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Critiques de Tsugumi Ohba (1056)
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Bakuman, tome 1

Assez ennuyant.
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Bakuman, tome 1

J'ai vraiment A-DO-RÉ ce manga . C'est maintenant l'un de mes préférés .L'histoire est passionnante, émouvante et drôle.Accesible à tous, facile à comprendre,à lire. une histoire qui fait rêver, je recommande vivement !!
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Bakuman, tome 1

Une histoire sympa aux premiers abords , les personnages ne sont pas tres intéressants mais l'histoire remplace ce fait j'attends de lire les autres tomes pour voir
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Bakuman, tome 1

Saikô est un collégien doué en dessin mais très pragmatique suite à l’échec de son oncle dans la carrière de mangaka. Il n’envisage donc que de devenir salaryman.



À l’inverse, si Shûjin a les meilleures notes en classe, il ne vise qu’à réaliser son rêve : devenir scénariste de manga. S’il tente de convaincre Saikô de s’allier à lui, il faudra une motivation spéciale pour décider ce dernier : que la fille qu’il aime et à qui il n’a jamais osé parler accepte de l’épouser s’ils atteignent leur objectif. Leur but sera dès lors de se faire publier dans le Jump et d’avoir leur série adaptée en anime avant leurs 18 ans !



Ce titre est tout simplement fascinant. Les auteurs de Death Note nous dévoilent les coulisses du manga comme jamais, ainsi que ses processus créatifs.



Et ils évitent avec brio l’écueil de l’histoire didactique, ou encore « intéressante, mais un peu lourde », en lui conférant une tournure nekketsu inattendue et presque réaliste. Bakuman en devient captivant.



Enfin, toutes les explications, détails et réflexions sur la création d’un bon manga aident à se rendre compte à quel point les deux auteurs excellent eux-mêmes dans ce qu’ils font.



Il y a donc bien une vie après Death Note, et là où on l’attendait peut-être le moins : dans une comédie-documentaire sur les manga !
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Bakuman, tome 1

Je suis mitigée. D'une part, j'ai apprécié Bakuman, le thème étant très intéressant. En effet, le fait de savoir comment se crée un manga, les difficultés que cela représente, la détermination et la motivation qu'il faut pour y arriver, tout cela est original et ne manque pas de captiver le lecteur. On s'attache facilement aux personnages, deux collégiens de quatorze ans, la tête pleine de rêves qu'ils s'acharnent à réaliser. D'autre part, je n'approuve pas certaines choses dans l'histoire, notamment l'histoire d'amour que je trouve absolument ridicule. Mashiro (personnage principal) est secrètement amoureux d'Azuki, une fille de sa classe. Tous deux sont très timides et Mashiro n'ose pas déclarer sa flamme. Lorsqu'un garçon de sa classe, Takagi, lui propose de devenir mangaka avec lui, Mashiro est partagé. Mais Takagi découvre que Mashiro a un faible pour Azuki, il l'emmène chez elle. Celle-ci rêve d'être doubleuse de dessin animé, et, soudain pris d'une pulsion romantique, Mashiro lui propose de se marier avec elle un fois leurs rêves réalisés. Et bien sûr, la jeune femme accepte. (Incompréhension totale.) Bref. A part l'histoire d'amour, certains termes trop techniques du manga manquent de nous faire décrocher de l'histoire. Mais dans l'ensemble, c'est un bon manga.
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Bakuman, tome 1

