William Augel

À la fois biographique et comique, Le petit Bruce Lee est un album agréable à lire, surtout pour celles et ceux qui ont grandi en regardant les films du Petit dragon.
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D'où sort la fameuse combinaison jaune qu'Uma Thurman lui volera plus tard ? Comment chasser les zéros quand on est un élève dissipé ? Comment tenir en haleine et faire saliver une assistance entière avec une paire de nun-cha-ku ? Quelle vie un petit garçon vif et bagarreur peut-il mener à ses grandes soeurs... et réciproquement ?



Le Petit Bruce Lee est à la voie du dragon ce que Le Manuel des Castors Juniors est à la piste du lièvre : un bréviaire unique qui révèle, autant que l'enfance du maître du kung-fu, les secrets les mieux gardés pour atteindre la force, la vitesse, la souplesse et la sagesse... façon Petit Scarabée !



Après Mozart, Da Vinci et les autres, William Augel s'amuse et nous amuse avec l'enfance du génie des karaté-movies made in Hong Kong. Planche après planche, l'enfant découvre et sa voie, et la vie. C'est tendre et plein d'humour. Sans vouloir devenir un nouveau Chuck Norris ou Jet Li, le lecteur, jeune ou plus grand, y (re)trouvera de belles et petites leçons de vie. L'amateur de bd lui y verra aussi d'heureuses et belles références, de Little Némo à Lucky Luke.



Un ouvrage à conseiller aux plus jeunes mais où le fan de Bruce Lee, plus âgé, pourra aussi trouver son plaisir, rire et sourire. Il y a même des jeux d'esprit - tout l'album n'en manque pas - et une bio avec de vraies photos à la fin.

Le petit Wolferl, autrement dit Mozart, ne vit que pour la musique : par tous les temps, sous toutes ses formes, en l’étudiant, en la jouant avec tout et n’importe quoi, en réfléchissant parfois à haute voix. Cette bd nous présente le petit virtuose au fil de gags que je n’ai pas trouvés très drôles dans l’ensemble. Je n’ai pas non plus aimé les illustrations : par exemple, les visages, même si très expressifs, sont parfois un peu trop tordus pour moi.



Une bd peut être plus orientée jeunesse pour l’humour mais en même temps, il faut connaître un peu la musique, et en particulier ce qu’a composé Mozart, pour sourire à certaines références. Cependant, certaines cases sont mignonnes,voire poétiques car il ne faut pas oublier que Mozart est ici enfant et qu’il a donc des préoccupations, outre sa musique, d’enfant : “maman tu m’aime?” demandé 1000 fois, chamailleries avec sa sœur, choix cornélien entre le bain et le clavecin, questions et réflexions existentielles “ça sert à quoi la musique finalement?” (il n’aura pas de réponse) , “c’est quand on a tout pour le faire qu’on n’a plus envie de le faire!”



Une lecture un peu décevante, vite lue, vite oubliée.

BD courte mais efficace dans le message qu'elle veut passer.

Il est question d'écologie, de préservation de l'environnement, de l'impact que l'homme à sur la planète.

La BD se décompose en plusieurs scénettes sur un thème précis et les dialogues entre les deux protagonistes sont percutants et drôles tout comme les dialogues des animaux.

