Chez Francisque, devant une Suze ou un p'tit jaune, l'on refait un peu le monde. Ça a un avis sur tout. Et surtout sur rien. Ça n'en pense pas moins. Ça discute à tout va. Accoudés au bar, défilent sous les yeux de Francisque toute une galerie de personnages. Des fachos, des réac', des maghrébins, des racistes, des xénophobes, des cathos... Et tous ont quelque chose à dire...
Des propos pas toujours bien vus, parfois grinçants, irresponsables ou gênants. Car tous ces habitués de Chez Francisque ont des idées bien arrêtées, voire étriquées ou toutes faites, sur la France et ceux qui la peuplent. Tout y passe : les flics, les pédés, les lesbiennes, les noirs, les patrons, les pauvres, les jeunes... à coup de Raki ou de Pernod. Des propos qui peuvent prêter à sourire. Des propos de haine ordinaire. Excessifs, certes (tout du moins, on l'espère) mais sûrement avérés.
Des saynètes d'une page au dessin simple mais efficace.
À picorer comme les cahuètes de Chez Francisque...
Allez, Francisque, remets-nous un Pernod !
Commenter  J’apprécie         623
Chez Francisque, l'avenant tenancier du bistrot du coin, on s'y raconte de bien belles histoires. De celles qui vous vendent du rêve, vous mettent des étoiles dans les mirettes. En un mot comme en cent, de celles qui vous flétrissent et vous font coucher encore plus con le soir -en admettant la plausibilité d'un tel sursaut intellectuel- cuvant encore vos 32 digeos journaliers, la bave au coin des lèvres et l'esprit méchamment embrumé de connerie journalière ingurgitée avec délectation.
Une planche, quelques cases, tout y passe, poussez pas, y en aura pour tout le monde.
L'étranger, la femme, le chômeur, l'homosexuel, le jeune, le moins jeune, le politicard...ça rafale dans tous les sens avec plus ou moins de réussite.
A picorer tranquillou, une champomy à portée de pognes car sans alcool, la fête est...
Tiens, Francisque et ses potes me regardent bizarrement?!
Commenter  J’apprécie         402
Cet album est un hommage à la Rubrique-à-Brac, œuvre emblématique de Marcel Gotlib, qui a marqué l’histoire de la bande dessinée. Pour cet hommage, un casting de rêve est réuni dans cet album : Zep, Berbérian, Léandri, Tardi, Belkrouf, Maëster, Dupuy, Binet, Boucq, Jannin, Mourier, Arleston, Barral, Chauzy, Mandryka, Goossens, Christin, Blutch, Lindingre, Tonino Benacquista, Bilal, Lefred Thouron, Antoine de Caunes, Jean-Yves Ferri, Margerin, Tronchet, Solé, Édika, Larcenet, Mézières, Guarnido, Julien/CDM, Ptiluc et Dal.
Chacun, dans son style, reprend quelques principes utilisés dans la Rubrique-à-Brac, quelques idées, quelques personnages. Le résultat est assez décevant, en tentant de s’accaparer le style du maître, la plupart s’y cassent les dents.
Dupuy & Berberian avec la girafe, et Blutch avec le matou matheux, reprennent et détournent un histoire de Gotlib et s’en sortent nettement mieux, ainsi que Solé, avec la morale finale sous forme de jeux de mots comme dans le tome 5 où quelques histoires avaient été scénarisées par Gotlib et dessinées par d’autre auteurs.
Manu Larcenet m’a vraiment fait rire, toujours très drôle, mais c’est du Manu Larcenet.
Le reste est assez moyen, en essayant de faire du Gotlib, ils ne parviennent pas à être drôle, même Binet et Goossens déçoivent, certains se plantent carrément, venant d'auteurs que j'admire d'habitude, c'est presque gênant.
Bref, un hommage raté et vraiment une grosse déception.
