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Critiques de Walter Lord (32)
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La nuit du Titanic

Je ne saurais expliquer la raison pour laquelle j'ai toujours été passionnée par l'histoire du Titanic. Je sais que ce n'est pas par manque de respect envers tous les morts qu'a causé ce terrible naufrage mais plutôt parce que j'ai, d'une part, toujours été attirée par ce début de XXe siècle, avec l'habillement des femmes par exemple mais aussi pour, je crois, me persuader que la technologie, qui, à l'époque, se croyait plus forte que les éléments tels que l'eau, le feu, l'ai ou la terre, a lamentablement échoué.

Dans ce recueil complet, grâce aux nombreux témoignages (mais trop peu hélas, en comparaison de toutes les personnes qui se trouvaient à son bord) rescapés du Titanic ont bien voulu offrir à l'auteur, le lecteur revit cette fatidique nuit du 14 avril 1912. Dans cet ouvrage, j'ai non seulement pu compléter mes sources, certaines d'ailleurs se contredisent légèrement (je fais notamment référence aux Mémoires du Colonel Archibald Gracie que j'ai lues et qui m'ont vraiment passionnées) mais dans l'ensemble, elles se rejoignent. Ainsi, j'ai pu approfondir mes connaissance en ce qui concerne l'histoire de ce paquebot mais surtout apprendre ce que les passagers ont ressenti au moment du drame. Il est vrai que, même si le film de James Cameron est assez proche de la réalité (si l'on enlève bien entendu la rencontre des deux protagonistes, Jack et Rose, qui n'a été placée ici que pour attirer le plus grand monde possible mais qui n'en demeure pas moins une très belle histoire d'amour, bien qu'improbable), le lecteur se rendra néanmoins compte que les "méchants" ne sont pas toujours ceux que l'on croit. Je me suis ainsi fait une toute autre opinion, par exemple du premier officier Murdoch, opinion revue à la hausse dans mon estime tandis que d'autres ont trouvé leur rôle inversé.



Comment, de toute évidence, imaginer la façon dont nous aurions réagi dans pareille situation ? Difficile de le savoir car, lorsque l'on est confronté à la mort, un homme altruiste peut très bien devenir subitement égoïste et vice-versa ou alors rester celui qu'il a toujours été.

Une histoire (une sorte de docu-fiction en fait car je doute que certaines personnes puissent se rappeler mot pour mot les paroles qu'elles ont prononcées trente ans plus tôt), bien que l'on en connaisse déjà la triste fin, bouleversante et qui, j'en suis persuadée, continuera à fasciner les esprits ! Le mythe du Titanic est naît en même temps que sa fin !
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La nuit du Titanic

Si je me suis lancée dans cette lecture c’est parce que j’ai vu dernièrement un documentaire sur ce fameux Titanic qui présentait une thèse nouvelle sur les raisons pour lesquelles le paquebot a coulé. Au-delà du fait qu’il ait heurté un iceberg, le documentaire expliquait que si l’eau a pu s’engouffrer aussi vite dans les cales, c’est que le sas qui séparait la chaufferie n°6 du reste des autres cales, était fragilisé par un incendie qui s’était déclaré dans une soute à charbon et qui brûlait depuis le départ du bateau. Sous la pression de l’eau, le sas déformé par la chaleur de l’incendie a explosé… Toujours est-il que je me suis souvenue du livre de Walter Lord « La nuit du Titanic » et je l’ai lu. L’auteur a choisi de raconter la tragédie en suivant la chronologie très précise des faits et en s’appuyant sur les témoignages des survivants encore nombreux en 1958. C’est donc un récit très anecdotique qui se lit vite et qui permet de comprendre qu’au départ, la plupart des passagers ne croyaient pas à ce qui se passait. Ils ont mis du temps à réaliser que le bateau coulait. Le moins qu’on puisse dire c’est que l’équipage ne réalisait pas non plus, qu’il y a eu beaucoup de temps perdu à préparer les canots de sauvetage (trop peu de canots…), à convaincre les femmes et les enfants à monter à bord, à les remplir correctement (certains canots ont été descendus alors qu’il n’y avait qu’une vingtaine de personnes). Et je ne parle pas des troisièmes classes qu’on a laissées dans l’ignorance et qu’on a fait monter bien trop tard sur les ponts. Walter Lord évoque brièvement ce fait dans un chapitre tout comme il parle très rapidement de l’enquête qui fut menée ensuite. Il s’attarde plutôt sur les derniers moments du paquebot et sur le Carpathia, le bateau qui changea de direction pour secourir les passagers. De même, il insiste sur la présence d’un bateau qui se trouvait non loin du Titanic et qui resta muet à tous les appels d’au secours lancés par les hommes d’équipages, « Le Californian » ne fit mouvement vers le lieu du naufrage que le lendemain, bien trop tard pour trouver des survivants. J’aurais aimé en savoir plus sur ce silence mais Walter Lord ne dit pas grand-chose à ce propos. Dommage ! Si vous cherchez donc un ouvrage qui s’intéresse aux causes du naufrage et à l’enquête, il est préférable de lire d’autres œuvres. Celui de Walter Lord n’est pas inintéressant mais pas passionnant non plus.

