Thibault Prugne

Téo est un jeune orphelin qui a été recueilli enfant par un charpentier. Ce dernier aurait voulu qu'il l'aide à construire des bateaux, mais Téo, les bateaux ne l'intéressent pas. Sa passion, c'est la musique, et le charango, l'instrument qui est tout ce qui lui reste de ses parents. Il en joue dès qu'il peut. Un soir, il entend une mélodie fascinante...



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Une belle histoire poétique qui célèbre la musique et la danse. Musique qui permet les rencontres, qui rapproche et permet de développer l'amitié. L'album, avec son très grand format, permet une belle immersion dans l'histoire. Les illustrations - magnifiques- s'y déploient pour notre plus grand plaisir, délicates, avec de jolies couleurs chaudes.



Téo est un jeune garçon sensible, sujet aux brimades, harcelé par les enfants du village, car "différent". La musique est son monde, son échappatoire, c'est aussi elle qui lui permet de trouver une "famille", et d'être accepté tel qu'il est. Un beau message de tolérance.



Cet album, nous l'avons d'abord lu, une première fois à haute voix, en lecture du soir, puis nous avons pris le temps d'écouter la voix de François Morel et les musiques qui accompagnent le récit. C'est envoûtant, magique.



En bref, un album splendide, qui nous accompagnera encore bien longtemps !

Comme Ici reposent tous les oiseaux ou Mireille également parus aux éditions Margot, Maestro est un très grand format, de ceux qui ne rentrent pas sur toutes les étagères. La promesse d’en prendre plein les yeux. Couleurs lumineuses, contraste avec le bleu profond de la mer, visages aux traits plein de douceur… les superbes illustrations de Thibault Prugne nous en mettent plein la vue.

Portée par la voix chaleureuse de François Morel, j’ai découvert une histoire tendre sur la musique, la passion, les rencontres magiques, les familles de cœur. Ce n’est certes pas bien long, mais cela suffit à créer une bulle hors du temps pendant quelques instants.

Il faut dire que, si j’avais lu l’album après l’avoir acheté à l’occasion d’une rencontre avec l’auteur-illustrateur, j’ai mis du temps avant de le prendre, le temps, d’écouter la version audio. Pourtant, quelle découverte ! Obligée de m’accorder au temps de la narration, je me suis longuement immergée dans les illustrations. Et puis, surtout, il y avait la musique et les deux chansons. Ces airs aux sonorités gitanes, tantôt joyeux tantôt mélancoliques, sont entraînants et immersifs. Ils impulsent un rythme et des émotions à l’histoire, faisant tressauter une cheville ou quelques doigts, serrant le cœur, et, au moment où les chants en espagnol s’élèvent, je crois que j’étais un peu partie, face à cette famille de musiciens illuminant la nuit de leur art.

Vous l’aurez compris, cet ouvrage est juste sublime et sa version audio est un ajout précieux. Elle transcende la beauté indiscutable des illustrations de Thibault Prugne et transforme l’objet en véritable bijou.
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Les hirondelles du titre auront un goût de renouveau.



Ca ne sera pas tous les jours le printemps pour les deux personnages que Anne-Fleur Drillon et Thibaut Prugne décideront de nous faire découvrir. Deux petits grands-pères qui vivent leur vie, l'un là-haut, l'autre en bas.



Les hirondelles formeront l'animation, la compagnie qui leur manque, quand bien même leur choix de vie pourrait être confortable et paisible.



Ils ont donné un prénom à chacune, Martine et Eglantine. C'est presque le chien fidèle qu'ils n'auront pas.



Les jours passeront, s'écouleront, s'égraineront et toujours rien à l'horizon de nouveau. Le ciel et les mers sont vastes.



Barnabé et Amédée devront user de stratégies pour se faire à cette tranquillité un peu trop silencieuse, manquant de sel et de poivre, même si les épices ne sont plus de leur âge, de leurs os et de leur estomac.



L'auteure Anne-Fleur Drillon ajoutera un peu de poésie à cette drôle de solitude qui ne pèsera pas plus lourd qu'un nuage pour l'un des deux. Oui, car Barnabé vit sur une île dans les nuages.



