est une lecture qui ne m'a pas enchanté (de rien, c'est gratuit !).
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L'Enchanteur

j'ai adoré l'ambiance de ce roman qui flirte avec différentes choses, les personnages sont très attachants, j'ai apprécié de découvrir leurs défauts et qualités et on ne peut qu'en vouloir toujours plus. Stan est un héros qui frôle toujours les limites, il agit en son âme et conscience sans se poser de questions sur le séisme qu'il produit et on ne peut que dévorer les pages pour savoir comment cette aventure va se terminer. On mélange d'une belle manière espoir et désespoir, amitié et haine et on ne peut que rester scotchés quelques temps après avoir tourné la dernière page. Un roman à découvrir assurément !
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L'Enchanteur

L'enchanteur enchante. Il envoûte, sublime les choses de la vie, intrigue, étonne parfois, captive toujours. L'enchanteur est magique. L'enchanteur est magnifique... Il n'est pas comme les autres. Aucun autre livre de littérature pour jeunes adultes ne semble lui arriver à la cheville. L'enchanteur nivelle par le haut un genre littéraire qui peine depuis longtemps à se renouveler. Oubliez les dystopies à la Hunger Games, oubliez les romances pleines de clichés tout droit sorties de Wattpad, oubliez les stéréotypes de héros façonnés aujourd'hui sans grande originalité dans des moules réutilisés encore et encore... Aujourd'hui, il y a L'enchanteur, le point de départ d'un nouveau genre qui a un pied dans la tranche de vie et le drame et un orteil dans le fantastique mais toujours avec brio et équilibre, à la frontière de la littérature soignée et plus pointilleuse pour adulte.



C'est très rapidement qu'on s'attache à chacun des cinq personnages centraux. L'humanité déborde et inonde le lecteur toujours un peu plus au fil des pages et l'amitié qui lie ces jeunes gens est forte, belle, tout en naturel et irrésistible. Au cours d'une bonne première moitié du roman, la vie de chacun d'eux, même si parfois banale, est sublimée sous la plume excellente de l'auteur. Moh, Dan, David, Jenny et Stan, liés comme les cinq doigts de la main, traversent les épreuves de la vie puis des épreuves plus fantastiques avec toujours la même force mentale et toujours la même capacité à passionner et enthousiasmer le lecteur. Avec ses allures de magouilleur gentil et plein de bienveillance, Stan, l'enchanteur, pétille dans le récit et son intelligence ne manque jamais de nous passionner. C'est à partir du début de la seconde moitié du roman que le fantastique (promis dans le résumé au dos de l'ouvrage) apparaît doucement dans les pages, non sans appréhension de la part du lecteur qui s'interroge tout autant que la bande d'amis ; il était alors jusque-là confortablement baigné dans une réalité très terre-à-terre à travers le quotidien des protagonistes, leurs remises en question, leurs joies, leurs peines, leurs problèmes de santé, de coeur, leurs rencontres amicales, etc. L'introduction du Mal dans l'histoire est abrupte et on pourrait alors se demander si l'auteur excellera autant dans le genre fantastique que dans le genre tranche de vie si plaisant et si captivant à lire pendant la première partie du roman. La réponse est oui ; Stephen Carrière ne se laisse jamais intimider par le Mal et son caractère aux antipodes de la réalité de ses personnages et manie jusqu'à la toute dernière page son récit de main de maître sans perdre notre attention ni notre intention de dévorer le roman jusqu'au bout, bien que l'envie que l'histoire ne se termine jamais grandisse toujours un peu plus avec l'amour que l'on porte aux héros. Le fantastique parsème les quelques dernières pages et bien qu'il soit relativement discret aux premiers abords, il prend toujours un peu plus d'importance jusqu'à sa pleine manifestation. Mais à quel point le Mal est-il présent dans la vie des personnages ? Le Mal est-il finalement le racisme qui court dans les rues de la ville et divise les gens ou cette présence informe indescriptible et pourtant ravageuse qui y sévit tout autant ?



Finalement, L'enchanteur est un roman qui brille d'une intelligence et d'une finesse que l'on côtoie guère dans les histoires que l'ont raconte habituellement au jeune public. Moh, le jeune narrateur, aussi rusé que franc, relate les événements de bout en bout avec une authenticité parfois à vous torde le coeur ou à vous le faire fondre ; il s'adresse notamment quelques fois au lecteur en personne, à vous. Chose très appréciable, il prendra même quelques minutes pour, comme un épilogue, donner des nouvelles de chacun des personnages. Comme dans la scène post-générique d'un film, après le travelling sur le bateau, après le fondu au noir et les noms blancs de l'équipe entière du film défilant de bas en haut, Stan, entre autres, apparaît à nouveau à l'écran, plus transformé que jamais, et c'est non sans un pincement au coeur qu'on lit les derniers mots de la vie des amis qu'on a côtoyés pendant plus de quatre cents pages, qui nous manquent déjà et à qui on souhaite tout le bonheur du monde. La petite troupe a remporté le challenge de faire un miracle ; L'enchanteur en est un à lui tout seule.



