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Critiques de Thomas Carreras (43)
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100 000 canards par un doux soir d'orage

What the duck? Comme dirait l'un des personnages!

Message à Thomas Carreras : Je ne sais pas ce que vous fumez, mais waouh c'est d'la bonne! Mais attention quand même hein parce que c'est dangereux pour la santé… surtout à haute dose comme vous lol ;-).

PS: Vous savez que c'est illégal au moins???



Bon, trêve de plaisanterie, impossible pour moi de noter ce livre car si je le note par rapport au plaisir que j'ai eu à le lire : Je ne lui mets pas la moyenne. Mais je ne peux pas non plus ne pas lui mettre la moyenne car je n'ai jamais lu un livre comme ça... Et… il n'est pas mauvais, juste supra-ultra-méga-beaucoup trop original (oui, trop à mon goût).

Je suis bien embêtée moi maintenant! Ce sera le premier livre que je ne note pas. Il faut une première à tout non ? Ben voilà !



La quatrième de couverture est carrément accrocheuse, elle en dit suffisamment pour vous intriguer sans en dévoiler trop, ce qui est rare en jeunesse (bravo à l'éditeur). Et on nous annonce la couleur : on sait que l'on part dans un truc complètement déjanté...



Ma lecture a plutôt bien commencé, j'ai beaucoup aimé les 100 premières pages. Elles correspondent bien à l'univers attendu. Ginger m'a fait déliré : 1)- grâce à son sens de la répartie. 2)- à cause de sa fixette sur les canards. Je me demandais où allait m'emmener l'auteur et comment il allait faire évoluer son histoire...

Pour le coup, que l'on ait aimé ou pas, personne ne peut dire que cette histoire est prévisible.

Un début atypique qui m'a intrigué et plu. De plus, moi qui n'aime pas quand le texte est trop familier, vulgaire ou grossier l'auteur a réussi à faire en sorte que dans son livre cela ne me dérange pas plus que cela. Un bon point. Ça fait parti de l'univers, tout simplement. Mais ces 100 premières pages passées...

Wow. Mais quel délire! Trop pour moi. Ça part dans un truc complètement taré! Et au plus on avance au plus c'est déjanté. Et encore, le mot déjanté est faible... Oui oui, j'ai bien dit F.A.I.B.L.E !

L'histoire prend un virage radical et on part dans un gros délire gore aux personnages plus loufoques les uns que les autres… (je n'en dirai pas plus pour ne spoiler personne mais il y a sacrément matière à développer).

Est ce que ça vous est déjà arrivé d'être témoin de quelqu'un (ami ou autre) qui se tape un délire démentiel devant vous mais tout seul ? du genre vous êtes sobre et pas l'autre personne. Vous voyez un peu le topo ? Vous êtes carrément extérieur à la situation parce que ce n'est pas votre délire mais celui d'un autre. Et bien, C'est un peu ce que fait Thomas Carreras dans son livre, il se fait son gros délire imaginaire dans son coin (sans mauvais jeu de mots) mais c'est très compliqué d'y entrer du coup car ce n'est pas le votre… et en plus il part vraiment très très… très très très loin dans son imagination.

J'admire ceux qui ont réussi à y entrer à 100%.



Une histoire extravagante à outrance qui repousse les limites du délire à l'impossible. Un livre incontestablement très original qui a réussi à me faire sourire même lorsque je n'avais plus envie de le lire (Une prouesse. Je n'aime pas le livre mais je souris encore par moment?). Ce n'est pas mon livre préféré (loin de là) mais il a le mérite de se démarquer. Un livre inclassable et in-notable: Un ovni.
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100 000 canards par un doux soir d'orage

La claque !

On pense avoir tout lu, et paf! on tombe sur cet OVNI rock'n'roll à l'humour décapant.

Bourré d'inspirations musicales (avec des délires bien funky) et cinématographiques, le roman n'en est pas moins littéraire (des inventions osées mais qui fonctionnent à merveille !).

Sans humour, ça passerait pour un excellent roman d'horreur décalé (comme si Stephen King avait soudainement eu un compte à régler avec les canards !) mais le style rentre-dedans et l'imagination sans limite de l'auteur donnent à ce livre un côté unique qui dépasse tous les genres actuels.



La littérature est en constant mouvement, et une nouvelle voix est en train de s'élever. Un voix qui fait des grands COUAC et qui donne envie de se prosterner.

Bravo !
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50 cents

Tarantinesque !

S'il ne fallait qu'un seul mot, ce serait celui-là.

50 Cents évoque Kill Bill et Pulp Fiction, avec ces personnages caricaturaux et invulnérables, sa construction en cut-up, son mélange de pulp fun et de massacres hallucinants...

