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Critiques de Yuki Kodama (II) (78)
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Chiisako garden

Un manga tout mignon comme on les aime ! Le monde des chapardeurs qui nous ramène à Arrietty et aux minimoys. C’est doux, léger, empreint de légendes… Et là pour une fois y a qu’un tome alors qu’on en redemanderait !...
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Chiisako garden

Même si le format est court, il y a de l’émotion, de l’intensité, de jolies histoires, et certains récits sont vraiment humains et touchants. Un ouvrage sympathique, dont les protagonistes ne sont pas sans rappeler Arrietty, le petit monde des chapardeurs, d’Hayao Miyazaki.



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Chiisako garden

Chiisako Garden est un manga composé de cinq histoires, dont certaines sont indépendantes les unes des autres et d'autres intimement imbriquées. Toutefois, elles conservent le point commun de mettre en scène des Chiisakos, qui sont de minuscules êtres que seuls les coeurs purs, c'est-à-dire les enfants mais aussi les personnes qui ne sont jamais tombées amoureuses, peuvent voir.



J'ai tellement aimé ces courts récits de vie, qui abordent avec délicatesse et sensibilité des thématiques universelles telles que les relations familiales, amicales et amoureuses, mais aussi des sujets plus spécifiques comme le processus créatif, l'écriture mais aussi le cas des hikikomoris, que j'ai pour ma part complètement découvert.



Même s'il s'agit d'un one-shot composé de plusieurs historiettes, je me suis facilement attachée aux personnages. de plus, on retrouve Ten, le Chiisako que vous voyez en gros plan sur la couverture, dans plusieurs d'entre elles, ce qui renforce notre attachement. Certains récits sont plus percutants, notamment le quatrième et le cinquième qui sont encore ancrés dans ma tête.



Loin d'être enfantin, je pense que ce manga s'adresse aussi et surtout aux adultes qui ont su conserver leur part d'imagination. J'ai besoin de ce genre de lecture, où la nature est mise à l'honneur, et où le merveilleux côtoie notre monde. Ça fait tellement de bien, je ne peux que vous recommander Chiisako Garden si comme moi vous êtes sensibles à la poésie des simples instants de vie.
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Chiisako garden

Petit trésor de douceur et de poésie, « Chiisako Garden » est un recueil de plusieurs histoires courtes, qui se répondent. Les amoureux des films des studios Ghibli trouveront leur bonheur dans ce délicat univers fantasy.
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Chiisako garden

Les Chiisako sont des petites créatures vivant parmi les humains depuis des siècles. Seuls les enfants, ceux qui n'ont jamais connu l'amour ou les mourants peuvent les voir. Ce recueil de 5 nouvelles, nous fait découvrir quelques personnages de ce petit peuple et leur interaction avec des humains. Ce manga se mit un peu comme un conte où règne une extrême douceur et où la violence de notre monde est inexistante. On passe un agréable moment de lecture.
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Chiisako garden

C'est le premier one shot manga que les éditions Vega publient, sauf erreur de ma part, et il se place parmi les trois meilleurs que j'ai lus, avec "Our summer holiday" et "sous la lune de Taisho", tous deux lus récemment. Les meilleurs mangas de la rentrée 2019 seraient-ils ceux en un seul tome ? 😏

En tout cas, j'attendais avec impatience "Chiisako Garden" de Yuki Kodama et je n'ai pas été déçue. Ce recueil de cinq nouvelles nous présente les Chiisako , de petites créatures liliputiennes semblables à des lutins qu'on ne peut voir que si on n'a jamais été amoureux. À partir de cette trame toute simple, en mêlant le réalisme du quotidien au merveilleux des contes et des légendes, la mangaka parvient à créer cinq histoires différentes, parfois fondées sur la romance. Les émotions du lecteur sont très souvent sollicitées. Quatre récits se passent à notre époque, mais l'un d'entre eux nous entraîne au temps des samouraïs, à l'époque d'Edo. Certaines intrigues se croisent et les cinq histoires valent le coup pour peu qu'on ait gardé son âme d'enfant. Un recueil dont le contenu vaut la beauté de sa couverture.
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Chiisako garden

J’attendais énormément ce manga que j’ai adoré. Certes nous capturons des instants de vie mais nous n’oublions pas d’avoir des surprises, de relier les choses. Ainsi nous ne sommes en aucun cas frustré.

