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Après avoir découvert M.C. Beaton avec Agatha Raisin, j’ai tenté ma chance avec Qui Prend la Mouche, le 1er tome de la série des Hamish Macbeth.
Hamish est un policier dans un tout petit village en Ecosse. Il se retrouve à enquêter sur le meurtre de Lady Jane Winters, une femme détestable, retrouvée dans la rivière.
Hamish est entraîné bien malgré dans cette enquête. Il est attachant lorsqu’on découvre son passé et sa famille et, agaçant lorsqu’on le voit tout faire pour ne rien faire. Il est également le seul à tenir tête à la victime avant qu’elle soit tuée. Très désinvolte, il se fait passer pour plus stupide qu’il ne l’est (un peu à la Colombo).
Le cadre du livre est des plus original, c’est la première fois que je lis un roman policier dont le crime s’est produit lors d’un stage de pêche à la mouche. Cela m’a permis d’apprendre plein de choses sur ce sport méconnu. De la même manière, si on souhaite découvrir l’Ecosse, ce livre permettra de découvrir les us et coutumes de la région (chasse à grouse, pêche à la truite et au saumon, haggis, whisky…) ainsi que la météo souvent pluvieuse.
L’intrigue est légère, cela pourrait presque être du cosy mystery si l’enquêteur n’était pas policier. Les situations sont irréalistes et les personnages et les dialogues caricaturaux, mais le livre se lit bien quand même. Une lecture parfaite pour se détendre.
Je n’avais pas su trouver mon compte avec les Agatha Raisin, ce sera la même chose avec les Hamish Macbeth, mais si cette dernière série à ma préférence.
Lien : https://www.instagram.com/mi..
Hamish est un policier dans un tout petit village en Ecosse. Il se retrouve à enquêter sur le meurtre de Lady Jane Winters, une femme détestable, retrouvée dans la rivière.
Hamish est entraîné bien malgré dans cette enquête. Il est attachant lorsqu’on découvre son passé et sa famille et, agaçant lorsqu’on le voit tout faire pour ne rien faire. Il est également le seul à tenir tête à la victime avant qu’elle soit tuée. Très désinvolte, il se fait passer pour plus stupide qu’il ne l’est (un peu à la Colombo).
Le cadre du livre est des plus original, c’est la première fois que je lis un roman policier dont le crime s’est produit lors d’un stage de pêche à la mouche. Cela m’a permis d’apprendre plein de choses sur ce sport méconnu. De la même manière, si on souhaite découvrir l’Ecosse, ce livre permettra de découvrir les us et coutumes de la région (chasse à grouse, pêche à la truite et au saumon, haggis, whisky…) ainsi que la météo souvent pluvieuse.
L’intrigue est légère, cela pourrait presque être du cosy mystery si l’enquêteur n’était pas policier. Les situations sont irréalistes et les personnages et les dialogues caricaturaux, mais le livre se lit bien quand même. Une lecture parfaite pour se détendre.
Je n’avais pas su trouver mon compte avec les Agatha Raisin, ce sera la même chose avec les Hamish Macbeth, mais si cette dernière série à ma préférence.
Lien : https://www.instagram.com/mi..
Camper le décor, parler de leurs passés respectifs, faire durer le plaisir de la rencontre de deux âmes esseulées, lui est timide, et elle, elle est superbe bouleversée et attirante.
C'est alors la naissance d'une ambiance légère et magique dans cette ferme de l'Iowa, c'est beau, c'est romantique.
Je suis ému par les scènes où ces deux étrangers se séduisent malgré eux.
Il y a de belles descriptions du désir et de l'avant préliminaires et tout ce jeu de la séduction.
Francesca vit des réminiscences de sensations évanouies depuis des années.
Ensuite tout se complique puisque Francesca a une famille qu'elle ne veut pas briser.
Robert est un homme sensible et je vous laisse découvrir comment se déroule la suite.
J'apprécie cette histoire même si le dénouement m'a un peu déçu.
C'est alors la naissance d'une ambiance légère et magique dans cette ferme de l'Iowa, c'est beau, c'est romantique.