Thomas Carreras invoque un casting de fou avec "la version africaine d'Arnold Schwarzenegger" et des personnages renvoyant directement à Chuck Norris, Clint Eastwood et Machete.

L'action non-stop est servie par un style vif, jouissif, bourré d'humour (souvent noir) et une manière de creuser les personnages qui rend toutes ces brutes soit attachantes (!) soit tellement crétines qu'on jubile de les voir se prendre du plomb dans les parties sensibles.

Certes, l'auteur est capable de mieux (impossible d'égaler le très surprenant "100 000 canards par un doux soir d'orage"), mais ici il promet du lourd et il envoie du lourd. Donc si vous aimez les raclures patibulaires qui ont la réplique facile et les biker au QI négatif, si vous rêvez de voir les Expandables se battre comme dans Matrix, et si vous pensez que Steven Seagal devrait écrire des livres, plongez rapidement dans ce bouillon sanglant !
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100 000 canards par un doux soir d'orage

Un livre complètement.... déjanté (je n'ai pas d'autres mots).

Au début de ma lecture, j'ai été super emballée... Ginger qui débarque dans ce village paumé d'Angleterre, pour le Nightfest. Personnage au culot gros comme une montagne, auquel je me suis vite attachée. Puis elle voit des canards, plein de canards, trop de canards.. A la fin de la première partie, c'est là que c'est parti en vrille!

Je ne peux pas dire que j'ai détesté ce livre, puisque je l'ai lu avec plaisir. Mais l'histoire est quand même tirée par les cheveux, bien que, au final, tout ça tienne bien la route!

Allez bonne lecture: couac couac!!
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100 000 canards par un doux soir d'orage

Ah des romans funky comme ça, j'en redemande ! J'ai totalement adhéré ! Un régal pour une amatrice de nanars et séries Z !

C'est totalement barge, funky et décalé !

L'humour y est noir, très noir. Les personnages sont attachants.

Un roman qui a réussi à me surprendre et qui s'éloigne des sentiers battus ! Attention aux âmes sensibles certains passages sont bien gore !

Énorme coup de cœur pour ce roman haletant et très cinématographique !
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100 000 canards par un doux soir d'orage

En commençant le livre, j'ai découvert l'univers très spécial de l'auteur. Un univers carrément fou et déjanté ! On ne lit pas tous les jours des livres avec des canards tueurs !!! Pour ma part, je n'en avais jamais lu. Cet auteur a donc une imagination débordante, il a créé des personnages atypiques et un univers unique. Malheureusement, je crois qu'on est pas toujours sur la même longueur d'onde car j'ai parfois trouvé que ses délires allaient trop loin. Au début, c'est marrant (j'ai d'ailleurs bien aimé la première partie) mais ensuite, ça devient un peu lourd... J'étais parfois un peu perdue dans l'intrigue et j'avais du mal à resituer l'histoire.



De plus, je n'ai pas du tout adhéré à son style d'écriture. Il utilise un vocabulaire très familier tout au long du livre. Ca aurait sans doute très bien donné en film mais le livre de 300 pages fait de phrases habituellement utilisé à l'oral m'a rebuté. Dis comme ça, je passe pour une vieille attachée à ses belles phrases et à sa syntaxe mais cette écriture particulière m'a embêtée.



Je tiens quand même à souligner que cette écriture correspond bien à certains personnages et leur donne de la crédibilité même si je n'ai pas réussi à m'attacher à eux. Ce livre est néanmoins rempli d'humour et certaines situations sont à mourir de rire.



Je trouve la couverture parfaitement à l'image du livre : hilarante, tape à l'œil... et puis c'est un canard ! Le titre est également en accord avec l'histoire.



Si vous n'avez pas peur des canards, des histoires déjantées, d'un style d'écriture osé, bref, si vous pensez adhérer à l'humour totalement barré de Thomas Carreras : ce livre est fait pour vous. Dans le cas contraire, je ne vous recommanderai pas ce livre, vous risqueriez d'être déçu... Visiblement, le premier livre de l'auteur, 50 cents est aussi fou donc je ne pense pas que je le testerai. Un livre surprenant mais qui m'a déçu...
Lien : http://leslecturesdetess.blo..
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100 000 canards par un doux soir d'orage

Mon avis: Je remercie les éditions Sarbacane et tout particulièrement Juliette pour l'envoi de ce roman et la confiance qu'ils m'accordent à chaque parution de leurs nouveaux romans. Tout d'abord je tiens à préciser que ce qui m'a attirée dans ce livre ce sont tout simplement la couverture que j'ai trouvé originale et assez fantastique faut l’avouer et le résumé qui n'en ai pas vraiment un je le conçois . J'avais aussi très envie de découvrir l'écriture de Thomas Carreras, malheureusement j'ai un avis comme ça à chaud, un peu mitigé, je n'ai pas spécialement apprécié ma lecture même si j'ai trouvé le roman très original, plein d'humour et, assez, très effrayant je n'ai pas totalement adhéré à cette histoire.