Mashiro, 14 ans, n'a pas une vision très lumineuse de l'avenir, qu'il envisage comme une prolongation de sa vie d'étudiant, sans rien d'autre de plus trépidant. Enfin, cela, c'est jusqu'à ce que Takagi remue un peu tout ça. Derrière ses airs d'intello et son statut de premier de la classe, Takagi veut devenir mangaka ! Le seul hic: il est nul en dessin. Il a repéré Mashiro et lui propose de s'associer. Seulement, Mashiro vit avec le souvenir de son oncle mangaka, mort quelques années plus tôt et qui d'après lui, c'est suicidé à force de ne pas connaître le succès escompté. Mais Takagi a le moyen ultime pour le convaincre: Azuki, la fille qu'aime en secret Mashiro, a aussi un rêve: devenir une célèbre doubleuse. Mashiro et Azuki font alors un pacte: ils se marieront une fois devenus célèbre, mais jusque là, les seuls contacts qu'ils auront seront via e-mails. On m'avait beaucoup parlé de ce manga et le premier tome est à la hauteur. J'aime beaucoup le duo formé par Mashiro et Takagi (ce dernier apportant la touche excentrique avec son tempérament survolté alors qu'on se serait attendu à beaucoup plus de sérieux de la part de quelqu'un premier de la classe) et le gros point fort de ce manga est la mise en abîme. On se retrouve à apprendre tous les rouages nécessaires pour créer un manga et surtout être publié. (Enfin là, on s'est juste arrêté à l'élaboration d'un manga). Bref, un premier tome qui met en appétit. J'ai hâte de lire la suite.
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Bakuman, tome 1

Un premier tome qui pose les bases de la série, il serait dommage de s'arrêter à cette introduction qui ne donne qu'un avant-goût de ce que cela deviendra par la suite.



Alors, Bakuman, c'est quoi ? Un manga sur le manga ! En suivant l'évolution de deux adolescents apprentis mangaka, nous découvrons les coulisses de l'univers du manga : de la parution en mangashi à la création de nemus, des entretiens avec le responsable éditorial aux votes des lecteurs. On se rend compte à quel point le mode de production nippone est réellement différent du notre.



Les 3 premiers tomes sont particulièrement accès sur cet aspect "didactique" et le tome 4 rentre plus particulièrement dans le genre shonen et fait un peu plus place à l'action tout en dévoilant des aspects neufs du monde de l'édition du manga et du jump en particulier.



On pourrait reprocher parfois un côté "bavard" mais il est difficile de se passer d'explications pour comprendre toutes les subtilités et les rouages de l'édition japonaise. Et puis, c'est un peu la marque de fabrique Tsugumi Ohba, un petit côté littéraire qui fait du bien dans cette catégorie du shonen manga. Le dessin se révèle toujours aussi fin, précis et maîtrisé depuis Death Note.
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Bakuman, tome 1

Je suis vraiment chagrinée par les passages ultra sexistes du manga parce qu'à part ça, j'ai beaucoup aimé ce premier tome de Bakuman. Les deux personnages principaux sont drôles et touchants dans leur motivation à devenir de grands mangakas, et l'histoire d'amour adolescente est toute mignonne. Cette plongée dans les coulisses du manga est super intéressante, je vais continuer la série mais j'espère que les réflexions sexistes disparaîtront !
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Bakuman, tome 1

Connaître l'envers du décor de la création d'un manga, c'est le but de celui-ci. Des héros attachants et drôles et des histoires innovantes ! 20 tomes peuvent paraître longs mais les auteurs sont surprenants d'idées ! Je ne peux que conseiller cette série.
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Bakuman, tome 1

Mon premier manga, realiste, cultivant, interessant et captivant.
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Bakuman, tome 1

Bakuman un manga écrit par Tsugumi Obata et dessiné par Takeshi Obata (les auteurs de "Death Note et Platinum End) .

Le manga nous plongent dans un monde "school life; Comédie ; Romance" Moritaka Mashiro est un lycéen doué d'un Talent pour le dessin voulant suivre une vie normale après le décès d'un proche mangaka . Cependant tout va changer quand Akito Takagi premier de sa classe et scénariste décide de "l'engager" et de devenir son partenaire .

Ce manga nous plongent dans l'univers hardant des mangakas.
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Bakuman, tome 1

Bakuman relate donc l’histoire de deux jeunes garçons qui se lancent, par passion, dans la professionnalisation du manga. Leurs motivations peuvent sembler dérisoires : Mashiro qui rêve d’épouser sa dulcinée une fois le succès atteint ? ça fait très conte de fées. Mais c’est cet aspect particulièrement niais de l’histoire qui va contrebalancer avec le reste : une touche de mignonnerie dans un univers dynamique et déjanté.

