Yôichi Takahashi

Fan des dessins animés des années 80, j'ai transmis le flambeau à mon fils. Olive et Tom font rêver des générations d'enfants. Mon fils de 10 ans ne se lasse pas de regarder la série (on a les deux versions). Du coup, pour son anniversaire je lui ai offert ce manga; Bon alors c'est un peu déconcertant. C'est notre première lecture de manga. Il faut prendre le coup de main pour le sens de la lecture. Et puis les noms en japonais ! Thomas Price s'appelle Genzo Wakabayashi !

Je dois dire que je suis agréablement surprise. le graphisme est pas mal. On reconnait bien les personnages du dessin animé. Les cases sont dans l'ensemble bien réussies à part une ou deux un peu petites. Le scenario se tient et l'histoire est plaisante à lire. Ca fait du bien de plonger dans un grand bain de nostalgie: Olivier, Thomas, Ben Beker, Roberto.... Que du plaisir. Bon j'avoue j'ai la quarantaine passée, mais je kiffe toujours autant Olive et Tom.

Quand j’étais jeunes et que je commençais à m’intéresser aux mangas, plusieurs proposaient des univers étranges, des personnages intrigants mais ma grande découverte fut Captain Tsubasa. Le sujet était le foot, des jeunes collégiens qui participent à un championnat. Rien de très renversant, du moins, c’est ce que je croyais. Son créateur, Yoichi Takahashi a pourtant réussi à réaliser une histoire touchante et ô combien intense. Dans ce dixième tome, l’équipe junior de Nankatsu poursuit son ascension vers la finale. Le joueur vedette Tsubasa, le meilleur des meilleurs, n’est parvenu qu’avec peine à scorer un but, à déjouer le gardien Ken Wakashimazu. Réussir cet exploit une seconde fois semble impossible. D’ailleurs, cela n’a fait que provoquer son adversaire qui occupe tout le terrain. Pour ajouter au malheur, deux joueurs importants de Nankatsu sont blessés. Les choses tournent mal et le Meiwa FC risque d’égaliser…



J’ai beaucoup aimé ce dixième tome. D’abord, on sent que les difficultés de Nankatsu sont plus sérieuses que jamais, que leurs adversaires ont grandi, sont peut-être meilleurs ? Incidemment, la tension d’un match de foot est à son comble. Aussi, Genzo Wakabayashi, qui était plus en retrait depuis quelques tomes, montre enfin toute l’étendue de son talent et de sa détermination, combien il est essentiel à son équipe. C’était toujours mon personnage préféré, même si Tsubasa est la vedette de ce manga et qu’il a joué son adversaire dans les premiers tomes de la série. Mais ça, chut, il ne faut pas le dire trop fort…

Deuxième tome de la série originale de Captain Tsubasa, L’enfant de Dieu reprend là où le premier tome s’achevait, à la compétition annuelle entre les écoles Nankatsu et Shutetsu. Cette dernière pense remporter le match de football grâce au retour de son gardien de but Genzo Wakabayashi. La rivalité entre les deux écoles est à son comble mais Nankatsu peut compter sur deux atouts. D’abord, l’ancien joueur professionnel Roberto Hongo qui leur sert d’entraineur mais surtout le nouvel élève, Tsubasa Ozora. Malgré sa petite taille, il est extrêment doué, comme si le ballon et lui ne formaient qu’un.



J’adore comment le dessinateur Yoichi Takahashi réussit à rendre sur papier un match de football. C’est vraiment palpitant ! Il me semblait que chaque page se terminait sur une passe peut-être décisive, sur un ballon qui s’envole, prêt à entrer dans un filet. La tension (positive) était toujours présente. Pour les personnages, dont les émotions étaient claires et prononcées, mais aussi pour le lecteur. Visiblement, Takahashi est lui-même amateur de ce sport pour le rendre si incroyablement bien. J’ai redévoré ce tome en un rien de temps.

Vers la gloire… se déroule peu de temps après le deuxième tome de la série de mangas Captain Tsubasa. L’équipe de football de l’école de Nankatsu, menée par Tsubasa Ozora, à défaut de remporter la victoire, a au moins obtenu un match nul. C’était suffisant pour permettre à ses joueurs de rêver l’impossible. Aussi, ils ont gagné le respect des joueurs de l’équipe rivale, celle de l’école de Shutetsu, et de leur capitaine, l’arrogant Genzo Wakabayashi. Maintenant, tous se tournent vers la prochaine étape : chaque année, toutes les équipes de la ville rivalisent pour représenter la préfecture à la compétition du Japon.



