Tsugumi Ohba

e n’ai à ce jour toujours pas lu Death note (honte à moi) mais je sais quand même le thème principal de l’histoire. Aussi, j’étais assez perplexe au départ en voyant que ce manga abordait le thème du manga justement et des mangakas. Mais bien vite, j’ai été séduite par l’histoire, les dessins et la découverte du monde de l’édition des mangas au Japon. Une chose me dérange quand même dans le dessin, c’est que les personnages féminins ne sont pas franchement réalistes, elles sont toutes des bombes qui possèdent une grosse poitrine, bref le cliché quoi.



L’histoire en elle même n’est pas forcément originale puisque le but de notre héros est d’épouser la fille dont il est amoureux. Pour le reste, c’est tout bonnement passionnant de suivre nos deux personnages au sein du monde du « Jump », fameux hebdomadaire à l’origine de titres connus tels que Dragon Ball, One Piece, Reborn! et bien d’autres encore.



J’ai pu apprendre pleins de choses dans ce premier tome, comme ce qu’étaient les némus, les types de plumes que l’on utilise pour dessiner, la documentation pour dessiner, les trames, les fonds, … autant de mots de vocabulaires et de choses dont je n’imaginais pas l’existence avant de lire ce 1er tome de Bakuman.



Dans le premier volume on décrit nos deux adolescents, leur but et on parle également de l’oncle de Mashiro qui était lui aussi mangaka, mais les volumes suivants n’en amènent pas moins leurs lots de surprise…
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Bakuman nous ouvre les portes des coulisses du manga. On découvre ainsi comment se créer et se vend un manga. Mais Bakuman est également une histoire d’amitié entre deux lycéens qui se lancent le pari fou d’être les plus jeunes magakas publiés. Ce pari semble fou, mais nos deux héros vont tout faire pour mettre les chances de leur côté et ainsi réaliser leur rêve.



Ce manga ne se contente pas de décrire l’envers du décor, il ouvre la porte à de nombreuses autres thématiques comme l’amour, l’amitié, la persévérance….



Pour tous ceux qui veulent découvrir les coulisses de la création d’un manga et pour ceux qui ne connaissent pas encore cet univers. Bakuman donne à voir une autre image du manga bien éloigné des stéréotypes. A lire de toute urgence ! !

Ce manga a tout pour faire parler de lui. Déjà, ses auteurs sont Tsugumi Ohba et Takeshi Obata, les créateurs du manga au succès énorme intitulé Death Note. Ensuite, il est une mise en abyme du métier de mangaka, et explique comment deux collégiens vont tout mettre en oeuvre pour devenir des mangakas célèbre et reconnus...il y a sans doute beaucoup de vécu dans ces pages, et les anecdotes racontées par Mashiro sont probablement tirées d'expériences personnelles des deux auteurs... Enfin, les auteurs ont su trouver le ton pour parler à leurs (jeunes) lecteurs : un univers attirant et apprécié des jeunes (les mangas), une histoire d'amour, et le suspense et la tension propres à l'intrigue (nos deux héros vont-ils réussir ?). J'ai été captivée du début à la fin de ce premier tome, j'en ai même rêvé la nuit ! J'ai adoré découvrir les coulisses de la création d'un manga, avec ses termes techniques - par exemple, les "nemus" correspondent au découpage du futur manga en vignettes par le scénariste, qui doivent donner le rythme du manga et servent de base de travail au dessinateur. Du type de plumes à utiliser aux livres techniques pour s'initier aux bases du métier, en passant par les mangas de référence à lire, ce manga contient toutes les données propices à susciter chez les lecteurs l'envie de créer ! En tout cas, j'ai trouvé que les auteurs de Death Note ont su rebondir dans un registre finalement très différent du manga qui a fait leur succès, même si on retrouve leur "patte", notamment dans les dialogues qui font apparaître, comme dans Death Note, les rouages de la psychologie des personnages et la complexité de leurs déductions. D'ailleurs, les auteurs n'hésitent pas à se faire un petit clin d'oeil à eux-mêmes et à leurs fidèles lecteurs, lorsque Takagi brandit un cahier et dit à Mashiro : "Allons ! Ne prends pas cet air si grave ! Ce n'est pas un death note, hein ?"... Bref, je suis conquise, et je suis vraiment impatiente de lire la suite de cette série originale, qui permet de découvrir les coulisses de la création de nos mangas préférés et d'un métier difficile et souvent ingrat, celui de mangaka....
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Un très bon manga tant sur le scénario que sur le dessin. L’histoire nous parle d’autant plus qu’elle est ancrée dans la réalité : beaucoup de jeunes gens veulent devenir mangakas dès le collège. On sent l’adrénaline qui monte, à tel point qu’on s’attendrait à une claque monumentale dès le début du tome 2. L’histoire d’amour en fond est certes très pure, mais elle est surtout un prétexte pour avoir un moteur dans l’action.