Rapide à lire je ne peux que vous la conseiller

L'éditeur La Boîte à Bulles propose une petite collection autour de personnalités comme Agatha Christie ou Léonard de Vinci. La bande dessinée se consacre à Katherine Johnson, une femme qui a longtemps été oublié de l'Histoire des sciences. Un choix volontaire car c'est une femme d'une part et noire de l'autre. Deux critères discriminants dans de nombreuses entreprises dans les années 50 (et encore de nos jours) aux Etats-Unis. William Augel n'a pas choisi de raconter tout le parcours de cet individu. Non, il choisit de se concentrer uniquement sur sa jeunesse quand elle a 14 ans. C'est également une manière de parler avec humour et décontraction des mathématiques. La matière évoque pour beaucoup de bien mauvais souvenirs. Une page, une histoire et toujours en rapport avec les chiffres. D'ailleurs, le bédéiste intègre des jeux assez fréquemment avec les réponses en fin. C'est très bien amené avec beaucoup de finesse. Impossible de pas être attendri par la demoiselle qui communique avec une poule ne pondant plus et faisant uniquement cot cot par deux. Le père est très présent malgré sa position sociale. Lui aussi possède une passion pour les nombres qu'il a du transmettre. Une relation de famille forte poussant les enfants à donner le meilleur d'eux même pour sortir de la précarité des parents. Quelques pages à la fin parlent de la vie de Katherine Johnson. Elle a reçu une médaille présidentielle de la Liberté, la médaille d'or du Congrès (la plus haute distinction civile américaine) et le prix Silver Snoopy qui récompense les employés de la Nasa les plus prestigieux (elle y est rentrée en 1952). En 1962, John Glenn demande qu'elle vérifie à la main les calculs réalisés par l'ordinateur. Elle est devenue tellement importante qu'une Barbie a créée une poupée à son effigie dans la collection dédiée aux femmes inspirantes. Un livre à proposer à la jeunesse pour leur faire espérer en dans lendemains ambitieux.
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On pourrait croire en voyant la première de couverture que « Le petit Mozart » d’Augel s’adresse aux enfants, de par son dessin mais il n’en est rien. « Le petit Mozart » est une bande dessinée humoristique qui raconte tendrement l’enfance du prodige. Mozart est un garçon bourré d’imagination, qui voit des notes de musique partout et qui se prend déjà pour une star dans son entourage. Attachant, drôle et intelligent, Wolferl est un enfant tout bonnement sympathique que l’on prend plaisir à découvrir au fil des pages. Pour moi qui ai visité à Salzburg sa maison natale, ce fut une chouette lecture, non pas que je sois une grande fan du compositeur mais j’avoue que j’ai été séduite par le dessin et j’ai bien ri en lisant ce one-shot.
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Les deux auteurs de cette bande dessinée ont choisi d’éveiller les consciences par l’humour tout en faisant passer des messages forts. C’est une excellente idée car ça ne plombe pas la lecture mais chaque scénette d’une page ou d’une demi-page, agit comme piqure de rappel sur des causes importantes qu’il ne faut surtout pas oublier. Les textes sont assez courts mais percutants, les dessins sont amusants, avec des têtes humaines ou animales très expressives. Les situations présentées mettent le sourire aux lèvres.

Qu’il s’agisse d’espèces menacées, de gestes écocitoyens, d’actions possibles, tout est présenté par le prisme de dialogues savoureux entre humains ou entre animaux. On a malheureusement tendance à penser que, à quoi bon essayer, puisque, à petite échelle, on n’arrivera à rien. C’est un raccourci un peu facile et trop souvent mis en avant. Que chacun se bouge un peu, beaucoup ou passionnément et c’est mieux que si rien ne se passait.

Avec leur bande dessinée aux textes et dessins drôles mais réalistes, Alep et Augel peuvent toucher pas mal de personnes. Jeunes et moins jeunes auront plaisir à lire cette BD tout en se disant « Mince, c’est vrai qu’ils ont raison. » Peut-être que cela incitera quelques-uns, voire plus, à se remuer et à agir, et surtout à transmettre un message d’espoir sur l’avenir de la nature, la biodiversité, la préservation des espèces menacées, le réchauffement climatique …

À offrir ou à s’offrir, « Changer d’ère » envoie un message fort, sur des causes d’actualité, dans la bonne humeur et ça fait du bien !


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Maline, têtue, la fillette n’en demeure pas moins émouvante dans sa soif de connaissance et son amour des maths. Et, outre le trait solide qui donne une belle présence à des personnages traités en style humoristique, les dialogues bondissants couronnent une réussite incontestable.
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J'ai bien aimé l'humour de ce livre, un peu moins les dessins mais ça se regarde bien. Les pages s'agrémentent d'énigmes (pas de panique, les solutions sont à la fin) qu'il n'est pas si facile de résoudre (je ne peux pas vous expliquer, ce serait dévoiler). Les styles s'entremêlent, c'est assez plaisant. Assez pour me donner envie de lire d'autres livres de cette collection !

L'album est un pur plaisir de lecture, savoureux mélange de fiction et de petits indices sur la femme qu'elle deviendra. Je dois dire que je me suis laissé emporter dès les premières pages dans le rythme et l'originalité de ces planches, avec, en plus, quelques petits mystères à percer, pour le fun !
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Tout le talent de l’auteur consiste, comme d’habitude, à transférer les qualités "adultes" de la romancière aux 67 opus dans cette remuante enquêtrice en jupe plissée. Difficile de bouder son plaisir devant ces saynètes en une ou deux planches, débordantes de références et habillées de décors impeccables. Poussant l’hommage amusé, l’auteur a enrôlé un comparse, Alep, pour glisser des énigmes dans le recueil (elles aussi en une page en général), avec solutions en fin de volume. Le fameux adage, de 7 à 77 ans, n’a jamais été aussi bien d’application.
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Voilà un album interactif qui devrait amuser les enquêteurs en herbe !



