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Critiques de Zakuri Sato (40)
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Mairunovich, tome 1

Je vous le dit d'entrée, ce manga n'est pas fait pour moi !! Trop girly !!



Pourtant ce manga m'intriguait depuis son passage en Masse Critique, sa couverture était jolie et le résumé semblait intéressant. Malheureusement, cela ne fait pas tout. Les graphismes des personnages sont certes agréables et on peut facilement les reconnaître entre eux mais il n'y a quasiment aucun décor. Soit il est grisé soit il est minimaliste au possible.



Et puis, l'histoire... Les shojo avec les histoires d'amour et d'eau fraiche ne sont finalement pas mon truc. Le seul shojo que j'ai réussi à lire jusqu'à présent est « Shugo Chara ! » grâce principalement, je pense, à l'univers fantastique développé par la mangaka et par ses graphismes superbes aussi bien pour les personnages que pour les décors. Du coup, les shojo exclusivement rose bonbon et guimauve ont du mal à être apprécié à leur juste valeur pour ma part. Tant pis pour moi, je vais me contenter des shonen, seinen et shojo fantastique. C'est ce qui, finalement, me correspond le mieux comme type de lecture.



Comme vous l'aurez compris, le plaisir de lire un bon manga n'a pas été au rendez-vous avec celui-ci. Tant pis pour moi !! Mais comme on dit toujours dans ces cas-là : « Chacun ses goûts », vous l'adorerez peut-être contrairement à moi.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Mairunovich, tome 1

J'avoue que même si j'avais sélectionné ce nouveau manga lors du dernier masse critique, il n'aurait pas été un achat spontané. La couverture m'aurait fait de l’œil sans aucun doute par contre. Je ne connaissais pas Zakuri Sato et son style graphique est vraiment pas mal. Du moins, il fait partie des styles que j'affectionne beaucoup dans les manga, et dans ce genre littéraire, c'est un point très important. J'ai toujours eu beaucoup de mal avec les designs qui ne me tapent pas à l’œil et la lecture. Je suis peut-être passée à côté d’œuvres absolument géniales à cause de cela, mais bon... Revenons à Mairunovich.



Le graphisme ne fait absolument pas tout, c'est un fait, je me suis donc demandée comment Zakuri Sato allait pouvoir amener son histoire sans entrer dans le too much ou le comique. Il y a des œuvres à n'en plus savoir qui parlent du relooking d'une héroïne, qui subitement après un changement de coiffure, un peu de maquillage et les lunettes en moins (je ne comprends d'ailleurs toujours pas, cette fixation avec les lunettes... mais bon), devient une reine de beauté. Dans le fond, cela fait très superficiel. Certes, mais prendre soin de soi et vouloir paraître à son avantage (surtout quand on est une adolescente), je n'en vois pas le mal. S'aimer soi-même est une chose très importante et s'il faut en passer par là, pourquoi pas. Il ne faut pas oublier pour autant que le but final est d'apprendre à s'aimer soi-même, à avoir de l'estime pour soi.



Mairunovich met très bien en avant cet apprentissage, qui va sûrement être très long, mais qui est bien présent. On perd donc ce côté superficiel très rapidement, car Mairu apprendre au fur et à mesure des petites choses qui la feront grandir et qui surtout, je l'espère, lui feront prendre conscience de son propre potentiel. Du coup, on s'attache très rapidement à elle malgré son côté un peu chien battu. Le côté relooking devient très rapidement un élément secondaire, et la mangaka se focalise sur des choses plus importantes, en restant bien sûr dans l'univers lycéen du shojo, ce n'est pas non plus un seinen très intellectuel !



Le côté innovant vient aussi du fait que Mairu est aidé par trois jeunes gens, trois hommes qui ne se sont jamais focalisés sur son apparence. Et je trouve cela très rafraichissant. Tenyu qui est selon Mairu, l'appolon incontesté du lycée, devient sa meilleure amie et j'utilise le féminin car vraiment, elle lui fait vivre des situations que celle une meilleure amie devrait vivre. Mais c'est aussi cela qui fait le charme de ce manga. Ce côté un peu décalé et naïf de l'héroïne qui au final est vraiment adorable.



