Yuu Watase

Ouf, j'ai l'impression de sortir d'une plongée en apnée en refermant ce tome qui conclut la série.



J'ai aimé cette série encore plus que la première (Fushigi Yugi) tant je me suis sentie vibrer avec les personnages, tant les surprises sont nombreuses et bien amenées. J'ai aimé Takiko, une héroïne forte et altruiste.



La tension est progressive jusqu'à un bouquet final. J'ai pleuré comme une madeleine à la fin, alors que je savais comment ça allait se terminer.

Après avoir terminé la série "Fushigi Yugi", je me lance dans celle-ci qui se passe en fait avant. Petit inconvénient à lire dans cet ordre : je sais déjà ce que vont devenir certains personnages... Mais comme je ne sais pas comment, ce n'est pas trop gênant.



J'ai bien aimé ce premier tome qui annonce une série aussi captivante que la précédente, bien que plus sombre. J'apprécie de découvrir de nouveaux personnages (dont l'héroïne Takiko qui est loin d'être une fille passive LOL !), dans une quête similaire mais avec des différences majeures.



Je trouve le ton plus sombre pour cette série, notamment parce que les guerriers célestes et la prêtresse sont rejetés par la population, poursuivis de partout... Bref, contrairement à Fushigi Yugi ils ne sont pas accueillis à bras ouverts !



Un tout petit reproche à la mangaka (que j'aime beaucoup par ailleurs) : je trouve qu'elle a du mal à faire des personnages différents physiquement tant dans une même série, qu'entre séries différentes. Ici Rimudo le fait furieusement penser à Tooya dans "Ayashi no Ceres" par exemple. Mais les caractères et les histoires des personnages sont toujours bien travaillés par contre.

J'aime moins le tournant pris par la série dans ce volume. Je trouve qu'elle aurait pu se terminer sur le tome précédent.



Là on a l'impression que l'auteur fait une suite pour faire une suite... Bon ça va peut-être s'améliorer après. C'est pas mauvais en soi, mais avec les 13 autres tomes qui étaient excellents, ça fait pâle figure.

Sur un principe entre "Narnia" et "L'histoire sans fin", Miaka se retrouve dans un livre dans une Chine imaginaire.



Une histoire fantasy d'aventure comme je les aime, avec la touche de romantisme que Yuu Watase sait si bien mener, bref un plaisir à lire !

Voilà une série que j'ai beaucoup aimé ! Utiliser comme fond de l'intrigue la mythologie (notamment japonaise) dans un cadre moderne est quelque chose que j'apprécie particulièrement.



Les personnages sont bien individualisés et l'on s'y attache. L'histoire d'amour est belle, sans en faire trop.



L'intrigue monte en puissance au fil des tomes jusqu'à un final qui permet de répondre aux questions qu'on se posait.

C'est mignon, c'est drôle, c'est frais et ça fait du bien au moral entre deux séries dramatiques !

Attention manga pour public averti, les scènes de sexes sont nombreuses, explicites et souvent violentes.



Un thème classique finalement : l'amour peut-il sauver ? Mais traité d'une façon qui l'est moins.



Dans une atmosphère glauque à souhait, l'ingénu devient adulte, le pervers ne l'est pas autant qu'on pourrait le penser. À part le héros, ils ont tous un grain dans cette histoire.



L'intrigue est bien menée, avec une montée en puissance des sentiments et un final réussi. J'ai été fascinée malgré moi par le jeune noble, malgré certains actes inacceptables je n'ai pas réussi à le détester.



Finalement je suis arrivée au bout des 3 tomes sans m'en rendre compte, avec un pincement au cœur pour la conclusion.

L'héroïne s'appelle Alice et il y a un lapin blanc, mais non ce n'est pas une version manga d'Alice au pays des merveilles.



J'ai eu un peu de mal au début avec le côté niais de l'héroïne et de l'histoire d'amour. Mais au fil de l'histoire Alice s'affirme, les personnages prennent de la profondeur, la magie se fait de plus en plus présente. Finalement j'ai lu toute la série avec plaisir.