J'accorde ★ ★ ★ ★ ★ à L'enchanteur. L'enchanteur, c'est ce joli bijou d'originalité dans un écrin au matériau rare et précis que représente l'écriture belle et fraîche, un écrin parsemé d'autant de pierres précieuses que de personnages forts et qui marquent, dotés chacun d'une humanité qui dévaste le coeur du lecteur de bonté et d'amitié, dotés chacun d'une intelligence et d'une ruse qui élèvent de page en page, de chapitre en chapitre, toujours un peu plus l'histoire captivante de bout en bout. L'enchanteur est une réussite, un roman magique dont on ne souhaite pas voir la fin, par un auteur juste et minutieux qui laisse parler une bande d'amis qu'on aimerait avoir auprès de soi dans la vraie vie.
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L'Enchanteur

Pas besoin de plus de quelques pages pour être complètement happé par le récit que va nous conter Moh. Nous n’allons sans doute pas le croire, et pourtant, tout ce que Moh va nous raconter s’est réellement passé et sa charge en est ainsi immense. Mystérieux ? C’est sans doute pour cela qu’on ne décroche pas de ce roman dense et passionnant, qui flirte entre le roman de potes et le fantastique à tendance horrifique. L’éditeur cite la série Stranger Things pour faire un parallèle qui parle aux ados, il y a effectivement de ça ! Mais il y a aussi énormément de références, à commencer par celles au Barde lui-même puisque la bande d’amis va se donner le projet de faire une représentation du Songe d’une nuit d’été, choix certainement pas innocent, même si Moh ne s’en rendra compte qu’au fur et à mesure de son récit. D’autres références plus ésotériques seront à l’origine de notre fascination pour l’histoire de cette bande d’amis confrontée à un « Mal » qui ronge leur ville. Peu touchée par les attentats, leur ville est pourtant le théâtre d’une montée inquiétante de l’extrême-droite et de meurtres de jeunes gens. Une atmosphère menaçante dans laquelle ils vont bien malgré eux se retrouver puisque, si Stan est capable d’apporter une solution à tous les problèmes de ceux qui le sollicitent, son art n’est qu’une succession de services, de broderies autour de la vérité qui vont prendre de plus en plus d’ampleur à mesure qu’il avance dans le « miracle » promis à son meilleur ami Daniel…



Un roman dense, vous disais-je, mais ô combien captivant ! Et ça commence avec des personnages profondément attachants (même si je vous avoue avoir confondu pendant un petit moment Daniel et David – des prénoms trop proches, sans doute !), une intrigue merveilleusement construite et une écriture au cordeau ! Stephen Carrière joue habilement avec les genres, évoquant avec gravité le climat de violence de notre société actuelle, s’interrogeant sur le lien complexe de la vérité et du mensonge, tout en nous proposant avant tout un roman d’amitié ! Une amitié telle qu’elle va mener nos personnages à vivre leur vie la plus intensément possible, qu’elle va les faire grandir, mûrir, quitte à y laisser des plumes ?



Oui, il y a longtemps que je n’avais pas été secouée de la sorte ! Et j’espère que vous vous laisserez vous aussi séduire, et enchanter, par Stan et sa bande de copains.
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Le livre des songes

Je connaissais le Dr Seuss grâce à l'album "le Chat Chapeauté" et ses personnages un peu déjantés.

C'est donc avec un bon a priori que j'ai entamé la lecture du "Livre du sommeil" (et non le livre des songes). J'ai été du coup déçue par l'absence d'histoire : cet album est plus une collection de personnages, le seul fil conducteur étant le sommeil. On s'ennuie rapidement.
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L'Enchanteur

Wow ! Je ne sais pas bien que dire pour résumer cette lecture, mon avis se résumant à un simple mais sincère "wow, magnifique !"



Bouchée bée et emplie d'admiration je fus face à ce bijou, tant cette bande de potes m'a embarquée dans son périple, son aventure, son "miracle". Ils m'ont touchée, leur force m'a touchée. Car l'un des leurs est malade, il va mourir. Loin de se résigner et d'attendre les bras ballants que l'insurmontable advienne, ils se lancent corps et âme dans un projet de grande envergure : faire de cette mort un chef d’œuvre, approchant de ce fait l'immortalité.