Je remercie pour finir Babelio et les Éditions Tonkam pour m'avoir permis de découvrir ce tout nouveau manga grâce au masse critique. Une jolie découverte encore une fois.
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Obaka-chan, tome 6

Neiro déclare son amour à Tokio... ! Et pourtant elle va à un rendez-vous avec Shin ! Car elle tient à honoré la promesse faite en l'échange de l'aide de ce dernier. Comment va t-elle faire pour rester fidèle à son petit ami, alors qu'elle revois son premier amour ?

Un volume plus sérieux que les autres, avec Shin qui pète un câble, et un couple qui casse le vieux bâtiment lors de leur second affrontement.
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Obaka-Chan, tome 7

Le dernier volume d'une collection touchante. L'histoire ne se fini pas forcement comme tout le monde le voudrai. Shin part en Allemagne, Tokio est enfin plus fort que Neiro, un ami d'enfance de Neiro lui demande de rester à Hiroshima pour protégé le dojo de son père (ou par amour?). Mais le mieux c'est que notre joli petit couple, après 8 mois de relation, se retrouvent enfin en tête à tête pour un voyage en amoureux.

Comme on dit tout est bien qui fini bien, ou plus tout est bien qui fini pas mal !
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Obaka-chan, tome 5

Entre Tokio et Neiro il y a des hauts et des bas, mais à peine cette histoire de premier baiser passé à la trappe que Kaya, l'ex de Shin fait son entré en scène.

C'est un tome vraiment surprenant car on vois Neiro et Tokio très dénudés et qu'il y a beaucoup de bagarres... C'est là qu'on ce demande si ce manga va rester un shojo jusqu'à la fin ou si il va devenir un shonen ??? Mais non !!! Car l'amour est tellement présent entre nos deux héros et le triangle amoureux est tellement soudé qu'on vois bien que ça reste assez "girly" pour les lecteurs. Un volume très bien avec beaucoup d’effusions d'amour. J'ai hâte de lire la suite !
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Mairunovich, tome 1

Un premier tome sympathique, mais qui ne marque pas les esprits. La recette exploitée ici est très (trop) courante : Mairu a un look ringard et longe les murs au quotidien, mais après une ultime brimade, elle va devenir un canon et faire ainsi ses premiers pas sur le chemin de l'amour. Malgré quelques imperfections, les dessins sont soignés et agréables à parcourir, mais ne nous permettent pas encore de distinguer la patte de la mangaka. Bref, tout ça manque un peu d'originalité et de personnalité.



Quelques points m'ont gênée, comme la spirale infernale où Mairu se sert de sa « mocheté » pour justifier tous ses échecs et se plaindre plus que de raison, au lieu de tenter de se faire apprécier/respecter. Et j'ai du mal à comprendre comment elle a pu devenir aussi attirante aux yeux de tous alors que la mangaka s'obstinait à la dépeindre comme un véritable désastre esthétique. Je veux bien croire qu'une coiffure et un brin de maquillage font parfois la différence, mais à ce point ? Vraiment ?



Je ne sais pas encore trop quoi penser de cette approche sur le sujet, j'ai besoin de lire d'autres tomes pour avoir un point de vue plus global sur les intentions de Zakuri Sato. Mais j'ai trouvé le passage de « je suis moche et inintéressante » à « je suis belle et tout le monde me court après » un peu trop abrupt. Face à ce nouveau succès, Mairu va bien entendu éveiller des jalousies. Les brimades et autres vacheries ne sont peut-être donc pas réellement terminées… En tout cas, pour le moment, on est loin de l'idée d'une vengeance implacable, comme évoquée sur la quatrième de couverture…



Je tiens néanmoins à décerner une mention spéciale à l'ami transexuel de Mairu, qui sort du lot et n'est pas couramment exploité dans les mangas. J'espère qu'on la retrouvera dans les tomes suivants, surtout qu'elle est à l'origine de la métamorphose de Mairu. Elle apporte une touche d'humour et de joie de vivre qui compensent le marasme dans lequel sa timide amie semblait aimer se vautrer !
Lien : https://dragonlyre.wordpress..
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Obaka-chan, tome 1

Une Héroïne pas tout à fait comme les autres



Et oui ! Depuis sa plus tendre enfance, Neiro est une surdouée du combat rapproché ! Fille d’un boxeur expérimenté, elle a subit un entrainement spéciale depuis l’age de ses trois ans… Jusque là, on pourrez dire qu’il n’y a pas de soucis, mais c’est sans compter le sens très aigüe de la justice de cette jeune fille. Elle ne supporte pas qu’une injustice soit commise sous ses yeux ! Elle ne peut donc pas s’empêcher d’intervenir, et ce, de manière plus que musclée… Ce qui lui vaut la réputation d’être la fille la plus forte et la plus « tristement »célèbre dans l’ouest du Japon dans ce domaine. Certains lui vouent même un culte sans pareil.