Juste pour signaler qu'il a été également adapté par les taïwanais sous le nom de Absolute Boyfriend

J'aimais beaucoup cette série mais j'ai peur qu'elle ne traine en longueur...
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Le personnage d'Arata devient un peu trop caricatural pour moi. Je vois mal un ado accepter sans rechigner le poids d’un monde qu’il ne connaît même pas. Beaucoup de batailles, un peu trop pour moi, et surtout le regret de ne plus voir du tout l’autre Arata dans notre monde à nous, me font de moins en moins aimer cette série.
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Une série qui continue sur sa lancée avec une succession de combats pour de nobles causes.
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Ce tome est l’occasion d’en apprendre un peu plus sur le monde dans lequel Arata a été conduit et sur sa mission de fourreau. Le jeune homme prend peu à peu conscience de la lourde tache qui l’attend et du nombre croissant de personnes qui comptent sur lui.
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Je ne suis pas très fan de Yuu Watase, je trouve que ses illustrations manquent de vie, ces personnages sont dénués d'expressions (hormis les traits principaux). En revanche l'histoire m'a emballé. J'aime ce côté romance sombre qu'elle a su donner à Sakura-Gari. De plus, dans la forme, c'est un magnifique manga relié.

Mon avis porte sur les tomes 1 à 5



J’adore cette série même si elle est très ciblée ados. J’ai déjà dû la relire deux ou trois fois mais je ne m’en lasse pas. C’est un retour aux années lycée : Tampopo Yamazaki a décidé d’intégrer un lycée de Tokyo et pour cela, s’est présentée aux concours d’entrée de tous les lycées de la ville jusqu’à ce que le lycée Méio l’accepte à la suite d’une défection d’une autre élève. N’y tenant plus, la veille du jour J, elle entre en douce dans l’établissement afin de repérer les lieux et fait la rencontre de Koki Kougyo, qui prend soin d’une plante. Le lendemain, il fait comme s’il ne la connaissait pas. Pire que ça : son attitude est totalement différente. Il est odieux avec elle, comme avec les autres. Prise au vif, elle fait alors la promesse de devenir son amie mais va vite se rendre compte que ce n’est pas gagné : ils ne viennent pas du même milieu et les autres élèves vont se charger de le lui faire comprendre, la mettant de côté et la dénigrant systématiquement. C’est sans compter sur l’entrain, le caractère enjoué et battant de notre petite héroïne qui va peu à peu briser la glace de ce microcosme social guindé et artificiel en leur apportant sa fraîcheur, sa naïveté et son naturel désarmant, rassemblant autour d’elle des personnalités différentes et qui vont s’épanouir au contact les unes des autres, de la furie à l’ambition dévorante (Tsuki) à la bimbo outrageusement maquillée (Alyssa) en passant par le riche héritier élevé pour prendre la suite de son père, sans qu’il n’ait son mot à dire (Koki) et le geek complétement fêlé (Kyogoku). Bien sûr, la relation entre Tampopo et Koki va évoluer mais rien n’est joué d’avance. De nombreux obstacles vont se dresser sur leur route. Les émotions se succèdent. C’est un savant dosage entre humour et drame (notamment dans les derniers tomes où j’ai souvent eu la gorge nouée).

Je regrette que cette série ne soit pas plus connue et j’espère sincèrement donner l’envie à d’autres de la découvrir (en croisant les doigts pour qu’elle soit toujours éditée) car elle en vaut vraiment la peine !
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Je suis un chouïa déçue par ce grand-final... Je m'attendais à quelque chose de plus grandiose. J'ai trouvé l'histoire un peu trop facile. Le coup du voyage dans le passé via l'imagination, ça me dépasse : c'est vraiment trop facile comme situation ! Et puis, ce n'est pas franchement magique...

De la même façon, j'aurais aimé en savoir enfin plus sur Billy et Mei-Lin : mais c'est encore une fois rapé. D'un autre côté Yuu Watase l'avait dit dans un "Wild Talk", mais bon, j'espérais quand même !



Les dessins sont vraiment magnifiques et dans ce tome, on ne peut qu'admirer le travail de dessinatrice de Yuu Watase : les scènes de combat ont l'air franchement complexes... je suis épatée !



Bon, si ce dernier tome m'a dessus, son bonus lui, m'a tout fait oublier ! On y découvre l'ancêtre de Mei-Lin dans une courte aventure... C'est franchement plus que sympa' !

