On pourra regretter que le schéma du livre reproduise quasi à l’identique le récit de sans famille.
L’enfant orphelin qui retrouve sa famille à la fin du livre.
Les péripéties sont les mêmes, les méchancetés, les moqueries, le froid, la faim. Les méchants sont les mêmes, les cupides, ceux de la famille qui n’en veulent qu’à l’argent.
Alors il y a la langue qui est châtiée et la lecture qui est très agréable mais le thème identique rend la lecture un peu ennuyeuse car attendue.
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Lu lycéenne. Je ne l'avais pas tellement apprécié à l'époque.
Le 16ème roman de la série des Rougon-Macquart se démarque des autres par son côté naturaliste. N'oublions pas que le réalisme critique de Zola n'est jamais très loin... Angélique, encore l'une de ces martyres de l'amour, sacrifiée sur l'autel de la morale et de l'ascétisme religieux.
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Encore un merveilleux souvenir de lecture d'enfance !
Au delà de l'intrigue, et cette belle histoire familiale d' "adoption", c'est une fresque sociale réaliste que nous dépeint Hector Malot, celle du progrès industriel dans la France du 19e siècle...
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