Le mangaka Yoichi Takahashi réussit toujours à m’impressionner avec des dessins emplis de réalisme spectaculaire. C’est comme regarder de vrais matchs de foot. Et le lecteur sera servi dans ce tome. Même si l’action est rapide et que le choix a été fait de ne pas s’attarder longtemps sur chaque rencontre, les faits saillants des matchs entre les cinq équipes de la ville sont suffisants. Aussi, on a droit à des incursions dans la vie privée de Tsubasa Ozora et Genzo Wakabayashi (parmi les meilleurs rivaux de l’histoire des mangas), ainsi qu’à l’arrivée d’un certain Taro Misaki qui ne peut que jouer un rôle important dans les tomes à venir. Ainsi, d’autres merveilleuses et palpitantes aventures dans les tomes suivants. À suivre.

Douzième et avant-dernier tome de la série de manga Captain Tsubasa. Ça sent la fin… mais pas tout de suite. C’est la finale, et l’égalité force une période de prolongation. Et, alors que je pensais que les enjeux ne pouvaient être plus élevés – la victoire à la Coupe de football du Japon junior n’est-elle pas suffisante ? – l’auteur trouve le moyen de faire monter la tension. Aussi, c’est comme si tous les personnages, mêmes ceux qui ne sont pas les joueurs, avaient quelque chose à y gagner. Gros plans sur le père de Tsubasa, capitaine de long court, sur une mer quelconque, qui pense à la victoire de son fils. Une sélectionneuse présente lors du championnat pense à recruter un joueur : qui de Tsubasa ou Kojiro choisira-telle ? Roberto Hongo, les amis et la famille de chacun, et tous les supporters ne se peuvent plus. Même la pluie fait des siennes.



Mais ce n’est rien comparé à l’atmosphère dans les deux camps : elle est électrisante, palpable. On essaie de se remonter le moral, de trouver de nouvelles forces. L’espoir est là et la victoire, au bout des doigts mais en même temps presque inaccessible.



Mais, sérieusement, après avoir suivi Tsubasa et sa bande pendant tout ce temps, peut-on vraiment s’attendre à autre chose qu’à une victoire de l’équipe de Nankatsu ? Quoique Yoichi Takahashi nous a réservé quelques surprises tout au long de sa série…



Après autant de tomes, je ne sais plus quoi dire des coups de crayons de Yoichi Takahashi. Il maitrisait déjà très bien son art au tout début de cette aventure et ses dessins ont peu changé. Mais pourquoi vouloir bouleverser une formule gagnante ?

Avant Dragon Ball, Pokémon et One Piece, au début des années 1980, il y avait Captain Tsubasa. Beaucoup plus réaliste que les autres mangas à succès, il racontait les aventures de jeunes joueurs de foot japonais. Son succès fut instantané et immense. Tellement que, rapidement, on en fit une série, connue en France sous le titre Olive et Tom. Mais revenons au manga. À onze et demi, Tsubasa Ozura déménage dans une nouvelle ville et sa première préoccupation est de trouver un terrain où jouer avec son ballon. N’est-ce pas le lot de la majorité des garçons ? Il y arrive et, aussitôt, il est pris au milieu d’une dispute entre Ryo Ishizaki (de l’école Nankatsu, celle de Tsubasa) et Genzo Wakabayashi (de Shutetsu) qui veulent tous deux le terrain. Ce dernier est un gardien de but hors pair et il lance un défi à Tsubasa : réussir à scorer contre lui. Ce sera le début d’une grande rivalité.



Les dessins sont bien faits, ils n’ont pas vieilli, même si on est rendu plus loin aujourd’hui avec les mangas. Trente ans plus tard, je les apprécie encore. Je crois que j’aurai toujours un faible pour Captain Tsubasa, sans doute à cause de la nostalgie qui prend, qui me ramène à ma propre enfance, à quand je jouais au foot. Même si j’espérais toujours la victoire de Tsubasa, j’étais gardien de but alors j’avais une grande estime pour Wakabayashi. Dans tous les cas, c’est une histoire agréable à lire avec des personnages sympathiques.

