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Citations de Suzanne Enoch (172)


Plutôt être brûlé vif que d'avouer qu'une fille armée d'une vieille pétoire l'avait doublé au tir et piégé dans une embuscade!
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La conversation qui venait d'avoir lieu était si étrange que l'idée d'un cocher de Londres converti en paysan écossais au service de deux aristocrates en exil lui parut aussi sensée qu'une autre.
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Elle se drape de gloire, telle la nuit / d'un pays sans nuages aux ciels étoilés / et l'éclat des ténèbres et de la clarté / illumine son regard et son sourire.
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Il aurait préféré un whisky, mais vu ses difficultés à rester sobre ces derniers temps, il avait décidé que la citronnade serait un choix plus avisé.
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Mon père est le chef du clan Ross. C’est le seul club qu’il se soit jamais soucié de fréquenter. Pour lui, un troupeau de Sassenachs calés dans leur fauteuil, qui débattent de leur propre importance, représente une perte de temps plus grande que de traire une chatte.
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J’ai beaucoup appris sur le pouvoir du jeu. Et j’ai aussi compris que la seule personne qui ait la garantie de gagner de l’argent à la fin de la soirée est le propriétaire du club.
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Il y a une différence entre le confort et le bonheur. Ou entre les convenances et le plaisir, appelle cela comme tu veux. Avant de me résigner au premier, je veux avoir goûté au second.
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Je ne suis pas votre ennemi... Je suis de ces hommes qui courent sur le champ de bataille en agitant un drapeau blanc et en proposant des solutions pour que les camps opposés cessent de se massacrer.
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La logique faisait rarement bon ménage avec une romance torride, et personnellement, il privilégiait la logique.
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Chacun devait s’intéresser à son entreprise pour une raison qui lui était propre, sinon son navire coulerait avant même d'avoir quitté le port.
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Pour une novice aux jeux de l'amour, chaque baiser avait une signification particulière, chaque murmure était une promesse.
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Il avait tenté plusieurs stratégies d’approche, allant jusqu’à l’embrasser – une expérience qui s’était révélée particulièrement agréable –, mais elle s’obstinait à maintenir son prix. D’où son cadeau. Sa réaction lui permettrait d’obtenir les informations qui lui manquaient encore.
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Aucun homme ne s’était jamais permis une telle privauté avec elle ! L’espace d’un instant, elle s’était sentie offensée. C’était ce qu’elle voulait, d’une certaine façon – non pas qu’un homme qu’elle connaissait à peine lui lèche la bouche, mais la liberté de vivre quelque chose qui sorte de l’ordinaire sans que personne s’avise de la réprimander ensuite.
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Il lui avait semblé tout droit sorti non seulement d’une autre pièce de théâtre mais d’un autre royaume, d’un endroit où les dieux arpentaient la terre et flirtaient avec des comédiennes ayant tellement joué les héroïnes romantiques que, parfois, elles ne se rappelaient plus qui elles étaient en dehors de la scène. Son apparition avait été… captivante. Et, sans aller jusqu’à inventer un prétexte pour le garder près d’elle, elle n’avait pas de scrupules à utiliser un éventuel accident.
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Ah, la respectabilité, quelle petite chose fragile ! Cela semblait encore plus futile lorsqu’on savait combien il était facile de l’acheter, et grâce à un mensonge aussi simple.
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— Je vous demande pardon ? lâcha-t-elle.
— Non, répéta-t-il un peu plus fort.
— Si elle n’est pas présentée à l’Almack, elle n’obtiendra pas son laissez-passer et ne pourra valser nulle part. Les maisons les plus attachées à la tradition ne l’inviteront même pas.
— Je m’oppose à ce que ma sœur parade devant un troupeau d’Anglais imbus d’eux-mêmes telle une vache de concours agricole.
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- J'ai cassé le nez de Berling au premier grand bal de la Saison, répliqua Ranulf. J'ai failli étrangler Gerdens-Dailey au suivant. Si on m'invite au 3e, j'y vois un progrès.
- Je reconnais que vu sous cet angle....
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« Elle danserait la première valse avec lui, puis invoquerait une migraine afin d’échapper à la suivante. Elle éviterait ainsi le scandale de valser deux fois avec le même partenaire et toute bagarre à ce sujet. De toute façon, personne n’était susceptible de disputer ses faveurs à Ranulf ; les redresseurs de torts se portaient rarement au secours d’une dame qui n’a pas de soupirant, surtout quand celle-ci avait l’âge de Charlotte.
— Vous devriez réserver une danse auprès de Winnie avant que son carnet ne soit rempli, suggéra-t-elle, comme il demeurait planté devant elle.
Il coula un regard là où se tenaient Jane et Rowena, entourées d’une nuée de jeunes gens. Son visage refléta brièvement de l’inquiétude, puis retrouva son expression coutumière – arrogance teintée d’amusement. Il fit un pas vers Charlotte, puis s’immobilisa et se pencha vers elle.
— Je vous suspecte d’être une sorcière, Charlotte Hanover, lui murmura-t-il à l’oreille, car il faut qu’on m’ait ensorcelé pour que je manque à mes devoirs envers ma sœur. »
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« — C’est là ce que tu souhaites, Winnie ? demanda-t-il à sa sœur, sans toutefois quitter Charlotte des yeux. T’entourer d’Anglais qui veulent t’arracher à ta famille ? Te cacher derrière des femmes trop bavardes qui décident de tes combats et les mènent à ta place ?
— Vous êtes le seul à faire de ceci un combat, lord Glengask, observa Charlotte. Et je ne me montre bavarde qu’en présence d’un tyran.
— Oh, mon Dieu ! souffla Winnie.
Un muscle tressauta sur la mâchoire de Glengask.
— Un tyran, dites-vous ?
— C’est certainement l’impression que vous donnez. Votre propre sœur se cache derrière une étrangère plutôt que de vous approcher.
Le regard bleu passa aussitôt sur sa sœur.
— Rowena, tu sais que je… »
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« — Tu devras m’enfermer à jamais, prévint-elle d’une voix chargée de sanglots. Je veux juste voir Londres, ajouta-t-elle en posant sa main sur celle de Charlotte.
— Eh bien, tu l’as vue !
Le regard de Glengask passa de Rowena à Charlotte, puis se posa sur leurs mains jointes.
— Laissez partir ma sœur, dit-il.
Charlotte affermit l’étreinte de sa main.
— Non. Puisque vous êtes à Londres, quel mal y aurait-il à la laisser séjourner ici quelque temps ?
— Quel mal y a…
Il s’interrompit, stupéfait.
— Il n’est pas question que je reste ici à débattre avec une femme de ce qui est le mieux pour ma propre famille, reprit-il d’une voix grondante.
Charlotte ne cilla pas, alors qu’à côté d’elle Rowena frémit.
— Dans ce cas, puisque je refuse de céder, j’imagine que cela signifie que vous laissez Winnie séjourner ici, répliqua-t-elle.
Elle n’aurait su dire à quel moment elle avait décidé de prendre le parti de la jeune fille. Mais elle refusait de se laisser intimider par ce colosse. Même s’il l’avait soulevée comme si elle ne pesait rien.
Il voulut répliquer mais se retint. Charlotte s’autorisa une bouffée de satisfaction. Le petit chaton anglais avait craché à la face du grand ours écossais, et il ne savait comment réagir. Tant mieux. »
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