Commenter  J’apprécie         240
Irrévérencieux, impértinent, insolant et même pafois incongru; cette BD porte un titre qui ne rappelle pas que de bon souvenirs , mais qui donne le ton des dialogues échangés, chacun en prend pour son grade et comme tout à une fin, mais par toujours très fine, elles se terminent devant un verre.
Commenter  J’apprécie         190
Une famille particulière que c'est Legroin il sont envieux, racistes, ils ont le q.i d'un bulot, leurs enfants adolescents sont uniquement porté sur le sexe.
Une vrai famille de beauf, une lecture qui rassemble beaucoup de cliché sur la société et sur les hommes, femmes et enfants à notre époque.
Il faut aimé ce genre d'humour, une lecture en demi teinte pour ma part.
Commenter  J’apprécie         160
Dans le bistrot de Francisque, la clientèle est un peu réactionnaire, raciste, homophobe, alcoolique et populiste. Ce sont des brèves de comptoir, une série de gags en une page vite esquissés au trait brut avec quelques pointes d’encres de couleurs pour donner du relief, les personnages sont expressifs, c’est simple et direct, ça me rappelle le sketche de Coluche “Tel père tel fils”, c’est d’ailleurs l’esprit, drôle et irrévérencieux, un bon moment de rigolade.
Commenter  J’apprécie         120
A la fois désopilant et désespérant, ce panel de brèves de comptoirs illustrées propose une image peu glorieuse de ce qui peut se dire dans un bar français après quelques verres en trop. Lindingre et Larcenet vont assez loin dans le cynisme en mettant ainsi en relief la connerie humaine (principalement masculine et alcoolisée) mais ce n'est, malheureusement, peut-être pas si éloigné que ça d'une certaine réalité...
Commenter  J’apprécie         60
Voilà, je viens de trouver une bd provenant de Fluide Glacial que je trouve pas mal. Il est aussi question d'un antihéros mais que je trouve fort sympathique.
En plus, le dessin semble un peu plus raffiné que les productions du genre. Cela doit être dans cette colorisation qui introduit un effet brumeux du plus bel effet.
Visiblement, l'auteur s'auto-parodie lui-même. C'est intéressant comme démarche de suivre la vie quotidienne d'un dessinateur de bd. Les blagues sont sympas mais pas révolutionnaires. On pourra se détendre facilement.
Commenter  J’apprécie         60
C'est une horrible réalité que nous livrent les auteurs sur ce qui peut se passer à l'occasion d'élections municipales. On se rend compte que les magouilles politiciennes ne sont pas une utopie dans cette pseudo-démocratie. Cela va plus loin qu'un discours de type tous pourris. Les idéaux en prendront un coup. On n'aura plus forcément envie de voter après cette lecture.
La chronique se veut grinçante avec son humour. On reconnaîtra des phrases prononcées ici et là de type que les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent. Mais bon, on n'aura pas droit à Moi Président. Quelques soient les partis, c'est le pouvoir qui est l'enjeu suprême.
Les complots et les alliances seront au rendez-vous pour ce candidat centriste qui fait face aux candidats des républicains autrefois son mentor. Certes, il s'agit d'une caricature mais ce n'est pas très loin de la réalité et c'est ce qui fait peur.
Commenter  J’apprécie         60
J'ai emprunté la série par curiosité... parce que l'histoire de l'affaire clearstream me dépasse un peu, et que je pensais mieux comprendre.
J'ai donc été un peu surprise par la teneur de ce récit. Il n'est pas question de l'affaire, mais de comment un journaliste fait son travail et arrive à cette fameuse affaire.
Et finalement c'est bien plus intéressant que ce que j'en attendais. Peut-être un peu déprimant parfois. Edifiant souvent Mais clairement passionnant et finalement je crois qu'il sera plus facile pour moi de lire cette série que ce que j'avais imaginé au départ.
Commenter  J’apprécie         60
J'aurais du me régaler à la lecture de ce pamphlet dénonçant la corruption des milieux d'affaire avec le milieu politique. Cela n'a pas été vraiment le cas. L'humour est assez caustique et cela ne donne pas envie de rire au vu de l'actualité qui confirme chaque jour les dires des auteurs.