J'ai adoré le style déjanté de l'auteur mais l'univers n'était pas ce que j'affectionne le plus en tout cas c'est un livre à découvrir pour son originalité car franchement c'est une lecture vraiment étonnante et pour cela je tire mon chapeau à l'auteur pour l'état de stupéfaction dans lequel il m'a mise...



Du coté de l'histoire: Ginger est une jeune américaine de 19 ans, elle arrive à Merrywaters, un petit village perdu en Angleterre où se déroule le festival du Nightfest. Arrivée deux semaines avant le début de ce festival, la jeune fille qui a besoin d'un toit va tout faire pour se faire engager dans un pub. Elle se liera d’amitié avec Eilenne et Malcolm, les enfants du patron surnommé quant à lui " le Colonel ". Plus le temps passe et plus la jeune américaine trouve que des choses étranges se passent dans ce petit village. Elle a l'impression que les canards l’observent étrangement et elle ressent de plus en plus de doute sur la famille qui l’accueille dans ce village étrange. (Je m’arrête là pour ne pas spoiler l’histoire).





Du coté de l'écriture: J'ai adoré la première partie du roman avec les personnages de Ginger et Eilenne que j'ai vraiment trouvées très attachantes, j'ai accrochée de suite à l'histoire, j'ai ris, j'ai eu peur aussi je l'avoue et je pense que lorsque j'irais dans la basse cour de mon père, j'aurais une réelle appréhension en croisant les canards qui s'y trouvent... Puis ensuite vient la seconde partie où là je n'ai pas vraiment été subjuguée, pourquoi ? je ne sais pas vraiment, j'ai bien aimé mais cette seconde partie m'a un peu dérangée, je pense par le grand nombre de personnages ( connus ou pas d'ailleurs,je vous laisse découvrir les personnages cités dans ce livre :) ) qui s'y trouvent dedans et par les passages assez gores qui ne sont pas vraiment du style que j’apprécie le plus mais cela n'entrave pas la qualité du roman car l'écriture est fluide, il se lit très vite et il y a pas mal de passages hilarants. L'auteur a une imagination des plus débordante et étonnante, je sais pas où il va puiser cette imagination mais franchement il nous surprend du début à la fin. Sa plume des plus familière est également un point fort de ce roman, j'ai vraiment beaucoup aimé ce style d'écriture mais c'est un peu dommage que l'effet apocalyptique donné dans ce roman m’ait un peu dérangé , bon c'est un peu normal car ce n'est pas spécialement le style que j'affectionne le plus mais je sais que beaucoup d'entre vous apprécieront ce contexte.



En conclusion: Une écriture fluide, un roman qui se lit très vite , un style des plus déjanté, un univers complètement à part voilà ce qui résume 100 000 canards par un doux soir d'orage qui ne laissera pas indifférent ses lecteurs. Moi je n'ai pas totalement apprécié ma lecture mais je ne l'ai pas détesté non plus ( je suis plutôt mitigée cette fois-ci) simplement ce n'est pas vraiment mon style d'univers livresque mais je sais qu'il conviendra à bon nombre d'entre vous et que ceux qui apprécient ce style adoreront vraiment, je le conseille donc aux adeptes de ces univers et aux curieux qui veulent découvrir un tout autre style d'auteur qui détonne. J'ai tout de même passé un bon moment en compagnie de "la folie" de Tomas Carreras et de ses multitudes de canards et en relisant ma chronique écrit à chaud je vois que celle-ci est un peu brouillon je m'en excuse mais elle est comme ce livre légèrement décousue de sens :)

je dirais quand même à Thomas Carreras un grand bravo pour son originalité, sa folie tellement agréable mais si vous pouviez me faire la prochaine fois un livre un peu moins sanguinaire par moment je suis sur que vous feriez carton plein chez moi


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100 000 canards par un doux soir d'orage

Quand je pense à cette lecture, il y a tout un tas d'adjectifs qui me viennent en tête : loufoque, délirant, fou, etc. Véritablement WTD (what the duck), comme le dirait l'un des personnages, Marilou. Un livre comme cela, c'est sûr, vous n'avez jamais dû en lire d'autres ! J'ai vraiment adoré l'idée complètement insensée qu'a eue l'auteur (je préfère ne pas trop en dévoiler, cela vous gâcherait la surprise). Certains moments sont à mourir de rire, d'autres sont très crus, presque gores. C'est un mélange très surprenant, c'est le moins qu'on puisse en dire ! Mon seul regret, c'est que j'ai trouvé que l'histoire s'essoufflait un peu vers la fin.