Ainsi notre jeune héroïne, lasse d’effrayer la gente masculine, se lance à la recherche de l’amour. Elle va donc chercher à se détacher de ce milieu et de cette réputation de fille bagarreuse…

Elle va entrer dans un nouveau lycée, se situant dans la zone Est du Japon, là où elle pourra passer inaperçue et vivre sa vie d’adolescente en toute tranquillité.

Dans l’absolu, notre petite Neiro est une jeune fille comme les autres, avec ses rêves d’amour romantique au lycée.

Elle est d’un caractère bien tranché et à la fois naïf, ce qui la rend encore plus attachante. Tout ceci fait de Neiro, une héroïne moderne, complètement déchantée et toujours un peu rebelle malgré elle ! Elle nous réserve de bon moment de rire, comme de pleure.



Une vie sentimentale qui commence pas comme les autres …



Dès l’arrivée de Neiro à son nouveau lycée, tout ne se passe pas comme prévu… Elle intervient lors d’une bagarre, casse le nez d’un des garçons et se retrouve dans une classe plus que spéciale…

L’effectif de cette dite classe est réduit, la privant ainsi de rencontrer « pleins » de nouveaux garçons, comme le prévoyait son plan initial.

Novice et naïve dans ce tout nouveau domaine pour elle : l’amour, Neiro découvrira au fur et à mesure de son aventure que l’amour n’est pas aussi rose que dans ces rêves… Un prince charmant est il toujours aussi charmant que dans les comptes de fées ? L’anti-héros était il un bon parti…

Mais là je ne vais pas rentrer dans les spoiler, à vous de découvrir la suite !



Une nouvelle critique du système scolaire japonais…



A travers les péripéties de notre jeune héroïne, Zakuri Sato nous dévoile une nouvelle critique du système scolaire japonais, si tristement connu pour son intransigeante dureté et inégalité.



Notre Nerio va se retrouver dans une classe pour « déchets », regroupant les adolescents anticonformistes, que le système n’a pas envie de gérer, ni même d’intégrer… Ses élèves se retrouvent donc exclus de la vie lycéenne… Sans même parler des hiérarchies formées en fonction de l’élitisme des élèves, reposant sur leurs bonnes tenues et leurs bons résultats… Et je passe aussi sur la violence scolaire et les persécutions dont sera victime notre petite Nerio…



En bref un nouveau manga à lire sans condition !



Et oui, je ne vous dirai pas de ne pas lire cette nouvelle série de Zakuri Sato. Obaka chan est une série sentimentale et humoristique qui vous réjouira surement. L’humour ne rendra pas moins ridicule et insensible cette série qui pour moi ce veut prometteuse. Une Héroine pleine d’insouciance et à la fois forte, qui ne se laissera pas marcher sur les pieds, que ce soit en matière de sentiments, que d’exclusion scolaire, notre petite Neiro a tout d’une jeune fille pleine de vie.

Cette série se déroulera en 7 tomes. Nous en sommes actuellement au tout premier sortie en France. Espérons qu’au fil des tomes, nous ne soyons pas déçus pas la tournure narrative de cette nouvelle série !


Lien : http://manga-shojo.fr/obaka-..
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Obaka-chan, tome 1

Un premier volume assez drôle qui met en place le contexte et les personnages. Des acteurs principaux attachants, j'adore comment l'auteure fait une intervention à travers Neiro à un moment ! Enfin bref j'aime bien le style shojo très humoristique qui sort de ce manga. Hâte de voir la suite.
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Mairunovich, tome 1

Freddie Prinze Jr, si tu m’entends ! … (enfin, si tu me lis :P).



J’ai craqué (une fois encore !!!) pour la couverture de ce manga. Un titre rose fluo et une fille à lunettes, le cocktail idéal pour me donner envie de le lire ! Malgré le titre un peu « à la russe » qui aurait pu m’effrayer quelque peu ^^ Et quand j’ai retourné le manga pour lire le résumé, j’ai fondu ! Il faut dire qu’il est très bien tourné et qu’il vous agrippe dès les premiers mots. Je me suis donc laissé glisser entre ces pages avec délectation !