Je lui mets 3 chats.

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La nuit du Titanic

J'ai été captivée par le récit de cette fameuse nuit du 14 avril 1912 où le prétendu insubmersible Titanic a malgré tout fini au fond de la mer.

Walter Lord, grâce à un minutieux travail d'investigation a recueilli les témoignages des survivants, des familles des victimes, des sauveteurs ou encore des employés des compagnies de navigation. Il transmet minute par minute le récit de cette nuit d'épouvante où 1500 personnes ont perdu la vie. Le récit se lit tel un roman. J'ai eu du mal à lâcher mon livre alors que je savais bien comment cela finissait.

On comprend que les malchances se sont succédées.

On apprend beaucoup de choses sur la société à cette époque. Les 3èmes classes qui attendent leur tour. Le décalage avec notre époque est saisissant.

J'ai été émue, touchée par la manière d'affronter le drame des différentes personnes: entre celles qui ont l'esprit pratique comme ce membre d'équipage qui emmène des oranges, une autre qui se désole d'avoir gâchée sa chemise de nuit.

Triste de penser à ce manque de canots de sauvetage (à cet époque l'Homme se croit supérieur à la Nature), ces mêmes canots qui partent presque vides, ces canots qui ne reviennent pas chercher les survivants.

Attendrie aussi par ces couples qui ne veulent pas se séparer.

Le Titanic a été un énorme gâchis mais des leçons ont été tirées de ce drame.

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Les secrets d'un naufrage

Ecrit trente ans après son premier ouvrage sur le destin tragique du plus célèbre des paquebots du XXe siècle, "La nuit du Titanic", cet ouvrage-là, "Les secrets d'un naufrage" est beaucoup plus approfondi. Cela n'a d'ailleurs rien d'étonnant puisque l'épave du Titanic a été localisée et minutieusement inspectée l'année précédente par Robert Ballard et son équipe grâce à des moyens extrêmement perfectionnés (mais qui dit extrêmement perfectionnés dit indubitablement extrêmement chers). Ces découvertes n'avaient donc pas encore été révélées au grand public trente ans plus tôt puisqu'elle n'avaient pas encore été faites et Walter Lord ne pouvait donc baser son premier ouvrage qu'en se fiant aux témoignages de rescapés et grâce à ses propres études sur le sujet.

Le documentaire présent a donc l'avantage, cela va de soi, d'être beaucoup plus précis sur les conditions du naufrage et surtout, sur ce qui s'en en suivi.

Cependant, ce que je reproche ici à l'auteur est de vouloir absolument trouver un ou des coupables à cette catastrophe. Certes, tous les rescapés, ceux qui avaient tout perdu dans ce naufrage ou plus encore, les familles en deuil avaient probablement d'avoir un bouc-émissaire afin de pouvoir décharger sa peine sur lui ou sur eux (je comprends ce sentiment qui est d'ailleurs tout à fait humain) mais quel besoin de reporter la faute sur un tel ou un tel. Le naufrage du Titanic est quelque chose qui n'aurait jamais dû se produire mais plusieurs facteurs rentrent en ligne de compte dans celui-ci. S'il est vrai que ce drame me passionne (n'y voyez pas ici quelque chose relevant du voyeurisme) comme beaucoup d'entre nous je suppose et continuera sûrement encore à faire couler beaucoup d'encre, je pense néanmoins qu'il est trop tard pour cherches des coupables mais qu'il faut simplement tout mettre en oeuvre pour qu'une telle catastrophe ne se reproduise plus jamais. La réglementation a bord des navires a d'ailleurs fait d'immenses progrès dans ce domaine-là puisque désormais, chaque bateau doit être équipé en nombre suffisant de canots de sauvetage pour pouvoir sauver l'ensemble des passagers et des membres de l'équipage sans distinction de classe ou de sexe mais une erreur humaine est toujours envisageable. Regardez ce qu'il est advenu sur "Le Costa Concordia"...un siècle après le naufrage du Titanic ?