Magnifique livre, magnifiques histoires. C’est beau, c’est touchant. Le graphisme est sublime. Et un voir un humain sympathisait avec un chiisako ça n’a pas de prix.

Une merveille
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Chiisako garden

Comme l’explique le résumé, ce one shot est en fait un recueil de cinq histoires courtes, partageant les mêmes thématiques et mettant les chiisakos au cœur des interactions. Car ces créatures, vues seulement par les enfants, les gens ne connaissant pas l’amour ou ceux proches de la mort, semblent être des révélateurs de ce que les gens ont en eux et de leurs sentiments.



Ainsi, le dénominateur commun de toutes ces histoires est qu’au contact des chiisakos, les différents personnages vont s’ouvrir aux autres et parfois prendre conscience de sentiments qu’ils éprouvent. Que ce soit une mère qui finit par comprendre sa fille, un éditeur qui se rend compte que sa relation à son autrice n’est pas seulement professionnelle, ou autre… les chiisakos apparaissent comme de petits esprits assez espiègles qui sont connectés aux sentiments humains aussi bien qu’à la nature.



Et justement, la nature ne me semble finalement pas au cœur du récit, contrairement à ce que je croyais. Ce n’est pas un problème en soi, car la thématique principale réelle, qui est la complexité des rapports humains, est également passionnante et traitée avec intelligence. De plus, une autre couche thématique vient s’y ajouter du fait que dans plusieurs histoires, le rapport à l’imaginaire et à la fiction est central. En effet, plusieurs personnages sont auteurs ou travaillent au contact de ces derniers.



Et sur ce point, c’est clairement la dernière histoire qui va le plus loin selon moi. Sans en dévoiler trop, elle est centrée sur une autrice à succès, sur le point de mourir de vieillesse, qui a été marquée par sa rencontre avec un prince chiisako durant sa jeunesse. Elle traite ainsi les deux thématiques conjointement pour mon plus grand plaisir, et trouve une conclusion très touchante. Et c’est finalement ce qui m’a manqué dans les autres histoires, ce qui fait que, bien que la lecture ait été agréable, ce n’est pas un coup de cœur pour moi.



En résumé, je recherchais de belles émotions dans ces récits, et je dois avouer que seul le dernier m’a vraiment offert cela. Les autres sont très réussis au demeurant, mais me concernant, je n’ai pas été touché plus que ça. Est-ce que pour autant je dirai que ce recueil n’est pas à la hauteur ? D’un côté, j’en attendais plus, mais de l’autre, je dois admettre que c’est quand même une bonne lecture, très bien écrite et intéressante. Mais comme toujours, tout cela reste très personnel.
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Chiisako garden

Ce titre m’intriguait, mais je n’osais pas trop me lancer, peur que le genre ne me plaise pas, surtout que Yuki Kodama est connue chez nous pour son titre précédent Kids on the slope que je n’ai pas lu.



Dans ce one-shot, on va se retrouver avec 5 petites histoires indépendantes mais dont 3 qui vont avoir des liens par la suite. Des histoires se positionnant dans un Japon moderne ou plus vieux, chacun abordant une thématique (principalement celle de l’amour mais sous différents angles) et enfin aborder un peu le thème des chiisako.

J’ai beaucoup aimé ce one-shot, qui aura su me toucher sur certaines histoires, alors que d’autres m’auront laissé très indifférentes. Juste j’ai eu une petite déception avec cet ouvrage, c’est le manque d’informations sur les chiisako, j’aurai bien aimé en savoir plus sur leur mode de vie, nourriture, logement, vêtements et autres.