Néanmoins, on reste dans un shônen, on sait donc que malgré tout qu’ils réussiront. Je veux pour preuve toutes les connaissances en mise en forme d’un manga et la chance d’avoir un atelier aussi rapidement. Seul reproche à faire : beaucoup d’événements, on a du mal à se situer dans le temps.
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J’ai apprécié ce manga qui montre les coulisses des mangaka. On apprend le vocabulaire, on voit les différentes étapes de la création, on comprend les mécanismes des éditeurs… tout ça est très didactique sans pour autant être assommant ou trop pédagogique. L’histoire d’amour est elle très classique, très romantique et très inutile! C’est la trame classique du manga initiatique que l’on retrouve aussi dans heartbroken chocolatier ou Yakitate Ja-pan. En tout cas c’est un manga agréable à lire.
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Deux jeunes adolescents se découvrent une passion commune pour le manga. Ils décident de s’associer et ensemble, réaliser leur rêve : créer leur BD et devenir mangakas. Mais pour cela, ils devront faire des sacrifices.

Une série qui se lit d’une traite ! Les personnages sont attachants et l’intrigue évolue de manière significative à chaque tome. Bakuman est d’autant plus intéressant qu’il nous fait découvrir les coulisses de l’édition manga au Japon.

Excellente serie dont l histoire ressemble fortement a la realite

deux lyceen voulant devenir mangaka y parvienne en rencontrant les difficultes du metier

Voilà une série de manga qui a du potentiel ! Avec Tsugumi OHBA au scénario et Takeshi OBATA au dessin, vous retrouvez le duo de choc des auteurs de l'excellente série Death Note. Ici, ils vous montrent les coulisses des mangakas. Deux collégiens Mashiro et Takagi décident de tout mettre en œuvre pour réaliser leur rêve : avoir une série publiée à leur nom avant leur 18 ans. C'est un rêve très ambitieux et ils se lancent avec acharnement dans le dessin et l'écriture.



J'avais déjà beaucoup aimé le dessin de Death Note et là Takeshi Obata s'est encore amélioré. Les dessins dans le style réaliste sont très riches tout en restant lisibles. D'un point de vue scénario, Tsugumi Ohba réussit le tour de force de vous donner direct envie de lire le tome 2 ce que j'ai fait ;). L'histoire est prenante, on s'attache très vite aux personnages. Ce qui est assez intéressant aussi, c'est de voir au travers d'un manga les coulisses de l'élaboration du Jump (célèbre magazine de manga au Japon). Le Jump en profite pour y faire un peu sa pub puisque qu'on retrouve les noms de leurs séries phares : Naruto, Bleach et One Piece.



En outre, on vous explique le boulot de mangaka que ce soit d'un point de vue scénario ou d'un point de vue dessin. On y apprend donc ce que sont des nemus ou encore les différents types de plumes que l'on peut utiliser. Jirô Taniguchi avait un peu fait quelque chose d'équivalent dans "Un zoo en hiver", mais c'était traité d'un point de vue très adulte. Ici c'est l'équivalent d'un manga pour ado dédié au sport mais pour le manga. Ajouté à cela, une bonne petite histoire de romance entre collégiens et voilà vous avez Bakuman. Bonne lecture !
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Deux jeunes garçons vont se lancer dans l'aventure des manga. ILs sont tout les deux fans de manga et décides de devenir les mangaka les plus célèbre du monde. L'un est douer en dessin, l'autre en écriture de scénario. Ensemble parviendront-ils jusqu'au sommet de cet art si difficile à atteindre ?



Je suis un grand Fan des manga fait par Tsugumi Oba et Takeshi Obata. Après les 13 excellents tome de Death note (qui est pour moi la meilleur série de manga que j'ai lue. je me suis tout de suite intéresser à BAKUMAN. De plus, j'adore créer des scénarios et dessiner donc ce manga m'était tout indiquer.



- Bon points : Les dessin avant tout. L'équipe qui s'occupe des dessin est tout simplement incroyable, après le niveau atteint dans death note ils continue avec Bakuman. Il y a foule de détail, à telle point qu'on ce croirait devant des photos. Enfin, l'histoire qui est original et très instructive pour tout les mangaka amateur.



- Mauvais points : Du point de vue du scénario je trouve sa bien, mais un peut gamin. les relations entre les personnages est parfois étrange mais elle ne demande qu'a évoluer.



- Donc : Une nouvel série génial, fait par des auteur de talents. (je crois qu'au Japon elle s'est finie au bout de 20 tomes). Je recommande ce manga à tout ceux qui aime les types "tranche de vie" et tout ceux qui rêves de devenir mangaka !