Comment lire ce manga et ne pas penser au film « Elle est trop bien » ? Impossible ! On se retrouve, une fois de plus, dans une adaptation du mythe de Cendrillon, cette fois-ci à la mode shôjo. En bonne fifille que je suis, j’ai tout simplement adoré ce manga ! Eh oui, fleur bleue je suis, fleur bleue je resterai ^^ L’idée de la fille totalement moche et repoussante, comparée à un champignon vénéneux tout droit sorti d’un jeu de ©Mario Bros, en héroïne m’a séduite dès le départ ! Il faut dire qu’il est rare de voir une « moche » au premier plan, ça ne pouvait que me plaire. Ensuite, vous l’aurez compris puisque je vous ai parlé de Cendrillon, Mairu, notre héroïne, décide de cesser d’être un thon sur pattes et, du jour au lendemain, se transforme (juste en enlevant ses lunettes … ça vous rappelle pas quelqu’un ? ^^) pour devenir la belle qui fait tourner les cœurs de tous les garçons qui, la veille encore, se moquaient d’elle. Esprit de revanche, quand tu nous tiens ! Encore une belle idée (même si elle n’est clairement pas innovante à la base) qui m’a permis de m’intéresser au sujet développé dans le manga : l’estime de soi ! (entre autres).



Tout bascule dans la vie de Mairu quand elle sort du trou (oui oui, pas du placard, du trou !). Elle devient extérieurement quelqu’un d’autre mais à l’intérieur, elle est toujours la même, légèrement maladroite sur les bords, timide, n’ayant pas confiance en elle. Ce côté fragile est ce qui touche le lecteur quand on fait connaissance avec Mairu (pas forcément au début, où on a plutôt envie de la secouer un peu ^^), on ne peut que vouloir la voir s’en sortir. Du coup, c’est avec plaisir qu’on la voit devenir une autre … ou peut-être elle-même ? Ce manga est pour moi une sorte de métaphore. Mairu, au travers de son changement d’apparence, de look, grandit, devient une femme. Elle découvre l’amitié, avec Tenyu (le beau gosse de l’école, c’te chanceuse ! Juste trop craquant !!!), les prémices de l’amour, la rivalité féminine, la convoitise, la jalousie, bref, elle baigne enfin dans la « vraie vie » d’une lycéenne. Ce qui nous vaut des situations à la fois dramatiques et comiques qui ajoutent au côté émotionnel du texte, sensible, tendre et dur à la fois. Mairu n’est pas épargnée, c’est clair, mais l’intérêt de ce manga est de la voir faire face et se relever. Une belle leçon de vie !



Ce que j’ai aimé dans ce manga, c’est son originalité tout à fait réaliste (oui, c’est tordu comme phrase ^^). Mais surtout, ses personnages ! Mairu, bien sûr, la petite Cendrillon maltraitée par son frère, détestée de tous à l’école, qui a pour meilleure amie un travesti, totalement à l’opposé d’une héroïne classique, en général jolie & populaire. Tenyu, le beau gosse du lycée qui, derrière son image de jeune premier, a l’air de cacher beaucoup de choses, notamment une tendre fragilité qui m’a fait fondre ! A la toute fin, on découvre un autre personnage, dont je ne dirais rien ici, mais qui m’intrigue beaucoup (mode miam !) et que j’ai hâte de retrouver dans le tome 2 ! On s’attache de suite à cette galerie de personnages, ils ont tous un côté « âme torturée » qui me plaît beaucoup, on sent qu’il y a encore beaucoup de choses à découvrir sur eux. Je ne sais pas comment l’expliquer, ils sont attractifs. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde en leur compagnie et j’avais hâte de savoir comment les choses allaient évoluer. C’est dire si j’étais prise dans le récit !



Il faut reconnaître que c’est bien écrit aussi, on prend vraiment plaisir à suivre l’intrigue de ce manga. Même s’il ne se passe non plus « grand-chose » vu que c’est surtout « psychologique » on va dire, on ne voit pas le temps passé. Parce que ce manga est complexe, qu’il aborde de nombreux thèmes passionnants comme la confiance en soi, l’importance de l’apparence dans notre société actuelle, la sexualité et ses répercussions (à travers le travesti du livre), et je soupçonne qu’on se dirige vers quelque chose comme le fait d’être SDF ou orphelin dans le cas de Tenyu … (on verra par la suite si j’avais raison ou pas :P). Bref, sous couvert d’humour et de beaucoup de tendresse, ce sont des sujets durs qui sont traités ici, mais d’une si belle manière, qu’on se laisse porter. Ce qu’on retient, c’est la beauté des dessins (ceux de Tenyu notamment m’ont totalement fait craquer !), la puissance du fond du récit, l’intrigue qui vous entraîne dans sa spirale dès les premières pages et la touche en plus de ce manga : la différence ! Je n’avais jamais encore lu de shôjo comme celui-ci, qui sort un peu des sentiers battus et qui le fait avec brio !