Alors je fais un peu mauvaise langue, c’est abordé dans la dernière histoire, mais pas assez profondément je trouve, en même temps on est que dans un one-shot il faut aller à l’essentiel.



Pour parler très rapidement des histoires, je voudrai vous laisser la surprise et la découverte de ces petites histoires.

La première, nous sommes dans le Japon moderne, une famille qui emménage dans une nouvelle maison au style traditionnel, et la dernière de la famille se met à voir un petit être dans le jardin. On la suit dans toute son insouciance et son innocence, où l’imaginaire est réel, et où des parents, des adultes sont formatés et perdent toute la magie de l’enfance. L’adulte devient un peu aigri… Cette histoire nous permet d’avoir une première approche avec les chiisako.



La deuxième qui m’aura assez laissée indifférente, nous découvrons un des secrets les plus importants des chiisako. On le découvre avec un petit être différent de la première, et deux personnages totalement différents, un éditeur et un auteur partis en randonnée pour trouver de l’inspiration. Cette histoire rien de transcendant, mais je dirai que la morale est : « L’amour rend aveugle » ! Si vous l’avez lu, vous comprenez de quoi je parle !



La troisième est assez intéressante pour le sujet traité, on découvre un nouveau chiisako blessé, qui va être soigné par un humain et qui va se retrouver à s’attacher à ce petit être. Cette histoire va nous permettre de découvrir quelques capacités de ces petits êtres à la chasse, ou même leur pouvoir. On suit un jeune homme qui s’enferme chez lui et qui ne sort plus, il a peur du monde extérieur. Sauf que cette chiisako va l’aider, on voit bien les efforts qu’il est prêt à faire pour l’aider, l’évolution, et l’aide qu’une personne peut apporter à une autre en détresse.



La quatrième nous renvoie dans la maison de la première avec le chiisako du début, sauf que nous sommes quelques siècles auparavant, à l’époque où les samouraïs étaient bien présents. Ici il est question de personnes plus ouvertes au fantastique, à l’imaginaire, mais aussi il est question du mariage arrangé qui se faisaient beaucoup (et malheureusement on en a encore de nos jours…), où l’homme et la femme avaient une grande différence d’âge. On va découvrir l’attachement de l’un pour l’autre, le développement des sentiments, et chacun voulant le bonheur de l’autre. Celle-ci m’a beaucoup touché, même si je pense que ce genre d’événements devaient arrivés très rarement… Dans celle-ci on découvre la longévité des petits êtres, mais je me pose encore quelques questions sur eux…



Enfin la dernière, alterne plutôt bien avec passé et présent, et est étroitement lié à la première. On découvre une autrice qui a eu la chance de découvrir le monde des chiisakos aidés par le prince de ces derniers. On va pouvoir voir très rapidement leur lieu de vie, et leurs « maisons » mais c’est très rapide… Et on va découvrir aussi pourquoi ils apparaissent aux yeux des êtres humains. Là aussi, la fin est très touchante, et elle boucle bien le one-shot.



Toutes ces petites histoires sont bien pensées et s’emboîtent bien pour nous faire découvrir à chaque fois quelque chose de plus sur eux. Presque j’en redemande, je ne suis pas rassasiée de cet univers… En tout cas je recommande ce joli recueil, qui fera passer un très bon moment avec ces petits êtres
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Chiisako garden

Déjà enfant, j'étais fan des Minipouss et des Voyages de Gulliver qui passaient à la télévision, alors forcément quand je sais que ces créatures font partie des histoires d'un manga qui doit sortir, je ne peux que m'y intéresser. Ajoutez à ceci que l'autrice n'est autre que celle de Kids on the slope, ce josei sur le jazz que j'ai adoré il y a quelques années, j'étais obligée de l'acheter !