À travers le format bande-dessinée, on y découvre une toute jeune Agatha Christie qui a déjà un goût certain pour le mystère et les énigmes à résoudre.



Les clins d’œil à son œuvre sont nombreux, allant du prénom de sa poupée aux titres de certaines saynètes.



C’est typiquement le genre de livres qui me fait me demander s’il ne plaira pas davantage aux parents qu’aux enfants et si ceux-ci peuvent en apprécier le contenu sans comprendre toutes les références. Mais en lecture accompagnée, ça pourrait bien engendrer une nouvelle génération de lecteurs des romans policiers de la Reine du crime.



Merci à Babelio et à La Boîte à Bulles !

On connaît déjà une série de bande dessinée constituée de gags autour du personnage de Léonard De Vinci. Je n’en raffole pas.

Celle-ci apporte un peu de fraîcheur à ce thème, Léonard est alors un enfant, les gags font appel à nos connaissances sur ce personnage, sur ses créations. Le petit Léonard présenté ici est un enfant curieux, obsédé par le progrès, les techniques et l’art, avec un brin d’espièglerie due à l’enfance. Le personnage est très attachant.

Cette bande dessinée destinée est à un jeune public mais elle fait appel à la culture, à la connaissance et à la curiosité, une bande dessinée qui ne prend pas son public pour des idiots, c’est savant, drôle et vraiment très sympathique.

Après nous avoir proposé une incursion dans l'enfance de Mozart puis dans celle Léonard de Vinci, William Augel s'intéresse à Agatha Christie. De façon ludique, l'auteur propose au jeune lecteur de pénétrer dans l'univers de la reine du crime par de courtes histoires et saynètes mettant en scène l'enfance d'Agatha Christie. Nous découvrons une petite fille vive et malicieuse qui voit dans sa vie quotidienne des tas d'enquêtes à mener. La fillette revisite également des contes pour enfants en imaginant des variantes. Il ne faut pas s'attendre à lire une biographie. En effet, seules quelques informations sur l'autrice sont livrées à la fin de l'album.



L'ouvrage suscitera peut-être des vocations et donnera certainement à quelques enfants l'envie d'aller plus loin dans la découverte d'Agatha Christie. Au niveau de l'esthétisme de l'album, j'ai aimé la palette de couleurs utilisée mais moins le dessin, qui tend vers la caricature. Cette bande-dessinée est destiné à un public assez jeune. J'avoue que je m'attendais à un ouvrage plus documenté.



A conseiller à de petits enquêteurs en herbe.
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Little Agatha Christie est un album jeunesse qui va ravir les petits comme les grands. Fan d'Agatha Christie depuis mes 16 ans, cette lecture fut un véritable plaisir. Vous trouvez dans cette BD des histoires, des énigmes que vous devez résoudre, un cahier d'activités, un jeu à faire avec des ami.e.s et une très courte biographie illustrée. C'est la bd parfaite pour initier les jeunes enfants ou même adultes au monde d'Agatha Christie. Les fans y reconnaîtront de nombreuses références. C'est drôle et ludique. Je conseille cette lecture à tout le monde.

• « Le petit Léonard de Vinci » de William Augel, publié chez La Boîte à bulles.



• J'ai commencer cette lecture à la suite du défi lecture de BD de Babelio de Mai, cherchant une BD ayant été éditée pour la première fois en 2020, dans le but d'étendre ma "culture" BD.



• Avant toute chose, j'aimerais remercier et féliciter la maison d'édition "La Boîte à Bulle", pour le partage de certaines des lectures disponibles dans son catalogue, dans le cadre de "la reprise des cours en distanciel" instauré par le gouvernement suite au troisième confinement, pour venir en aide aux élèves et leurs parents ; une très belle démarche que je tenais vraiment à saluer ! C'est une démarche que la maison d'édition avait déjà faîte pendant la durée du confinement, avec d'autres BDs. Pour ceux que cela intéresse, les BDs disponibles à l'heure actuelle ( jusqu'au 3 Mai 2021..) sont : « Lehman, la crise et moi » , « Toute la socio en BD - tome 1 » , « Toute l'éco en BD - tome 1 » , « Superman n'est pas juif » , « le petit Léonard » ; « le petit Mozart » et « Loulou ne veut pas grandir » ; les liens vers ces BDs pouvant se trouver sur le twitter de l'éditeur.