Le dessin de Takeshi Obata est très reconnaissable ; il reste à peu près le même entre ses différentes œuvres, si on excepte la hausse de qualité dans les traits des personnages, qui s’opère au fur et à mesure qu’il se familiarise avec. Néanmoins, il y a une différence subtile Death Note et Bakuman : quand dans le premier le dessin d’Obata se calque parfaitement avec l’atmosphère sombre et froide du manga, dans le second, ledit dessin parvient à nous faire ressentir l’ambiance bon enfant, et le froid devient fraîcheur. Il reste une certaine rigidité dans son coup de crayon, un manque de détails ou des mimiques typiques, mais je ne sais comment (des expressions plus farfelues, l’agencement des cases et des dialogues ?) avec un style très semblable à celui de Death Note, on se retrouve quand même avec une atmosphère sensiblement différente, et tout aussi intéressante. J’aime beaucoup son style de dessin, qui ne ressemble à aucun autre. C’est là son point fort, entre shônen et seinen, tout en présentant parfois des héroïnes aux traits beaucoup plus doux (comme des traits de shôjo en fait !), il est touche-à-tout et ne s’enferme dans aucune catégorie, ça lui promet un panel de genres très large, il pourrait faire de tout.

Tout comme dans Death Note, les pages ont généralement des cases petites mais nombreuses, et de très, très nombreux dialogues.

C’est indéniablement un malus pour le manga, mais en même temps, il serait difficile de faire autrement : l’un des intérêts majeurs de Bakuman est de permettre d’en apprendre plus sur l’univers de l’édition grâce à des tas d’informations ou d’anecdotes sur le milieu, qui sont disséminées tout le long de l’histoire. Avec pareil sujet à traiter, et pareille expérience de la part des auteurs, pas étonnant que la lecture soit aussi dense : ils en ont, des choses à raconter. Pour cela, le manga peut se vanter d’être une véritable mine d’or pour les mangakas en herbe, car il traite de tous les aspects de l’édition, et avec une précision qui force l’admiration. Si on s’était trouvé avec un manga se targuant d’expliquer l’univers de l’édition, mais en moins précis que Bakuman, on aurait plutôt trouvé que l’œuvre ne pouvait pas satisfaire les attentes suscitées. La lecture est compliquée et demande une attention de tous les instants si on veut en saisir les moindres nuances, mais au moins, c’est le parfait manuel de l’apprenti mangaka qui veut se professionnaliser. Et j’imagine que Bakuman a déjà aidé plus d’un jeune ambitieux à prendre confiance en lui et à mieux appréhender ce qu’est le métier de mangaka.

L’une des subtilités de Bakuman est que ce manga mêle un décor de seinen avec des personnages et une intrigue de shônen. Des protagonistes adolescents et un peu barges sur les bords, des adversaires, de la compétition, le désir de nos héros de devenir les maîtres absolus dans leur domaine de prédilection… On a même droit au « sombre passé » concernant Mashiro – mais je n’en dis pas plus, ça relèverait du spoil. Les blagues ou les mimiques qu’on appréciait beaucoup dans Death Note malgré leur rareté, on les retrouve à chaque page de Bakuman : un humour toujours frais et des personnages aux comportements cocasses pour caser leur série dans un style purement shônen malgré un cadre réaliste et parfois assez dur. Mashiro et Takagi, je ne vous le cache pas, enchaîneront succès comme défaites, mais n’en repartiront que plus motivés. Le rythme est effréné, le stress que subissent les mangakas au quotidien pour rendre leurs mangas dans les temps ou par rapport au fait que leur succès peut s’arrêter n’importe quand est très bien retranscrit. Quand on lit un Bakuman, on en peut plus le lâcher avant de l’avoir fini. Et, cerise sur le gâteau, il y a un bon cliffhanger à la fin de chaque tome ou presque : rien de mieux pour inciter le lecteur à suivre la série pour voir si Mashiro et Takagi atteindront finalement leur rêve. Certes, on peut se dire que des cliffhangers, il y en a à la fin de chaque manga, et les shônens en particulier. Mais à intrigue atypique, cliffhanger atypique : Bakuman nous tient en haleine avec des éléments spécifiques, inhabituels, avec lesquels on n’est pas habitués à prendre du recul comme avec les autres shônens. Les rebondissements sont originaux et il est impossible de les prévoir à l’avance tant le milieu mangaka est fait de hauts et de bas, d’opportunités, de coups de chance. Tout peut basculer à chaque instant et cette impression de précarité nous fait ressentir beaucoup de compassion à l’égard de nos pauvres héros malmenés. L’aventure peut sembler répétitive, mais cette fameuse précarité nous tient suffisamment en haleine pour qu’on passe outre ce cadre réaliste et qu’on poursuive notre lecture.

