Tsuchika Nishimura

Et pourtant ! Il y a autant de métiers que le monde est vaste ! Je vous en présenterai volontiers. Des métiers utiles, des métiers inutiles et même des métiers qui n’ont pas encore de nom.

Mon travail est très simple. Je tape des lettres sur un écran noir jusqu’à ce qu’il fasse noir de l’autre côté de la vitre.

Les utopies ne se réalisent jamais dans le réel. C’est d’ailleurs ce qui les définit. Nous désirons toujours l’inaccessible,

Certains n’osent pas nous solliciter, d’autres le font sans retenue mais nous les accueillons tous avec le sourire, car c’est ainsi que naissent les miracles !

Pour survivre…il me semble qu’il faut avant tout être capable de s’adapter à son environnement.

Qu’est-ce que je ressentirai si j’arrêtais de travailler ?

Il n’y a pas de recette parfaite pour les satisfaire.

Quand les choses disparaissent pour de bon, aucun tour de magie ne peut les faire revenir.

« Non » ne doit pas figurer dans votre vocabulaire ! Idem pour « Je ne sais pas », « Je ne peux pas » ou « Je ne veux pas ». Vous devez jamais décevoir les clients.

Savez-vous d’où vient le mot « service » ? Du latin servus, qui signifie « esclave »…domestique. Pour un domestique, les désirs du maître passent avant tout autre considération et il ne saurait adopter une attitude aussi nonchalante lorsqu’il n’est pas à la hauteur. Vous comprenez ? Ce n’est pas à moi d’exiger que vous me présentiez des excuses à genoux.

Selon vous quelle qualité faut-il posséder pour survivre ? La force, ou l’intelligence ?

Sonder la personne à l’aide de questions pertinentes afin d’identifier ce dont elle a véritablement besoin.

Un système de délation aurait été mis en place pour encourager la compétition entre les employés.

Mon nom Akino. Je travaille au Hokkyoku, un grand magasin fréquenté par toutes sortes d’animaux. Certains se font plutôt rares en public.

Le Hokkyoku accueille une clientèle d’animaux bigarrée qui nous adresse des demandes tout aussi diverses et variées !

Lorsqu’une femme hésite entre deux articles, elle finit souvent par regretter son choix par la suite.

Aujourd’hui, j’aimerai gâter ma petite femme qui reste chaque jour cloîtrée chez nous pendant que je suis au travail.

Il suffit de regarder les gens dans les yeux pour tout saisir.