Récemment encore, un ministre du budget planquait son argent en Suisse avec la complicité du monde des affaires pour les bons services rendus aux multinationales pharmaceutiques. Pendant ce temps, on ne pardonnera rien aux petits contribuables. Triste France !
Cette bd ne fait que souligner que politique et argent font assez bon ménage sur fond de manipulation des médias. A noter que l'action se situe sous le mandat du président bling bling. Tous corrompus ? Il semblerait en tout cas au vu de cette oeuvre assez subtile qui dénonce les règles corrompues de notre monde.
Commenter  J’apprécie         50
Bon, je ne suis pas un vétéran du Polar… Encore moins sous forme de BD… Celle-ci aura été un sacré marathon, effréné quand on considère le thème : les arcanes de la finance mondialisée. On imagine aisément plus exotique... Il est bien question de « Paradis » par moment, mais fiscaux ceux-là.
Il faut être sacrément accroché pour suivre ce pavé. Très dense, complexe ; enrichi par de multiples personnages et faits réels, enchevêtrés les uns aux autres ; agrémenté d'un jargon qui frise parfois le secret d'initié : on s'y croit – on y est : au coeur de l'Affaire des Affaires.
Pendant près de 10 ans, Denis ROBERT aura vécu au fil des convocations en justice, perquisitions et autres joyeusetés du genre en parallèle de ses diverses enquêtes ; dans un univers flou, en mouvement perpétuel, ne pouvant compter que sur lui-même, solidement harnaché à son désir impérieux : comprendre.
Comprendre comment, pour qui, pour quoi ?
Comprendre les méandres de la finance, ses zones d'ombres - voire occultes - à coup sûr occultées du plus grand nombre.
Dynamique, le récit – à l'instar de Denis ROBERT – ne manque pas de fougue, notamment dans sa structure. Les flash-backs et ellipses y sont monnaie courante et malgré les repères distillés tout au long des chapitres, un certain niveau de concentration est nécessaire pour ne pas perdre le fil – je recommande d'ailleurs à cet égard de ne pas trop espacer les phases de lecture.
Malgré le Noir & Blanc intégral, très immersif, tous les personnages sont haut en couleurs. Qu'il s'agisse de Denis ROBERT lui-même, de son entourage ou encore des politiciens et autres sbires des hautes-sphères, on ressent la personnalité de chacun vibrer, aussi bien via l'expression des traits que par les dialogues. On a envie de faire confiance à Denis à ce sujet… En tout cas, beaucoup plus qu'à ses opposants, dont la probité est sans doute inversement proportionnelle à la teneur de leurs lignes de comptes (non-publiées cela va sans dire).
Avant d'entamer ce recueil, je ne connaissais Mr. ROBERT que de nom et Clearstream n'évoquait chez moi qu'un scandale financier parmi (tant) d'autres – ce qui en soit est triste : ceux-ci devraient nous indigner et non nous résigner. C'est un des vendeurs de ma librairie préférée à BXL qui, m'ayant vu écumer les étagères Economie et Société, m'aura lancé le défi après m'avoir mis l'eau à la bouche.
Aucun regret. Merci.
Je ne saurai pas à qui conseiller cet ouvrage (35€ tout de même – pour l'équivalent de 4 Tomes totalisant environ 700 pages). Il faut à mon sens être bien determiné et disposer d'une petite culture du milieu financier pour avoir le courage de se plonger dans une telle épopée. En revanche, une fois lancé, difficile d'arrêter…
La réalité, une fois encore, enterre la fiction.
Commenter  J’apprécie         50
Un premier tome un peu troublant, entre l'humour et l'horreur sur fond de rock, mais attention le rock le vrai, celui des Rolling stones ou des Cramps !
L'histoire est original mais il y a beaucoup de chose dans cette BD, tout se passe un peu trop vite à mon goût, on a pas le temps de s'accrocher aux personnages, de les découvrir.