Que dire de plus sur Captain Tsubasa. Ce treizième et dernier tome, de la série originale, clôt bien ce manga. La Coupe du Japon junior a été remportée par Tsubasa Ozora et ses coéquipiers du FC Nankatsu. Après, chacun rentre chez soi, plusieurs s'en vont pour de bon. C'est le cas de Taro Misaki. On savait depuis un certain temps déjà qu'il allait suivre son père qui, à cause de son emploi, se promène de ville en ville. Mais les séparations ne s'arrêtent pas là. Wakabayashi lorgne du côté de la ligue allemande, son coach personnel part de son côté. Même Roberto Hongo qui repart au Brésil, quoiqu'il s'agit probablement d'un au revoir parce qu'il a promis d'aider Tsubasa à devenir joueur professionnel.



Je me rends compte que, dans mes critiques, j'ai peu parlé de Roberto Hongo. Ancien membre de l'équipe nationale nationale du Brésil, qu'un décollement de la rétine empêche de jouer, il était un peu l'original de la bande. Il a été présenté sous l'aspect de ce qui semblait être un SDF alcoolique, déambulant dans la rue. Il faut bien admettre que la fin abrupte d'une carrière glorieuse peut mener à quelques débordements. Quoiqu'il en soit, il s'est vite repris et a servi d'entraineur pour Tsubasa. Plus, même, l'aidant à remonter son moral, à surmonter les épreuves. Un vrai mentor !



Dans tous les cas, c'est un peu triste de voir tous ces personnages partir de leur côté. Mais bon, c'est aussi ça la vie, des départs. Il faut essayer de prendre les choses de manière positive et se dire que cela laisse de la place à des nouveaux arrivants. Et, avec l'été qui commence, c'est le temps de s'amuser et se créer des souvenirs plaisants.



Puis, après les vacances, Tsubasa trouvera sa voie au collège Otomo. La fin du manga laisse supposer que, en attendant de vieillir et grandir un peu, il continuera à s'améliorer et à évoluer dans les ligues junior. Peut-être même à battre des records ? J'adore ces fins ouvertes optimistes.



C'est la fin d'une aventure, mais d'autres s'annoncent déjà. Plusieurs suites ont été écrites, des dizaines et des dizaines de tomes, alors les fans de Tsubasa seront comblés.

Mon intérêt pour la série de mangas Captain Tsubasa ne s’épuise pas. Il faut dire que les jeunes footballeurs poursuivent leur avancée dans le championnat de la Coupe du Japon Junior. Dans les derniers tomes, les joueurs de l’équipe de Nankatsu ont affronté des adversaires plus grands, plus gros, mêmes des jumeaux qui ne forment qu’un. Il était temps de les mettre face à face avec un original, hors catégorie : Ken Wakashimazu. Mais ce duel de l’enfer devra attendre, d’autres équipes sont sur leurs chemins.



Tout devient encore plus intense, comme si c’était possible ! Les tirs au but spectaculaires, les tacles, les chutes, les fautes, etc. Il n’y a pas que les ballons qui volent, les joueurs aussi ! Avec leurs figures aériennes, ils deviennent des artistes ! Mais ça ne leur fait pas tourner la tête, le travail d’équipe mais surtout le duo Tsubasa-Misaki restent leurs meilleurs atouts, jusqu’à maintenant… leur montée vers la victoire est loin d’être terminée.



J’en ai peu (ou pas) parlé jusqu’à maintenant dans mes critiques, mais ces deux-là, Tsubasa et Misaki, les vedettes, les meilleurs joueurs de leur département, voire du Japon, sont de petite taille par rapport à leurs coéquipiers et leurs adversaires. C’est souvent un exploit de réussir aussi bien dans un sport si physique quand on affronte des personnes plus grandes et plus costaudes. Comme quoi le talent mais surtout le courage et la détermination sont toujours importants et peuvent mener bien loin. C’est un exemple à suivre.

Le match entre Meiwa et les favoris des lecteurs, l’équipe Nankatsu menée par le protagoniste Tsuabasa Ozora, se poursuit. Lors du dernier tome de cette série de mangas, les favoris ont réussi au prix d’un effort surhumain à déjouer la défense adverse et à marquer un but dans les filets du cerbère Ken Wakashimazu. Cet exploit paraît impossible à répéter et le match se termine sur un score égal. Le moral s’envole. Mais c’est bien souvent quand les causes semblent perdues que les grands se révèlent. Et Captain Tsubasa n’a pas dit son dernier mot. C'est sur cette note que s'amorce la période de prolongation. Ce suspense est terrible.