Chiisako Garden se présente un peu comme un titre pour enfants, du moins en apparence, mais quand on commence à lire les 5 histoires qui le compose, on se rend compte que Yuki Kodama s'adresse en fait aux adultes et tente de leur rappeler combien l'imagination est importante et qu'il ne faut jamais se moquer de ceux qui en ont. C'est ainsi une très belle ode au travail que font les auteurs en mettant les mondes qu'ils ont imaginés à notre disposition.



Pour ma part, j'ai aimé de bout en bout, d'abord parce qu'on y retrouve le trait simple mais évocateur de l'autrice, mais également ses ambiances un peu hors du temps et empreintes de mélancolie, qui m'avaient tant charmée autrefois et dans lesquelles je me retrouve. Chaque histoire est l'occasion d'aller au devant d'un personnage qui rencontre un Chiisako, ces créatures qui ressemblent à des Lilliputiens. Mais chaque héros est également quelqu'un qui détonne un peu dans le paysage, soit par son imagination fertile, soit par son inadaptation aux normes de ceux qui l'entourent. Et les aventures qu'il ou elle va vivre sera un moyen de découvrir que ce n'est pas grave d'être différent et qu'il faut au contraire le cultiver. J'ai beaucoup aimé ce message.



Dans la première histoire, nous faisons la connaissance d'une charmante petite fille, qui comme dans Arrietty va emménager dans une nouvelle maison et y faire la connaissance d'un Chiisako répondant au nom de Ten, mais elle est la seule à le voir et personne ne la croit. Sa mère a beau être autrice (oui AUTRICE et non "auteure" qui ne respecte pas la règle de construction des noms au féminin... et qui m'a agacé tout au long de ma lecture...), elle ne parvient pas à faire preuve d'imagination face à ce que lui raconte sa fille et la rabroue inutilement. La mangaka fait ici une belle critique du fossé entre enfants et adultes et des incompréhensions et frustrations qui peuvent en naitre. C'est une belle histoire émouvante où une mère qui va apprendre à écouter sa fille, lui faire confiance.



Dans la deuxième histoire, on retrouve ce monde de l'écriture, puisque ceux qui vont rencontrer un nouveau Chiisako sont autrice et éditeur. En effet, au détour d'une sortie à la montagne pour un repérage afin d'écrire un roman, le binôme va tomber sur une de ces créatures. On va découvrir avec eux de façon assez amusante qu'il y a des règles pour pouvoir voir les Chiisako : seuls les enfants et gens qui n'ont jamais été amoureux le peuvent. C'est l'occasion de faire une incursion dans le processus créatif d'une autrice ainsi que dans le genre de relation qu'elle peut entretenir avec son éditeur, j'ai trouvé ça fort intéressant. Il y a aussi un joli discours sur son travail et la place qu'y tient l'imagination une fois de plus. Et pour finir, j'ai beaucoup aimé le choix par la mangaka d'une héroïne enrobée. Elle en fait un très beau portrait avec cette femme enjouée, pleine d'énergie, à l'aise dans son corps et dans sa tête. C'est une histoire adorable lors de laquelle on voit en direct un personnage tomber amoureux de façon fort cocasse.



Dans la troisième histoire, Yuki Kodama ose parler avec beaucoup de douceur et de bienveillance d'un phénomène terrible : les hikkikomori, grâce à son héros qui est un jeune garçon qui vit enfermé chez lui, n'ose plus sortir et ne va donc plus en classe. Sa rencontre avec une Chiisako va l'aider à s'en sortir, à s'ouvrir de nouveau et à oser affronter le monde. Même si elle m'a plu, c'est l'histoire que j'ai trouvée la plus faible. La relation entre les deux personnages, la belle amitié et plus, qui se noue entre eux va trop vite et aurait mérité qu'on prenne plus le temps. Mais j'ai trouvé la fin très belle, pleine de douceur, de sensibilité et de subtilité. On y découvre également encore de nouveaux petits détails sur les créatures au centre de ce recueil.