Des bonnes idées sont présentent, la guerre entre les chrétiens et les rockeurs morts et pas mal, certaines scènes sont un peu gore mais dans l'ensemble c'est plutôt drôle.
Un peu mitigé, je vais quand même lire le second tome.
Commenter  J’apprécie         50
Lefred-Thouron et Lindingre s'attaquent à "l'ami public" n°1 : le téléphone portable. Et ils ont la main lourde, ils font défiler tous les clichés, ils n'épargnent personne : les jeunes, les vieux, les hommes, les femmes, les religieux, les sportifs...
Le graphisme est fidèle à leurs productions habituelles, le trait simple, les décors plus que minimalistes mais cela fonctionne le but étant de présenté un gag en 3 ou 6 cases.
Tout n'est pas égal mais cela se laisse lire dans la veine des autres productions de la série "J'aime pas".
Attention à vos prochaines utilisations de vos téléphones portables !!!
Commenter  J’apprécie         40
Passons tout de suite sur le fait que tout cela se lit très bien, comme un polar. La forme est donc d'une efficacité redoutable... à première vue. Connaissant en partie le milieu et la société dans lesquels Denis Robert a mené ses investigations, j'ai toujours eu un à priori positif sur ce journaliste et sur l'enquête en question qui ne me semblait rien moins que légitime. Car oui, les milieux financiers sont opaques et proposent, comme unique source de régulation, la "main invisible des marchés", ce dont une démocratie ne saurait se contenter. Mais en même temps, je suspectais ce côté grandiloquent et "seul-contre-tous" sans vraiment m'en émouvoir, car tel Albert Londres, le journaliste doit aussi savoir gratter, dénoncer, quitte parfois à énerver. Cependant, à la lecture de cet ouvrage, je comprends pourquoi Denis Robert s'est effectivement retrouvé en rupture de ban : la démarche est salvatrice mais les moyens sont parfois contestables (notamment ces lettres qu'il échange pour menacer indirectement ces interlocuteurs capricieux) et les intentions, qui manquent de nuance, ne semblent pas si désintéressées que cela. Cette mise en scène permanente de lui-même, ce manque de sobriété finissent par agacer en plaçant le sujet (les chambres de compensation) en second plan, sujet qui devrait en toute logique rester plus important que l'enquêteur se présentant bien trop souvent comme le seul personnage omniscient de l'affaire, celui qui aurait (presque) tout compris à ses aspects politico-mediatico-financiers (sans pourtant les formuler clairement). On est donc finalement bien loin d'une noble distanciation et d'une analyse objective (si ce mot a encore un sens) telles qu'on peut les retrouver dans les reportages de Joe Sacco, qui lui aussi se met pourtant en scène mais par petites touches, pour donner plus de légèreté au récit. De fait, Denis Robert lui, avance à pas d'éléphant et parle beaucoup mais ne dit pas toujours grand chose. Il faut donc attendre 300 pages pour commencer à entrer dans le dossier technique de l'affaire, et encore sous la forme de formules chocs à la limite du slogan publicitaire, si bien que tout cela semble survolé : ni les produits financiers, ni les acteurs, ni les procédés (pourtant pas si compliqués) de ces back-offices n'étant décrits (réglement/livraison, courtage, appels de marge, etc). La recherche de sensationnel est trop visible, notamment dans la façon dont les protagonistes politiques sont caricaturés (Sarkozy éructant éternellement, par exemple, comme une image éculée). Et alors que l'on pense enfin aborder le coeur du système financier, la "machination" débute avec l'apparition d'Imad Lahoud, et ce second volet de l'affaire n'a dès lors plus rien à voir avec les banques et leur fonctionnement, chose sur laquelle malheureusement les journalistes semblent ne pas enquêter suffisamment. Si bien que cette première affaire, qui relève pourtant du plus pur journalisme, n'est plus qu'un détail de l'histoire (une note de bas de page dirait Sacco), et si l'auteur semble s'en désoler lui-même, il devient pourtant le complice passif de cette dérive. Cette histoire se transforme