Un très bon documentaire, complet même si il est probable l'auteur ait imaginé des propos qu'il ne peut certainement pas tenir de source sûre étant donné que les personnes à qui il les attribue ont péri avec le paquebot et que certains détails restent encore contradictoires d'après les témoignages lors de l'évacuation du Titanic se contredisent. A découvrir !
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La nuit du Titanic

Walter Lord est un historien américain originaire du Maryland, spécialisé dans l'histoire navale. Né cinq ans après le naufrage du Titanic, son destin semblé lié aux grands paquebots de l'époque : sa mère a accepté la demande en mariage de son père sur l'Olympic, et Walter enfant a eu l’occasion de voyager sur le sister-ship du Titanic. La nuit du Titanic (1955) a été adaptée au cinéma sous le titre Atlantique, latitude 41° en 1958. L'auteur a d'ailleurs été consulté lors de la réalisation du Titanic de James Cameron en 1996.



Après quelques hésitations, j'ai décidé de m'attaquer à ce monument de la littérature consacrée au Titanic. Je m'attendais à un livre barbant, truffé de clichés. En réalité, s'il y a bien eu des idées fausses (Plus près de toi mon Dieu, la fin du Capitaine Smith et l'officier Murdoch tirant sur un passager), elles ne trouvent pas leur origine dans cet ouvrage. La nuit du Titanic a fait autorité pendant des décennies avant d'être étayé – plus rarement contredit – par la découverte de l'épave en 1985. On peut seulement s'interroger sur le fait que Walter Lord n'ait pas tenu compte des témoins qui affirmaient avoir vu le navire se briser en deux, thèse désormais officielle.



Plus qu'un roman, c'est un document unique et méticuleux qui prend appui sur une soixantaine de rescapés, aussi bien de première que de troisième classes, de passagers que de membres de l'équipage. Walter Lord a qui plus est eu accès aux comptes rendus officiels du Sénat américain et de la Cour d'enquête britannique. C'est donc un ouvrage solidement documenté qui nous permet de vivre les dernières heures du navire comme si on y était, un vaste reportage qui nous présente les événements et les réactions de chacun, minute par minute.



La nuit du Titanic en elle-même se présente comme un long récit chapitré de presque deux cents pages ; l'auteur entre immédiatement dans le vif du sujet en évoquant la collision fatale avec l'iceberg. Contrairement aux récits que j'ai déjà lus, on ne s'intéresse pas à un personnage en particulier mais à bon nombre de ceux qui se trouvaient sur le navire, dont les faits et gestes, les paroles, ont été rapportés puis recoupés par plusieurs témoignages. On côtoie ainsi les réactions les plus diverses, souvent émouvantes, voire poignantes. « Les choses que les gens emportaient avec eux paraissent assez significatives. Adolf Dyker confia à sa femme un petit sac contenant deux montres en or, deux bagues ornées de diamants, un collier de saphirs et deux cents couronnes suédoises. Mlle Edith Russel emporta un jouet, un petit cochon qui jouait un air de musique. Stewart Collett, un jeune étudiant en théologie qui faisait la traversée en deuxième classe, prit sa Bible ; il avait promis à sa mère de ne jamais s'en séparer. Lawrence Beesley mit dans ses poches les livres qu'il était en train de lire dans son lit ce soir-là. Norman Campbell Chambers prit un revolver et une boussole. Johnson, le steward, qui savait qu'il nétait plus question d'un « tour à Belfast », glissa quatre oranges sous sa veste. »



Ce qui est fascinant dans cette histoire, c'est la beauté et la majesté du navire dans les plus infimes détails, jusqu'à ce nom aux consonances mythologiques ; colosse aux pieds d'argile victime d'un concours de circonstances particulièrement malheureux. Il est le témoin d'une époque qui croyait encore que la technologie pourrait rendre l'homme heureux et invincible, à l'aube des plus grandes catastrophes de l'histoire.



« Comme l'Olympic, oui, mais tellement plus soigné ! disait-il pour évoquer le Titanic. La salle à manger, par exemple : sur l'Olympic, il n'y avait pas de tapis ; sur le Titanic, on enfonçait dedans jusq'uax genoux ! Et les meubles – si lourds qu'on pouvait à peine les remuer ! Et les boiseries... On pourra toujours en construire de plus grands et de plus rapides, mais jamais d'aussi beaux. Le Titanic était un navire magnifique, merveilleux. »



Il est édifiant également de constater ce que pouvait représenter un navire pour les classes aisées ; pour un certain nombre de passagers, cette traversée en elle-même n'avait d'autre but que de figurer parmi les premiers à avoir voyagé à bord d'une merveille du monde. D'ailleurs, le type de navire apparaissait comme un signe extérieur de richesse, voire de dignité. « A cette époque, n'importe qui ne se déplaçait pas sur n'importe quel navire. Le paquebot qu'on empruntait était un signe important du rang social qu'on occupait, et le Social Register en prenait scrupuleusement note. » Fût-ce pour échapper à la mort, certains risquaient donc d'être mal vus pour être montés à bord du Carpathia venu recueillir les rescapés...