Les quelques personnages qu'on y croise ne sont pas franchement superficiel pour une histoire de cette longueur. Bon, ils sont un peu clichés, mais ça se pardonne :)

Alice 19th est vraiment un manga à découvrir :)
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La légende



Lorsque le livre des « Écrits des Quatre Dieux du Ciel et de la Terre » est ouvert par une jeune fille, celle ci se retrouve projetée dans un autre monde ! Ce monde est protégé par quatre dieux de la mythologie chinoise : le dragon à l’est (Seiryû), l’oiseau au sud (Suzaku), le tigre à l’ouest (Byakko) et la tortue au nord (Genbu). Chaque dieu possède sept étoiles incarnées sur Terre en tant qu’être humain et elles doivent protéger leur prêtresse qui n’est autre que la jeune fille emportée par le livre qui apparaît lorsque le pays sera en péril…



La prêtresse



Dans les années 20, au Japon, Takiko veille sur sa mère mourante. Indépendante et armée d’un sale caractère, elle affronte seule cette épreuve. Son père absent rentre enfin à la maison, mais il est trop tard, son épouse décède d’épuisement. Pleine de rancœur et de colère envers lui, Takiko décide de déchirer l’objet de l’obsession de son père, le livre qui l’a éloigné de sa famille: les « Écrits des Quatre Dieux du Ciel et de la Terre ». Seulement, elle se retrouve à sa grande surprise projetée dans un monde couvert de neige où elle y fait la rencontre d’une étrange jeune femme…



Les étoiles de Genbu



Abandonnée par la jeune femme qu’elle rencontre, puis secourue par elle quelques instants plus tard, Takiko vient de rencontrer Rumido, la première étoile de Genbu ! Seulement elle n’est pas au bout de ses surprises, car au petit matin, elle s’aperçoit que cette personne est en fait un homme ! L’abandonnant à nouveau, elle fait la rencontre de Tomité, un chasseur de prime à la recherche de Rumido ! Apprenant qu’elle est la prêtresse de Genbu, elle se lancera ensuite à la recherche des autres étoiles afin de sauver le Hokkan. Avec des personnalités toutes aussi diverses que variées autour d’elle, Takiko n’est pas au bout de ses peines d’autant plus qu’elle est pourchassée par des assassins venus du pays voisin pour empêcher l’invocation de Genbu ! Mais quelques chose la raccroche à ce monde, elle veut se sentir utile car elle se sait atteinte de la tuberculose, donc condamnée à son tour…et veut protéger le pays de ses amis et de celui qu’elle aime…



De nombreuses épreuves



D’abord échaudée par ce qui lui arrive, Takiko va donc s’investir de plus en plus pour le Hokkan ! N’hésitant pas à se battre quand il le faut, elle fera tout ce qui est nécessaire pour rassembler le plus rapidement possible les 7 étoiles. Tourmentée par sa relation avec Rumido, la première étoile qu’elle a rencontré, qui n’est autre que le fils pourchassé de l’empereur du pays, la jeune fille tentera de le convaincre de rester avec eux, et il cédera avec le temps. Les deux amoureux devront affronter de nombreuses épreuves, accompagnés par leurs amis afin de préparer l’invocation de Genbu. Mais une fois la vérité révélée sur celle ci, aucun d’entre eux ne désirera l’accomplir : invoquer Genbu dévorerait Takiko… Que vont ils décider de faire pour sauver leur pays ?



Fushigi Yugi, la Légende de Gembu



Cette série « Fushigi Yugi » est sans nul doute ma préférée. Romance, drame, amitié, action y sont réunis.



A travers la relation Père-Fille de Takiko, mais aussi celle Père-Fils de Rumido, Yuu Watase aborde le thème difficile de ce type de relation. L’une en veut à son père de ne pas avoir été présent et l’autre d’avoir voulu l’assassiner bébé à cause d’une prophétie ! Chaque tome nous dévoile plus ou moins un aspect supplémentaire ou un détail nous ouvrant sur la relation de ces désamours. La guerre, le devoir, la fidélité et l’amitié y sont également abordés à travers la foule de personnages secondaires présents.



Mais c’est sans nul doute, la relation entre Takiko et Rumido qui est le fil conducteur de cette série, greffant son lot de tragédie autour du couple.



