AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Stephen Chbosky (202)


« N'empêche que j'ai honte, parce que cette nuit, j'ai fait un rêve bizarre. J'étais avec Sam. Et on était nus tous les deux. Et ses jambes étaient étendues des deux côtés du canapé. Et puis, je me suis réveillé. Jamais je m'étais senti aussi bien. Mais je m'en voulais aussi de l'avoir vue toute nue sans sa permission. Je crois que je devrais le dire à Sam, et j'espère que ça nous empêchera pas de nous dire des trucs entre nous, « à demi-mot ». Ça me dirait bien d'avoir une nouvelle amie. Même plus que de sortir avec une fille. »
Commenter  J’apprécie          70
« Je m'excuse de ne pas avoir écrit depuis presque deux semaines, mais j'ai fait de mon mieux pour « m'impliquer », comme a dit Bill. Des fois, c'est bizarre, je lis un livre et je me prends pour un personnage du livre. Pareil, quand j'écris des lettres, pendant les deux jours qui suivent je repense à ce que j'ai essayé de dire dedans. Je ne sais vraiment pas si c'est bien ou non. Bref, malgré ça, j'essaye de m'impliquer. »
Commenter  J’apprécie          00
« Je ne savais pas que les autres pensaient des choses sur moi. Je ne savais pas qu'ils me regardaient. C'était ma première vraie fête et j'étais assis par terre dans un sous-sol entre Sam et Patrick, et je me suis rappelé que Sam m'avait présenté comme son ami à Bob. Et je me suis rappelé que Patrick avait dit pareil à Brad. Et je me suis mis à pleurer. Et dans cette pièce, personne m'a regardé d'un drôle d'air parce que je pleurais. Et là, je me suis mis à pleurer pour de bon. »
Commenter  J’apprécie          30
« Tout d'abord, Bill m'a mis C à la rédaction sur Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, parce que mes phrases sont confuses. Maintenant, j'essaye de m'entraîner à être plus clair. Il a aussi dit que je devrais employer le vocabulaire que j'apprends en classe, des mots comme « corpulent » ou « amertume ». Je pourrais m'en servir dans cette lettre mais franchement, je crois pas que ça colle ici »
Commenter  J’apprécie          10
Du coup, je me dis que c'est pour des tas de raisons différentes qu'on est comme on est. Et qu'on les connaîtra jamais toutes ces raisons. Mais même si on ne peut pas choisir d'où on vient, à partir de là on peut quand même choisir où on veut aller. On peut faire des choses. Et essayer de se sentir bien quand on les fait.
Commenter  J’apprécie          100
A ce moment-là, je jure que nous étions l'infini.
Commenter  J’apprécie          310
"Je crois que si un jour j'ai des enfants, et qu'ils se sentent mal, je leur dirai pas qu'il y a des gens qui meurent de faim en Chine ou d'autres trucs du même genre - ça changerait rien au fait qu'ils se sentent mal. Et même s'il y a des gens qui sont plus à plaindre que toi, ça ne change pas grand chose au fait que tu te sentes mal ou pas." 
Commenter  J’apprécie          210
About half a mile from the tunnel, Sam stopped the car, and I climbed in back. Patrick played the radio really loud so I could hear it, and as we were
approaching the tunnel, I listened to the music and thought about all the things that people have said to me over the past year. And I just thought how great it was to have friends and a family.
As we went into the tunnel I didn't hold up my arms like I was flying. I just let the wind rush over my face. And I started crying and smiling at the same time. Because I couldn't help feeling just how much I loved my aunt Helen for buying me two presents. And how much I wanted the present I bought my mom for my birthday to be really special. And how much I wanted my sister and brother and Sam and Patrick and everyone else to be happy.
But mostly, I was crying because I was suddenly very aware of the fact that it was me standing up in that tunnel with the wind over my face. Not caring
if I saw downtown. Not even thinking about it. Because I was standing in the tunnel. And I was really there. And that was enough to make me feel infinite.
Commenter  J’apprécie          50
she did get me a present. And for the first time, something nice like that made me smile and not cry. I guess Sam and Patrick went to the same thrift store because their gifts went together. She took me to her room and stood me in front of her dresser, which was covered in a pillowcase with pretty colors. She lifted off the pillowcase, and there I was, standing in my old suit, looking at an old typewriter with a fresh ribbon. Inside the typewriter was a piece of white paper. On that piece of white paper, Sam wrote, "Write about me sometime." And I typed something back to her, standing right there in her bedroom. I just typed. "I will."
Commenter  J’apprécie          30
“I don’t know if you’ve ever felt like that. That you wanted to sleep for a thousand years. Or just not exist. Or just not be aware that you do exist. Or something like that. I think wanting that is very morbid, but I want it when I get like this. That’s why I’m trying not to think. I just want it all to stop spinning. If this gets any worse, I might have to go back to the doctor. It’s getting that bad again.”
Commenter  J’apprécie          30
- Charlie, on accepte l'amour qu'on croit mériter.
Commenter  J’apprécie          920
Je crois juste que c'est mal, quand un garçon regarde une fille et s'imagine que sa façon de la regarder la rend plus belle qu'elle ne l'est en réalité.
Commenter  J’apprécie          320
Du coup, je me dis que c'est pour des tas de raisons différentes qu'on est comme on est. Et qu'on les connaîtra jamais toutes, ces raisons. Mais même si on ne peut pas choisir d'où on vient, à partir de là, on peut quand même choisir où on veut aller. On peut faire des choses. Et essayer de se sentir bien quand on les fait. Je crois que si un jour j'ai des enfants, et qu'ils se sentent mal, je leur dirai pas qu'il y a des gens qui meurent de faim en Chine ou d'autres trucs du même genre - ça changerait rien au fait qu'ils se sentent mal. Et même s'il y a des gens qui sont plus à plaindre que toi, ça ne change pas grand chose au fait que tu te sentes mal ou pas. C'est comme ce que ma soeur a dit, un jour que j'étais à l’hôpital depuis déjà un bon bout de temps. Elle a dit qu'aller à la fac, ça l’inquiétait vraiment, mais que vu la période difficile que je traversais, elle se sentait vraiment débile d'être comme ça. Alors que moi, je vois pas pourquoi elle se sentait débile. Moi aussi, à sa place, j'aurais été inquiet. Et très franchement, je crois pas que ce soit pire pour moi que pour elle. C'est peut être une bonne chose de relativiser, mais des fois, je me dis que l'essentiel, c'est d'être vraiment là. Comme à dit Sam. Parce que c'est normal de ressentir des trucs. Et d'y faire face en restant sois même.
Commenter  J’apprécie          620
- Tu vois des choses. T'en parle pas. Et tu comprends.
Commenter  J’apprécie          450
Il faut d’abord que tu saches que je suis à la fois triste et heureux, et que j’ai toujours pas compris comment ça se fait
Commenter  J’apprécie          630
Mais même si on ne peut pas choisir d'où on vient, à partir de là, on peut quand même choisir où on veut aller.
Commenter  J’apprécie          311



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Stephen Chbosky Voir plus


{* *}