En résumé, je vous conseille vivement la lecture de ce récit qui permet d'avoir une reconstitution du naufrage qui semble coller au plus près à la réalité, malgré les zones d'ombre qui subsistent inévitablement. Une postface apporte d'ailleurs quelques éléments plus récents et quelques précisions sur la grande question : pourquoi avoir prévu si peu de canots de sauvetage ?



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La nuit du Titanic

J'avais ce livre dans ma PAL depuis vraiment longtemps comme en atteste l'étiquette de prix orange qui indique que je l'ai payé 35 francs et 15 centimes, pourtant l'histoire du Titanic m'a toujours intriguée, mais la peur de me retrouver avec un livre documentaire long et ennuyeux m'a toujours fait repousser cette lecture.

Dès le début, j'ai été happée par ce récit, l'auteur nous raconte cette terrible nuit comme si il avait été le témoin direct et qu'il connaissait chaque passager par son nom, son prénom et sa profession, en lisant ce livre, on a le sentiment d'être au pied d'une cheminée et d'écouter une histoire qu'un aïeul nous raconterait.

Ayant vu le film de James Cameron, j'avais connaissance de beaucoup de faits (canots presque vides, 3ème classe mis à l'écart, insouciance des passagers vis à vis de ce géant insubmersible...), il n'y a que sur la façon dont le Titanic sombre que les avis divergent, Waltor Lord n'a pas su que le Titanic s'était brisé en deux mais la posface l'indique à la fin du livre.

Waltor Lord est né après le naufrage du Titanic, mais on sent dans son récit qu'il a été passionné par le sujet et qu'il s'est vraiment bien renseigné avant d'écrire ce livre.

Malgré le fait que je connaisse bien cette histoire, ce livre m'a passionné et je vous le recommande vivement.
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La nuit du Titanic

Comme le titre le laisse présager l'auteur vous invite à vivre cette nuit du 14 avril 1912 au cours de laquelle le RMS Titanic sombrera, naufrage qui coutera la vie à près de 1500 passagers.

Ce bouquin parvient à nous transporter à bord du paquebot, à ressentir l'angoisse grandissante au fur et à mesure que l'inéluctable se profile.

Pour la petite histoire Walter Lord a écrit son bouquin (en 1955) à partir de témoignages recueillis auprès d'une soixantaine de rescapés ainsi que des rapports officiels des diverses commissions qui se sont penchées sur le naufrage.

Si vous voulez vous mettre dans l'ambiance, lisez le avec en fond sonore la bande originale du film de James Cameron.
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La nuit du Titanic

Le 14 avril 1912 peu avant minuit, le Titanic, paquebot transatlantique de la compagnie britannique White Star Line, voit un iceberg se dresser sur sa route. Il tente de l’éviter alors qu’il est lancé à pleine vitesse. C’est à l’époque le plus luxueux et le plus grand paquebot jamais construit. Sa coque est pourvue de seize compartiments étanches servant à protéger le navire en cas de voies d’eau ou d’avaries importantes, ce qui lui donne la réputation de paquebot « insubmersible ». Très confiant, son capitaine, le plus ancien et le plus chevronné de la compagnie, donne l’ordre de virer mais ne peut éviter une collision par tribord. L’eau pénètre partout. Il faut organiser un sauvetage des passagers des plus chaotiques et des plus injustes. Le paquebot géant coule le 15 avril 1912 à 2 h 20 au large de Terre-Neuve. Plus de 1500 personnes disparaissent, ce qui fait de cet événement l’une des plus grandes catastrophes maritimes survenues en temps de paix. Le drame met en évidence les faiblesses du navire, le nombre limité de canots de sauvetage et les carences dans les procédures d’évacuation d’urgence.

« La nuit du Titanic » est la reconstitution dramatique et très précise d’un événement historique bien connu qui a fait couler beaucoup d’encre et suscité bien des remous dans l’opinion publique. Le lecteur apprend beaucoup de chose dans cette narration basée sur une documentation importante. Par exemple que les canots de sauvetage étant en nombre insuffisant, les passagers des classes inférieures furent sacrifiés. Pour preuve : sur les 143 passagers de première, on ne compta que 4 victimes. En troisième classe, 81 femmes sur 179 trouvèrent la mort. Tous les enfants de première et deuxième classe sauf un survécurent alors que sur 76 enfants des classes inférieures seuls 23 trouvèrent la mort. Ouvrage très bien écrit, bien mis en scène et très intéressant pour qui s’intéresse à l’histoire.
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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Midway, l'incroyable victoire

Ils avaient tout contre eux.

Les forces en présence concédaient une supériorité écrasante à la flotte japonaise, huit croiseurs contre vingt-trois et trois porte-avions contre huit pour la flotte nippone.