On peut imaginer que son nuage voit du pays car les nuages ne restent jamais à la même place. Ca, l'histoire ne le dit pas mais on le suppose.



Amédée est son voisin du dessous (pour l'instant), propriétaire d'un radeau original. On pourrait presque penser qu'Amédée lui-aussi, finalement, est une sorte d'aventurier, de voyageur.



Mais voir le monde sans voir de gens, ça ne semble pas fonctionner pour nos deux papys.



Le destin voudra qu'un jour, Barnabé tue le temps en pêchant dans les nuages et qu'Amédée, intrigué de voir tomber un fil en nylon du ciel, y accrochera tout ce qui lui passera par la main, pour s'amuser.



La suite, elle sera à découvrir et elle est très touchante et très amusante.



Dans la technique et le graphisme de Thibault Prugne, il y aura un peu de Rebecca Dautremer, trouvons-nous, et ça, nous aimons. La signature très pourpre et cerise de Dautremer distinguera clairement les deux artistes, Prugne trempera ses plumes dans l'azur beaucoup plus lumineux, jouant des intérieurs plus sombres et des extérieurs bleus à perte de vue. Les deux univers d'Amédée et de Barnabé.



C'est tendre, touchant sans tomber dans le pathos de la solitude du 3ème âge. Les deux personnages s'assument, prennent la barre et lève la voile mais un seul être peut manquer à l'équation: un être avec qui partager, à aimer, une présence, un chouette amour ou une belle amitié.

Magnifique album, tant dans les dessins, que l'histoire, en passant par la mise en couleur dans les tons pastels qui ajoute un peu de douceur au tout, s'il fallait en rajouter...



Nous voilà dans la lagune vénitienne, à suivre les aventures d'un petit souffleur de verre handicapé qui va devenir peu à peu une légende dans son métier en soufflant des bulles de verre contenant les rêves des enfants.



Histoire très poétique à mettre absolument entre toutes les mains. C'est une véritable invitation au voyage et à découvrir lees souffleurs de Murano. L'album permet en effet de discuter ensuite avec son petit des spécialités vénitiennes et de voyager en rêve ou en vrai...

A travers les textes et les images, on voyage à Venise : lagunes, gondoles, Campanile et souffleurs de verre sont au programme On voyage physiquement et on grandit intérieurement. Zorzi apprend la patience et la persévérance. Comme dans tous les contes, il connaîtra des épreuves tout en pouvant compter sur le soutien d’amis bienveillants.



Mais surtout, cette histoire est pleine de poésie. Comme rythmée d’une petite mélopée, elle est douce, gracieuse et délicate. Et cette douceur, cette grâce et cette délicatesse se retrouvent dans les très belles illustrations de Thibault Prugne. Les traits sont arrondis, les couleurs sont chaudes et lumineuses : cela me donne l’envie de me plonger dans ces illustrations sublimées par la grande taille de l’album.



Attirée par le travail de Thibault Prugne que j’admire beaucoup, j’ai découvert un album magnifique, tendre et onirique.
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Au hasard d'une exposition à Clermont-Ferrand, j'ai découvert Thibault Prugne et ses magnifiques illustrations.



Ce nouveau livre jeunesse nous immerge dans un monde onirique où la passion, la magie et le rêve guident le (jeune) lecteur. Textes et illustrations ne font qu'un et le résultat est tout simplement sublime.



A mettre impérativement dans les mains de tous les enfants de 3 à 103 ans !

Parmi la production éditoriale destinée à la jeunesse, toujours plus riche et intéressante, se cache parfois Le livre qui nous transportera ! « Les Hirondelles » d’Anne-fleur Drillon en est un somptueux exemple.

Publié aux éditions Bilboquet,cet album remarquable, petits et grands l’admireront sans se lasser. Et pourtant l’histoire, très simple, évoque la rencontre de deux hommes, aux antipodes l’un de l’autre et réunis par une petite hirondelle. Point fort de ce livre : les illustrations de Thibault Prugne, aquarelles superbes déclinées dans toutes les nuances de vert qui subliment l’idée portée par le texte.

Un livre qui donne envie de partager, un véritable petit bijou de la littérature pour enfants !