C'est également un livre rempli d'audace : n'essayez pas de deviner ce qu'il va se passer, vous n'y arriverez pas ! Du coup, comme on sait que tout, absolument tout, peut arriver, on ne peut pas reposer le roman (en tout cas, personnellement, j'en ai été incapable et je l'ai dévoré en une journée). D'ailleurs, qu'est-ce que c'est que cette fin de première partie ?! J'ai été scotchée, je n'y croyais pas ! J'ai été un peu déçue mais qu'est-ce que ça fait du bien de lire quelque chose qui sort de l'ordinaire comme ça !



100 000 canards, c'est aussi une écriture un peu particulière, remplie de mots pas très beaux et d'insultes. Si vous me connaissez un peu, vous savez que c'est ce que je déteste le plus dans un livre. Et pourtant, ici, ça ne m'a absolument pas dérangée. L'histoire est tellement dingue qu'il est totalement compréhensible que les personnages ne parlent pas de la plus belle des manières.



En conclusion : Ma chronique est un peu décousue mais, lorsque vous lirez ce livre, vous comprendrez qu'il est difficile d'être clair lorsqu'on en parle. Je vous le conseille si vous avez envie de lire quelque chose de très très différent de ce que vous avez pu lire jusqu'à présent.
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100 000 canards par un doux soir d'orage

Ginger, une jeune américaine de 19 ans, arrive à Merrywaters, un petit village en Angleterre. Il doit bientôt s'y tenir un festival de musique qu'elle ne veut pas rater. Elle arrive à se faire loger et embaucher dans le seul pub de la ville. La famille du pub l'accueille gentiment et son groupe préféré va passer au festival. Tout va donc bien pour elle.

Mais en allait repérer les lieus du festival, elle se fait assommer. Elle a ensuite l'impression que les canards la fixe, elle a de plus en plus de mal à dormir...



Dès le départ, il y a une ambiance particulière. Ginger est la narratrice et elle a vraiment son style. On voit débuter son histoire d'amour, son amitié avec la fille du pub... C'est un personnage attachant. On se doute à plein de petites réflexions que les choses vont se corser même s'il est impossible d'imaginer la suite.

Pendant un moment on se demande s'il se passe quelque chose ou si elle n'a pas abusé de médicaments.

La première partie se finit sur un événement auquel je ne m'attendais absolument pas.



Dans une seconde partie, on suit l'histoire à travers de très nombreux personnages dont un canard. Ca permet d'être partout. Ca permet aussi d'avoir le point de vu de différents personnages. Comme le style change en fonction du narrateur, là aussi j'ai trouvé que c'était très fort.

Il s'agit d'une parodie d'histoire d'horreur. Malgré tout les descriptions des attaques sont assez effrayantes j'avoue avoir frémi parfois. Mais c'est tellement drôle !

Il y a plein de trouvailles : comme l'idée de mêler des personnages imaginaires et des personnages connus pour leur faire faire absolument n'importe quoi !

Par moment, j'ai pensé que c'était un peu trop, qu'il fallait s'arrêter mais de toutes façons tout est loufoque alors un peu plus un peu moins...

Il y a de l'humour dans l'ensemble du roman dans les situations, dans les commentaires des personnages...

C'est vraiment un roman qui sort de l'ordinaire.



J'aurais pensé qu'il y avait peu de chance pour que je lise un jour un roman avec des canards qui attaquent tout le monde et encore moins de chance pour qu'il me plaise.

Mais bon, je ne pensais pas non plus qu'il y avait un mot pour désigner la peur d'être fixé par des canards alors que maintenant j'espère qu'il y a un traitement pour cette phobie, j'ai peur d'en être attente^^
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100 000 canards par un doux soir d'orage

Je pense que vous avez deviné que j'ai choisi de lire ce roman pour son originalité ; rien qu'avec la couverture, on sait que ce roman va être particulier, différent des autres. Et si on n'est pas complètement convaincu, le résumé achève tout. Meurtre, canard, musique ? Et apocalypse, un mélange assez explosif !



