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Critiques de Éric Boury (111)
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La pierre du remords

Valborg , ,une femme de 70 ans est retrouvée morte à son domicile à la suite d'un cambriolage . L'inspectrice découvre sur son bureau le numéro de téléphone de Konrad , policier à la retraite .En effet , la victime l'avait contacté car elle désirait retrouver son enfant qu'elle avait du abandonner à la naissance .Konrad avait refusé et à présent , il se sent obligé de faire des recherches car il se demande si la mort de Valborg n'aurait pas un lien avec cette demande . Il commence par enquêter chez les voisins puis dans une boite de nuit où elle avait travaillé ; il comprend vite que cet abandon était du à un viol et décide d'aller jusqu'au bout même si il doit s'attaquer à des "nantis "

Jamais déçue par cet auteur
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La pierre du remords

Le troisième volet des aventures de Konrad m'a encore totalement emballé et je l'ai encore dévoré. J'ai presque envie de le relire car c'est passé trop vite.



Konrad est toujours préoccupé par la mort brutale de son père et aimerait connaître le nom de son assassin. Il reçoit alors la demande d'une sexagénaire qui souhaiterait retrouver l'enfant qu'elle a abandonné il y a 47 ans. Mais Konrad refuse, il est en retraite. Or quelques jours plus tard, cette femme est retrouvée assassinée.

Konrad, pris de remords, décide de retrouver cet enfant qu'elle avait confié à une sage-femme..



Une enquête toujours aussi passionnante, le Georges Simenon islandais ne cesse de m'impressioner.
Lien : http://www.lanuitjemens.com/..
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La pierre du remords

Voici une nouvelle enquête policière de Konrad, policier à la retraite, qui se retrouve lié à l'assassinat de Valborg, une femme en fin de vie.

Cette dernière avait sollicité Konrad, pour retrouver l'enfant qu'elle avait abandonné au début des années 70.

Une suite d'événements va faire éclater la triste vérité...

J'avoue ne pas avoir été transcendée par cette lecture un peu molle à mon goût.



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La pierre du remords

Pas du tout emballé par cet opus d'Indridason, où l'on découvre Konrad, un flic à la retraite, et une -peut-être- nouvelle héroïne, Martha, chef de service, qui fume comme un pompier.

Si j'ai vraiment beaucoup aimé la série consacrée à son héros récurrent, Erlendur, la Trilogie des Ombres et cette "Pierre du remords" sont vraiment en-dessous du lot.

Tant dans la consistance de l'histoire, que de l'intérêt à lui porter, que du scénario, et peut-être la traduction y est-elle également pour quelque chose.

On démarre avec l'assassinat de Valborg (une dame d'un certain âge), on découvre son passé, et surtout qu'elle avait contacté Konrad, pour qu'il retrouve son fils, abandonné à la naissance. Plus de trois cents pages dans lesquelles l'auteur nous trimballe de personnage en personnage, ( à la longue c'est fatigant, on a l'impression que c'est sans fin) sous fond de spiritisme, charlatanisme et d'escroqueries en la matière, un Konrad dont le père - mêlé à ces escroqueries- était un flic pas très fréquentable et qui est mort assassiné. (occasionnel, son ex-femme, une embrouille? on n'aura pas la réponse).

Je n'ai pas vibré dans ma lecture, et la platitude de l'écriture (ou peut-être de la traduction), y est pour beaucoup.

Plat peut-être comme mon petit commentaire, dans lequel je reconnais ne pas être très inspiré...

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La pierre du remords

J'ai découvert ce roman policier islandais et j'ai envie d en lire d autres de cet auteur. L'histoire m a tenue en haleine car on a envie de connaître la vérité. J ai aimé aussi car il n y avait pas une multitude de meurtres même si il y a eu des dommages collatéraux. A lire pour passer un bon moment de lecture.
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La pierre du remords