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Quel magnifique album. Les illustrations sont splendides. Une histoire de solitude ou parfois l'amitié et les rencontres les plus incroyables sont simplement au bout du fil.

Ce nouvel album de Renard nous plonge dans les aventures de Renard, un personnage attachant, qui reçoit une mystérieuse lettre contenant un affreux dessin de fesses. Déconcerté, Renard décide de mener l'enquête pour découvrir qui est l'auteur de cet envoi.



L'histoire est palpitante et pleine de rebondissements. On suit Renard dans sa quête de vérité, et on découvre au fil des pages une galerie de personnages hauts en couleur, tels que la moufette, la taupe et le hibou. Chacun a un secret à révéler, et c'est à travers les interactions de Renard avec eux qu'on comprend que les préjugés peuvent être trompeurs.



L'écriture est fluide et pleine d'humour. Les dialogues sont vifs, les situations cocasses, et l'ensemble forme un récit divertissant et intelligent. Les illustrations ajoutent une dimension visuelle. riche à l'album, et donnent vie aux personnages et aux décors avec talent.



"Renard, la lettre et les affreux" est un album jeunesse à ne pas manquer. Drôle, fin, touchant, il nous invite à réfléchir sur les préjugés et la différence, tout en nous faisant passer un bon moment. Une pépite à découvrir sans tarder!

Nous avions fait la connaissance il y a peu de temps du grognon Renard de Thibault Prugne. Rappelez-vous de "Renard et petit Georges" et "Renard, Marcel et les poulettes". Renard s'y faisait à chaque fois de nouveaux amis, tout en n'oubliant pas de profiter un peu d'une opportunité de rouler son prochain quand elle se présente.

L'auteur distinguera un peu son personnage de celui très illustre du "Roman de Renart" : le sien est vêtu d'un polo rayé, certes, mais il est surtout beaucoup plus maladroit. Ce Renard ci se croit malin mais n'est pas un grand as des combines, ses nouveaux amis le reconnaitront un peu, ce qui expliquera que tout ce petit monde puisse être amis.



" Renard, Gloubi et le Grizzli " fera croiser Renard et un énorme ours ( en réalité, ce dernier aura fait le ménage avant de s'installer dans le bazar du rouquin ) et présentera Renard à Gloubi le crapaud ( après que par malchance, Renard soit tombé dans sa mâre en poursuivant un lapin ).

Gloubi le "coachera" rapidement pour multiplier ses chances dans la vie de ces bois et lui conseillera le porte-bonheur!

Pourvu que son porte-bonheur ( on l'aura vu cherché un porte-bonheur digne de ce nom ) lui permette de chasser l'ours bien léché de sa tanière de célibataire.



On s'amuse, on rit, on profite des couleurs des chouettes illustrations de l'auteur Prugne, avec l'impression de suivre les épisodes d'un personnage de dessin animé à la manière des Looney Toons.

Renard ne manquera pas sortir des bêtises, d'en faire et de se vautrer par terre. Un vrai clown à poils roux!

Trois titres, cela pourrait faire une belle collection si il y en a d'autres.

Nous recommanderons à ceux et celles de suivre les réseaux sociaux et Instagram de l'auteur qui nous épate vraiment sur des séquences de dessin et de mise en couleur de ses couvertures.

Le souffleur de rêves est un superbe album jeunesse autour du thème des rêves. Il est tellement poétique, très doux, et nous a fait voyager à Venise, en Italie, le temps de cette belle lecture.



Dans cette histoire, Zorzi Ballari, un apprenti-maître verrier de 15 ans, se blesse au pied et se met à boiter, amenant son patron à le renvoyer, le pensant alors incapable de continuer à travailler dans un atelier de verrerie. Il se retrouve à la rue, rejeté et moqué de tous. Mais dans le plus grand des secrets, Zorzi va essayer de réaliser son plus grand rêve, apprendre à souffler le verre comme les grands maîtres-verrier. Il va s'introduire la nuit dans les ateliers déserts, et apprendre encore et encore les techniques du verre, jusqu'à être capable de réaliser des merveilles.