J'ai lu très peu de romans sur les zombies (en fait aucun) ou sur l'Apocalypse, donc je n'ai pas exactement de point de comparaison possible, néanmoins je peux vous dire que ce roman m'a beaucoup plu autant pour son humour que pour ses combats assez... Originaux on va dire, comme ce livre dans son ensemble en fait. La seule chose qui m'ait un peu déçue et je ne crois pas être la seule, c'est le tournant qu'a pris la deuxième partie. J'avoue que la première partie m'avait beaucoup plu, avec cette histoire d'amour naissante et disons que le dénouement de cette première partie a tout foutu en l'air mes prévisions. Il s'agit donc d'un mal pour un bien puisque le roman ne tombe absolument pas dans le prévisible, contrairement à beaucoup d'autres. Le dénouement laisse entrevoir quelque chose d'autre de possible, un futur malgré tout ça, que j'aurais bien aimé découvrir...



A part ça que dire sinon que même si vous n'aimez pas spécialement les romans apocalyptiques et que vous avez déjà peur des canards, IL FAUT que vous lisiez ce livre, pour son humour. Un humour irrésistible tout simplement qui empêche de s'ennuyer même dans les moments où il y a moins d'action que d'habitude. La plume de l'auteur a quelque chose qui fait oublier le reste pour se contenter de rire sur les malheurs des personnages et sur les blagues parfois un peu douteuses.



Au niveau des personnages, je n'arrive pas exactement à savoir si je me suis attachée à eux ou non car du fait des personnages changeant tout le temps, on a souvent des points de vue différents. Néanmoins Eileen, Ginger et son oncle m'ont particulièrement plu, ce dernier a quelque chose de mystérieux. L'auteur a évoqué à plusieurs reprises le passé de certains de ses personnages sans complètement les expliquer, ce qui m'a laissé un peu sur sa dent, c'est pourquoi l'oncle de Ginger est selon moi l'un des personnages les plus intéressants de l'histoire, bien qu'il n'apparaisse qu'à la fin. J'ai bien aimé aussi les canards, car même s'ils dont très peur, leur réaction est souvent hilarante.



Vous avez compris : il faut lire ce livre, ne serait-ce que pour faire de magnifiques cauchemars avec pleins de canards dedans rire. Certains lecteurs ont moins aimé que d'autre et je pense qu'on le sait à la fin de la première partie. Dans mon cas malgré ma déception j'ai passé un très agréable moment.
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100 000 canards par un doux soir d'orage

Vous trouvez que le titre est loufoque ? Alors attendez d’avoir lu le livre et limite il vous paraîtra normal.



Ginger quitte les USA le temps d’aller à un festival en Angleterre. Elle y arrive quelques jours à l’avance et se fait embaucher dans un pub pour payer son séjour. Seulement la petite bourgade est moins tranquille qu’il n’y paraît.



Le titre du livre m’avait titillé, le résumé qui n’en est pas un également. Tout cela avait déjà lancé mon imagination dans tout les sens et cela s’est avéré encore pire que je n’avais osé le penser. L’auteur est complètement barré ! Je ne vois pas comment l’exprimer autrement.

Le débit commence normalement, on suit Ginger qui débarque en Angleterre pour assister à un festival. Dès le début ce personnage donne le ton, elle n’a pas froid aux yeux et on observe de suite des conversations désopilantes qui m’ont faites sourire. Un bon 1/3 du roman est normal, il y plane juste une aura de mystère qu’on a du mal à cerner. Dans le reste du livre tout s’enchaîne et l’auteur se lâche sans aucune retenue.

Les personnages sont des gens du show-biz dont Thomas Carreras fait ce qu’il veut pour notre plus grand plaisir. Cela part dans tous les sens, les dialogues sans queue ni tête se suivent pour un effet burlesque. Mais cela va parfois jusqu’à l’absurde, et c’est là où j’ai eu parfois du mal. Heureusement que de temps en temps.

La grande originalité du roman repose sur ses canards, mais là je vais rester motus et bouche cousue pour vous laisser les découvrir par vous même, parce que l’auteure s’est vraiment creusé la tête pour nous pondre (restons dans le thème) leurs particularités et ça serait dommage de vous gâcher le plaisir.

Ce livre est donc vraiment très original et je pense qu’il faut le lire vraiment au 2ème voir au 3ème degrés pour vraiment l’apprécier. Si on le prend au pied de la lettre on risque vraiment de passer à côté. Je vous le conseille si vous aimez les lectures qui changent.
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100 000 canards par un doux soir d'orage

Du Grand N'importe Quoi ! Donc totalement génial. Le roman commence d'abord de manière presque sérieuse avec une tension qui monte, un mystère qui plane, le danger qui rôde... mais une absurdité tout de même bien présente puisque les ennemis sont des canards !