Un audio d’Indridason à la médiathèque, je ne résiste pas à faire un petit tour en Islande. C’est un bon polar comme il sait les faire, l’ambiance, deux enquêtes qui se croisent, c’est sa touche personnelle, pas d’images morbides, un peu de sang mais pas trop. Il est question d’une secte, des anti-avortement, des crimes de jeunesse que l’ancien inspecteur ressuscite, des violences faites aux femmes. Des amitiés dans la police, dans la vie et des fatalités dramatiques m’ont touchée.Des personnalités qu’on respecte puis qu’on conspue. Et pour finir, des quais, des fumoirs, des gens dans leur immeuble au quotidien, tout un décor que j’ai bien visualisé. Il y a des peines enfouies, des remords, des culpabilités, des dons spirituels inquiétants mais aussi de l’abject et du révoltant. Le tout est bien transmis à l’oral par Martin Spinhayer.
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La pierre du remords

J'ai lu ce dernier roman d'Indridason, à sa parution en poche, je les lis tous, toujours avec plaisir.

Là nous sommes avec Konrad, policier en retraite, qui reprend une enquête à titre personnel, en parallèle avec la police, la victime lui ayant adressé une requête un mois avant son assassinat. A cette démarche se mêle une recherche personnel de Konrad concernant la mort de son père assassiné quand il était jeune.

J'aime ce type de romans policiers. Ils sont proches de la vie réelle.

Le roman n'est pas toujours facile à suivre. Il y a les noms difficiles à mémoriser. Mais il y a aussi le fait que plusieurs affaires ou histoires se mêlent. Ajoutez à cela des retours dans le passé, des personnages qui passent brièvement et qui joueront un rôle plus tard.

Mais on suis bien l'histoire, le dénouement nous surprend.

Je continue donc à apprécier cet auteur.
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La pierre du remords

Troisième volet de la série mettant en scène le retraité inspecteur Konrad, voici de nouveau un polar ADN. En effet, l’intrique tresse les brins de deux intrigues séparées de plusieurs décennies avec les mêmes personnages, ou leurs descendants. L’auteur sait habilement maintenir le suspens, presque jusqu’à la fin, comme dans les deux épisodes précédents. Les lecteurs des deux aventures ont deviné qui a tué qui, peu importe, soyons généreux. C’est aussi un roman “entrecôte, cette pièce de bœuf où les morceaux de gras viennent donner texture et goût au plat, mais que l‘on laisse sur le bord de l’assiette. Moins de gras que dans les précédents, où l’auteur nous épargne ses histoires de famille et autres bruitages inutiles. Donc, une plaisante lecture.
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La pierre du remords

Indriðason a mis de côté son enquêteur habituel, Erlendur Sveinsson, pour entamer un autre cycle, la série Kónrað, qui met en son centre un ancien commissaire qui, on s’en serait douté? se prénomme Konrad. La pierre du remords est le troisième qui compose le cycle.



Nous voilà en pleine banlieue de Rekjavik ou les façades de ses immeubles, certains coquets, d’autres plus sordides, comme de partout renferme bien des secrets, des situations pas forcément jolies à voir, de la maltraitance, de la tristesse, des remords que certains trainent avec eux au fil des années comme un poids dont ils ne peuvent se délester. C’est dans ce contexte, bien loin de l’immensité désertique des fjords, aveuglants de la blancheur hivernale, qui décorent d’autres romans Indriðasonniens, que se révèlent les drames, ceux du meurtre d’une femme de soixante-dix ans, sans aucune famille et qui recherche l’enfant qu’elle a abandonné autrefois.





Je me suis investie pleinement dans ce récit pour découvrir le nouvel enquêteur qu’Indriðason nous a contacté, qui est doublé d’une enquêtrice officielle, mais je dois dire qu’elle fait pale figure face à Konrad, qui reste le rouage essentiel du roman. Car à la manière de Sveinsson, il porte en lui aussi de grandes zones d’ombres, avec un père assassiné il y a des dizaines d’années sans que jamais personne n’ait jamais été inquiété du meurtre.