Yuu Watase nous offre une sublime série, émouvante, touchante et vraie, malgré qu’elle soit sur un thème mythologique et donc fantastique. Une fin qui donne des frissons et des larmes, je l’ai tant attendu durant ces 10 années de publication !
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Je ne suis pas forcément déçue de ce tome mais je m'attendais à mieux !

Je ne l'ai pas trouvé brouillon, ni quoi que ce soit dans ce genre, mais je n'y ai pas trouvé la petite étincelle des tomes précédents .. Pourtant, y'a plus d'action et tout et tout, mais je suis moins sous le charme.



De la même façon, je m'attendais à en apprendre un peu plus sur Bobby et Mei-Lin, mais c'est raté...

Par contre, c'est très sympa de découvrir la part sombre du passé de Frey : c'est cool d'en savoir un peu plus sur lui.



Je ne peux qu'admirer le travail de dessinatrice de Yuu Watase : dans ce tome les scènes sont vraiment très complexes ! Surtout celle avec Mayura : la toile géante (je ne vois pas trop comment appeler ça) à dû être un vrai cauchemar à dessiner...

Et dire que j'arrive déjà au dernier tome...
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J'aime beaucoup le début de ce tome, rien que pour la beauté du dessin et l'apparition de Toya. J'avoue que c'est le tome le moins riche en dialogue, mais il ne reste plus grand-chose à savoir. Et on attend qu'une chose que le fondateur trépasse et que Cérès retrouve sa robe pour retourner dans les cieux. Malgré le côté combat, on a quand même toute la beauté de l'amour de Toya et d'Aya qui ressort. Je suis toujours ému par cette beauté-là, par le sacrifice que fait Toya pour permettre à Aya et à Cérès de vivre. J'aime aussi beaucoup le dessin de Cérès lorsqu'elle retrouve sa robe de plume. J'avoue que c'est assez magnifique. Je n'ai jamais vraiment parlé du graphisme durant mes avis. Mais c'est vraiment sur le dernier tome que l’on s'aperçoit de la beauté des dessins, parce que le reste du temps, on est assez obnubilé par autre chose. Comme toujours l'auteur allège la gravité de la situation avec une pointe d'humour qui est souvent le bienvenu et qui me fait toujours autant sourire. La fin est bien trop courte pour ma part. Mais elle conclut parfaitement la série. Mais j'aurais aimé avoir un plus grand après. J’aime beaucoup cette dernière couverture elle résume parfaitement la fin de cette série.



En conclusion, une série où j'ai pris plaisir à relire malgré que j'ai perdu beaucoup d'attirance pour ce manga. Mais je me rends compte que cela fait quand même plus de 11 ans que je l'ai lu la première fois. Donc je peux facilement comprendre que mes goûts ont changé. L'histoire de nymphe céleste est vraiment bien faite et construire. Cela restera quand même un manga pour lequel j'aurais eu un coup de cœur et que malgré le nombre d'années, je le trouve toujours aussi beau. Je conseille cette série manga pour les amoureux des légendes et de très belles histoires d'amour.
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Je crois que c’est l’un des tomes les plus mouvementé et le plus beau. Aya va coexister avec Cérès, du coup, on va apprendre la vraie légende des Nymphes Célestes. Et en même temps apprendre la véritable histoire qu’il y a eu entre le fondateur et Cérès. Et je dois avouer que c’est une belle histoire d’amour jusqu’à que tout tourne mal. On a une impression de se centrer sur l’histoire et que d’avoir attendu 13 tomes pour la savoir me donne une impression de blablas. Mais lorsque je regarde de plus près non, parce que mine de rien tout ce qui s’est passé avant cette révélation nous a conduits à elle. Mais à aussi connaître des personnes et des actions. Et que le manga serait peut-être beaucoup moins intéressant si l’on avait tout de suite eu l’histoire réelle. De plus le cousin d’Aya finit par lui expliquer son projet C, ce qui peut paraître ignoble, mais de nos jours le bidouillage de la génétique n’est plus vraiment considéré comme un mal. Je déplore juste le fait que nous ne voyons pas Toya, mais pour celles qui l’ont lu, elles savent le pourquoi. Mais bon lorsque l’on voit, la couverture, on sait forcément qu’il n’est pas loin.



En conclusion, un tome particulièrement riche en information et du coup très plaisant à lire. La fin est assez inattendue et relance parfaitement l’action. J’ai donc hâte de voir le mot de la fin.
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