Je suis ému par les scènes où ces deux étrangers se séduisent malgré eux.
Il y a de belles descriptions du désir et de l'avant préliminaires et tout ce jeu de la séduction.
Francesca vit des réminiscences de sensations évanouies depuis des années.
Ensuite tout se complique puisque Francesca a une famille qu'elle ne veut pas briser.
Robert est un homme sensible et je vous laisse découvrir comment se déroule la suite.
J'apprécie cette histoire même si le dénouement m'a un peu déçu.
"Le Nom de la Rose" d'Umberto Eco est un roman complexe et captivant qui mélange habilement l'histoire, la théologie, la philosophie et le mystère.
L'intrigue principale du roman tourne autour d'une série de meurtres mystérieux survenus dans une abbaye bénédictine isolée au XIVe siècle. Le protagoniste, Guillaume de Baskerville, un franciscain et son novice Adso, sont chargés d'enquêter sur ces crimes. L'intrigue est dense et pleine de rebondissements, ce qui maintient le lecteur en haleine jusqu'à la fin.
Umberto Eco fait un travail remarquable pour recréer le contexte historique de l'époque médiévale, avec ses querelles théologiques, ses luttes de pouvoir et sa superstition. Il explore également des questions théologiques profondes, telles que la nature du péché, la moralité et la foi, ce qui donne au livre une profondeur intellectuelle supplémentaire.
Les personnages du roman sont riches en nuances et en complexité. Guillaume de Baskerville est un détective brillant et rationnel, mais il est également hanté par ses propres démons intérieurs. Adso, le narrateur, apporte une perspective intéressante en tant que novice inexpérimenté, ce qui permet au lecteur de découvrir l'intrigue à travers ses yeux.
"Le Nom de la Rose" aborde une multitude de thèmes profonds, notamment la connaissance, le pouvoir, la religion, la science, la superstition et la nature humaine. Eco offre une réflexion profonde sur ces sujets à travers les actions et les dialogues de ses personnages, ce qui donne au livre une portée philosophique considérable.
En conclusion, "Le Nom de la Rose" est un chef-d'œuvre littéraire qui combine habilement suspense, histoire, théologie et philosophie. C'est un livre qui demande une lecture attentive, mais il récompense amplement ceux qui investissent leur temps et leur réflexion dans son exploration complexe de l'humanité et de la société médiévale.
L'intrigue principale du roman tourne autour d'une série de meurtres mystérieux survenus dans une abbaye bénédictine isolée au XIVe siècle. Le protagoniste, Guillaume de Baskerville, un franciscain et son novice Adso, sont chargés d'enquêter sur ces crimes. L'intrigue est dense et pleine de rebondissements, ce qui maintient le lecteur en haleine jusqu'à la fin.
Umberto Eco fait un travail remarquable pour recréer le contexte historique de l'époque médiévale, avec ses querelles théologiques, ses luttes de pouvoir et sa superstition. Il explore également des questions théologiques profondes, telles que la nature du péché, la moralité et la foi, ce qui donne au livre une profondeur intellectuelle supplémentaire.
Les personnages du roman sont riches en nuances et en complexité. Guillaume de Baskerville est un détective brillant et rationnel, mais il est également hanté par ses propres démons intérieurs. Adso, le narrateur, apporte une perspective intéressante en tant que novice inexpérimenté, ce qui permet au lecteur de découvrir l'intrigue à travers ses yeux.
"Le Nom de la Rose" aborde une multitude de thèmes profonds, notamment la connaissance, le pouvoir, la religion, la science, la superstition et la nature humaine. Eco offre une réflexion profonde sur ces sujets à travers les actions et les dialogues de ses personnages, ce qui donne au livre une portée philosophique considérable.
En conclusion, "Le Nom de la Rose" est un chef-d'œuvre littéraire qui combine habilement suspense, histoire, théologie et philosophie. C'est un livre qui demande une lecture attentive, mais il récompense amplement ceux qui investissent leur temps et leur réflexion dans son exploration complexe de l'humanité et de la société médiévale.
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