En conclusion, je ne peux que vous conseiller de découvrir ce manga qui m’a franchement convaincue et dont j’ai hâte de découvrir la suite ! Il a beaucoup à nous apprendre, avec humour et amour … Bonne future lecture !!!
Lien : http://coeurdelibraire.over-..
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Obaka-chan, tome 3

Ce tome la nous révèle enfin, ouvertement, le triangle amoureux Neiro qui aime Shin mais qui sort avec Tokio, alors que les deux jeunes hommes sont sincèrement amoureux d'elle.

En plus de ça Shin réintegre la classe des bons, et la présidente du conseil des élèves, Nikki, entre en jeu.

Un volume plein de mouvements qui ne font pas trop avancé l'histoire mais qui mettent les sentiments et personnalités au grand jour.
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Obaka-chan, tome 2

Un deuxième volume vraiment bien, car même si on reste dans une relation typique shojo "triangle amoureux" l'histoire est tellement drôle qu'on aime lire et relire quelque parties du livre. Et les costumes pour noël sont tellement beaux que c'est un délice pour les yeux. Et le combat final entre les deux prétendants est très bien. J'aime le fait que ce soit Tokio a la fin qui est aux côtés de Neiro et pas Shin car pour l'instant c'est lui mon préféré !!
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Mairunovich, tome 4

L’histoire de Mairu et de Naru se poursuit dans ce quatrième tome de Mairunovich, non sans difficultés. La jeune fille rencontre les camarades de son petit ami, et bien vite, la graine de la jalousie germe en elle. Pourquoi a-t-elle coupé les ponts avec Tenyu quand Naru, lui, est aussi proche de la belle Rikara ?



Commençons par un peu de positif. Mairu retrouve un soupçon de caractère. En effet, même si elle courbe l’échine dans un premier temps, elle s’insurge rapidement contre l’attitude injuste de Naru, et exige qu’il s’éloigne à son tour de toute rivale potentielle, puisque lui n’a eu aucun scrupule à la séparer de Tenyu.



Un comportement on ne peut moins louable, mais qui se place dans la lignée de ce que le volume précédent esquissait déjà : la toxicité de leur relation. Une toxicité sur laquelle ils commencent heureusement à ouvrir les yeux et se promettent de travailler.



Encore une fois, j’apprécie que la mangaka ait choisi de traiter le sujet sous cet angle, avec sérieux et rigueur, plutôt que de normaliser les crises de jalousie et autres attitudes problématiques de ses protagonistes.



Où est-ce que ça coince, alors ? Eh bien, à tous les autres niveaux. Je n’arrive pas à m’attacher aux personnages, sauf peut-être à Ayano qui est la seule à avoir un « vrai » tempérament. Les autres sont toujours aussi fades, sans envergure, sans rien.



Tenyu était l’exception qui confirmait la règle, et sa dynamique avec Mairu portait les deux premiers tomes, mais sans lui, sans leur binôme, c’est triste à dire, il ne reste plus grand-chose. Enfin si, deux rivales qui font leur apparition. Deux rivales là encore bas de gamme, relativement clichées, qui existent surtout pour empêcher le couple Mairu / Naru de tourner rond.



Un couple auquel, je l’ai dit et je vais me répéter, je ne crois pas. Ils ne sont pas plaisants, ils ne sont pas touchants, et les voir ensemble ne m’inspire strictement rien, si ce n’est de l’ennui. À l’image du manga dans sa globalité. Il est… « plan-plan », voilà comment je le qualifierais.



Même la sous-intrigue de Mirai, dont j’appréciais au début le développement en filigrane, ne m’attire plus. Si je n’avais pas tous les tomes de Mairunovich dans ma PAL, je pense que j’aurais refermé celui-ci sans intention aucune de poursuivre cette lecture.
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Mairunovich, tome 3

Mairu propose à Naru un rendez-vous dans ce troisième tome de Mairunovich. Rendez-vous qui se transforme vite en sortie de couples, puisque Ayano trouve le moyen de s’incruster avec sa nouvelle cible : Tenyu.



