Citations de Tatsukazu Konda (47)
A la guerre, où l’on passe de vie à trépas en un instant, d’innombrables soldats qui ont échappé de peu à la mort relatent l’expérience d’une sensation particulière… Celle de son propre corps dans le moment présent.
Un combat entre deux adversaires hors du commun ne peut être que mortel.
Les regrets annihilent tout résistance.
Je n’avais réalisé quelle force cela donnait de ne pas être seul.
Pour les vampires qui sont immortels, la solitude est un poison.
Même puissants, mêmes intimidants, les gens qui ne tiennent à rien sont faibles.
La confiance est plus importante que l’inquiétude.
- La « science » des humains est redoutable. Faust m’a dit autrefois que la technologie humaine sonnerait le glas des vampires. Il avait bien raison. Mais cette prédiction était incomplète. J’y ai fait un ajout. J’ai prédit qu’ils se rapprocheraient de leur propre destruction à chaque progrès qu’ils feraient.
Pourquoi ce qui nous paraît le plus beau est-il ce qu’il y a de plus inatteignable ?
On ne se rend compte que l’on tient à une chose que lorsqu’on la perd.
Il est du devoir de ceux qui quittent ce monde de le confier à la nouvelle génération et de lui faire confiance.
- Arrêtons les bavardages inutiles. Essaie de ne pas être un fardeau humain.
- Ne me vole pas ma réplique, vampire.
- Pourquoi cette expression ? Ça t’étonne de voir un vampire utiliser des armes à feu ?
Le corps et l’esprit sont intimement liés et s’influencent l’un l’autre.
- Tu aimes le sport ? Je suis sûre que tu es doué !
- Ça m’est déjà arrivé qu’on invite à jouer. Au golf, au base-ball, ou au tennis… Mais à chaque fois, on m’a interdit de revenir.
- Hein ? Pourquoi ?
- On m’a dit que j’étais une menace pour mes partenaires de jeu.
- Effectivement j’ai pitié pour eux.
- Grim, tu vas jeter tes Crackers sur la ville. Tu vas attirer leur attention et semer la panique. Ayevis, tu captureras les fuyards en dehors de la ville… Et dans le même temps, tu empêcheras les renforts d’y entrer.
- On me donne des ordres ! Voilà qui est bien nouveau pour moi !
- C’est drôle, hein ? C’est comme un jeu.
- J’y pense, vous n’utilisez pas tant que ça le mot « suceur de sang » pour parler de vous.
- Non, c’est les humains qui nous appelle comme ça. Comme si eux s’appelaient « dévoreurs de pain » entre eux.
- C’est vrai que cela sonne un peu bizarre. Hmm… Shûshi m’a dit que dans son pays on mangeait principalement du riz. Ce qui veut dire… Qu’il est un « avaleur de riz » ! ça lui va à merveille.
- J’ai tellement regretté de ne pas avoir pu me battre aux côtés de mes camarades qui ne sont jamais revenus de la guerre que j’ai passé ces trente-cinq dernière années à m’entraîner. C’est ça ma force.
- Je me demande qui, de toi ou de Hans au meilleur de sa forme est le plus fort ?
- Ça te servirait à quoi de la savoir puisque tu vas crever ?
- C’est une victoire facile.
- Le rôle des Crackers est de prendre le pas sur l’ennemi en semant la terreur avec leur horrible apparence. Une troupe bien organisée peut s’en débarrasser si, cela va sans dire, elle garde bien son sang-froid. Qui plus est, ils ne peuvent obéir qu’à des ordres simples, ils ne sont pas très intelligents. Ils ne savent pas capable des réagir face aux imprévus.. Et vu que l’ennemi est en petit nombre, pour retourner la situation… C’est celui qui les dirige dans l’ombre qui va devoir venir en personne. Et le patron n’attend que ça pour se charger de lui.