Un soir, il héberge un autre enfant orphelin à la rue, et il souffle pour lui une bulle de rêve. Cette bulle de rêve plonge l'enfant dans un rêve délicieux et voluptueux. Bientôt la rumeur se propage dans la ville : il existe un mystérieux verrier capable de souffler des rêves extraordinaires. Mais la suite de l'histoire est aussi douloureuse que magnifique pour Zorzi, le souffleur de rêves



Cet album est un vrai coup de coeur pour nous. Cette histoire est tellement belle, touchante, onirique. On est emporté dans cette aventure, d'abord trépidante, magique, mais aussi un peu triste, très poétique, et surtout, très douce, vraiment agréable à lire.

Et quel régal d'observer les illustrations qui accompagnent magnifiquement le récit, elles aussi tellement touchantes et poétiques, avec une palette de couleurs incroyable, lumineuse. On est littéralement emmenés en voyage dans les rues et les ateliers de Murano.



Bonne lecture !
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Ah le revoila ce renard de mauvaise foi.

Installez-vous, cela recommence.



Aïe Ouille!

Quoi?

Et bien nous sommes tombés dans un trou, pardi, jeunes gens!

( - Ah, déja?

- Comment ça déja? L'action ne perdra pas de temps, petits insolents)

Enfin, plus exactement, c'est Renard qui sera tombé dans un trou. Et il s'y trouvera confiné avec un mulot.



Quel dilemme!

On entendra souvent parler de passagers échouant sur une île ou crashant sur le sommet d'une montagne, obligés de se manger les uns les autres pour survivre...Brrrr... ( Mmm...selon Renard)

Renard hésitera, il ne saura pas quoi faire: le manger, là, tout de suite ou le garder pour ne pas finir à se parler à lui-même jusqu'à la fin de cette histoire?)



Avec ces illustrations de Thibault Prugne appliqueront un filtre tout doux à ce huis-clos entre un grand Renard et un tout petit petit mulot, qui choisira la voie de la sagesse: puisque l'on est pris au piège tous les deux, autant faire connaissance?



L'affaire est mignonnette et le Renard ronchon aura toujours le verbe à nous faire rire, ne ménageant jamais ses interlocuteurs, toujours sûr de lui dans sa mission de filou et se surprenant finalement à se laisser conquérir par de bons sentiments.

De bons sentiments? Quelle horreur! Et le plaisir de l'estomac dans tout ça, hum?

Je me suis extasiée sur les illustrations, déjà. Puis les personnages sont entrés dans mon cœur pour y rester. Et c'est aussi une belle histoire d'ambition et d'entraide. Il coche toutes les cases de ce que j'aime ! Et enfin, Le souffleur de rêves est aussi une jolie histoire du soir pour accompagner au sommeil, afin qu'il puisse mener à bien sa mission. A découvrir absolument !
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Le récit avance d’une façon dynamique au rythme des idées de Renard qui n’en manque pas du tout. Le lecteur est pris de sympathie pour son héros mais aussi pour les poules qui ne sont pas aussi bêtes qu’elles le paraissent.



D’abord calculateur et rusé, Renard va se révéler malin et séducteur. Il sait utiliser la parole en prenant le langage de La Fontaine ou en jouant avec les mots (dévoré/dégusté) et même en utilisant parfois le mensonge (un renard VEGETARIEN !). Il se montre hâbleur et prenant plaisir à de vilaines manigances. Il abuse des onomatopées qui sont mises en relief dans le texte sous forme de caractères agrandis, repérables par les enfants qui aimeront les répéter (Tic Tic Tic / Crac, crac, crac / Miaaaaaaam /TRAN-QUI-LOU/ Vlam !/ Boum ! Boum ! Boum/….) .

Les animaux mêlés à cette histoire sont très expressifs et attachants : l’écureuil ne s’en laisse pas conter ; les poules lui rappellent son passé et opposent à sa flagornerie leurs mines enjôleuses et hypocrites.



Ceci donne de beaux rebondissements qui font passer le lecteur de la déception à l’anxiété puis à la peur avec l’arrivée surprise du loup. Le personnage de Renard doit alors aller puiser loin dans son imagination pour arriver à berner ses adversaires. Mais il sera aidé providentiellement par une ruse des poules plus habile que celles qu’il avait essayé de mettre en œuvre.