Plus j’avance, moins j’apprécie ce manga. Mairu a perdu tout le caractère qu’elle laissait entrevoir dans le premier tome pour devenir une banale héroïne de shojo, fade et insipide qui n’a que l’amour en tête. Amour signifiant ici Naru, son petit ami, avec lequel elle a toujours autant d’alchimie qu’un paillasson avec un caillou.



Ce qui ne l’empêche pas de sacrifier Tenyu sur l’autel de sa relation. Tenyu qui est là pour elle depuis le début, qui la conseille, la secourt, la maquille… Bref, Tenyu sans qui elle n’aurait jamais commencé à sortir avec Naru, ni même cessé d’être un champignon vénéneux.



J’écrivais dans ma précédente chronique qu’elle le traitait davantage comme un outil que comme un ami, et je regrette presque ma clairvoyance, parce qu’on est même au-delà de ça. Ce pauvre Tenyu n’est guère plus qu’un objet pour TOUS les personnages, pas seulement Mairu. Oui, Ayano, c’est toi que je vise…



Paradoxalement, ces deux-là offrent, le peu qu’on les voit, une dynamique bien plus intéressante que le couple principal. Ayano est odieuse, Ayano est une garce, oui, mais elle l’assume, là où Mairu ne se comporte pas mieux, sauf qu’elle le fait sans avoir réellement conscience de sa cruauté.



J’ai l’impression que ce manga met en lumière les comportements toxiques qu’on peut trouver dans la plupart des shojos, où ils sont en général banalisés (la jalousie, la possessivité, l’isolement…), et c’est un bon point, seulement il le fait de manière très plate, très ennuyeuse. Le couple Mairu / Naru ne prend pas, il sonne trop faux, trop creux pour inspirer quoi que ce soit, si ce n’est l’envie de les voir rompre au plus vite.



Sachant que cette histoire comporte douze tomes, j’appréhende ce que réservent les suivants. Mairunovich commençait de manière intéressante et laissait entrevoir un certain potentiel, mais l’intrigue perd en intérêt, et les personnages en charisme et en profondeur, de volume en volume. J’espère que le prochain parviendra à inverser un peu la tendance.
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Mairunovich, tome 1

Mairunovich raconte l’histoire de Mairu, une lycéenne au physique jugé disgracieux par tous, y compris son propre frère qui ne manque jamais une occasion de la rabaisser. Harcelée et inhibée par l’affreuse image qu’on lui renvoie d’elle-même, la jeune fille accepte insultes et brimades… jusqu’à l’humiliation de trop.



Les premières pages de ce shojo m’ont désagréablement rappelé celles de Tsubaki Love, où l’héroïne est aussi mise au ban en raison de sa « laideur » (je mets le mot entre guillemets, parce que la laideur équivaut au traditionnel combo lunettes / coiffure à changer / pas de maquillage), et où les exactions sont banalisées, ces filles-là ayant qu’à, après tout, ne pas être aussi moches.



Quand Mairu décide, sans grande surprise, de se relooker, j’ai évidemment grincé des dents. À tort, car c’est là que le manga tend vers un postulat bien plus intéressant que « Je me transforme pour entrer dans le moule, avoir la paix et même plaire ». En effet, Mairu a bien l’intention de profiter de sa nouvelle apparence… pour se venger !



Contrairement à la plupart des protagonistes du genre, la jeune fille, une fois ses limites atteintes, cesse de tendre l’autre joue et s’efforce de rendre coup pour coup. Elle est toujours un peu naïve, mais elle apprend de ses erreurs et des pièges tendus par autrui.



Car oui, Mairu devenue « belle » (toujours entre guillemets, c’est subjectif) est désormais la cible des jalousies en lieu et place des moqueries. Heureusement, elle peut compter sur l’aide de sa meilleure amie (celle qui la métamorphose) et de Tenyu, le beau gosse du lycée…



… qui est un autre point positif à mettre au crédit de ce shojo. Malgré une première interaction équivoque, le personnage ne se pose pas en petit ami prédestiné de l’héroïne. Leur relation, quoique les motivations de Tenyu soient encore assez mystérieuses, tient surtout de l’entraide. Ils s’apportent mutuellement ce dont l’autre a besoin, tant d’un point de vue matériel qu’émotionnel.