Puis suite à un sacré retournement de situation nous voilà embarqués en pleine apocalypse canards ! Ils attaquent, sont partout et sont dangereux ! Du sang, des morts mais surtout du rire ! Plus le roman avance et plus il devient dingue ! Dans la lignée de Shaun of the dead, Black sheep... ce roman délirant offre une bonne bouffée d'humour !
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50 cents

Publier un roman sur la vie de Curtis Jackson alors qu'on écoute Mambo n°5 est un pari plus que risqué. Heureusement qu'ici, on s'en cogne complètement de la star du rap US, sortie sans parapluie un soir où il pleuvait du plomb. Allons y franchement même, on s'en balek´.



Thomas Carreras donc. Outre le fait qu'il ait un humour à t'exploser les zygomatiques (et dont tu veux partager les blagues avec les gens qui vivent avec toi, mais que t'arrives pas à faire rire parce que putain ils comprennent vraiment queutchi au truc), ce jeune prodige est un petit génie qui pourrait sortir du même utérus que l'auteur anonyme du Livre sans nom.



Trois massacres gigantesques en 342 pages plus un petit dernier au passage pour se faire plaisir, de quoi foutre ce satané Bourbon Kid à la retraite.



Des gangsters mexicains, un chef de guerre africain bouffeur de mains et fanatique de la machette, une rouquine aussi succulente que dangereuse, un mafieux russe, des flics rastas, ... Je suis obligé de m'arrêter là, les personnages sont tous plus charismatiques les uns que les autres (mention spéciale au moustachu démembreur-danseur, merci).



Un objet magique (les satanés 50 cents) qui permet à celui qui le détient d'avoir le cul bordé de nouilles. Du coup surenchère des protagonistes qui cherchent tous à récupérer la pièce et qui vont se massacrer à tour de rôle.



Ajoutez à ça une bande son plus qu'improbable, on nage en plein délire d'action sauce 90´s. Dans un San Francisco qui faisait fureur dans les séries télévisées du samedi après midi sur TF1. Quelques guests (ou comment se foutre un fan de Clint Eastwood dans la poche).



Banco mon gars ! je voulais du violent qui gicle de partout après mes égarements sentimentaux, j'ai été royalement servi.



Pour faire simple 50 cents c'est la Ben & Jerry's sur la pizza de chez Speed Rabbit, la boulette d'Afghan tombée dans le fond de ton canapé et que tu retrouves quand tout va mal, le sopalin à proximité de tes chiottes quand t'as plus de PQ.



(Je vous teste un peu bicause dans le roman tu vas en bouffer de la métaphore, accroche toi bien, genre Marty Mc Fly dans sa DeLorean tu vois ?).


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100 000 canards par un doux soir d'orage

Ornithophobes, passez votre chemin ! Et courrez si c'est plus particulièrement des canards dont vous avez peur.

Ces "petits" êtres aux yeux inexpressifs semblent plus intelligents qu'il n'y paraît à la lecture de ce roman déjanté.

Car on ne s'attend pas du tout aux trois derniers quarts du roman.

On voit bien les références cinématographiques dont Tarantino et Rodriguez, Godzilla, Hitchcock, ...

Le roman possède même des références musicales grâce au festival de rock Nightfest (on pense bien entendu au Hellfest) et à ses invités prestigieux (sacré Stevie Wonder !), l'auteur a pensé à préconiser une bande son en début de chapitre.

Quand je dis déjanté, j'espère que vous ne voyez pas de fins rebondissements. Non, c'est l'artillerie TRES lourde que nous sort Thomas Carreras.

J'ai vraiment aimé ce roman, que j'ai dû lire d'une traite pour avoir le fin mot de l'histoire. Et on m'a entendu rire à certaines idées farfelues de l'auteur...
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100 000 canards par un doux soir d'orage

Une couverture alléchante, un titre intrigant, un résumé qui donne envie. Sauf que ça n’a pas fonctionné pour moi. J’ai hésité à écrire ou non une chronique, à placer ce livre simplement dans « ces livres que j’ai abandonné », mais je me suis dis que j’allais quand même en parler. Parce que j’ai lu toute la première partie, un peu de la deuxième et la fin. Et j’ai quelques petites choses à en dire, sur le pourquoi de mon abandon.



