Citations de Véronique Delamarre Bellégo (44)
« Et il y a eu le choc, LE CHOC, LE CHOC.
J’ai soudain comme un étourdissement et je trébuche. Comme si quelqu’un m’avait donné un coup derrière les jambes. J’entends un grondement lointain et le cri strident de Fabio. J’essaye de regagner mon équilibre, mais c’est curieux, je n’y arrive pas. Tout bouge. Je reçois comme une deuxième poussée plus forte, et cette fois tout bascule, le sol, le ciel, les arbres, le haut et le bas. Plus rien n’est à sa place. Je me retrouve à quatre pattes sur le chemin, et un arbre tombe juste à côté de moi dans un craquement sourd.
- Un tremblement de terre ! hurle Naomi. Restez groupés ! »
(Citation choisie par Minnie)
Je laisse ce souffle laver toute ma mélancolie. Tout va bien. Je n’oublierai jamais rien. Je reviendrai.
p.151
On va vraiment partir à Camsa?
c'est le meilleur jour de ma vie,
je suis la plus heureuse
Tu aimes dessiner,raconter des histoire ? Tu as envie d'exprimer ta passion pour le Japon?Alors ,participe à notre grand concours.
Flora
- Pendant quelques minutes, chacun pourra fermer ses livres et ses cahiers, ranger ses crayons, poser sa tête sur ses mains ou regarder le ciel, et faire le rêve de son choix : bâiller, somnoler, sourire, partir en songes vers des pays merveilleux et lointains, s'endormir même. Mais il y a une condition : silence absolu. Interdiction de prononcer le moindre mot tant que la boîte est ouverte. Sinon vous risquez de faire fuir les rêves de vos camarades avant qu'ils ne soient finis et ça, c'est vraiment désagréable.
"En fait, la maman de Camille est une magicienne. Elle n'a pas fait Camille avec une petite graine, mais avec son coeur. "
Les plus faibles se rendent compte qu'ils ne sont pas faibles,les plus faibles utilisent la ruse
J'ai posé le téléphone et je suis retourné m'allonger sous le pommier, les doigts de pied en éventail, au milieu des hautes herbes. J'ai arraché une fleur de pissenlit et j'ai soufflé sur les aigrettes, qui se sont envolées avant de retomber mme des petits parachutes. T'ai écouté le chant des oiseaux, comme i'aurais écouté le dernier tube de 1'été. Des tour- terelles s'étaient posées sur le toit et roucoulaient au soleil. Dans les feuillages au-dessus de ma tête, 'autres gazouillis leur répondaient, leurs copines peut-être ; un rouge-gorge amusant sautilait devant moi, s'approchant presque jusqu'à ma main. Cette soudaine liberté me rendait euphorique.
"Elles ont suivi le protocole et viennent de recevoir une double dose de citrate de mémoris. Ce produit va leur faire perdre la mémoire des derniers jours.
[...] -Ah, mais pourquoi ?
[...] -Parce que vous ne devriez pas exister. Suivez-moi."
Quand les premiers signes de présence humaine sont des rires d'enfants c’est de bon augure.
Il y a quelques années, j'aurais adoré mener l'enquête pour percer le mystère. Tous les mystères même (...)
Mais cette époque est loin. Fin de l'enfance. Game over.
Protéger tous ceux dont la main est plus petite que la sienne.
Il a tendu le bras vers elle .Pendant un millième de seconde j'ai cru qu'il allait la frapper ou agripper son maillot de bain alors sans réfléchir j'ai lançé mes deux mains vers Fabio et je l'ai poussé dans la piscine.
personnage qui parle: Joséphine
Il a tendu le bras vers elle .Pendant un millième de seconde j'ai cru qu'il allait la frapper ou agripper son maillot de bain alors sans réfléchir j'ai lançé mes deux mains vers Fabio et je l'ai poussé dans la piscine.
Sensei,est-ce que vous accepteriez que je laisse mon Daruma dans la classe jusqu'à ce que mon vœu soit exaucé?
-sakura (P.76)
Protéger tous ceux dont la main est plus petite que la sienne
Ça va, c'est Bécassoutt, il n'a pas inventé le silex à couper l'herbe, on devrait pouvoir le berner facilement.
ô bonne Mère, bonne Mère ...répétait Francis en boucle. Après la sardine qui bouche le port de Marseille et la tigresse qui rôde sur les quais, voici maintenant le requin qui nage dans les égouts !
Chaque nuit ils sont plus de deux milles recroquevillés sous le gel,sans toit,sans avoir à manger,plus d'un presque nu.
« Il a tendu les bras vers elle. Pendant un millième de seconde, j’ai cru qu’il fallait la frapper ou agripper son maillot de bain ; alors sans réfléchir, j’ ai lancé mes deux mains vers Fabio et je l’ai poussé dans la piscine . »