Tout monte d’un cran. La plupart joue avec tout ce qu’ils ont dans le ventre. Pour certains, cela signifie la rage et le désir de vaincre à tout prix. Ouch ! Et, pour mettre en valeurs ces émotions, le mangaka Yoichi Takahashi joue beaucoup avec ses dessins mais sutout ses cases et ses planches. Il me semble avoir vu plus de planches complètes qu’avant, ou bien avec des personnages de pied, parfois contre une scène d’action. Aussi, les cases obliques étaient très nombreuses, souvent avec des fondus. Sans oublier les effets «temps de suspension».



Je sais que j’en ai parlé dans mes critiques des tomes précédentes de Captain Tsubasa, mais je dois le répéter : Takahashi maitrise également l’art du suspense. Certains tirs peuvent s’étirer sur plusieurs pages. Pendant ces interminables instants où on regarde en vitesse les dessins et où on lit tout aussi en vitesse les mots (les animateurs qui commentent le match, les supporters qui réagissent et, surtout, les joueurs qui s’exclament), on se demande ce qui se passera. Le tir sera-t-il bloqué, arrêté ou bien finira-t-il dans le but ? Quel suspense !

Ce huitième tome de la série de manga Captain Tsubasa était l’un des moins mémorables, à mon avis. Des jeunes footballeurs qui luttent pour progresser dans le championnat de la Coupe du Japon junior, après cinq livres, ça commence à paraître répétitif. Et je ne dis pas ça pour critiquer le travail du dessinateur Yoichi Takahashi. Je peux comprendre que c’est difficile de réinventer ou rendre original des parties de football après tant d’aventures.



Tsubasa Ozora est toujours aussi remarquable, c’est l’As de Nankatsu, sur qui repose essentiellement le succès de son équipe. Bien sûr, il est habituellement aidé de Taro Misaki, mais ce dernier semble invisible. Il n’y en a que pour Tsuabasa, qui réussit à se surpasser continuellement. Peut-être un peu trop ? Il s’épuise à la tâche…



Là où il y aurait eu lieu d’améliorer un peu les choses, c’est avec l’adversaire principal de Tsubasa. Je croyais que ça allait être Ken Wakashimazu, un original qui a fait son apparition dans le tome précédent, mais non. C’est Musashi qui constitue l’opposant. Malheureusement, il ressemble trop à l’As de Nankatsu. Parfois, dans les dessins, je confondais les deux. Et il ne se démarque pas trop par sa perosnnalité non plus.



Le point fort de ce tome, comme tous les autres, c’est que Yoichi Takahashi maîtrise l’art du suspense. Parce que, oui, dans son cas, c’est un art. Presque chaque page se termine sur un plan séquence du tonnerre, un effort incroyable, un tir au but, une passe difficile, etc. Jamais je ne parviens à refermer un Captain Tsuabasa avant la fin. Parlant de fin, celle de ce tome est particulièrement éprouvante, voire dramatique.

On passe aux choses sérieuses. Ce neuvième tome (sur treize) de la série de mangas Captain Tsubasa marque un tournant. L’équipe de football des jeunes de Nankatsu est aux portes des finales du championnat de la Coupe du Japon Junior. S’ils ont pu se rendre si loin, assurément ils peuvent gagner. Non ? Dans tous les cas, on ne peut que l’espérer. Mais ils ne sont pas au bout de leurs difficultés car le niveau monte d’un cran.



Cette fois-ci, si Tsubasa Ozora réussit à déjouer attaquants et défenseurs, il rencontre un mur en la personne de Ken Wakashimazu, le gardien de but adverse. C’est le grand duel attendu. Je crois qu’il est encore meilleur que Genzo Wakabayashi, l’ancien rival de Tsubasa maintenant son coéquipier en tant que gardien de but de Nankatsu. Et celui-là était déjà un Cerbère. Est-ce que l’As réussira à trouver la faille et à scorer un but ? La pression est forte, le suspense, à son meilleur. J’étais tellement investi dans ces personnages que, parfois, j’avais l’impression de suivre un vrai match. Après un huitième tome plutôt ordinaire, mon intérêt s’est ravivé et il m’était impossible d’arrêter là ma lecture. J’ai dû entreprendre aussitôt le dixième tome.