D’abord, j’ai trouvé ça mal écrit. Un style assez simple, très oral, mais pas accrocheur du tout. En plus je trouvais que les dialogues sonnaient mal, pas réalistes, malgré le style oral. J’ai aussi trouvé ça tiré par les cheveux, mais pas dans le bon sens. Habituellement j’aime les choses absurdes, alors que là j’ai eu simplement l’impression que l’auteur prenait des raccourcis pour pas être embêté par son histoire. C’est fait avec humour, mais c’est un humour qui n’a vraiment pas fonctionné pour moi. Du coup, ça m’a paru trop brusque, trop facile. Je m’ennuyais ferme, mais j’ai décidé de laisser tout de même une chance au livre de me surprendre. Les canards sont un petit peu flippants, et il y a eu un moment où mon intérêt a été réveillé. J’ai pensé que l’auteur voulait jouer sur la folie de Ginger, nous faire douter. Est-ce que les canards la regardent vraiment? Ou est-ce qu’elle a pété un plomb? Et ça, ça m’intéressait. Sauf qu’en fait c’est très (trop) court, et que la réponse est trop rapide, et ne m’a pas plu.

J’ai eu beaucoup beaucoup de mal avec la deuxième partie, mon intérêt était retombé d’un coup, je trouvais ça plat, pas intéressant, pas accrocheur. En fait ça se veut absurde et fou, et pourtant d’une certaine façon j’ai trouvé ça banale. Un genre d’attaque zombie, mais avec des canards. Les personnages n’étaient absolument pas attachants et en plus je trouve qu’ils changent trop rapidement de caractère, je n’ai pas du tout été empathique avec ce qui leur arrivait.



Quand les Rolling Stones entrent en scène, j’ai roulé des yeux. J’ai pas aimé la façon dont ils étaient exploités, aussi absurde que le reste. Et j’ai décroché. J’ai décidé d’aller lire la fin en me disant « si la fin est incroyable, je continue ». Sauf que non. Pas de fin incroyable.

J’ai lu quelques passages au milieu. Rien qui me donne envie de continuer.

Alors voilà. J’en ai fini là avec ce livre.



Je le regrette parce qu’il y avait de l’idée, de l’originalité et de l’humour. Mais l’écriture était vraiment trop simpliste pour moi, limite imbuvable, et l’absurde est utilisé pour faciliter l’histoire ce qui ne la sert pas, au final on se retrouve devant quelque chose de pas si original que ça. Sauf que c’est déjanté et que les méchants sont des canards.



Dommage.
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100 000 canards par un doux soir d'orage

100.000 canards par un doux soir d’orage est une histoire de canards… tueurs. Oui, oui, vous avez bien lu : une histoire de canards tueurs génétiquement modifiés et totalement machiavéliques. Un roman déjanté dans lequel l’auteur va au bout de son idée : des situations improbables, des personnages délirants pour une histoire folle de la première à la dernière ligne. On aime ou … pas !
Lien : http://www.dimensionados.fr/..
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100 000 canards par un doux soir d'orage

Quel OVNI que ce livre ! J'avoue que je ne m'attendais pas du tout à ça et que j'ai été déçue...



C'est tout d'abord la couverture, puis le résumé (qui n'en est pas un) qui m'ont incités à acheter ce roman. Je suis très curieuse de ce principe de phobie qu'un canard vous observe et je pensais avoir un thriller psychologique avec ce roman, malgré sa couverture trompeuse. Et je dois avouer que c'est, à ma grande joie, ce que j'ai eu pendant les 100 premières pages. A un moment, ces canards m'ont vraiment fait flipper... Comme Ginger, on ne sait pas ce qui est réel et ce qui ne l'est pas et j'ai apprécié cette ambiguïté. Il faut admettre que cette idée de canards psychopathes est excellente et déjantée à souhait ! En plus, le tout est plein d'humour, ce qui ne gâche rien !



Malheureusement, c'est là tout ce que je vais retenir de positif de ce roman... Après les 100 excellentes premières pages, on tombe dans un méli-mélo incompréhensible à cause du changement constant de point de vue. Les personnages sont trop nombreux et, de ce fait, pas assez développés. Changer de point de vue toutes les deux pages n'aide pas à s'attacher aux protagonistes : je n'en ai aimé aucun !! Même les stars que l'auteur greffe à l'histoire ne servent à rien !! L'histoire part vraiment dans tous les sens, et l'ensemble est sans queue ni tête...



De plus, j'ai trouvé le vocabulaire beaucoup trop familier ! Le fait qu'en plus, le tout soit très gore et violent me fait douter du public visé par ce roman qui est, rappelons-le, destiné à la jeunesse ! Alors peut-être que les jeunes de maintenant lisent ce genre de chose, je suis peut-être old school, mais ça, ce n'est pas de la littérature jeunesse !



Ensuite, j'ai trouvé que l'on accordait beaucoup trop d'importance à la religion du Grand Coin : à force de répéter la même chose, ça devient vite lassant... Enfin, j'ai trouvé l'épilogue complètement inutile, la fin se suffisait à elle-même.