J'ai été surprise de retrouver Ten, le Chiisako des débuts, dans la quatrième histoire. On découvre son passé, quand il cohabitait avec d'autres humains dans la maison où on le rencontre. Ces derniers sont un mari et une femme un peu particuliers, ce que nous allons découvrir au fil des pages. La jeune femme est la seule à voir Ten et à entretenir une relation directe avec lui, mais son mari et au courant et la croit, faisant preuve d'une belle ouverture d'esprit. Toute l'histoire repose sur la relation de ce couple et ne voulant pas vous gâcher le plaisir, je dirai juste que j'ai été très émue par la fin. C'était une belle histoire en costumes.



Enfin, la dernière histoire prête à sourire puisqu'on y fait la connaissance, sur son lit de mort, de l'autrice des livres pour enfants racontant les aventures des Chiisako. Elle nous explique d'où lui sont venues toutes ces idées et c'est l'occasion de revivre un moment charnière de son passé. C'est une charmante histoire, qui met des étoiles dans les yeux du lecteur et en même temps où la mangaka fait preuve de beaucoup d'humour et de second degré. Elle livre à nouveau un beau message sur le processus de création des auteurs et ce à quoi ils peuvent aspirer dans leur travail. J'ai trouvé la fin parfaite !



Pour conclure, au cours des 5 histoires de ce recueil, j'ai adoré trouver une légère ambiance fantastique à la japonaise avec de nombreuses incursion dans leur folklore et leurs traditions. La nature y tient une grande place tout comme le travail des auteurs, pourvoyeurs d'imagination et d'évasion pour les lecteurs. C'est un très beau titre où l'on sent bien la patte de l'autrice et cela va au-delà de ces dessins typiquement josei que j'adore de part leur simplicité si expressive. Ce titre est un coup de coeur comme le fut Kids on the slope, on aimerait voir d'autres titres de cette autrice en France !
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Chiisako garden

Un manga très appréciable, en particulier par son format d'histoires courtes, toutes plus ou moins liées les unes aux autres. À travers différents personnages, différentes histoires et trajectoires, nous découvrons un univers insoupçonné peuplé de petites créatures (à la façon des Minimoys) visibles seulement par quelques personnes. Chacune des histoires nous permettra de ressentir des émotions différentes : attachement, tendresse, bonheur ou encore de la tristesse. Les dessins, en noir et blanc, sont plutôt fins et permettent une immersion totale dans ce monde fantastique. En refermant ce manga, on croirait presque apercevoir un Chiisako qui nous salue... Mais si juste sur votre épaule !
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Chiisako garden

Une agréable découverte de la mangaka et de l’univers des Chiisako pour ma part. Je ne connaissais pas cette partie du folklore et j’ai été agréablement surprise par ces petits êtres et surtout la façon dont l’auteure les traite au fil des 5 nouvelles. Ils sont vraiment considérés comme des êtres vivants, mais pas comparés aux êtres humains. Ils ont leur propres règles, mondes, coutumes… c’est très sympa. Les nouvelles sont douces, humaines, pleines d’espoir ou de douleur. Ma préférée est celle dans le Japon ancien, même si toutes les autres m’ont plu sans qu’une ne soit moins bonne qu’une autre. Elles sont chacune orientées sur un moment de vie, même si l’amour et l’acceptation de soi sont des thèmes récurrents (après tout, les Chiisako deviennent invisibles quand on tombe amoureux pour la 1e fois).



Graphiquement, le trait est soigné, j’aime beaucoup les visages, qui sont assez sereins, pensifs, mais peuvent rapidement passer à une émotion plus sombre. Les paysages sont riches et la végétation luxuriante.



La lecture ne plombe pas le moral, même si toutes les nouvelles ne terminent pas « bien ». Au contraire, il y a aussi beaucoup d’espoir et légèreté, ce qui rend cette lecture douce et agréable.
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Chiisako garden

Devant les avis unanimes, et parce qu’il s’agit d’un manga one-shot (ce qui est assez rare dans le genre), il me tardait de découvrir cet ouvrage que j’ai eu du mal à mettre la main dessus, victime de son succès!

