Nationalité : Royaume-Uni
Biographie :
Titania Hardie est l'auteur de nombreux livres sur la magie blanche et la voyance, et plus récemment d'une série pour enfants The Frangipani Series.
The Rose Labyrinth est son premier roman.
Elle vit dans le Somerset avec son mari et ses deux filles.
Titania Hardie est l'auteur de nombreux livres sur la magie blanche et la voyance, et plus récemment d'une série pour enfants The Frangipani Series.
The Rose Labyrinth est son premier roman.
Elle vit dans le Somerset avec son mari et ses deux filles.
Source : www.editionsfirst.fr
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Mais il faut te lancer, maintenant , ma belle. Car aucun soulier de vair ne saura sauver Cendrillon, si elle laisse passer une si belle occasion.
Je suis ce que je suis, et ce que je suis est ce que je suis. J'ai la volonté d'être ce que je suis, et ce que je serai ne sera que ce que je suis. Si je veux être, je voudrais n'être pas davantage que ce que j'étais. Si j'étais ce que je voudrais être, on se demandera toujours ce que je suis ou ce que j'étais. Je voudrais changer le Mur, et accomplir ma Volonté.
-Saurez vous utiliser toute la force de votre volonté pour préserver vos idéaux d'amour et d'harmonie universelle, et les garder aussi frais que la rosée?
Madeline était une enfant qui n'avait jamais marché quand elle pouvait courir, qui avait compris sans qu'on le lui enseigne que des mots bien choisis pouvaient influer sur les évènements.
- Oh, Pa, je ne sais pas trop. Je vais au bureau, je fais mon travail comme il faut, je pense, mais... C'est ça, je ne fais que "faire". Je ne sais plus ce que je pense ni ce que je ressens.
- " Elle oublia les étoiles, la lune et le soleil ; Elle oublia l'azur au-dessus des arbres ; Elle oublia les vallées où coulent les ruisseaux ", récita Enzo avant de lui sourire tristement.
- " Elle oublia les étoiles, la lune et le soleil ; Elle oublia l'azur au-dessus des arbres ; Elle oublia les vallées où coulent les ruisseaux ", récita Enzo avant de lui sourire tristement.
- Est-ce que nous perturbons votre inspiration ? chantonna Jeanette. Vous avez l'air si confortablement installé.
Les pages de son carnet voletèrent, comme le passage du temps marqué par un calendrier s'effeuillant dans un film. Il tendit le bras pour le refermer.
- Vous apportez toujours le souffle du vent avec vous, Maddie, dit-il. Pensez-vous que vous le contrôlez ?
Les pages de son carnet voletèrent, comme le passage du temps marqué par un calendrier s'effeuillant dans un film. Il tendit le bras pour le refermer.
- Vous apportez toujours le souffle du vent avec vous, Maddie, dit-il. Pensez-vous que vous le contrôlez ?
Le ciel était dégagé et constellé d’un million d'étoiles. Juste au-dessus de la colline derrière la maison, au nord-est, scintillait un amas particulièrement brillant. Enzo s'adressa à lui avec un sourire.
- "Plus d'une nuit j'ai regardé les Pléiades s'élever dans une ombre sereine, scintiller comme un essaim de lucioles enchevêtrées dans une tresse d'argent."
- "Plus d'une nuit j'ai regardé les Pléiades s'élever dans une ombre sereine, scintiller comme un essaim de lucioles enchevêtrées dans une tresse d'argent."
p. 464 : Le cadeau d'un Indien n'est pas un bien acquis. Ce n'est ni un objet ni un profit. C'est quelque chose de beaucoup plus profond, un témoignage de respect et de paix que chacun peut apprécier. Une fois qu'on en a profité, on doit le rendre à celui qui l'a donné ou le passer à une autre personne pour qu'à son tour elle en profite.
La vue de sa fenêtre était obscurcie, et elle éprouvait des difficultés à donner un sens à la scène qu'elle apercevait entre les rideaux. Elle les tira, confuse, puis gagna d'un pas lent le salon et s'approcha de la porte-fenêtre qui donnait sur le petit balcon.
Extraordinaire !
Le monde devant elle ressemblait à un drap gris pâle chatoyant qui s'étalait du balcon jusqu'à la baie dont elle avait habituellement un aperçu, et offrait à la place un voile de brouillard trompeur.
Extraordinaire !
Le monde devant elle ressemblait à un drap gris pâle chatoyant qui s'étalait du balcon jusqu'à la baie dont elle avait habituellement un aperçu, et offrait à la place un voile de brouillard trompeur.
Soren l'observa avec attention. Il s'était plongé dans la contemplation de son beau visage depuis leur première rencontre : sa chevelure fabuleuse, indisciplinée, qui jamais ne serait celle d'une reine de beauté, son long cou altier et ses exquis yeux en amande, qui peut-être n'avaient jamais éveillé l'intérêt de ses camarades de classe, mais hanteraient pendant un demi-millénaire un spectateur regardant de l'autre côté d'un cadre doré.
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