Citations de Susan Jeffers (57)
Lorsque vous pouvez remplacer tous vos "et si..." par autant de "je vais m'en sortir", vous serez capable de tout affronter avec la certitude de réussir. La peur disparaîtra.
Souvenez-vous qu'à la base de chacune de nos angoisses, il y a un manque de confiance en soi.
Retenez bien, c'est très important, que vous devez être votre meilleur ami. Quoi que vous ayez décidé de faire, ne vous sabordez pas !
Quand vous deviendrez plus adulte dans votre manière de vous épanouir, alors votre entourage pourra tout se permettre. Même les remarques les plus perfides ne feront que glisser sur vous, sans vous atteindre le moins du monde. Vous serez même capable de l'impensable : les embrasser sur la joue et leur susurrer : "je t'adore mais je dois vivre ma vie"...
C'est paradoxal mais c'est ainsi : moins vous dépendez des autres, plus vous êtes capable de les aimer.
En réalité, la vie n'est faite que d'expériences, souvent déstabilisantes, de nouveaux codes comportementaux. De ce fait, on n'avance qu'à tâtons, à la recherche de l'attitude qu'il convient d'adopter.
Minimiser vos angoisses devant un choix à faire n'a désormais plus de secret pour vous.
Rappelez-vous: si les choses ne se déroulent pas comme vous l'auriez souhaité, ne vous découragez jamais.
Une amitié s'entretient. Elle réclame des attentions et ne doit jamais être mise en veille. Elle implique un minimum de gestes bienveillants. Vous devez montrer à vos amis combien vous les aimez.
On est effrayé par le succès comme par l'échec. Et la vie nous terrorise presque autant que la mort ...
Chaque fois que vous sentez la peur monter en vous, la seule façon de la vaincre est de passer à l’action et de prendre une décision qui engage. Ce pouvoir ne demande qu’à être libéré.
Par définition, les attentes créent une dépendance, une envie, un désir, un espoir que quelque chose tourne d'une façon particulière. Bien sûr, nous n'avons aucun contrôle sur ce que l'avenir nous réserve. C'est pourquoi, quand nous avons des attentes, nous devenons automatiquement notre pire ennemi. Nous nous nuisons à nous-mêmes en construisant une situation où, pour commencer, nous nous faisons du souci à l'avance et où, pour finir, nous sommes déçu si les choses ne se passent pas comme nous l'espérions. Et même si les événements se déroulent de la manière espérée, nous n'avons pas le temps d'en profiter parce que nous sommes déjà en train de nous préoccuper de l'attente suivante que nous nous sommes inventé.
En nous envisageant comme des débutants perpétuels nous serions beaucoup plus indulgents avec nous-mêmes.
Lâcher prise, m'alléger, rire davantage, jouer davantage et embrasser pleinement mes expériences de la vie.
[...] avec un simple sourire, vous pouvez vous alléger et intégrer de la joie à votre vie. Sourire quand vous êtes préoccupé. Souriez en marchant dans la rue. Souriez en vous réveillant le matin. Souriez en méditant, en faisant du taï chi ou en prononçant vos affirmations. Sourire en vous regardant dans la glace (souvenez-vous que la véritable beauté vient de ce sourire). Souriez, là, tout de suite. Comment vous sentez-vous ? Plus léger ? Plus heureux ? Oh oui.
En inspirant, j'apaise mon corps.
En expirant, je souris.
Je demeure dans l'instant présent,
Et je sais que c'est un moment magnifique.
Regardez. C'est votre monde ! Vous ne pouvez pas détourner le regard. Il n'existe pas d'autre monde. C'est votre monde ; c'est votre festin. Vous en avez hérité ; vous avez hérité de ces yeux ; vous avez hérité de ce monde de couleurs. Regardez la grandeur du tout. Regardez ! N'hésitez pas : regardez ! Ouvrez les yeux, ne clignez pas, et regardez - regardez plus loin.
Chögyam Trungpa
[...] or même au soleil, il arrive qu'on ait envie de pleurer.
Ne vous contentez pas d'agir, octroyez vous aussi des moments d'inactivité !
Le workaholisme est une drogue, une échappatoire, qui permet de regarder ailleurs pour ne pas être confronté à sa souffrance intérieure, à un intense sentiment de vide, à un manque d'estime de soi, à une recherche d'identité, à une obsession de la quête du "plus - encore plus - toujours plus", à une incapacité d'entretenir avec les autres des relations profondes ou à une peur de ne pas avoir assez ou de ne pas être assez.
Nous en faisons tous assez ! Et personne n'est parfait. Même les Biuddhas ont leurs mauvais jours !