Si l’histoire est palpitante (même pour moi qui ne suis plus très bien l’actualité sportive), c’est que le mangaka Yoichi Takahoshi réussit très bien à rendre les émotions des personnages et à les capturer «sur le vif», à la manière d’un appareil-photo. Tout est dans l’action. Et heureusement car, en regardant les Captain Tsubasa avec des yeux d’adulte un peu critique, je me rend compte que les dessins sont un peu ordinaires. Il faut dire que, des garçons en maillots sur un terrain de foot, c’est pas si évident à rendre original, à se démarquer. N’empêche, ça a été suffisant pour me faire rêver quand j’avais dix ans, et ça a continué à faire rêver d’autres jeunes depuis trente ans.

Yoichi Takahashi trouve toujours le moyen de rendre son manga palpitant. Captain Tsubasa est l’histoire de jeunes footballeurs qui se battent pour remporter la Coupe du Japon Junior. On parle de collégiens qui pratiquent un sport, pas du sort de l’humanité. Néanmoins les émotions fortes sont toujours au rendez-vous. Dans ce sixième tome, Tsubasa Ozora, Genzo Wakabayashi et leurs amis poursuivent leur ascension vers la gloire mais ce n’est exempt de toutes difficultés. En jouant au niveau national, ils affrontent des adversaires toujours plus redoutables. Aussi, Ryo Ishizaki commet une grosse bourde, Taro Misaki annonce à tous qu’il déménage bientôt… Pour des enfants ou des adolescents, ça peut vouloir dire la fin du monde ! C’est triste mais c’est aussi ça, la vie et la jeunesse. Ça et le football, bien entendu. En terminant, les acrobaties aériennes de Tsubasa sont hallucinantes, j’aurais aimé n’avoir qu’une petite parcelle de son talent quand je pratiquais ce sport… Et, tant qu’à y être, aussi une parcelle du talent en dessins de Takahashi.

Dans le troisième tome de la série de mangas Captain Tsubasa, on a vu les cinq équipes de football d’une ville japonaise se disputer l’honneur de la représenter à la Coupe du Japon Junior. Évidemment, celle de l’école de Nankatsu a battu toutes les autres. Quand on a un joueur étoile comme Tsubasa Ozora, et que c’est le personnage principal du manga, il ne pouvait en être autrement malgré les sueurs froides ressenties pendant la lecture. Toutefois, surprise ! Les autorités ont changé leurs façons de faire et ont décidé de sélectionner les meilleurs joueurs de chaque équipe.



Quand j’ai lu ça la première fois, j’ai ressenti un petit serrement. Quoi ? Quelques joueurs (anonymes ? de Nankatsu seront mis de côté ! Mais bon, à part le capitaine Ryo Ishizaki (et je commençais à le trouver agaçant à toujours crier et s’emporter), les autres me laissaient plutôt indifférents.



Pour tout dire, secrètement, je rêvais d’un dénouement pareil. Les trois premiers tomes misaient sur la rivalité entre Nankatsu et Shutetsu, menée par Genzo Wakabayashi. Ce dernier est gardien de but, comme je l’étais moi-même quand j’étais jeune et que je lisais ces mangas. Ainsi, même si j’espérais toujours une victoire de Tsubasa, mon admiration allait à Wakabayashi. Alors que mes amis le trouvaient arrogant, vantard et méchant, moi, je le toruvais plutôt sur de lui et déterminé. En même temps, c’était le seul adversaire de taille pour Tsubasa. En voir un des deux éliminé, n’importe lequel, était une grande perte.



Le mangaka Yoichi Takahashi a eu une idée de génie en forçant ces anciens rivaux à être membres d’une même équipe. Obligés de travailler ensemble, Tsubasa et Wakabayashi devront oublier le passé et, à défaut de devenir amis, au moins coéquipiers. Et les deux sont suffisamment ambitieux pour y parvenir. Bonne à eux lors de la Coupe du Japon Junior !