Je ne suis, encore une fois, pas déçue par Indriðason, qui réussit à mettre à jour les faiblesses et les pires travers des uns, des autres, comme personne. Il a ce don de savoir explorer les failles des plus esseulés, que ce soit les victimes de meurtre ou les enquêteurs qui gravitent autour de l’enquête, qui ne sont pas davantage épargnés, en cela Konrad se rapproche vraiment de Sveinsson, qui tous deux sont marqués par la disparition inexpliquée de l’un des leurs. Il semble avoir deux catégories de personnes chez Indriðason, celles dotées de blessures à vif, ces victimes qui essaient d’entrer en résilience, et puis ces petits criminels, qui trafiquent, combinent, violent, frappent, espionnent, ceux qui existent bien à Reykjavik comme de partout ailleurs, mais qui, pour l’auteur ne valent pas le coup, qui ne traversent son récit le temps que de s’en voir chasser aussi vite. Et puis il y a ceux de la première catégorie, qui parfois franchissent la frontière et se retrouvent chez ces malfaiteurs sans consistance sans vraiment le vouloir.



C’est un récit versé dans l’ésotérisme qu’Eyglo, la fille du complice du père de Konrad, devenue sa compagne d’enquête relative à la mort violente de leur père respectif, assume malgré elle. Nous voilà donc avec les fantômes des deux hommes qui hantent leur rejeton, avec au beau milieu de tout cela, la société islandaise de spiritisme. Indriðason rajoute ici une très légère touche d’irrationnel, en la personne d’Eyglo, qui n’est pas déplaisante puisqu’il ne cède jamais au grotesque et laisse planer constamment le doute sur la véracité des capacités omniscientes d’Eyglo et de son père.



C’est un récit versé dans l’ésotérisme qu’Eyglo, la fille du complice du père de Konrad, devenue sa compagne d’enquête relative à la mort violente de leur père respectif, assume malgré elle. Nous voilà donc avec les fantômes des deux hommes qui hantent leur rejeton, avec au beau milieu de tout cela, la société islandaise de spiritisme. Indriðason rajoute ici une très légère touche d’irrationnel, en la personne d’Eyglo, qui n’est pas déplaisante puisqu’il ne cède jamais au grotesque et laisse planer constamment le doute sur la véracité des capacités omniscientes d’Eyglo et de son père.



Indriðason a su m’emporter dans son récit à double perspective pour Konrad, une davantage d’ordre professionnel et l’autre intimement personnelle, mais qui finissent par se rejoindre, la première prenant une dimension plus personnelle, essayer de racheter ce qu’il ressent être sa faute, d’alléger cette pierre du remords qui pèse métaphoriquement sur sa conscience. Reste toujours, dans le fond, cette tonalité très fataliste qui caractère les romans d’Indriðason, et spécialement certains de ses personnages, qui semblent être nés maudis, et bien partis pour mourir de la même façon, pour ceux qui ont la chance d’être encore en vie. Et les policiers n’y font pas exception, Sveinsson aussi bien que Konrad. Je ne me lasse décidément pas des romans de l’auteur islandais, dont je me délecte à chaque fois avec le même plaisir.
Lien : https://tempsdelectureblog.w..
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La pierre du remords

Konrad est sollicité par Valborg qui souhaite retrouver le fils qu elle a abandonné à la naissance. Le policier islandais retrité refuse

quelque temps plus tard,il apprend que la femme a été assassiné à son domicile Piqué par la curiosité et géné de ne pas avoir aidé cette personne; Konrad part en quete d un enfant dont il ne sait rien

Une histoire qui en reveille une autre, celle de l assassinat de son propre pére, bien des annees plut tot. Homme peu respectable, ce dernier escroquait avec un comparse les âmes faibles en leur faisant croire qu ils communiquaient avec les morts. Indradson plonge son héros presque solitaire dans une brillante intrigue , construite habilement brique par brique. Sensible et captivant , un polar qui interroge sur l évolution de la société islandaise des années 1960 à nos jours
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La pierre du remords

Suite du précédent, on prend les mêmes enquêteurs et la même...quête avec en supplément, un mystère supplémentaire quasi insoluble. Le schéma narratif est très proche du livre "Les fantômes de Reykjavik", il existe un troisième opus dont on pense qu'il donnera la clé du meurtre du père de Konrad.