Dans ce manga, nous retrouvons cinq petites histoires, indépendantes les unes des autres, mais avec pour seul point commun: les chiisakos, ces petites créatures, d’apparence humaine, haute d’un pouce, qui vivent dans le jardin et qui ne sont visibles que des enfants et des adultes qui ne sont jamais tombé amoureux. Cette thématique n’est pas sans rappelé, d’un point de vue plus occidental, le mythe des fées.

Quoiqu’il en soit, on retrouve beaucoup de tendresse tout le long de l’ouvrage. Et cette tendresse er cette douceur n’est pas forcément synonyme de mignonnerie et d’enfant. En effet, les histoires des adultes avec les chiisakos concernent à la fois des enfants, des adolescents, des adultes, en couple ou non. Il y a donc une certaine université qui permet de répertorier de façon assez large les relations entre humains et chiisakos.



A l’image de cette tendresse et douceur qui se dégage de ce manga, le trait est très fin et simple (et, de ce fait, un peu déroutant au tout début). Il est beau, envoûtant, précis, mais aussi réaliste. Ce sont des instants de vie que la managea nous a croqué mais d’une manière précise, incisive, et elle n’a vraiment pas eu besoin de plus pour réussir à nous attendrir. A noter également que pour une fois, les personnages n’ont pas de traits asiatiques: cela ne change rien à l’histoire et aux dessins, mais cela donne une petite surprise au tout début!
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Chiisako garden

Ce manga nous emmène dans une ambiance fantastique à la découverte des chiisako, êtres miniatures appartenant au folklore japonais. Dans l’ensemble j’ai beaucoup aimé ses cinq histoires. Elles sont très bien agencées les unes par rapport aux autres tout en apportant des éléments d’informations au fur et à mesure sur les chiisako et leurs relations avec les humains. J’ai eu un véritable coup de cœur pour le dernier récit qui clôture parfaitement bien le manga.
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Chiisako garden

Un manga fantastique plein de poésie, idéal pour se détendre, un régal !
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Chiisako garden

Dans la croyance japonaise existent des êtres miniatures, les chiisakos. Seuls les enfants, ou ceux qui ne sont encore jamais tombés amoureux peuvent les apercevoir. Petits lutins doués de pouvoirs magiques, bienveillants et proches de la nature, ils réservent de belles surprises. Ce manga est en fait un recueil de plusieurs histoires courtes mettant en scène ces chiisakos et les humains qu'ils rencontrent. Magnifique.
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Chiisako garden

Dans cet ouvrage, qui vient de paraître en France aux jeunes éditions Vega, Yuki Kodama cultive la symbolique du non-dit. L’autrice, qui se fait beaucoup trop rare, sait restituer beaucoup de profondeur dans des dialogues et scènes simples.
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Chiisako garden

La délicatesse du propos se retrouve dans le dessin au trait léger et expressif. Les personnages sont bien caractérisés tant dans leur allure que dans leur psychologie. [...] Ouvrant les portes d’un micro-univers merveilleux jouxtant le nôtre, Chiisako garden constitue une lecture plaisante et pleine de tendresse.
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Chiisako garden

J’ai eu ce livre dans un swap que j’ai organisé avec ma sœur. En effet une à deux fois par an, on s’organise un swap sur un thème donner. Là c’était les mangas. Je l’avais vu dans un cultura et avait dit que la couverture me plaisait beaucoup. Donc je l’ai un peu choisi pour la couverture sans même savoir si les dessins ou l’histoire serait susceptible de me plaire. Et j’ai appris récemment que l’auteur allait en sortir un second tome et je suis très heureuse de le savoir…

Nous sommes sur un manga seinen de type josei qui aborde des thèmes tranche de vie et fantastique.