• Cette fois-ci, je ne me suis pas fais avoir, je savais à quoi m'attendre en lisant cette bande dessinée ! Et là, pour le coup j'ai vraiment adoré tout du long, une véritable pépite à mes yeux, sans exagération (Du moins je le pense.).



• Comme dans la précédente BD de la série de l'auteur, « le petit Mozart », celle-ci relate les aventures humoristiques d'un jeune artiste avant son apogée artistique, avec pour vedette le grand Léonard de Vinci. de Vinci était un homme extrêmement fascinant , un inventeur et artiste brillant, avec de multiples talents. Ce personnage était idéal pour cet album tant son histoire et ses recherches prêtent à bon nombre de situations éventuelles.



• Et d'ailleurs, contrairement à son prédécesseur, le petit Léonard s'apprécie du début à la fin de ses petites aventures, sans jamais y sentir une répétition forcé de gags, tout en gardant cette finesse d'esprit que l'on pouvait retrouver dans son humour. C'est inventif, drôle, ingénieux, c'est tout bonnement parfait, et on est presque déçu de ne pas en avoir plus !



• Les pages sont agrémentées de citations de l'artiste, offrant encore une autre dimension à cette oeuvre en lui donnant un jolie côté éducatif et ludique ! On retrouvera d'ailleurs à la fin de l'ouvrage, un petit carnet d'activités, contenant des informations légères sur l'artiste mit en lumière dans cet album, ainsi que de petits jeux et un tutoriel d'invention nous invitant à fabriquer notre propre petit parachute !



• On trouvera également tout au long des cases, des références plus modernes très bien trouvées pour cet album, avec l'évocation d'un célèbre homme chauve-souris justicier des nuits (Coucou Batman !), un étrange moustachu sautant sur des champignons (Buongiorno Mario !) ou encore des évocations moins ancrés dans la pop-culture, à l'instar du chômage (Référence un peu plus triste je vous l'accorde). Les ifférentes petites histoires sont bourrées de détails et d'humour, mention spéciale à celle qui m'a le plus faire rire, celle mettant en scène une cage d'oiseaux et la fameuse prophétie du garçonnet aux cheveux blonds.. incroyablement bien pensée et hilarantes !



• Vous l'aurez compris, j'ai vraiment beaucoup aimer cet album, qui comble parfaitement les défauts du prédécesseur de la série des "Petits artistes". Je la conseille non seulement aux enfants pour son côté ludique et éducatif, mais aussi aux adultes qui devraient facilement se retrouver dans cet humour et apprécié encore plus la subtilité de ce livre. Et en plus, il m'a inspiré des idées d'animations avec les enfants avec qui je travaille ! ;-)

• « Le petit Mozart » de William Augel, publié chez La Boîte à bulles.



• J'ai commencer cette lecture à la suite du défi lecture de BD de Babelio de Mai, cherchant une BD ayant été éditée pour la première fois en 2017, dans le but d'étendre ma "culture" BD.



• Avant toute chose, j'aimerais remercier et féliciter la maison d'édition "La Boîte à Bulle", pour le partage de certaines des lectures disponibles dans son catalogue, dans le cadre de "la reprise des cours en distanciel" instauré par le gouvernement suite au troisième confinement, pour venir en aide aux élèves et leurs parents ; une très belle démarche que je tenais vraiment à saluer ! C'est une démarche que la maison d'édition avait déjà faîte pendant la durée du confinement, avec d'autres BDs. Pour ceux que cela intéresse, les BDs disponibles à l'heure actuelle ( jusqu'au 3 Mai 2021..) sont : « Lehman, la crise et moi » , « Toute la socio en BD - tome 1 » , « Toute l'éco en BD - tome 1 » , « Superman n'est pas juif » , « Le petit Léonard » ; « Le petit Mozart » et « Loulou ne veut pas grandir » ; les liens vers ces BDs pouvant se trouver sur le twitter de l'éditeur.



• Alors là, pour le coup, je me suis vraiment fait avoir ! En démarrant cette lecture je pensais me retrouver devant une bande dessinée décrivant l'enfance du jeune Wolfgang Amadeus Mozart, une petite biographie légère, accessible aux enfants.. Quelle erreur !