Pour finir, je veux parler de deux points précis mais anecdotiques du manga. Déjà, il y a très peu de personnages féminins. Sexisme ? Je ne pense pas : les dames ne sont pas totalement absentes, et le pourcentage de femmes mangakas est très bas. C’est réaliste, plutôt. C’est donc un défaut qui n’en est pas vraiment un si on s’attache à la crédibilité de l’histoire.

Et puis, Eiji. Je l’a-dore. C’est mon personnage préféré. Eh bien, il ressemble beaucoup à L, protagoniste de Death Note, dans son caractère de petit génie, l’antagonisme qui est entretenu entre lui et nos héros, et puis ses poses, ses mimiques… Mais ce n’est pas handicapant, c’est presque un clin d’œil à Death Note. L et Eiji sont aussi savoureux l’un que l’autre en tant que « méchants » de leurs séries respectives.
Lien : https://lemondefantasyque.wo..
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Bakuman, tome 1

Ce manga, écrit par les auteurs de Death Note, s'incruste dans l'industrie du manga, et permets de comprendre, au travers de jeunes auteurs talentueux, les rouages cachés de cette industrie largement diffusée en France et dans le monde.

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Bakuman, tome 1

Peu de mangas dans ce premier tome mais beaucoup de bonnes idées sur les bons sentiments des personnages et la pureté des histoires d'amour. Des questions sur la mort de l'oncle de Mashiro, sur l'hérédité, sur les rêves et la volonté de les réaliser. C'est une excellente mise en place et voilà enfin le premier face à face avec un éditeur
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Bakuman, tome 1

J'ai adoré ce 1er Tome. Moi qui aime lire les mangas, je peut enfin voir l'envers du décore. Savoir comment ils sont fait et voir qu’être Mangaka n'est pas si simple.
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Bakuman, tome 1

Devenir mangaka, le rêve de nombreux lycéens au Japon. Mais seul 0,001% des aspirants parviennent à être publiés et à vivre de leur art. Bakuman se penche sur la vie de deux jeunes garçons qui vont s'allier pour devenir les plus grands mangaka du pays. Rien que ça.



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Bakuman mélange découverte de soi, du métier de mangaka et roman à l'eau de rose. Du coup, soit on prend et accepte le tout, soit on risque de s'ennuyer ferme. L'histoire d'amour cul-cul plein de clichés peut faire suer, les interminables planches et dialogues relatifs au métier de créateur de manga peuvent souler, les sauts d'humeur d'adolescents en colère et en rébellion peuvent déplaire.

Et le rythme lent n'arrange rien. En presque 200 pages il ne se passe pas grand chose.

Mais à côté de ces particularités qui ne peuvent pas être considérées comme de véritables défauts, les deux protagonistes sont attachants et les informations fournies par les auteurs sur leur métier sont intéressantes et paraissent franches.

Ceux qui cherchent des informations sur le boulot de mangaka, qui veulent une histoire mélangeant amour, histoires de famille et vie lycéenne avançant à un rythme lent seront servis.

Pour ma part, j'en resterai là.