L’humour reste présent jusqu’à la fin du livre et une chute inattendue ravira le public !




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Superbe conte pour enfant que j’ai lu avec mon fils de 4 ans.

Les dessins sont sublimes et tellement loin des clichés sur Venise .

L’histoire est belle tout en aimant une jolie morale comme on les aime .

Une belle histoire poétique et vraiment originale

Un renard, un mulot et un haricot. Mais quelle drôle association. Mais quelle association.

Après une course poursuite entre Renard et Petit Georges, le mulot, les voilà tous les deux qui tombent dans un trou. Mais comment en sortir ??

Encore une très belle histoire qui aborde avec poésie, l'ouverture aux autres, au-delà des préjugés, l'entraide et l'amitié. C'est drôle surtout quand MONSIEUR Renard s'offusque, c'est touchant quand nos 2 personnages apprennent à se connaître.

Et ces illustrations, juste belles, magnifiques. ❤

Aujourd'hui c'est un jour sans pour notre ami Renard. Rien ne lui réussi, surtout qu'il tombe dans la flaque de Gloubi, le crapaud. Arg. Quelle pouasse.

Alors, Gloubi, tel le sage Yoda, lui conseille de trouver un porte bonheur.

Et effectivement, dès que la chose est faite, tout change (ou presque).

Charmante petite histoire, pleine de poésie, drôle, bien écrite, qui parle de confiance en soi. Et ces illustrations !! Ma fille et moi, on s'en lasse pas. Un vrai coup de coeur.

Après avoir suivi Renard avec Petit Georges, on le retrouve ici aux côtés de Marcel et des drôles de poulettes. En effet, afin de passer au mieux la saison, Marcel l’écureuil, prépare tranquillement sa réserve de noisettes pour pouvoir les boulotter tout l'hiver. Seulement voilà, il a décidé de s'installer dans l'arbre de Renard. Au premier abord, Renard n'est pas très ravi de cette invitation mais tout cela lui donne envie de faire la même chose sauf qu'un Renard ça ne mange pas de noisettes...

Il essaya alors d'amadouer l'écureuil mais en vain...

Il tenta alors sa chance avec les poulettes.

Au premier coup, Renard échoua lamentablement.

Cependant, il trouva une ruse au deuxième coup...

Réussira-t-il à les avoir ?



Renard, Marcel et les poulettes est un album rempli d'humour et de tendresse.

Enfants comme parents, vous aurez à coup sûr le sourire et le rire aux coins des lèvres !



A lire et à partager !

Thibault Prugne s’empare avec drôlerie et énergie du mythe du Renard et de son appétit féroce. Avec des couleurs éclatantes, une mise en page très animée (changement régulier de cadres), il croque des figures marquantes pour ses animaux s’amusant entièrement avec l’expressivité de leurs visages. On lit rapidement la déception, la manigance, l’éblouissement, la peur. Les émotions sont tout de suite présentes, alimentant rapidement la narration. Les rebondissements émotionnelles s’enchaînent alors.



Sous la plume de Thibault Prugne, le renard est aussi malin que déçu. Il use de tous les stratagèmes pour attraper l’écureuil que les poules. L’auteur fait alors référence au langage de La Fontaine et s’est réjouissant car personne ne se laisse avoir par ces belles paroles. Le renard doit alors se renouveler et devient, par séduction, végétarien. Le clin d’œil à une mode actuelle fait sourire mais l’auteur ne laisse pas l’intelligence au seul crédit du renard, en faisant preuve de drôlerie et de surprise.
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Dans une forêt, un petit mulot, Georges, trouve un haricot. Il se réjouit de le manger mais c’est sans compter qu’un renard l’a remarqué et a décidé de faire de Georges son repas à lui. Après une poursuite dans les bois, les deux animaux se trouvent piégés dans un trou. Le renard mangera-t-il Georges ou s’allieront-ils afin de sortir ensemble de ce mauvais pas ?



Dans cet album très joli, on voit une amitié étonnante naître entre deux êtres que tout oppose et on découvre les vertus de la patience. C’est un coup de cœur !