alors en un vaudeville confus où les coupables de cette manipulation sont trouvés par défaut et pour des raisons qui nous échappent toujours, le mensonge de Lahoud n'étant que la conséquence inexpliquée de la volonté d'un commanditaire non identifié (la DGSE, De Villepin, un personnage n'apparaissant pas dans l'affaire, etc). La dernière page laisse finalement place à un sentiment d'incrédulité et de fascination devant ce feu de paille à l'origine de tant d'énergie dépensée, devant tant de procédures judiciaires menées sur la base de ce qui semblait être des faits mais qui ce sont révélés être des fantasmes ou des demi-vérités assénées par un individu ayant accès à suffisamment d'espace éditorial pour faire naître le doute chez ces confrères (ce qui ne surprend pas vraiment) mais aussi dans la classe politique (ce qui surprend de moins en moins dans les dossiers techniques) et dans l'institution judiciaire (ce qui inquiète davantage) et donc dans l'opinion publique. Peut-être Denis Robert a-t-il raison, mais le procédé est trop bancal pour rendre cette enquête crédible et honnête, au-dessus de tout soupçon et la forme se retourne contre l'auteur qu'on suspecte de se réjouir d'être devenu le poil à gratter éphémère de la République. Tout ceci finit par le décrédibiliser et explique que la réaction de ces confrères n'est pas exactement sans fondement. Si cet ouvrage est intéressant, c'est davantage dans le sens de ce qu'a formulé, entre autres oeuvres, le récent film de David Fincher, Gone Girl : une critique des dérives de l'emballement médiatique, de ce story-telling abusif dont les médias sont prisonniers et dont Denis Robert devient malheureusement la caricature, même (surtout ?) quand il cherche à s'en défendre.
Commenter  J’apprécie         40
Pour lire cette bande dessinée, il faudrait avoir vu l'excellent film "l'enquête". La démarche de Denis Robert est de démontrer ce que l'on ne veut pas voir, en fait tout notre système est corrompu. Il l'est à un certain niveau, celui des élites politiques et industrielles. Le journaliste a pu grâce à des témoignages inespérés (et aussi à une masse de travail et de ténacité) comprendre ce qu'étaient certains rouages de ce blanchiment organisé. Qui savait ce qu'était une chambre de compensation avant l'affaire Clearstream ? Le tome est juste un peu long et il faut s'intéresser à ce problème pour le lire attentivement; ce que tout le monde devrait faire.
Commenter  J’apprécie         40
Finalement , Denis Robert n’a pas laissé tomber l’affaire Clearstream qui lui a coûté si cher financièrement mais aussi physiquement et moralement. C’est donc à travers la bande dessinée, et avec l’aide de deux autres artistes , qu’il revient sur les dessous de cette affaire qui met en cause les dirigeants de notre société et le système économique qui permet une délinquance financière sans réel contrôle possible.
Dans ce livre, Denis Robert fait intervenir hommes politiques, juges , économistes, journalistes mais aussi les proches de sa famille et de son cercle amis. Ses explications sont claires mais , au delà des dénonciations d’un système, on voit également un homme seul engagé dans un combat qui ruine son avenir journalistique mais surtout sa vie familiale. Il semblerait que Denis Robert soit investi d’une mission et que maintenant il n’ait plus d’autre choix que d’aller jusqu’au bout et surtout d’alerter le plus grand nombre de personnes possibles. Le combat de David contre Goliath !
Denis Robert vous offre par le biais de la bande dessinée une autre version de la crise financière et il est aisé de comprendre que la crise n’est pas pour tout le monde.
Commenter  J’apprécie         40
Ils sont terribles : plus affreux les uns que les autres. Racistes homophobes et pas très futés Mais peut-être que la dose d'alcool qu'ils avalent ne doit pas les aider à garder les idées claires.
Je suis passée d'une scène à l'autre en les trouvant parfois un peu similaires les unes aux autres. mais je me suis bien amusée tout de même
Commenter  J’apprécie         30