• Cette bande dessinée est en réalité plus proche d'un album de Garfield ou de Gaston Lagaffe. Structurée dans un format court et découpée en petits strips humoristiques, le tout autour d'un jeune Mozart, avant son grand succès. 'est intéressant sur le papier, mais globalement c'est assez poussif, avec beaucoup de répétitions concernant la musique.. clavecin, clavecin, mon clavecin, menuet.. une véritable antienne ! C'est toutefois parfois drôle, et assez inventif la plupart du temps. Mais j'aurais vraiment aimer avoir moins de gags répétitifs pour pouvoir réellement l'apprécier.



• Le dessin est simpliste, dans la droite lignée de ce que l'on peut retrouver dans les strips classiques. On a parfois droit à de petites scènes oniriques sympathiques, mais les décors se répètent beaucoup aussi.



• Un petit album qui se lit sans mal, mais qui ne marquera pas les esprits..

Cette B.D met en scène un Mozart enfant dans des strips humoristiques de quelques cases. Le résultat est sympathique. Le petit Wolferl (c’est son surnom) ne vit déjà que pour la musique. Il compose tout le temps, écrit ses partitions sur les murs, est à l’affut du moindre son intéressant… Certains gags sont faciles, d’autres plus subtils, « le petit Mozart » peut donc plaire à un large public.

Une lecture rapide et amusante même si c’est anecdotique.

Dans La bande dessinée Le Petit de Vinci, William Augel nous présente les inventions et l'esprit précurseur du célèbre peintre, sous une forme très libre et humoristique à travers l'enfant de génie, Léonardo.



Il est aussi instructif et agréable de découvrir au fil des planches, diverses citations de Léonard adulte. Certaines font même écho à l'actualité :



" Le jour viendra où les personnes comme moi regarderont le meurtre des animaux comme ils regardent aujourd'hui le meurtre des êtres humains".



Le principe n'étant pas d'être réaliste, le dessin est plutôt proche de la caricature et prête aussi à rire! Les couleurs sont chaudes et rappellent les pigments naturels qui étaient employés à l'époque. Ce livre s'adresse aussi bien aux enfants qu'aux adultes et permet une vulgarisation sympathique des trouvailles de Léonard de Vinci. A la fin de la BD, une partie appelée "cahier d'activités" récapitule les grandes données historiques sur De Vinci et propose des activités manuelles ludiques!



A lire sans modération!

Léonard de Vinci était incontestablement l'homme de la Renaissance. Il était à la fois peintre, artiste, inventeur, ingénieur, sculpteur, musicien, poète, écrivain. Bref, un génie à l'état pur comme on en fait rarement en un siècle. C'est une bonne idée que d'avoir imaginé sa jeunesse avec un brin d'humour.



On voit qu'il était déjà un petit génie en devenir ne sachant pas exactement quel métier il ferait plus tard tant il voulait faire plein de choses à la fois. J'ai aimé la délicatesse de certaines situations et j'ai ri de bon coeur à d'autres situations plutôt cocasses . On verra qu'il y a plein de personnages qui gravitent dans son univers que cela soit sa famille ou même le marchand d'oiseau. le chat qui a peur des oiseaux aura un rôle assez rigolo.



Il rencontrera la future Mona Lisa au détour d'une rue de sa ville Vinci en Toscane. Comme ingénieur et inventeur, Léonard développe des idées très en avance sur son temps, des prototypes d'objets volants, de catapulte, de scaphandrier.



J'apprécie ce genre de BD qui peut plaire aux parents comme aux enfants. Cela vise un public assez large malgré son côté enfantin.Il y a de l'inventivité et des clins d'oeil comme aux amateurs de la célèbre chauve-souris. On aura même droit à un petit dossier assez instructif qui présente le personnage.



J'aime bien lire quelques strips gags avec cette gamme de légèreté. En ce qui concerne les dessins, je les trouve particulièrement adaptés à l'exercice. En effet, le trait est simple et sans surcharges. L'expression des personnages est suffisamment adaptée aux situations les plus humoristiques.



Une humeur maussade ? Une journée pluvieuse ? Rien de tel que de commencer la lecture de ce petit Léonard de Vinci pour retrouver le sourire.



Un excellent divertissement que je dois à Masse Critique alors grand merci à l'équipe de Babelio et aux éditions La Boîte à Bulles qui soi-dit en passant constitue l'un de mes éditeurs préférés.