Pika Édition est une maison d`édition française spécialisée dans le manga. Elle propose 7 collections : Pika Kohai, des histoires pour les plus jeunes, Pika Shôjo, des romances et de l`amour pour les filles, Pika Shônen, de l`humour et de la magie pour les garçons, Pika Seinen pour passer à la vitesse supérieure, Pika Graphic, plus adulte, Senpai, la collection adulte pour frissonner de plaisir et Pika, la collection des ouvrages de référence pour les fans.
4ieme volet de cette série qui en compte 5 et je reste sur ma faim...
Aucune avancée, aucune révélation quelques personnages qui remplacent les manquants...
3 petites histoires hors-série apparaissent en fin de livre... Qui meublent mais entretiennent le suspens.
Pour rappel, Tolza à affronter 3 éléments du Roi du Mal et 2 sont répartis sans égratignure ou presque.
Dans ce tome, c'est davantage les observatrices qui sont à la manœuvre et on découvre un nouvel exterminateur, Azoth, celui qui manipule des flacons.
Si Tolza tue ses compagnons après contrat établi pour acquérir leur niveaux additionnés, Azoth, par connaissance de l'alchimie et des mictions, créé des homoncules pour absorber leurs niveaux et affronter également le Roi du Mal.
Il reste 6 exterminateurs dont un nouveau et un qui reste inconnu et qui malmène son observatrice. Celle-ci semble de plus en plus blessée à chacune de ses apparitions.
Tolza, Azoth le manipulateur de flacons, Ezerkill l'exterminateur aux bandes, un nouveau venu et l'exterminateur aux pantins.
Quelques informations ont transpiré quand même... Le Roi du Mal et l'observatoire sont liés, le Roi du Mal et les exterminateurs sont programmés à date fixe, la strate où le Roi du Mal va naître est choisie et enfin, ce monde n'est régi uniquement par les castes, pour les castes et le profit comme le démontre la rencontre entre le maire de la cité dévastée des médias et 3 autres maires possédant des compétences pour reconstruire la ville mais qui lui proposent leur aide en adressant soit une facture astronomique soit en monnayant leurs services en habitants possédant des capacités à des niveaux hauts déterminés.
Ce monde dystopique n'est pas joli !
J'aime cette dystopie qui s'appuie sur des concepts mathématiques comme les nombres imaginaires dont est composé le niveau du Roi du Mal qui devient insensible aux attaques réelles avec des dégâts en nombre réel.
Les concepts sont pris au pied de la lettre : imaginaire contre réel.
J'aime encore lorsqu'on parle de Geagluno, qui ne fait que tourner en repositionnant son centre de gravité et en annulant le coefficient de frottement ou la friction. Ce dont des concepts en mécanique qui ne sont pas pour les non-initiés même si ce n'est pas non plus incompréhensible.
Un autre point est l'agencement du monde en strate. Le 1er est celle des déchets, le 3ème est celle de l'éternité, la 4ieme est celle de l'environnement, la 6ème est celle de la technologie et la 7ème est celle des élites...
Cette hiérarchie établie va dans le sens d'une régulation par un jeu de massacre...
Vite le dernier !
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Incroyable ! Je voulais lire une histoire avec un chat, en voilà plusieurs avec de merveilleux moments ! J'avais peur que ce soit triste, mais au contraire, pleins de moments purs et doux, et une fin joyeuse. Un vrai médicament pour le moral. Je le relirais avec plaisir.
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