Bien sûr, on n’échappe pas à des considérations et à des questionnements plus superficiels (est-ce que Mairu doit / veut rester « jolie », sa volonté d’avoir un petit ami, son propre rapport au physique d’autrui…), maiiiis ça reste une adolescente, et même si c’est classique / cliché, on ne peut pas lui en vouloir d’avoir des réflexions propres à son âge.



D’autant que c’est assez bien amené. Elle ne se transforme pas brusquement en midinette qui n’a que l’amour en tête. Elle découvre pas à pas la vie qui s’offre à elle au-delà des persécutions dont elle a toujours fait les frais (jusqu’au sein de son propre foyer) et s’interroge beaucoup.



Pour résumer, Mairunovich est un manga qui démarrait assez mal, mais qui m’a vite agréablement surprise. Même s’il reprend la plupart des codes du genre, il le fait avec maîtrise et, oserais-je aller jusque-là, une certaine maturité. Pour le moment, j’apprécie, et j’ai hâte de voir comment l’histoire va évoluer !
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Mairunovich, tome 1

La transformation de Mairu lui fait découvrir un nouveau monde dont elle n'a pas les clés. Ce n'est pas si facile de passer du statut de "champignon vénéneux" à "bombe du lycée". Dans son apprentissage, elle peut compter sur Tenyu (le garçon populaire), très au fait des codes du lycée.

Mairunovich est un shojo drôle et sensible.

Attention : Pièges, rivalités, humour et sentiments

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Mairunovich, tome 3

Bof bof bof, on s'enlise ici. J'aime de moins en moins la tournure des évènements, entre une héroïne beaucoup trop soumise qui fait tout ce que je déteste pour plaire à son copain, et ce dernier qui a autant de charisme qu'une huitre... Je ne suis pas sûre de continuer bien longtemps.
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Mairunovich, tome 1

Nouvelle série dans la veine de bien d'autres avec une héroïne banale qui décide de devenir jolie tout en gardant sa naïveté, ce que je préfère. Après c'est encore très classique avec le beau gosse un brin nonchalant et solitaire qui vient lui filer un coup de main, mais j'aime bien la relation atypique qui se lie entre eux. Et puis l'humour de l'auteur me parle, alors je lirai la suite.
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Obaka-chan, tome 4

Un volume plutôt surprenant car Neiro assume totalement ses sentiment pour Shin au point d'en vexé Tokio. En plus Shin se fait enlevé, et Tokio veux être son sauveur alors que Neiro attend gentiment que les choses se passent... Où tout dégénère et elle montre encore une fois que c'est elle la plus forte. Mais bien sûr avec l'amour qui s'en mêle tout ne peut être que plus compliqué.
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Mairunovich, tome 1

Mairu est loin d’être une beauté. Cachée derrière sa frange et ses lunettes disproportionnées, la jeune fille est devenue le souffre-douleur de toute sa classe. Jusqu’au jour où l’un des garçons les plus populaires de l’école la prend sous son aile, à sa façon…



Voilà un manga qu’on dévore sans se lasser. Une histoire pleine d’humour et de sensibilité, qu’on n’a envie de lâcher sous aucun prétexte. On y suit avec plaisir les aventures de cette jeune fille qui apprend à devenir femme… Une héroïne touchante, pour un récit émouvant!

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Mairunovich, tome 1

Mairu est une jeune japonaise de 16 ans, au physique qu'elle croit ingrat, maladroite et ayant peu d'estime de soi. Soufre douleur des adolescents de son lycée elle décide de changer et de prendre soin d'elle pour avoir sa revanche sur ceux qui l'on dénigré.

Avec l'aide de Fuwari, voisine et meilleure amie (et aussi transsexuel), elle se transforme en une très jolie jeune fille.

Commence alors les tribulations, souvent maladroites, de Mairu qui part à la découverte des garçons et de l'amour. Naïve, le personnage de Mairu est assez attachant même si ses pleurnicheries incandescentes sont parfois agaçantes.



Abordant le thème de l'amour et de la construction de soi (qui va au delà de l'apparence ) à l'adolescence, le ton assez léger de ce shojo teinté d'humour, rend ce manga plaisant à lire. Je remercie les éditions Tonkam et Babelio pour m'avoir donné l'occasion de lire et de critiquer ce manga.
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