En attendant, nous sommes à la recherche d'un enfant qui n'en est plus un, quarante ans après les faits. La succession de rencontres qui émaille ce livre alourdit et ralentit fortement le rythme déjà assez lent de l'intrigue. Tirer le fil de la pelote du temps passé est par moments laborieux. Les liens distendus par le temps peinent à être renoués, évènements improbables ou téléphonés annoncent que l'on a franchi un palier dans la résolution de l'affaire. La recherche en parallèle sur les coupables du meurtre du père de Konrad, à savoir si celui-ci était un salaud plus ou moins intégral, n'a pas de lien avec l'enquête principale, le jeu avec son amie médium dont le père fut le complice, dédouaner celui-ci, victime consentante d'un esprit pervers symbolisé par le père de Konrad. C'est un peu lourd parce que répétitif.

En résumé, le premier m'a plu, le deuxième nettement moins, je me passerai du troisième, les ficelles deviennent un peu trop visibles à mon goût. Attendre quelques mois avant d'envisager le troisième opus.
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La pierre du remords

Pour les amateurs et amatrices de polars qui viennent du froid, Arnaldur Indriðason est un écrivain incontournable ! Je l’ai découvert en 2006, grâce à un film « la cité des jarres », depuis je ne rate aucun de ces nouveaux livres ! Celui-ci fait partie d’une série avec le personnage de Konrad, policier atypique à la retraite, hanté par de l’assassinat de son père, personnage peu recommandable et celui de cette vieille femme qui recherchait son fils abandonné 40 ans plus tôt … deux enquêtes… comme toujours, une écriture pleine de sensibilité et une peinture de la société finlandaise ; et en fil rouge, le remord qui peut empoisonner une vie entière. J’ai beaucoup aimé, et comme chaque fois, un coup de cœur ! (en février paraîtra son prochain livre « le roi et l’horloger »)
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La pierre du remords

Konrad est un personnage attachant. Solitaire, introverti, mais terriblement humain. C’est lui qui sauve l’intrigue qui n’est pas haletante de mon point de vue. Deux histoires en parallèle (celle du passé de Konrad, et l’enquête en elle même) m’ont fait perdre l’attrait du départ au fur et à mesure.

Je n’ai pas retrouvé non plus cette Islande que j’adore!

Un livre distrayant toutefois si vous souhaitez vous installer au chaud avec une bonne tasse de thé pour un après-midi.





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La pierre du remords

Lourd. c'est l'ami d'un ami d'un ami qui m'a dit qu'il connaissait un boulanger qui connaissait une infirmière qui.....c'est du n'importe quoi, de limprobable du lourd, lassant, inintéressant, oui j'arrête car comment peut-on proposer ce genre de livre ?
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La pierre du remords

3ème tome des aventures de Konrad, flic à la retraite, solitaire et toujours en quête de l’assassin de son père.

Je me surprends encore à savourer la lenteur, la noirceur des romans d’Indridason.

Comme souvent, l’auteur nous balade sur plusieurs tableaux : l’enquête présente, sa quête personnelle évoquée plus haut et des flash-backs éclairants.

Tout cela coule comme de source.. Indridason est un conteur hors-pair et sait sonder l’âme humaine comme peu savent le faire. Le plaisir est intact.



Tu ne connais pas encore Indridason ? C’est le moment, lance-toi !

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La pierre du remords

Thriller: 3ème roman de la série Konrad mais que j’ai lu comme un one shot



Tout débute avec la mort de Valborg, une vieille dame assassinée à son domicile... la police découvre chez elle le numéro de téléphone de Konrad, un ancien policier. On apprend qu’elle l’avait contacté quelques semaines auparavant pour lui demander de l’aide afin de retrouver l’enfant qu’elle a abandonné à sa naissance il y a plus de 50 ans...

Konrad s’en veut de ne pas l’avoir aidé et va tout faire pour réparer son erreur. A reparcourir le passé, on rouvre souvent d’anciennes blessures et parfois on doit se confronter à sa propre histoire et ses démons.

Des enquêtes dans l’enquête sur fond de spiritisme... c’est plutôt original.

