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Citations de Tatsukazu Konda (47)


On ne se rend compte que l’on tient à une chose que lorsqu’on la perd.
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- Tu veux recréer le passer en ressuscitant les morts ? Quelle idiotie ! Quoiqu'il arrive, on ne peut jamais revenir dans le passé. Le temps ne s'écoule jamais que vers un nouvel âge.
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Pourquoi ce qui nous paraît le plus beau est-il ce qu’il y a de plus inatteignable ?
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Je n’avais réalisé quelle force cela donnait de ne pas être seul.
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Pour les vampires qui sont immortels, la solitude est un poison.
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Même puissants, mêmes intimidants, les gens qui ne tiennent à rien sont faibles.
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Aucun humain ne peut gagner le combat contre la vieillesse. C'est le fait que nous vieillissons et pourrissons qui fait de nous des humains.
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- On n’a plus à se battre contre les vampires… Alors pourquoi se battre entre nous ?
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Notre plus grande faiblesse n'est pas la lumière ou l'argent... C'est le fait de ne pouvoir survivre qu'en buvant du sang humain. Les humains l'ont compris. Si leur technologies continuent à se développer, ils trouveront sans doute un moyen d'utiliser notre point faible à leur avantage. En faisant cela, ils déclencheraient le compte à rebours de notre extinction. Si nous ne changeons pas non seulement notre façon de penser, mais aussi nos corps, les vampires n'auront pas de futur.
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Les regrets annihilent tout résistance.
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A la guerre, où l’on passe de vie à trépas en un instant, d’innombrables soldats qui ont échappé de peu à la mort relatent l’expérience d’une sensation particulière… Celle de son propre corps dans le moment présent.
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- Elle est des deux à la fois. De la race des humains, que j’ai cherché à protéger au péril de ma vie, et de la race des vampires que j’ai tenté d’éradiquer au péril de ma vie… Devant cette enfant qui est le deux, quel choix faut-il faire : la haine ou l’amour ?
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- La « science » des humains est redoutable. Faust m’a dit autrefois que la technologie humaine sonnerait le glas des vampires. Il avait bien raison. Mais cette prédiction était incomplète. J’y ai fait un ajout. J’ai prédit qu’ils se rapprocheraient de leur propre destruction à chaque progrès qu’ils feraient.
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- J’y pense, vous n’utilisez pas tant que ça le mot « suceur de sang » pour parler de vous.
- Non, c’est les humains qui nous appelle comme ça. Comme si eux s’appelaient « dévoreurs de pain » entre eux.
- C’est vrai que cela sonne un peu bizarre. Hmm… Shûshi m’a dit que dans son pays on mangeait principalement du riz. Ce qui veut dire… Qu’il est un « avaleur de riz » ! ça lui va à merveille.
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Les vampires représentaient une force qui dépassait la raison humaine... Une calamité naturelle contre laquelle on ne pouvait lutter. Des êtres comparables à des tempêtes et à des tremblements de terre... Voilà que c'étaient les ennemis juré de la race humaine. Plus rapides que le vent... Des mains plus tranchantes que des rasoirs... J'étais que le point de mourir face à ces créatures défiant l'entendement lorsqu'un humain dépassa à son tour les barrières de l'impossible. Ils n'eurent même pas le temps de pousser un dernier cri...
- Et toi ! J'en ai tué dix à la porte sud, il en restes d'autres ?
- Dix... Tu sais ce qu'il nous faut de préparation pour en tuer ne serait-ce qu'un ? Et tu as fait ça à toi tout seul ? Tu n 'es pas d'ici, comment t'appelles-tu ?
- Hans Vahpet. Fais circuler mon nom... Pour que les vampires du monde entier le connaissent...
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La confiance est plus importante que l’inquiétude.
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La guerre a changé de forme. Avec la popularisation des fusils, combattre en exposant son corps perdit de son sens, et les règles de combat troupe contre troupe sur un terrain plat disparurent du champ de bataille. Les soldats creusent maintenant des chemins de la terre et tentent de progresser vers le territoire ennemi tout en se protégeant des tirs. C’est l’avènement des guerres de tranchées. Les soldats ne savent pas quand leur calvaire va prendre fin. Bloqués, ils sont forcés de côtoyer la mort dans un enfer de boue, de poudre et de sang. Leurs corps et leur esprit poussés à bout, ils perdent petit à petit toute sensation.
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[Cocowil] Tu veux savoir si j'ai envie de boire du sang humain. Je vais être franche, ça m'est déjà arrivé. Même si je n'en ai pas bu. Le fond de ma gorge s'assèche lorsque je vois ou que je sens du sang. Mon esprit est paralysé par l'envie d'en boire. C'est peut-être comme ça que les vampires ressentent « la faim ». Mais je peux me sustenter autrement qu'avec du sang. Et pour tout dire, je n'ai jamais vu les humains comme de la nourriture.
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Il est bien vrai que le temps change les gens ! 
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Il est du devoir de ceux qui quittent ce monde de le confier à la nouvelle génération et de lui faire confiance.
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