Inexpérimentés pour la plupart, reclus de fatigue et victimes de graves ennuis techniques sur leurs avions - certains de leurs bombardiers se désentoilaient au piqué et leurs torpilles étaient lentes et fonctionnaient mal -, les pilotes de la flotte américaine avaient en face d'eux le meilleur avion de combat du monde piloté par des as, aguerris et habitués de vaincre.

La flotte américaine se risque, alors, dans une bataille navale où elle ne peut pas vaincre.

Et pourtant elle renverse par une victoire le cours de la guerre.

Walter Lord nous révèle comment, dans ce livre d'Histoire passionnant, à la suite de quelle décision fatale des ennemis, le sort des armes se renversa brusquement en quelques minutes.

Et nous comprenons alors pourquoi Midway fut la plus grande victoire des États-Unis, victoire exemplaire de l'histoire comme celle de Marathon, de l'Armada ou de la Marne.
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La nuit du Titanic

Le Titanic, c'est une passion, une obsession, depuis toute petite. Il y a quelques temps, alors que je cherchais des livres sur le sujet, Cyril, un passionné lui aussi,, m'a gentiment offert La Nuit du Titanic de Walter Lord, un livre très difficile à trouver aujourd'hui.

Je me suis donc mise à la lecture de cet ouvrage la semaine dernière, et, pendant trois jours j'ai passé mon temps avec les passagers du paquebot de rêve.



Le livre est une sorte de compte rendu d'enquête à lui tout seul. Walter Lord n'écrit pas un roman, il écrit la vraie histoire, celle qui a vraiment eu lieu, en récoltant les témoignages des passagers rescapés. du moins, il tente de faire en sorte que cela soit le plus proche possible de la vérité, car il y a toujours une part de propos qui ne peut être vérifiés et il le précise d‘ailleurs dans son ouvrage. On lit ces témoignages comme si on lisait un roman, Walter Lord a un talent pour la narration, c'est indéniable.



Nous n'y pensons pas forcément, mais le Titanic, sa catastrophe, qui, aujourd'hui encore, nous parait si proche approche bientôt du centenaire. le fait de pouvoir lire des témoignages de gens qui sont décédés aujourd'hui (la dernière rescapée encore vivante du naufrage, est décédée cette année) est une chance merveilleuse, un trésor à lui seul.



C'est bien pour cette raison que je pense que ce livre devrait être réédité à plus large mesure. Ne plus pouvoir se le procurer, c'est oublier le drame qui s'est joué le 14 Avril 1912 à 2H20, c'est oublier toutes ces vies perdues, oublier tout ce que représentait, et représente encore maintenant, le paquebot. En clair, c'est quelque chose qui ne doit pas arriver.



En lisant ces témoignages, on se sent proches des passagers, comme si nous étions nous-mêmes embarqués sur le Titanic. On ne lit pas la catastrophe, on la ressent. Mais si on se sent proche des vaillant gentlemen de première classe qui ont sauvés des tas de personnes et qui on périt sur le bateau, on se sent surtout proche des troisièmes classes et des ouvriers, premières victimes, souvent oubliées par l'histoire.

Quel honte de voir que les troisièmes ;classes étaient enfermés sur leur pont, que personne parmi les stewards ne s'est souciés d'eux.

On se rend d'ailleurs compte en lisant ce livre de la société de l'époque, extrêmement discriminatrice mais considérée comme normale, jusqu'au naufrage.

On voit que la catastrophe du Titanic a réveillé les consciences et a permis à de nombreuses vies, par la suite, d'être sauvées.

Il est intéressant aussi de lire que l'un des passagers du paquebot avait prédit sa propre mort sans le savoir. Il s'agit de William Steed, qui dans « du vieux monde au Nouveau Monde » décrivait le naufrage du Majestic, qui avait percuté un iceberg. Ce paquebot appartenait à la White Star Line et, était commandé par…… le capitaine Smith. Un autre écrivain décrivait, lui aussi, une histoire très (trop?) ressemblante à celle du Titanic. Il s'agit de l'écrivain Morgan Robertson, qui avait écrit un livre intitulé Futility en 1898. L'histoire décrivait le naufrage du Titan, un paquebot immense, considéré comme le plus luxueux et le plus grand. Ce paquebot dont les caractéristiques sont vraiment très proches de celles du Titanic connaissait également un naufrage dramatique.



Le livre, édité par J'ai lu, se lit très vite. D'une parce qu'il est écrit très gros, de deux parce qu'il est tellement passionnant qu'il est difficile d'en décrocher, tout comme la couverture d'ailleurs.

La nuit du Titanic est sans doute l'ouvrage à considérer comme de référence sur le sujet devant sa richesse de détails et d'informations, tant sur le naufrage que sur l'après. On verra ainsi qu'il a eu un impact important sur les moeurs de la société de l'époque.