La lutte pour la Coupe du Japon Junior ne fait que commencer ! J’aime bien les mangas mais aucun n’a jamais réussi à surpasser Captain Tsubasa. Si certains présentent des univers plus originaux, des scènes d’actions aux coups de crayons mieux définis, les aventures des jeunes joueurs de football demeurent mes préférées. Une vingtaine d’années après ma première lecture, c’est toujours aussi bon. Seule ombre au tableau, l’absence de filles se fait remarquer. Il y a bien cette supporter (que je trouve agaçante) et, à l’époque, dans des compétitions sportives masculines, c’est un peu normal, mais trahit l’âge…



Dans tous les cas, dans ce cinquième tome, les enjeux montent. Derrière le prétexte du sport et d’un championnat junior, on (re)découvre les vertus de l’amitié (malgré les anciennes rivalités), de la détermination (malgré les blessures et les adversaires plus imposants) et surtout de la résilience (malgré la défaite). Tsubasa avait déjà subi des matchs nuls mais la défaite, jamais ! Oh que je me sentais mal pour lui. C’est que toutes les émotions que les personnages vivaient, je les ressentais également. Heureusement, «nous» auront la chance de surmonter cet obstacle dans le prochain tome…

Alors l'histoire de Tsubasa Ohzora et Genzo Wakabayashi ça vous dit quelque chose?

Mais si quand même, Olivier Atton et Thomas Price?? Toujours pas!!

Bon alors Olive et Tom ils sont toujours en forme, Tom Olivier sont super entraînés.... Des joueurs qui parcourent un terrain en 20 minutes ( oui oui le terrain fait sans doute plusieurs kilomètres!), des tirs de l'aigle... du faucon... du tigre et bien sûr la catapulte infernale... Que de souvenirs...

Voilà un grand classique qui a bercé l'enfance de beaucoup de monde.

On retrouve Tsubasa, toujours aussi ravi de courir après un ballon. Son sourire est contagieux. Il est tellement gentil que tout le monde l'adore. En plus, un possible avenir s'ouvre à lui au Brésil. Afin de pouvoir y aller il faut qu'il gagne une compétition régionale. Bien entendu, cela ne semble pas très compliqué. De nouveaux personnages arrivent qui eux n'ont aucun respect des autres. C'est la gagne à tout prix. Par contre, au niveau dessin, beaucoup se ressemblent. Heureusement que Yoichi Takahashi met le nom autour pour que l'on évite de se tromper. C'est la marque aussi d'une autre époque. D'ailleurs, les adaptations sont plus nettes et précises. La série reste une institution au Japon. Le pays rêve encore d'être champion du monde de football. C'est beau de rêver. Par contre ce qui reste gênant sont les propos misogynes. Ce n'est pas un hasard si les femmes présentes sont soit dans une maman, femme au foyer, soumise ou soit juste une supportrice, amoureuse de Tsubasa. C'est limitatif et très cliché. Mais le lectorat lui va s'attarder sur ce qui les intéresse, les matchs. Ils seront ravis car on en aura beaucoup.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..

Captain Tsubasa est enfin édité sous son nom d'origine. Terminé les Olive et Tom et compagnie. Ici nous retrouvons tous les noms d'origines que se soit pour les équipes ou pour les noms de personnages.



L'avantage du manga est qu'il parvient à aller bien plus vite que l'anime que l'on as tous connu enfant. Même si cela était mignon c'était quand même très long.



Ici les phases s'enchainent rapidement et on a l'impression d'être dans un monde plus réaliste (j'ai bien dit l'impression)



Ce premier tome pose les bases d'une série assez sympathique à suivre. Je connais l'anime par coeur et je suis ravi de retrouver cela en manga. Bien évidemment il faut se souvenir que le manga date de 1981 donc les dessins peuvent paraitre un peu daté par rapport à ce qui se fait de nos jours.



En tout cas, pour ceux qui ont aimé l'anime étant petit, je vous conseille cette série.

Le jeune Tsubasa Ohzora est déterminé à devenir le meilleur joueur de football du monde. le petit prodige du ballon rond a du talent à revendre et une volonté de fer. Il sait qu'avant de réaliser ses rêves les plus fous, il devra intégrer une équipe surdouée et soudée, puis faire ses preuves sur le terrain, mais celane lui fait pas peur. Non ! Vraiment ! Rien ni personne ne pourra empêcher Tsubasa d'accéder au plus haut niveau et d'offrir, le jour venu, la coupe du monde de football

j'ai aimer c'est manga

série de folie.

j'apprecie enormement ce manga tout simple ,qui donne envie de courir!





Le heros de l'histoire ,Tsubasa Ozora,rencontre et affronte des adversaires:

Genzo Wakabayashi

Kojiro Huyga

Jun Misugi

Les freres Tachibana

Makoto Soda

Hikaru Matsuyama



et encore pleins d'autres!!!!!!