Citations de Stephen Chbosky (202)
-Charlie, on accepte l'amour qu'on croit mériter
"- Il y a tellement de souffrances et je ne sais pas comment faire pour ne pas y prêter attention.
- Qu’est ce qui te blesses Charlie ?
- Non, pas moi ! C’est eux. C’est tout le monde. Ça s’arrête jamais. "
"Tu vois cet arbre il m’a dit qu’il était un dragon, mais en fait il m’a pris pour un con, parce que c’est bien un arbre."
"Nous acceptons l’amour que nous pensons mériter. "
"Bon, tu crois peut-être que c'est parce que je suis jaloux de lui. C'est pas ça. Juré. C'est juste que Craig l'écoute pas vraiment quand elle parle. Je ne veux pas dire que c'est un sale type, vu que c'est pas le cas ; c'est juste qu'il a toujours l'air ailleurs. On a l'impression que quand il prend Sam en photo, c'est la photo qui est belle. Il pense qu'elle est belle parce qu'il l'a bien prise. Si c'était moi qui faisais cette photo, je saurais qu'elle est belle simplement parce que Sam serait dessus. Je crois juste que c'est mal, quand un garçon regarde une fille et s'imagine que sa façon de la regarder la rend plus belle qu'elle l'est en réalité; et je crois que c'est mal, si un garçon a besoin d'un appareil photo pour regarder une fille avec sincérité ; et c'est très dur pour moi de voir que Sam est mieux dans sa peau juste par un garçon plus vieux la voit de cette façon."
" Bref, Patrick s'est mis à conduire super vite, et juste avant d'arriver au tunnel, Sam s'est mise dedans et le vent a fait des vagues énormes avec sa robe. Quand on est entré dans le tunnel, tous les sons ont été avalés d'un seul coup par le vide et remplacés par la chanson dans l'autoradio. Une belle chanson qui s'appelle Landslide. Quand on est sortis du tunnel, Sam a lancé un cri super marrant, et voilà. On était en centre-ville. Les lumières des immeubles et tout ce qui fait qu'on se pose des questions. Sam s'est assise et s'est mise à rire. Patrick s'est mis à rire. Et je me suis mis à rire.
Et à cet instant-là, je te jure, on était éternels. "
On accepte l'amour qu'on croit mériter.
Elle etait pas amere. N'empeche qu'elle etait triste. Mais c'etait une tristesse du genre pleine d'espoir. Le genre qui demande un peu de temps pour s'effacer.
(...) je sais qu'avant d'aller mieux, les choses sont toujours pires (comme dit mon psy), mais la c'est trop de pire a supporter.
Tout sauf avoir envie de pleurer. Parce que j'ai promis a tante Helen. Et parce que j'ai pas envie de me remettre a penser, comme j'ai fait cette semaine. Il faut plus que je pense. Plus jamais.
Je ne sais pas si ca t'est deja arrivé de te sentir comme ca. De vouloir dormir pendant mille ans. Ou juste de pas vouloir exister. Ou juste de pas te rendre compte que tu existes. Ou un truc comme ca. Je crois que c'est tres morbide comme idee, mais quand je suis comme ca, c'est ce que je veux. C'est pour ca que j'essaye de pas penser. Je veux juste que ca s'arrete de tourner.
J'ai juste ecoute de la musique, respiré l'air, et je me suis souvenu de trucs. Des trucs comme se promener dans le quartier et regarder les maisons, les pelouses et les arbres tout pleins de couleurs et se dire qu'avoir ca, c'est suffisant parfois.
Je voulais te dire... au lycee, beaucoup d'eleves detestent leurs parents.
Y en a qui ont ete battus. Y en a qui ont pas tiré le bon numero dans la vie. Y en a qui ont juste ete des trophees que leurs parents pouvaient montrer aux voisins, comme des medailles ou des bons points. Et y en a qui veulent simplement qu'on les laisse se souler en paix. Moi, personnellement, je ne comprends pas toujours papa et maman et des fois, ils me font de la peine, mais je ne peux pas m'empecher de beaucoup les aimer.
J'ai terminé 'Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur'. Maintenant, c'est mon livre prefere de tous les temps. Enfin... c'est ce que je me dis a chaque fois, jusqu'a ce que je decouvre un nouveau livre.
Docteur Burton dit qu'on ne peut pas choisir d'où on vient mais qu'on peut choisir où on va. Je sais que cette phrase n'est pas une réponse à toutes les questions mais elle m'a aidé à prendre un nouveau départ.
Je sais qu'il y a des gens qui refusent de voir ce qui nous arrive, des gens qui oublient ce que c'est d'avoir 16 ans dès qu'ils en ont 17. Et je sais que nos histoires vieilliront avec nous et que nos photos seront un jour toutes racornies et qu'on deviendra à notre tour parents d'adolescents. Mais pour l'instant ce ne sont pas encore des souvenirs, c'est ce qu'on vit.
On accepte que l'amour qu'on croit mériter.
Je ne sais pas si c'est bien ou non. Je ne sais pas si c'est mieux de rendre tes enfants heureux même s'ils vont pas à la fac. Je ne sais pas si c'est mieux d'être proche de ta fille ou d'être sûr qu'elle a une meilleure vie que toi. J'en sais franchement rien.
-Charlie, on accepte l'amour qu'on croit mériter.
Et en ce moment, nous jurons, nous sommes infinie
Ce livre est juste incroyable, Charlie arrive vite à nous mettre dans son univers d'écriture vint âge, je parle bien sur de sa machine à écrire, ce livre m'a ouvert les yeux sur le mal être et comme quoi certaines personnes arrivent au bons moments pour nous aider à traverser tout ça en nous aimant. Histoire émouvante et très bien écrite.