AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Val L. Durand (44)


Elle va droit au but. Non que cela me déplaise, cependant j’aime bien prendre mon temps avec les filles. J’adore les préliminaires. J’aime voir leur peau frémir sous mes attaques. J’aime les déguster, leur faire perdre la tête… mais je ne vais pas me faire prier plus longtemps. Et puis j’ai toute la nuit devant moi pour la soumettre à mon toucher expert.
Commenter  J’apprécie          00
Elle me pousse sur son lit afin de joindre le geste à la parole et je tressaute de désir sous l’assaut de sa langue partout sur mon corps. Arrivée au niveau de la ceinture, elle n’hésite pas une seconde et tire sur mon jean, faisant glisser mon boxer en même temps. Elle me regarde avec délice, mais je préfère rectifier la situation en la déshabillant à mon tour. C’est à mon tour d’explorer son corps avec ma langue. Mais, d’humeur dominatrice, elle me retourne sur le dos et se place à califourchon sur mes cuisses. Elle se penche au-dessus de moi, ses cheveux me chatouillant le torse, pour ouvrir le tiroir de son chevet et attraper un préservatif dont elle me revêt aussitôt.
Commenter  J’apprécie          00
Quelque chose en elle m’attire. Front contre front, nous sommes dans notre bulle. Et c’est un coup dans mes reins qui nous fait reprendre pied dans la réalité.
Commenter  J’apprécie          00
Elle a l’air d’être seule. Personne ne lui adresse la parole. Le groupe à côté d’elle lui tourne même le dos. Je n’ai jamais été attiré par les brunes. Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi je reste focalisé sur elle ; les autres filles sont beaucoup plus affriolantes. Peut-être justement parce qu’elle n’est pas comme les autres.
Elle triture sans cesse son téléphone, observe les danseurs sans vraiment les voir, comme si elle était concentrée sur autre chose. Je continue mon examen et, se sentant épiée, elle relève les yeux vers moi. Nos regards s’accrochent quelques secondes mais, lorsque je lève mon verre à son intention pour la saluer, elle détourne rapidement la tête, ce qui m’éclate encore plus.
Commenter  J’apprécie          00
Depuis que nous vivons en « colocation », j’ai appris à le connaître. J’ai découvert qu’il s’en veut beaucoup de ce qu’il m’est arrivé. Par la même occasion, il se sent responsable de la situation de sa sœur. Il est vraiment aux petits soins pour moi. Pire que ma mère.
Commenter  J’apprécie          00
Les médecins et les kinés m’ont conseillé de me ménager, mais ce n’est pas mon genre. Après avoir frôlé la mort, j’ai besoin de retrouver ma vie et de recouvrer mes forces. Cette rage en moi est vitale pour ma rééducation.
Commenter  J’apprécie          00
Mon cerveau turbine à plein régime. Il faut que j’encaisse toute ces informations, que je les analyse, pour appréhender cette situation dans son ensemble.
Commenter  J’apprécie          00
J’aimerais me souvenir, connaître la raison pour laquelle il a fait cela, mais seul un grand vide me répond. Ça commence à me bouffer, toute cette ignorance.
Commenter  J’apprécie          00
Désormais concentré sur son téléphone, l’air soucieux, Jonathan ne prête pas attention à son départ. Son froncement de sourcils ainsi que la vitesse à laquelle il écrit son message n’augurent rien de bon. Je finis par l’interpeller :
— Bon, tu craches le morceau !
Il sursaute et scrute la pièce, puis se rend compte que nous sommes seuls. Ce n’est pas dans ses habitudes d’être si distrait. J’ai l’impression de ne pas reconnaître mon ami.
Commenter  J’apprécie          00
Onze mois se sont écoulés et je n’ai aucune idée de ce que j’ai pu vivre pendant ce temps. J’ai beau chercher, fouiller, je ne rencontre qu’un grand vide.
Commenter  J’apprécie          00
Je perds toute notion du temps. Mes paupières sont si lourdes qu’elles refusent de s’ouvrir à nouveau. Puis, petit à petit, les murmures se transforment en mots et les mots forment des phrases. Je prends enfin conscience de ce qu’il se passe autour de moi. La douleur dans ma tête est toujours présente mais je me sens plus léger, comme si mon corps n’était plus qu’une enveloppe.
Commenter  J’apprécie          00
Mon corps entier n’est que douleur. Toutes les cellules de mon corps crient la souffrance, puis se calment, amenant avec elles la nuit ainsi que le silence. Ce cycle infernal se répète inlassablement. Ma phase de semi-conscience me permet à peine de distinguer des bruits inconnus.
La douleur qui me vrille le crâne est insupportable et me fait cligner des yeux. Un brouillard épais me recouvre, puis s’estompe lentement. Mes paupières finissent par s’entrouvrir et ce que je découvre me déstabilise.