Si vous arrivez à mettre la main dessus, je vous le conseille très fortement si le sujet du Titanic vous intéresse.

Merci à Cyril en tout cas, qui m'a permis de pouvoir découvrir ce livre que je désespérais de trouver un jour. Merci de m'avoir permis de lire ce petit bijou sur le sujet et d'avoir épancher, un tout petit peu ma soif de savoir sur notre paquebot.
Lien : https://parole2libraire.word..
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Pearl Harbour

Le 7 décembre 1943 la redoutable flotte américaine du Pacifique, ancrée à des milliers de kilomètres du Japon, est anéantie en quelques minutes.

Les japonais ont attaqué Pearl-Harbour.

L'Amérique l'apprend au milieu du radio reportage d'un match de foot-ball.

La configuration des forces en présence du conflit de la seconde-guerre mondiale va être bouleversée par l'entrée en guerre des américains et de leur puissance industrielle.

Walter Lord a fouillé les archives, mis au jour des documents inédits et interviewé des centaines de témoins.

Il a pu ainsi reconstituer dans tous ces détails la tragique surprise qui plongea les américains dans la guerre, et la préparation minutieuse qui donna cette victoire à l'état-major japonais.

Un livre historique puissant et magnifiquement documenté.



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La nuit du Titanic

Un livre documentaire très clair et riche en détails sur un sujet aussi fascinant que celui du Titanic, ce n'est pas à bouder. Simple à lire, cet ouvrage témoigne des recherches très exhaustives de l'auteur sur la construction du navire, les ambitions de la compagnie qui l'a affrété et les convictions de l'époque suivant lesquelles un bijou d'un aussi haut de niveau de technologie ne pouvait rencontrer de problème. Loin de Jack et de Rose et du glamour du film de James Cameron, voici une somme qui a fait date, même si depuis, d'autres éléments sont venus s'ajouter à l'enquête.
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Le miracle de Dunkerque, 4 juin 1940

Si le débarquement du 6 juin 1944 en Normandie est universellement connu, moins nombreux sont ceux qui se souviennent qu'en France, la seconde guerre mondiale a commencé par un autre événement majeur : le rembarquement des troupes britanniques, puis d'une partie des troupes françaises, à partir de Dunkerque et des plages proches, dès le 26 mai 1940, soit deux semaines après le déclenchement du conflit armé le 10 mai 1940. En 1949, le prix Goncourt avait d'ailleurs été attribué à Robert Merle pour son fameux Week-end à Zuydcoote.

La percée de l'Armée allemande est en effet tellement puissante que dès le 20 mai 1940, elle atteint la Manche à Abbeville, encerclant et acculant à la mer les troupes anglaises, belges et françaises.

Pour sortir du piège de Dunkerque, hormis la victoire, l'évacuation par mer devient alors la seule issue... Deux variantes se présentent pour cette issue de secours : soit Dunkerque, avec son port et ses quais prévus pour que des navires y accostent et y embarquent des hommes en grand nombre et à un rythme soutenu : mais c'est une cible facile pour l'aviation allemande; soit les plages proches, que l'aviation allemande pense moins à survoler, mais où l'embarquement des hommes ne peut se faire qu'en petits nombres, par mer calme, et via un transbordement de petits bateaux vers de plus gros, ancrés en eau plus profonde. Les rotations sont rapides : une fois à Douvres, les navires débarquent leurs hommes en trente minutes et repartent aussitôt pour Dunkerque.

Le miracle de Dunkerque raconte  ainsi comment 338.000 hommes, sur 400.000, ont été évacués, sous la mitraille des Stukas et les torpilles des vedettes S-boote, grâce à une noria de bateaux de toutes tailles, militaires et civils, français et anglais.

Le livre relate aussi les dissensions entre les Alliés : dans ce sauve-qui-peut général, les Belges capitulent, les Anglais évacuent, les Français ferment la marche et laissent plusieurs milliers de prisonniers. Dans le même temps, le gouvernement français quitte Paris pour Tours, puis Tours pour Bordeaux, puis Bordeaux pour l'armistice.



Très narratif, relatant beaucoup de faits et d'anecdotes, et mentionnant de nombreux personnages, le miracle de Dunkerque est fidèle à ce qui a fait la notoriété de la célèbre collection Ce jour-là, aux éditions Robert Laffont.
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La nuit du Titanic

Fascinant de détails historiques, sociaux, politiques, techniques... J'ai beaucoup aimé ce récit retraçant la nuit où le Titanic a sombré, et les jours qui ont suivi. Tout cela d'un point de vue si intime que le lecteur a l'impression de s'immerger en même temps que l'immense paquebot !