A l’intérieur on y découvre plusieurs petites histoires sur les chiisakos sans rapport les unes aux autres sauf pour la première et l’avant-dernière. Car le chiisako présent dans la première histoire et le même que dans l’avant-dernière. Même si les histoires n’ont aucun rapport entre elles, je les ai trouvés très bien menée. Elles ont belles et tournent toutes autour du thème de l’amour. Que ce soit l’amour d’une mère pour son enfant ou un premier amour. On apprend d’ailleurs dans le livre que les humains ne voient plus les chiisakos une fois qu’ils ont connus l’amour.

Ce manga m’a permis d’en apprendre un peu plus sur le folklore japonais. Car il est vrai que je ne connaissais pas du tout les chiisakos avant d’ouvrir ce livre. Je connaissais les yokais et certaines créatures fantastique du folklore japonais mais je n’avais jamais vu les chiisakos. Sans doute parce qu’ils ont été inventé par l’autrice elle-même mais je n’en suis pas totalement sûr.

Je me suis beaucoup attachée aux personnages. Ils avaient tous le petit truc qui les rendaient attachant. Mais si je ne devais choisir que deux personnages je dirais que je choisirais Ten que j’ai trouvé aussi mimi que téméraire. Mon cœur a adoré Araï, je l’ai trouvé touchant et quand il s’est rendu compte qu’il éprouvait de l’amour pour sa romancière mon cœur à chavirer. Il était tellement gêné que j’ai trouvé cela adorable.

Côté dessins… Je dois dire que je ne suis pas très fan de ce style. J’ai trouvé les chiisakos plein de détails et les humains négligeaient. Je pense que les deux auraient pu être mieux exploités. La couverture était tellement belle que je m’attendais à une qualité de dessin énorme qui aller me faire voyage et pas du tout en fait. Même les arrières plans ne sont pas trop travailler alors que cela aurait peut-être donner une plus-value au manga et à l’histoire autour de chiisako. Si les histoires n’avaient pas été aussi belles, je ne sais pas si j’aurais apprécié ma lecture.

Dans l’ensemble j’ai adoré le manga. C’était une lecture très légère qui ma permis de découvrir un nouvel mangaka et de finir l’année sur de bonne base. Je pense m’intéresser à l’auteur et ne pas rater sa prochaine parution. Je croise les doigts pour que les dessins soient juste un peu plus travailler pour me faire voyager un peu plus encore.
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Chiisako garden

Lors de sa sortie, j’avais vu pas mal d’article parlant de ce petit one-shot. J’ai directement été intrigué. Une histoire d’être qui nous ressemble, mais font la taille d’une fée. Cela avait l’air très mignon et je le confirme, ça l’est !



Dans ce manga on retrouve plusieurs chapitres, qui chacun d’entre eux représente une petite histoire entre un être humain (enfant ou adulte) et un chiisako. Les Chiisako comme je l’ai dit, sont des êtres comme nous, mais ayant la taille d’une fée. De plus, ils vivent beaucoup plus longtemps que nous !



Pour les voir, il n’y a que certaine condition possible. Être un enfant ou plus exactement, n’avoir jamais connu l’amour. À partir du moment où les humains tombent amoureux, ils ne peuvent plus voir les Chiisako. On ne sait pas pourquoi.



Les histoires qui sont racontées dans ce manga sont vraiment très poétiques. Énormément de douceur se dégage de se manga à chaque page. Plusieurs émotions nous sont transmises tout le long.



Ce manga est un vrai coup de cœur pour moi. J’ai même versée quelques larmes vers la fin, tellement c’était beau.



En bref, si vous cherchez un petit manga, un one-shot, très poétique, qui vous transportera dans un monde féerique. Dans un univers remplis de douceur et de tendresse, ce manga est pour vous. Mais attention aux âmes sensibles comme moi, préparez votre boîte de mouchoir ! 😉
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