Où suis-je ?
Commenter  J’apprécie          00
Giovanni Agostino, cigare au bec, mains dans les poches de son costard à plus de mille dollars, se dresse dans sa tour d’ivoire. Une pourriture imbue de sa personne. Tout chez lui me dégoûte. Et je rêve d’effacer ce sourire narquois qui rend son visage encore plus cruel.
Commenter  J’apprécie          00
Prologue :
" ... J'ai toujours aimé ce moment dans l'action, cet instant où il faut être le plus concentré. Le contrôle de soi est mon domaine de prédilection. C'est l raison pour laquelle ces missions à haut risque me sont dévolues. je suis le meilleur. Ou je l'étais pour mes pairs...jusqu'à ce fameux jour.
À cette évocation, ma vision se trouble et je sen des gouttes de sueur perler à mon front. Ma respiration s'accélère.
Putain, pas maintenant !
Je passe ma main gantée sous la cagoule et frictionne mon visage afin de reprendre mes esprits. Je plie et déplie les doigts pour arrêter les tremblement... Ne pas flancher !
Ne. Pas. Flancher... Tu. Peux. Le. Faire... Putain, chaque fois que j'y pense, ça me flingue.
Je m'exhorte au calme en prenant une grande inspiration. Lorsque je recouvre enfin le bon état d'esprit, je me remets en position et colle mon œil au viseur, le doigt sur la gâchette.
Prêt."
Commenter  J’apprécie          00
J’ouvre les paupières, rencontre son regard intense,assombri par le désir. De ses mains sur mes hanches et d’un mouvement du bassin, Sean me force à reculer pour me bloquer contre le mur. Ses paumes viennent se plaquer de chaque côté de mon visage. Je suis prisonnière de son corps.
Contrairement à son attaque, son baiser est doux, tendre. Sa langue caresse sensuellement mes lèvres et, je ne sais pas pourquoi, je les entrouvre afin qu’il puisse s’insinuer en moi. Nos langues se rencontrent et se frôlent, entamant un joli ballet.
Commenter  J’apprécie          00
Cette fille m’intrigue. Dès le premier regard, j’ai senti quelque chose. Comme si, elle et moi, nous nous comprenions. Je la revois à la salle de sport avec Sean, dans son legging lui moulant les fesses juste comme il faut. Bordel, quel cul ! J’ai même fait exprès de la frôler mais c’est ma propre réaction qui m’a dérouté. Aucune fille ne m’a jamais fait cet effet-là au premier contact.
Commenter  J’apprécie          00
Si ma vie personnelle est un vrai désert affectif, j’aime être entouré des meilleurs dans ma vie professionnelle. Et j’ai été cherché le meilleur dans son domaine pour les tâches les plus ingrates. De toute façon, il n’avait pas d’autre choix que d’accepter.
Commenter  J’apprécie          00
L’entendre me fait chaud au cœur. Mon frère m’a toujours fait cet effet. De sept ans mon aîné, il a toujours été là pour moi. Mon père étant parti très tôt, il a été la figure masculine dont j’avais besoin.
Commenter  J’apprécie          00
Je cherche toujours à m’évader après une mission, histoire d’oublier ce que je suis devenu, mais jamais je ne perds pied comme je l’ai fait hier soir dans ce bordel. Le meilleur cocktail pour moi : alcool et sexe. Alcool pour anesthésier cette douleur qui ne me quitte plus, et sexe pour me rappeler que je suis en vie. Mais il n’y a rien de beau dans ce que je fais avec ces filles. Rien. Aucun sentiment. Je les baise et c’est tout. Je ne goûte rien. Même pas leurs lèvres. Je ne peux plus…
Commenter  J’apprécie          00
Je me sens seule et abandonnée, j’ai vraiment hâte que tout cela se termine, que je puisse enfin retrouver ma vie d’avant. Mais ça ne sera plus jamais pareil… Il me manquera forcément quelque chose, ou plutôt quelqu’un : lui…
Rien que d’y songer, une douleur intense me vrille la poitrine. Je revois nos derniers mois passés ensemble, nos dernières sorties, nos dernières rigolades.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Val L. Durand (28)Voir plus

Quiz Voir plus

Quand les enquêteurs parlent...

— Il s’en est fallu d’un cheveu ! Sans son regard rapide, sans ses yeux de lynx, XXX XXXX, en ce moment, ne serait peut-être plus de ce monde ! Quel désastre pour l’humanité ! Sans parler de vous, Hastings ! Qu’auriez-vous fait sans moi dans la vie, mon pauvre ami ? Je vous félicite de m’avoir encore à vos côtés ! Vous-même d’ailleurs, auriez pu être tué. Mais cela, au moins, ce ne serait pas un deuil national ! Héros de Agatha Christie

Arsène Lupin
Hercule Poirot
Rouletabille
Sherlock Holmes

13 questions
145 lecteurs ont répondu
Thèmes : romans policiers et polars , humour , enquêteursCréer un quiz sur cet auteur

{* *}