En bref, un livre qui aurait pu être tellement plus abouti si l'auteur ne s'était pas éparpillé car l'idée de base est excellente ! Quoi qu'il en soit, vous ne regarderez plus jamais les canards de la même manière !
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100 000 canards par un doux soir d'orage

Si vous voulez tout savoir, mon animal favori est le canard. Dès lors que demander de plus à un livre d'avoir pour titre et couverture cet oiseau au charisme international ? Ce livre est indéniablement original, déjanté mais surtout extrêmement plaisant à lire !



Alors il est vrai que la première partie du roman est vraiment la meilleure, la plus aboutie et la plus posée, cependant même si la deuxième partie n'était pas aussi excellente cela ne m'a pas empêché de ressortir convaincue de cette lecture. J'ai adoré tout d'abord les personnages : Ginger est une jeune femme pleine de malice, de vie et d'humour.



J'ai aussi dévoré ce livre parce qu'il est très drôle : l'humour est omniprésent, le maitre mot de ce roman. Il nous fait prendre part à ce récit avec beaucoup de plaisir et vous ressortirez de cette lecture le sourire aux lèvres. Ensuite j'approuve à 100% le fait que rien, absolument rien n'est prévisible dans 100.000 canards : vous serez surpris et secoués ! Je vous conseille de ne faire aucun pari sur la suite des événements.



Je peux aussi vous dire que le côté apocalyptique est très surprenant et j'ai vraiment été étonnée de la vision du canard dans ce roman. Je ne pourrai plus jamais les voir de la même manière : j'ai peur !! L'écriture est aussi jubilatoire, vive et dynamique : parfaite pour ce type d'histoires ! C'est tout simplement cool !



En définitive, un livre surprenant, étonnant, original, à lire si vous voulez rire et être surpris à chaque page tournée !
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100 000 canards par un doux soir d'orage

Si Thomas Carreras nous avait convaincu avec son premier roman, il enfonce le clou avec le second. Son premier succès n’était pas dû au hasard. Il a du talent le petit Carreras !



Puisqu’on ne peut pas vous la faire à vous, inutile de vous cacher que dans ce roman … il est question … de … canards. Et oui, le palmipède est au centre de ce roman loufoque. Les premières pages nous font penser à ces petits roads movies américains où la petite jeunette un poil aventurière part dans une toute autre ville. Inconnue. Une ville de rednecks. Il pleut. Y’a pas de réseau. Ca craint un peu … mais y’a de la bière, du canard à manger et un bon festoche musical en perspective. Ginger s’enterre dans le pub local afin de pouvoir découvrir ses idoles sur scène. Ouais, ca commence comme ca. Banal. Mais Thomas Carreras parvient dès le début à nous glisser quelques petites remarques qui te font penser : « non non, ca ne va pas être de tout repos. » ; ou encore « ouais, y’a un truc qui cloche ici ». Bon joueur, en tant que lecteur, on ne fait pas attention à ces petits détails qui te disent que les choses font partir en sucette … Mais les petits signes deviennent de plus en plus gros. Suffisamment gros pour que même les personnages s’y intéressent. Et c’est là que tout commence. Paranoia. Un petit peu de barbarie avant l’attaque.



Les zombies sont à l’honneur, tout comme les loup-garous mais Thomas Carreras, lui, met les palmipèdes sous les projecteurs … et bordel ! Qu’est-ce qu’ils le méritent ! Humains vs Canards ! Le choc des titans surtout si on te met parmi ces humains, les Village People (qui t’offrent de sacrés bons moments d’hilarité), Mike Jagger ou même Stevie Wonder. Humour, beaucoup. Une plume qui s’est développée, qui s’est même aiguisée à mon sens. Beaucoup plus dans la satire, le sarcasme, le jeu avec le lecteur.



Thomas Carreras nous offre un second roman haut en couleurs. Un pur moment de plaisir. On se marre tout au long … et on glousse devant ces Canards dignes de Machete. Bref, merci Thomas de nous montrer que la littérature francaise a encore un bel avenir devant elle. Merci Sarbacane de laisser des auteurs comme celui-ci émerveiller ces lecteurs.
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100 000 canards par un doux soir d'orage

Rien que le titre laissait présager une histoire original et décalée.

Si le roman commence comme un titre conventionnel, la suite se révèle beaucoup plus farfelue! De ce fait, soit on aime soit on déteste le style. Si le changement plutôt radical de point de vue m'a déroutée vers le premier tiers du roman, le reste se laisse suivre sans temps mort. En bref, à lire pour son originalité sans plus.
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