Leur plus grand atout est un magouilleur de première, qui se plait à transformer la réalité selon les capacités de chacun, j'ai nommé celui qui donne son titre à ce roman : l'Enchanteur. tadaaaa !



Quelle plume ! Quels personnages hauts en couleur ! Quelle densité ! Car nous ne sommes pas en présence d'un banal roman d'adolescents, nous sommes pris dans une véritable tourmente poétique où la peur et la violence côtoient l'érudition d'un Songe d'une nuit d'été. Outre le fait de devoir faire avec la douleur annoncée de la fin, nos jeunes héros vont composer avec la brutalité des quartiers, le racisme grandissant, le fascisme envahissant, un Mal mystérieux et meurtrier rôdant dans les ruelles sombres, prenant des allures mystiques d'incantation vaudou, allégorie d'une humanité effrayée et effrayante sur le déclin. Mais rien ne les arrête, ces ados, fous et hardis, optimistes qu'ils sont ! Ils ont une parole à honorer.



C'est beau. C'est intelligent et d'une délicatesse inouïe.

C'est à lire et à relire, ne serait-ce que pour s'imprégner encore et encore de cette ambiance à la fois inquiétante et si terriblement... romanesque ? Parnassienne ? Lyrique ?



Parce que bon, au cas où tu serais passé à côté, lecteur, sache que l'Enchanteur,... c'est un enchantement ! (oui bon elle était facile celle-là !) C'est une fable. C'est un conte merveilleux. C'est une ode à l'amitié et une déclaration d'amour à la vie.

Et comme je trouve que c'est une très jolie manière de conclure, j'y met de ce pas un point final.
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L'Enchanteur

Stanislas dit Stan arrive à faire des "miracles" en manipulant la réalité. Pour cela il est surnommé "L'Enchanteur" et s'est fait une place de choix dans son lycée. Pour ses "enchantements" il est aidé par ses amis : Daniel dit Dan (le "Black"), Jenny (la seule fille de la bande, boxeuse), David (le petit juif) et Moh (l'arabe qui nous raconte l'histoire).

Mais un jour Stan va devoir accomplir son plus grand enchantement pour pouvoir tenir sa promesse à son ami Dan qui est condamné à mourir d'un cancer. En parallèle, leur ville est le théâtre de meurtres sordides que le groupe d'ados veut tenter de résoudre.

Entre thriller et roman fantastique, cette bande d'adolescents ne vous laissera pas indifférents. Un roman très bien écrit, des chapitres courts qui alternent les points de vues des différents amis, en font un roman dont on tourne les pages très facilement tout en nous faisant réfléchir sur le monde dans lequel nous vivons.

Un roman destiné à nos ados de plus de 14 ans car certaines scènes sont violentes et pourraient heurter la sensibilité des plus jeunes.

Je connaissais l'oeuvre de Stephen Carrière qui m'avait particulièrement touchée avec son premier roman "Une vieille querelle". Je ne suis pas déçue de son entrée dans la littérature ados/jung adult car pour une première c'est un coup de maître.
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L'Enchanteur

Un roman jeunesse fait d'actions et d'aventures.



C'est l'histoire d'une bande de cinq ados, amis, ils se décrivent comme mi-héros et mi-monstres. Stan, Daniel, Moh, David et Jenny. 4 garçons, une fille. Stan, c'est l'enchanteur. Depuis que son frère est mort, il passe son temps à trouver des solutions aux problèmes des autres, à négocier, à aider les plus faibles. Il est à la fois craint et respecté dans la cour du lycée. Daniel a un cancer en phase terminale. Adepte des comédies musicales, il demande à Stan de lui faire un miracle, que vous découvrirez en lisant le roman. Stan et sa bande ont 9 mois pour mettre en place ce miracle. Mais ils vont se heurter à un dangereux obstacle : une force maléfique rôde dans la ville, poussant les gens au crime et au meurtre. Au-delà du miracle qu'ils souhaitent réaliser pour leur ami malade, ces robins des bois se fixent pour objectif de restaurer la paix dans une ville agitée.



L'histoire de départ est à la fois triste et sympa. En milieu de roman, je me suis demandé où allait nous emmener l'auteur avec cette histoire de force maléfique : y aurait-il de la magie ou du spiritisme là-dessous ? Quand il est question de lancer un défi à la mort qui le relève, j'ai pensé au film "destination finale". Mais finalement, non, ce n'est pas un livre de magie.

La narration est sympa : c'est Moh qui raconte l'histoire, des années après le drame. De ce fait, il y a une alternance dans les chapitres entre l'histoire et l'intervention de Moh qui nous explique certaines choses.
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