J'en ai pensé quoi, de l'histoire ? Voici le tout début d'une série de manga qui me semble déjà très intéressante. Découvrir d'abord les origines d'une passion, le dessin de manga, puis comment essayer de la réaliser, c'est plutôt une bonne idée de scénario. Ce premier tome raconte donc les tous débuts de l'amitié qui va lier les protagonistes et la mise en place de leur projet. Même si les choses semblent aller assez lentement, on ne perd pas de vue que de nombreux volumes vont suivre. J'ai apprécié les petites histoires et les références aux mangas existants (parfois même auto-références, puisque des oeuvres des mêmes auteurs sont citées).



L'album ? Chez Kana, format manga traditionnel, 190 pages



Le dessin ? Du dessin manga classique, mais efficace.



Donc j'en retiens... que j'ai aimé ce premier volume et que j'ai hâte d'en lire la suite (ça tombe bien, grâce à mon ohm, on en a plusieurs déjà sur les étagères). J'aime cette incursion dans l'univers des mangakas, l'explication des techniques, de la difficultés du métier et des contraintes qui lui sont liées. J'aime aussi les liens qui commencent à unir les personnages. Bref, un manga comme je les aime ;)
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J'ai entendu beaucoup de bien sur cette série, du coup j'étais impatiente de la découvrir. Malheureusement, cela ne s'est pas très bien passé avec moi, puisque je n'ai pas vraiment trouvé d'intérêt à ce premier tome.

Nos deux héros Mashiro et Takagi décident de devenir mangakas, le but ultime de leur vie. Ils se lancent ainsi dans cet univers avec à la clé un rêve et des ambitions énormes. Grâce à eux, le lecteur découvre petit à petit le monde des mangakas, leur travail, la présentation à une maison d'éditions, les choix de vie que cela impose, etc.

Seulement, autour de ce thème sérieux, l'humour est omniprésent et très potache, même un peu trop. On a le sourire aux lèvres plusieurs fois, mais à force, le côté complètement décalé des héros et leurs répliques un peu branlantes finissent par lasser...

Même chose pour la mise sur pied de leur manga qui est longue, un peu trop théorique par moments, et pas vraiment palpitante. Tout se déroule trop simplement, à tel point que cela en devient surréaliste et nous fait plus soupirer qu'autre chose.

En bref, l'idée de départ était vraiment bonne, mais tout s'essouffle très vite et finit par lasser. Je n'ai pas réussi à entrer dans cet univers et j'en ressors très mitigée malgré quelques scènes drôles ou attachantes et un dessin sympathique. Je m'arrêterai donc là pour cette série.

Un premier tome qui met en place l'intrigue et les personnages et que j'ai lu d'une seule traite. Ces deux petits jeunes qui veulent devenir mangakas sont bien attachants !



Pour le dessinateur la réussite est d'autant plus importante que son histoire d'amour en dépend.



J'apprécie que les personnages soient bien différents les uns des autres, tant en caractère que dans les traits (à part la mère et la fille, mais c'est voulu), défaut de beaucoup de mangas en général.

Un ouvrage sur le métier de dessinateur et scénariste au Japon, ou Mangaka, original, et bien mené. Ce manga recèle quelques moments d’humour croustillant mais est surtout très intéressant pour sa partie didactique. Certes vous ne deviendrez pas mangaka en lisant cette série, vous ne serez ni un brillant dessinateur ni un fin scénariste en lisant ces pages, tout comme vous ne deviendrez pas œnologue ou sommelier en lisant Les Gouttes de Dieu, mais vous comprendrez mieux les rouages de ce milieu et les puissantes contraintes et frustrations qui régissent la vie de ces artistes stakhanovistes.
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Devenir mangaka? Mashiro y a pensé bien souvent mais le souvenir de son oncle mort de n'avoir jamais percé dans le métier lui a remis les pieds sur terre et il a abandonné ce projet fou depuis belle lurette. Pourtant quand Takagi, le meilleur élève de sa classe, lui propose de collaborer avec lui pour réaliser le meilleur manga de tous les temps, Mashiro est tenté malgré lui. C'est Azuki, la fille dont il est secrètement amoureux, qui va le décider à accepter la proposition de son camarade. Elle rêve d'être doubleuse de dessins animés et accepte d'épouser Mashiro le jour où son manga sera adapté en animé. En attendant ce jour de gloire, les deux amoureux ne se contacteront que par mails pour s'encourager dans leurs carrières respectives. Motivé par cette perspective, Mashiro se lance avec fougue dans ce projet. Désormais installé dans l'atelier de son défunt oncle, il s'attelle à la tâche sans relâche, améliorant ses techniques de dessin, apprenant le métier à la base pendant que Takagi peaufine ses scénarii, découvre ses lacunes et l'ampleur du travail à accomplir pour être édité un jour. Leur but : être les plus jeunes mangakas publiés de l'histoire !