Ce n'est pas tout à fait un roman, pas vraiment un documentaire... C'est un joli mélange des deux, parsemé de faits on-ne-peut-plus réels et de "broderies" utiles, cohérentes, efficaces et, surtout, indispensables.
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La nuit du Titanic

Le naufrage du Titanic est l'une des tragédies les plus connues. Primo car elle se passe au début du XXème siècle en plein essor de la radio. Secundo car plus de 1 500 personnes périrent dans une eau à moins 3°Celsius. Enfin car ce navire était « réputé » insubmersible de par sa construction. Mais tout le monde sait désormais qu'il n'en fut rien.

Ce livre est le roman de cette catastrophe. Grâce aux témoignages des rescapés, Walter Lord a écrit ce livre dans les années 50, nous sommes au plus près des réactions de l'équipage comme celles des passagers.

Bien sûr, en le lisant j'avais en tête les images du film à grand succès de James Cameron. Mais la réalité fut moins spectaculaire tout en étant aussi meurtrière.

Ce naufrage signa la fin d'une époque. Une époque où les passagers de troisième classe étaient considérés comme des moins que rien. Une époque où la discrimination était normale et accepté dans toutes les couches de la société.

Un ouvrage très instructif et bien documenté.
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Midway, l'incroyable victoire

Le 7 décembre 1941, l'attaque surprise de Pearl Harbor par les Japonais a laissé les Américains groggy. Dans les jours qui ont suivi, les Japonais, déjà implantés à Saipan, dans les Mariannes, ont pris possession de l'île de Guam et de l'atoll de Wake. L'étau s'est ainsi resserré sur les Américains. Six mois après, les Japonais veulent leur donner le coup de grâce et se rendre maîtres de l'océan pacifique. Les Américains redoutent même qu'ils s'attaquent à leur côte ouest... Midway est le lieu que les Japonais ont choisi pour attirer le reliquat de la marine américaine, lui tendre un piège et l'anéantir.



Ce qu'ils ne savent pas, c'est que les services américains ont déchiffré les codes japonais. Si "AO" est assez vite interprété comme désignant les îles Aléoutiennes, qui restera une opération de diversion, le code "AF" reste flou : les Américains soupçonnent qu'il s'agit de Midway, mais n'en sont pas sûrs. Ils vont alors ruser : émettant, en clair, un message indiquant que Midway ne peut plus produire d'eau douce, ils vont aussitôt capter un message japonais indiquant que "AF" a un problème d'eau douce.



Commence alors une course contre la montre. Les Américains savent que les Japonais vont "mettre le paquet". En urgence, ils rapatrient le maximum de navires et d'avions à Midway. Compte tenu du rapport de force qui leur est défavorable (190 navires contre 26), leur seule chance de victoire est d'attaquer avant d'être attaqué (pages 79 et 83). Alors que les Japonais veulent refaire le "coup de Pearl Harbor", c'est un atoll vide de bateaux et surtout d'avions que leurs propres avions viennent bombarder à l'aube du 4 juin 1942 : les Américains ont fait décoller préalablement tous leurs avions. Car si Midway est une bataille navale, c'est surtout une bataille aéronavale. Les chasseurs japonais -les Zéro- s'y distinguent. Mais les aviateurs américains, dont la majorité emporte bombes et torpilles pour la première fois, vont faire preuve d'un courage et d'une adresse supérieurs. Menant huit vagues d'attaque en trois heures, ils vont mettre hors de combat, en six minutes, trois des quatre porte-avions nippons, l'Agaki, le Kaga et le Soryu, avant de toucher le dernier, l'Hiryu.



Même si les Américains perdent un de leur trois porte-avions, le Yorktown, l'inimaginable s'est produit : le petit américain a vaincu le gros japonais, David a vaincu Goliath, l'amiral Nimitz a terrassé l'amiral Yamamoto. Pour les Américains, c'est le début du rebond qui les conduira à Berlin. Pour les Japonais, c'est le tournant de la guerre : ils ne s'en remettront pas ; d'ailleurs, plusieurs officiers japonais, atteints dans leur honneur, se suicideront par "hara kiri" sur leur navire détruit.



Midway, l'incroyable victoire relate une page d'histoire peu étudiée en classes de lycée. Par les innombrables témoignages recueillis, l'ouvrage est la chronique d'une mort annoncée, ou plutôt d'une attaque annoncée. Un véritable puzzle, où chaque témoignage, si modeste soit-il, est un morceau du tout. L'alternance des témoignages japonais et des témoignages américains rend l'ensemble particulièrement vivant. Et même si l'épilogue est connu par avance, l'auteur a su ménager un réel suspense, de sorte que le livre se lit comme un roman policier. Une belle découverte.

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La nuit du Titanic

Ce livre qui date maintenant un peu reste une référence sur l'histoire du drame du Titanic, les récentes découvertes liées à l'exploration de l'épave ne remettant pas en cause les travaux de l'auteur.

