Citations de Vincent Bailly (23)
Il cause toujours des patrons mais il est pareil à la maison !
Si tu comptes uniquement sur tes airs de grand nigaud et tes yeux qui disent tout, ça risque d'être un peu limité.
J'ai compris trop tard qu'il n'y aurait rien à attendre des compagnie sinon leur rapacité et le pillage des ressources. Certaines ont même tendance à considérer les indigènes comme leur propriété.
"Restructuration", "sauvetage", j'ai l'impression de n'avoir toujours entendu que ça. C'est le quatrième plan en treize ans! Et j'en ai 18.
Mais ce coup-là, c'est du sérieux! Il nous arrive de Bruxelles et prévoit 22 000 suppressions d'emplois. Parler de "démantèlement" serait plus honnête.
On avait convenu qu’il écrirait, à cet endroit même, une préface à ce livre, qu’on se reverrait pour en discuter....
Le 18 septembre 2020, la mort de Marcel Trillat nous a brutalement plongés dans la tristesse.
Lorraine Cœur d’Acier, sûrement.
Cœurs lourds, aussi.
Sur les quarante femmes et les vingt enfants du village de Ngonakombo détenus à Bangui... Il ne reste que 10%...
… Cent dix-neuf femmes et fillettes…
L’État de Marasme et de Consomption laisse soupçonner que les individus ont été séquestrés…
Le pire, ce sont les otages…
Chaque cartouche est une vie prise. Je ne compte plus le nombre que j’ai tiré.
… Les cadavres ont été en silence jetés au fleuve…
Je ne vous cache pas qu’il y a eu lieu de craindre que la domination française n’ait été marquée quelques fois par des excès…
Est-ce moi qui ai rendu possible cette folie ?
Nous n’étions pas dignes de la coloniser.
Quand tu vis dans la ville qui a construit des murs de séparation au moment où celui de Berlin tombait, tu peux t’attendre à tout, tu ne crois pas ?
Leurs témoignages concordent : l'enlèvement des femmes est employé d'une manière courante, et est considéré comme le complément naturel de toute répression.
Une parole libre - vraiment libre ! Et pour tous... C'était trop beau pour durer.
Qu’est-ce que c’est que cette « ouverture »? L’ouverture, moi, on ne m’en a jamais fait bénéficier !
Tout malin jongle avec le silence et les paroles.
Une nouvelle vie, loin de cet asile d’éternels cinglés, persuadés que leurs enfants sont responsables de leur folie !
Lorsque j'ai écrit le premier couplet de ces Partitions irlandaises, je craignais que le Brexit ne rallume la guerre en Irlande du Nord. Pour le moment, les événements m'ont donné tort.
Au moment où nous terminons ce deuxième couplet, la guerre s'est rallumée en Europe et je crains que nous y allions, nous aussi, tout droit.
J'espère de nouveau être un bien piètre analyste.
Ce récit est dédié aux enfants d'Ukraine. Et à ceux de Russie, qui seront aussi victimes de la folie de leurs aînés.
Qu’ils puissent un jour, de nouveau, aimer en paix.
Je ne compte plus les nuits blanches, hanté par ces fantômes.
- Il a trahi. Et lors de sa fuite il a incité les tribus voisines à la révolte.
- Je sais. Et j’ai bien failli y passer dans son embuscade.
- Il sera fusillé !
- Je vous laisse carte blanche.
- Ou alors, on pourrait le décapiter à la dynamite. Ni trace de coup de fusil, ni trace de coup de sagaie…
[…]
- Faites ce que vous voulez !
Tant mieux s’ils me craignent. C’est encore la meilleure garantie de tenir ces sauvages ! Ils nous mangeraient.
Et comme disait Marcel :" C'est pas parce qu'on a perdu qu'on avait tort"
-Mes parents, c'étaient des immigrés...Leur obsession, c'était qu'on nous remarque pas. Fallait fermer sa gueule, quoi.
Lorraine Coeur d'Acier, une radio pour vivre, travailler et décider en Lorraine.
Il y a des jours où on se sentirait capable de perdre au bras de fer contre un ver de terre.