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J'ai abordé ce livre avec l'idée en tête que c'était un chef d'œuvre. Et c'est peut-être là mon erreur : j'en attendais trop. Quelle déception.
Loin d'être intemporel, le récit devait certainement avoir une résonance tout à fait différente lors de sa parution et dans les quelques décennies suivantes. Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts et le contexte géopolitique mondial étant ce qu'il est, la description de cette société cauchemardesque, sordide, et ô combien improbable ne tient pas debout. Beaucoup y voient le génie visionnaire, pour ma part je n'ai pas vu le rapport, mais alors pas du tout ! L'allusion à peine déguisée à l'URSS, forcément très présent dans les mémoires à l'époque où le roman est écrit, est bien creuse...
J'attendais un conte philosophique, un thriller psychologique, une "Masterpiece". Mais je n'ai finalement trouvé qu'un roman sombre, voire franchement glauque, que je ne conseille pas à un lecteur aux prises avec une déprime hivernale par exemple (c'est un coup à se foutre en l'air...). Il règne une ambiance tragique, fataliste, d'une platitude absolue. Seul le passage avec Julia dénote d'un peu d'humanité, sans pour autant m'enthousiasmer le moins du monde.
Et je ne parle même pas des allusions récurrentes au "neoparler/novlangue" - certainement très difficile à traduire mais je n'incrimine pas la traduction. Pour en avoir testé deux différentes, il semblerait que le problème ne vienne pas de là. Je trouve les concepts abstraits, trop détaillés et pourtant non moins obscurs. L'oligarchie qui règne dans ce monde contrôle tout, à l'extrême, mais à quelles fins ? L'argent ? La gloire ? L'amour ? Rien de tout cela. Le pouvoir pour le pouvoir ? Sur qui ? Des humains abrutis manipulés ? Mais quel intérêt ? Qui y gagne quoi ? Je n'ai absolument pas saisi ce qu'il fallait visiblement lire entre les lignes. Je n'ai pas trouvé le parallèle avec des systèmes totalitaires passés ou présents très convaincants, voire pas du tout. J'attendais d'être secouée dans mes certitudes, plongée dans des réflexions métaphysiques étonnantes qui auraient pu me donner à méditer sur la vie. Que nenni.
Arrivée au terme de ce récit, j'étais soulagée que cela se termine. En résumé : une lente agonie.
Loin d'être intemporel, le récit devait certainement avoir une résonance tout à fait différente lors de sa parution et dans les quelques décennies suivantes. Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts et le contexte géopolitique mondial étant ce qu'il est, la description de cette société cauchemardesque, sordide, et ô combien improbable ne tient pas debout. Beaucoup y voient le génie visionnaire, pour ma part je n'ai pas vu le rapport, mais alors pas du tout ! L'allusion à peine déguisée à l'URSS, forcément très présent dans les mémoires à l'époque où le roman est écrit, est bien creuse...
J'attendais un conte philosophique, un thriller psychologique, une "Masterpiece". Mais je n'ai finalement trouvé qu'un roman sombre, voire franchement glauque, que je ne conseille pas à un lecteur aux prises avec une déprime hivernale par exemple (c'est un coup à se foutre en l'air...). Il règne une ambiance tragique, fataliste, d'une platitude absolue. Seul le passage avec Julia dénote d'un peu d'humanité, sans pour autant m'enthousiasmer le moins du monde.
Et je ne parle même pas des allusions récurrentes au "neoparler/novlangue" - certainement très difficile à traduire mais je n'incrimine pas la traduction. Pour en avoir testé deux différentes, il semblerait que le problème ne vienne pas de là. Je trouve les concepts abstraits, trop détaillés et pourtant non moins obscurs. L'oligarchie qui règne dans ce monde contrôle tout, à l'extrême, mais à quelles fins ? L'argent ? La gloire ? L'amour ? Rien de tout cela. Le pouvoir pour le pouvoir ? Sur qui ? Des humains abrutis manipulés ? Mais quel intérêt ? Qui y gagne quoi ? Je n'ai absolument pas saisi ce qu'il fallait visiblement lire entre les lignes. Je n'ai pas trouvé le parallèle avec des systèmes totalitaires passés ou présents très convaincants, voire pas du tout. J'attendais d'être secouée dans mes certitudes, plongée dans des réflexions métaphysiques étonnantes qui auraient pu me donner à méditer sur la vie. Que nenni.
Arrivée au terme de ce récit, j'étais soulagée que cela se termine. En résumé : une lente agonie.
1984, de George Orwell, roman saisissant écrit en 1949. Roman d’anticipation ? Essai critique d’une société totalitaire ? Orwell, au sortir de la seconde guerre mondiale et au moment de l’établissement de la guerre froide, découpe le monde en 3 territoires : l’Oceanie (Amérique et royaume uni) est en guerre perpétuelle contre alternativement l’Estasie (Chine et Asie) et l’Eurasie ((Europe et URSS).
Winston, le personnage principal, évolue dans un univers brutalement opprimé et réprimé, constamment surveillé par « Big Brother », où la vérité et l’histoire sont sans cesse manipulées pour servir la doctrine du Parti. Où le langage est asservi aux dirigeants et appauvri pour servir leurs desseins.
Un chef-d’œuvre pas facile d’abord mais qui vaut largement le coup.
Winston, le personnage principal, évolue dans un univers brutalement opprimé et réprimé, constamment surveillé par « Big Brother », où la vérité et l’histoire sont sans cesse manipulées pour servir la doctrine du Parti. Où le langage est asservi aux dirigeants et appauvri pour servir leurs desseins.
Un chef-d’œuvre pas facile d’abord mais qui vaut largement le coup.
Its an horror book. It sent the shudders to my spine. I am suprised to see its written in the 50s. It seems still very relevant to today's world. More relevant than ever. Some countries push their evil agenda as its done in the book. Georgy Orwell saw the things to the bones. Maybe. the world never changes. The history repetes itself from one starting point to the end point, then restart the same cirle.
It enforces my belief against the totalitarian. A sociaty can be twisted and controlled ito such an extrame. Man has completely lost the human nature but a tool or a puppy. Winston was the last man who has true feeling and individual thoughts. He is converted by the Big brother eventually. How are hunman so fragile and so easy to be manupulated. All can be trained. You can be trained from believing common sence and sciences to believe: War is peace; Ignorance is strenghth; Freedom is slavery. 2+2=5. I appreciate all the beauty, truth and kindness that are rooted in human nature. I am against all that sabotise them.
It enforces my belief against the totalitarian. A sociaty can be twisted and controlled ito such an extrame. Man has completely lost the human nature but a tool or a puppy. Winston was the last man who has true feeling and individual thoughts. He is converted by the Big brother eventually. How are hunman so fragile and so easy to be manupulated. All can be trained. You can be trained from believing common sence and sciences to believe: War is peace; Ignorance is strenghth; Freedom is slavery. 2+2=5. I appreciate all the beauty, truth and kindness that are rooted in human nature. I am against all that sabotise them.
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