Ce livre nous met face à la prétention et le sentiment de supériorité de l'Homme face à la Nature. Le prétendu

Insubmersible a bien coulé et vite, comme quoi la technologie et le tout scientifique ne nous préservent pas des sautes d'humeur de la Nature.

Dans ce naufrage on y trouve aussi la confirmation que l'être humain peut être capable des plus belles choses mais aussi des plus abjectes.

Comme le dit l'auteur le naufrage du Titanic a marqué la fin d'un époque. Tout a été revu dans le domaine la sécurité maritime grâce au premier navire a avoir utilisé le SOS plus facile a taper en morse que le signal CQF qui était l'ancien signe de détresse.
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La nuit du Titanic

Ce livre court (moins de 200 pages) est passionnant à lire !



Walter Lord nous relate les événements de cette fameuse nuit qui a vue le Titanic coulé. A la différence de nombreux ouvrages; cet auteur s'est basé sur des documents historiques, des témoignages des rescapés pour écrire son livre.

Le résultat final est saisissant de réalité et pudeur. Les clichés sont balayés, les fantaisies parues dans la presse balayées pour ne laissé que des faits. Pas de héros, pas de scènes de bravoure, pas de suspense... juste des hommes, des femmes sur un bateau en train de couler.



Le seul bémol serait la pléiade de noms qui complique un peu la compréhension de qui est qui.



Un livre documentaire incroyable et captivant écrit posément et sans émotion.



Je vous le recommande.
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La nuit du Titanic

On a tant écrit sur le naufrage du Titanic qu'il est parfois difficile de savoir par quel livre commencer. Il est évident que, de par son ancienneté (1955), « La nuit du Titanic » de Walter Lord est handicapé par un certain flou que des ouvrages tardifs ont permis de dissiper grâce à des mises à jour et à la découverte de nouveaux éléments factuels et techniques liés à la nuit du drame.

À titre d'exemple, en 1955, soit 43 ans après le naufrage, on semblait encore ignorer que le paquebot en sombrant s'était scindé en deux. Ce que la découverte de l'épave du Titanic, en 1985, permettra de confirmer.



L'unique chose qui plaide en la faveur du livre, c'est que Lord a pu recueillir les témoignages d'une soixantaine de survivants. On sait la fragilité des témoignages, alors avec plus de quarante ans d'écart, la mémoire humaine a tendance à faire défaut, ou alors l'esprit humain tend à enjoliver certains souvenirs. Et quand on voit l'état d'hébétude dans lequel étaient plongés les passagers après la collision avec l'iceberg. Cette incapacité à comprendre les causes du drame qui se déroulait sous leurs yeux. Et le déni qui était le leur jusqu'à ce que le navire sombre corps et bien. On peut s'interroger sur la véracité de certains témoignages.



Toutefois, Walter Lord propose un récit du naufrage captivant et qui tient en haleine. Les 100 premières pages étant consacrées au naufrage. Le reste sur le sauvetage des survivants par le Carpathia et le contre-coup de la catastrophe dans l'opinion publique et la presse de l'époque. Le Titanic : fleuron de l'ère industrielle, insubmersible qui, en l'espace d'une nuit, a vu l'Homme puni de sa vanité à vouloir se croire au-dessus des éléments.



En tant que non-expert, c'est un livre que j'invite malgré tout à découvrir. D'autant qu'il s'agit près de 70 ans après sa parution de sa première véritable traduction. Les autres ont été faits par des passionnés de l'histoire du naufrage.

Disponible depuis le 4 avril 2024, chez Libretto.
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La nuit du Titanic

Malgré le fait que ce soit plutôt un documentaire, il se lit comme un roman et d’une traite jusqu’à la fin !



L’écriture de l’auteur est très romancée mais également horriblement directe, il n’y va pas avec des pincettes, il pose les faits à chaque instant de cette terrible tragédie



Après avoir réuni le plus de témoignages possibles, Walter Lord nous expose comment chaque individu a réagi face à ce qui était en train de se passer : ceux dans le déni, ceux qui n’étaient point informés, ceux qui ont su aller à l’essentiel

Puis il y avait la lenteur et l’inefficacité des personnes pour charger les quelques canots de sauvetage

Et bien évidemment le pourquoi du comment autant de personnes ont péris cette nuit là...



J’ai découvert tellement de chose dans ce roman que j’ignorais et qui mon tellement touchée : la présence d’un bateau pas si loin que ça, les avertissement d’iceberg, la tentative de lui échapper, un mystérieux incendie, etc etc...



Énormément d’erreurs ont été commises cette fameuse nuit, mais également beaucoup de leçons de vie ont été retenues



Donc si vous êtes intrigués par ce drame, lisez ce roman



Il ne s’agit même plus de coup de cœur pour moi

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