Les remords... la thématique récurrente dans ce roman au sein duquel Arnaldur Indridason porte un regard critique sur la société islandaise. Il dépeint les maux de notre époque, et nous livre un regard touchant sur l’avortement, les violences conjugales... et les actes du passé qui un jour ou l’autre resurgissent, la destinée...

J’ai beaucoup aimé ce roman, d’une plume caustique et fine.

Merci pour cette découverte à #netgalleyfrance et #lapierreduremords
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La pierre du remords

Troisième roman de la série Konrad, une enquête plus compliquée et emmêlée qu'il ne semble au début. Plusieures enquêtes se télescopent mais c'est une habitude dans les romans de cet auteur.



J'ai aimé le côté très sombre de ce roman, les thèmes abordés sont graves et l'intrigue autour du meurtre est prenante. Cette femme a un lourd passé : viol, grossesse non désirée, abandon... Konrad suit plusieurs pistes avec son entêtement habituel et sa zenitude.



Évidemment cette enquête ne pourrait pas se trouver dans n'importe quel pays, l'Islande pays peu peuplé ou presque tout le monde connaît tout le monde renforce l'ambiance fermée et très noire de ce roman.



Le tout tourne autour de manipulation, de complot et d'ésotérisme. Il y a toujours grâce à  Eyglo, une approche surnaturelle aux enquêtes et c'est aussi ce qui me plaît dans cette série.



J'ai aussi beaucoup aimé le prologue de ce roman, les scènes jouées et vues par les fenêtres de l'extérieur font penser à un vieux film muet : pas de dialogues, juste des images un peu floues, sans savoir de qui on parle, intéressant !



Le dernier tome me tend les bras !
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La pierre du remords

Konrad, l'ancien policier qui hante les derniers romans d'Indriðason, essaie, un peu tard, de remplir la mission que lui avait confiée une vieille femme. Cette dernière a été assassinée dans des conditions assez sordides. le meurtre d'aujourd'hui serait-il lié à l'enfant qu'elle abandonna bien malgré elle et qu'elle l'a chargé de retrouver ?



Encore une enquête qui avance à pas de sénateur : brouillant les temporalités, Indriðason mêle le surnaturel au prosaïque dans un récit par trop alangui. le twist final -ô mânes de Laïos et Jocaste !-, improbable, gâche un peu plus ce polar cendreux et éthéré.



En espérant que le prochain roman fera moins de place aux péripéties médiumniques du père de Konrad, cette fripouille dont la mort violente reste un mystère...



Paresseux.
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La pierre du remords

La suite des aventures de Konrad m'a plu. J'ai d'abord aimé retrouver ce personnage pugnace, patient, et surtout, terriblement humain. Il est facile de s'identifier à lui.

En parallèle de son enquête, Konrad continue de penser au meurtre non élucidé de son père, et cherche également, si ce n'est à résoudre l'affaire, du moins à comprendre ce qui aurait pu se passer, et pourquoi. Là encore, il fait équipe avec Eglo. Comme dans le tome 2, ils sont complices, mais se défient un peu l'un de l'autre, car ils ne sont pas d'accord quant à certaines façons de voir. Je ne sais pas trop auquel des deux donner raison à propos des deux éléments les opposant. Concernant l'un d'eux, selon les événements décrits, c'est Eglo qui a raison. Cela fait que le lecteur se pose forcément la question de cet élément dans la vraie vie...

[...]

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Lien : https://www.lalivrophile.net..
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La pierre du remords

Ce roman est construit comme tous les romans d’Indridason : le passé et le présent racontent des histoires a priori très différentes pour finalement se rejoindre et résoudre tous les mystères.



Toutefois, ce roman contient plus de longueurs que les autres du même auteur. On peine a comprendre l’intérêt de certains passages, y compris a la fin du livre, une fois que tout est résolu, et c’est bien dommage. A-t-il voulu gratter quelques pages pour ne pas rendre un livre trop fin ?



La lecture n’en reste pas moins agréable et les sujets traités en fond sont des sujets d’actualité et importants tels que les violences sexistes et sexuelles.



Bref : pas le meilleur roman de cet auteur mais un bon roman tout de même !
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