A moins de vouloir soi-même devenir mangaka, il y a fort à parier que la lassitude s'installe à la lecture de ce premier tome des pourtant géniaux Tsugumi OHBA et Takeshi OBATA qui avec Death Note avait su se rallier les lecteurs les plus récalcitrants à la BD japonaise. Ici, l'histoire est plus laborieuse et nous emmène dans les coulisses du manga dans les pas de deux collégiens prêts à tous les sacrifices pour être riches et célèbres grâce à leur art. Mais là comme ailleurs il y a beaucoup d'appelés et peu d'élus et le chemin sera long pour nos deux héros, très jeunes encore et donc inexpérimentés. Se greffe à cela une bluette romantique assez ridicule car peu crédible qui a sans doute pour but d'aérer un récit qui, sans cela, serait trop technique mais qui prête plus à rire qu'à s'émouvoir.

Restent les dessins très travaillés et détaillés, cependant gâchés par un scénario bavard et répétitif. Une déception.

Un manga réaliste !

Voilà de quoi me changer. En fait, ce qui m'a attiré en premier c'est que ce dernier est réalisé par les auteurs de Death Note. On retrouve bien des traits de visages, mais l'histoire là, est complètement différente.

Certes, ce premier tome est un long à se lancer. Mais il ne faut pas se décourager ; passés les deux premiers tiers de l'histoire, tout prend son rythme. J'ai appris énormément sur la difficulté à devenir mangaka (écrire/dessiner des mangas) et même si je passe à côté de la grande majorité des références, je suis très heureuse d'avoir découvert cette série.

Les deux personnages principaux sont jeunes, l'humour est donc bien présent même s'il est un peu potache. Même le romantisme est là (et je m'en passerais pourtant bien).

Bref, un très bonne lecture, je me jette sur le deuxième

Difficile d'échapper complètement au processus d'identification qui s'opère lorsque Mashiro nous promène par la pensée dans son univers de collégien ; quand on a 14 ans, penser à son avenir est tellement angoissant qu'on réagit comme on peut : on stresse et on travaille pour intégrer les meilleures formations professionnelles, de peur de finir sous les ponts, ou pire, à la charge de ses parents. On s'accroche à ses talents et on croit dur comme fer qu'ils modèleront notre vie. Ou alors on s'en moque, parce qu'au fond, on a trop peur quand on y pense. Bakuman traite bien la question, en nous présentant trois personnages qui portent des regards différents sur leur futur : Mashiro, Takagi et Azuki.




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En tant que future bibliothécaire, je me dois de toucher un peu à tout, donc je me lance peu à peu dans de nouveaux genres ! Pour le manga, j’ai été conseillée par une amie qui venait d’écrire un mémoire sur le manga jeunesse, qui m’a prêté les deux premiers volumes de « Bakuman ».



Ce manga met en scène deux jeunes garçons, Moritaka Mashiro et Akito Tagaki, qui décident de s’associer pour devenir mangaka. Moritaka, neveu d’un modeste auteur de manga, est doué en dessin (il a reçu plusieurs prix). Quant à Akito, il a du talent pour inventer des histoires. Il parvient à convaincre Moritaka de s’associer à lui pour créer un manga, en lui démontrant que cela pourrait lui permettre d’épouser la fille dont il est amoureux, Miho.



Et effectivement, j’ai bien aimé ! Le repérage du sens de lecture et autres codes a été assez aisé, je suis juste assez décontenancée par les expressions très exagérées des émotions sur les visages des personnages, même en sachant que c’est le genre qui veut ça.



L’intérêt de ce manga pour une débutante comme moi, c’est de montrer la manière dont est créé un manga : les étapes à respecter pour composer le manga, pour se faire connaître, les démarches à effectuer auprès des éditeurs, les « clés du succès ». Tout cela est assez intéressant, même si l’histoire est parfois un peu « culcul », notamment en ce qui concerne « l’histoire d’amour » entre Moritaka et Miho.



Cette incursion dans le manga est donc à poursuivre !
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J'apprécis le manga Bakuman parce que l'histoire est divertissante et amusante avec les deux personnages Mashiro et Tagak. Ils rajoutent de l'humour à l'histoire grâce à leurs caractères bien spéciaux. L'histoire d'amour avec Mashiro et Miho ajoute de la tristesse car ils s'aiment mais ils doivent se séparer pour réaliser leur rêve.

Ce manga est composé de plusieurs volumes et à chaque fin de volume on a hâte de lire le suivant.

Je découvre l'univers de la création des mangas à travers cette histoire et je trouve cela passionnant ! Quoique l'histoire d'amour soit quand même un brin tirée par les cheveux … Le côté kitsch me plaît quand même !

Assez ennuyant.