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Bakuman, tome 1

"Bakuman", c'est l'histoire de Mashiro et Takagi, mais aussi d'Azuki, de Kaya, de Niizuma, de Fukuda, ... et de biens d'autres ! Mais, qui sont-ils ? Pour présenter simplement les choses et ne pas spoiler, disons que nos deux héros sont de jeunes collégiens nourrissant le rêve de devenir mangakas (l'un par amour de cet art, l'autre par amour tout court, hé hé).



Clairement, j'ai A-DO-RÉ ce manga ! Ceci dit, avant d'en faire des éloges, je dois bien dire qu'un point m'a chagriné : ce sont les histoires d'amour. Pour moi, les auteurs ne sont pas très à l'aise dans ce domaine. Je trouve que cela manque un peu de crédibilité, et ce, même si on a affaire à des enfants ...



Mais passons ! Car, honnêtement, mis à part ce point tout est vraiment bien ficelé ! Le scénario est bien conçu, les personnages bien construits et l'histoire reste crédible ! En effet, on aurait pu s'attendre à ce que nos héros rencontrent tout de suite le succès, qu'ils réalisent leurs rêves et que tout aille pour le mieux. Mais ça ne se passe pas du tout comme ça et c'est ce qui est bien ! Par ailleurs, les auteurs ont réussi à retranscrire les émotions des personnages à la perfection, ce qui nous amène tantôt à rire, tantôt à être triste pour eux, tout en passant par une myriade d'autres sentiments.



Ce manga est très encourageant selon moi car il incite à la persévérance et au travail pour réaliser ses rêves. Il nous montre que rien n'est impossible quand on se donne les moyens, même si on rencontre des obstacles et que l'on ne réussit pas forcément du premier coup ! Et puis, il prône de nombreuses valeurs comme l'amitié, l'entraide, le courage, l'humilité, ... ce qui lui donne un côté très humain.



Par ailleurs, le scénario ne tombe jamais dans la facilité et nous surprend de tome en tome. Or, en se basant uniquement sur l'histoire de deux jeunes gens souhaitant devenir mangakas on aurait pu craindre un rapide essoufflement de la série, accompagné de redondances et de perte d'intérêt, ce qui n'est absolument pas le cas !



De plus, j'ai adoré découvrir l'envers du décor en passant du côté de l'équipe du magazine Weekly Shonen Jump ! J'ai découvert un mode de fonctionnement dont j'ignorais quasiment tout et j'ai trouvé cela super !



Enfin, j'adore les dessins et je salue particulièrement le talent du dessinateur qui a dû (et qui a su) modifier son trait à de nombreuses reprises afin de mettre en images les différents mangas réalisés par de multiple personnages durant toute la série !



En conclusion, si vous aimez les mangas et que vous ne connaissez pas encore celui-ci jetez-vous dessus ! Vous ne le regretterez pas !
Lien : http://lesportesdelimaginair..
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Bakuman, tome 1

Mashiro est un élève qui dessine très souvent , surtout lorsqu'il s’ennuie en cours tandis qu' Akito lui préfère écrire des scenarii . A deux, ils vont se lancer dans l'aventure folle pour créer leur manga... Azuki veut devenir doubleuse d'anime mais se rencontreront-il ?





Le tome 1 est surprenant car je ne m’y attendais pas, mais je suis assez attirée par le tome 2, car on laisse un doute. Je l'ai particulièrement aimé car ce sont les mêmes auteurs que Death Note. Pouvoir entrer dans les " coulisses" des mangas , savoir vraiment comment les manga arrivent jusqu'ici.









kanade
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Bakuman, tome 1

Bakuman est classé comme un shonen, mais je le classerai plutôt dans la catégorie des Shojo, manga pour fille. L'idée de départ est intéressante, une jeune homme talentueux qui s'interroge sur son avenir professionnel, devenir un employé classique avec une vie ennuyeuse ou alors être Mangala. Mais bon ça délaye encore et encore avec des clichés typiquement japonais et des filles qui ressemblent à Candy...
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Bakuman, tome 1

super pour découvrir les coulisses de la création d'un manga et les interactions auteur/éditeur
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