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Alain Buisine (Éditeur scientifique)
EAN : 9782253004240
247 pages
Le Livre de Poche (01/07/1979)
3.95/5   8628 notes
Résumé :
À dix-sept ans, radieuse, prête à toutes les joies, à tous les hasards, Jeanne quitte enfin le couvent. Dans le désœuvrement des jours et la solitude des espérances, de toutes ses rênes, le plus impatient est celui de l'amour...
Oh ! Elle en sait des choses sur le frémissement des cœurs, l'élan des âmes. Elle les a si souvent pressentis, espérés, ces bonheurs-là. Aussi, lorsqu'il paraît, le reconnaît-elle sans peine. L'être créé pour elle... Julien ! Le même ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (368) Voir plus Ajouter une critique
3,95

sur 8628 notes
Avant la lecture de ce livre, je ne connaissais de Guy de Maupassant que les nouvelles (que j'ai quasiment toutes lues). Et, pour ne rien vous cacher, je me sens un peu déçue par cette lecture : eu égard à ce que j'avais trouvé dans ses écrits courts, j'attendais plus de ce roman.

Ce que j'aime dans ses nouvelles, c'est justement l'émotion intense qu'il est capable de susciter en quelques pages ; c'est la profondeur et la permanence des personnages qu'il est capable de générer : je ferme les yeux et je me souviens instantanément d'une foule de ses personnages.

La sublime putain de Boule de Suif, la répugnante avare du Parapluie, le touchant Simon dans le Papa de Simon, la gaité communicative de l'énorme Toine, le sang froid incroyable du Père Milon, l'atroce drame vécu par celle qui se fait surnommer « Madame Baptiste » ou encore celui vécu par le malchanceux paysan de la Ficelle, etc.

Bref, en quelques coups de pinceau, il sait, il a le talent de brosser des personnages incroyablement crédibles et vivants, des personnages marquants, sans caricature excessive, des gens qu'on croirait connaître.

Or, et c'est ce qui me gêne un peu ici, les nouvelles — qui font normalement la part belle aux événements, contrairement au roman, qui lui est plutôt censé être le terrain de jeu favori des personnages — et bien, les nouvelles De Maupassant, dis-je, me semblent souvent plus abouties, quant aux personnages, que ceux de ce roman, ce qui est tout de même un comble. Je redoute d'oublier cette Jeanne beaucoup trop rapidement sitôt que j'aurai fermé les yeux.

Je ne peux pas m'empêcher de voir dans Julien (le mari de l'héroïne) une espèce de caricature du goujat. On sent que l'auteur souhaitait davantage régler ses comptes avec les gens de la haute société plutôt que de mettre sur pied un personnage réellement crédible, non monolithique, touchant par certains aspects.

Selon moi, Jeanne est une naïve naïve ; Julien, un goujat goujat, l'abbé Tolbiac, un fanatique fanatique, etc. J'aurais tellement mieux aimé avoir affaire à des personnages plus complexes, plus nuancés, à une naïve hédoniste, par exemple (comme semblait l'avoir été sa mère), un goujat flambeur (une espèce de Rastignac, pourquoi pas ?), un fanatique généreux (un peu dans le genre des syndicalistes de Steinbeck dans En un combat douteux), etc.

Bien entendu, ce ne sont que des exemples, mais juste pour avoir la sensation que ces personnages avaient différentes facettes ou, mieux encore, voir leur caractère évoluer au cours des années, car le roman s'étale tout de même sur environ vingt-cinq ans : il y avait le temps.

Je reviens (peut-être lourdement et auquel cas je m'en excuse auprès de vous) au parallèle avec les nouvelles du même auteur. Dans celles-ci, il s'efforce de rester assez extérieur (même si l'on se doute à chaque fois de quel côté penchent ses opinions) de nous présenter les choses et de nous laisser relativement libres de nos interprétations.

Ici, c'est tout différent : l'auteur souhaite — un peu trop à mon goût — imposer au lecteur ce qu'il doit penser de ses personnages et, par le fait, cela me séduit moins ; j'y développe moins d'empathie que pour bon nombre de nouvelles.

On ne peut toutefois pas dire que cela soit un roman désagréable à lire, ni même qu'il soit raté, mais je le trouve moins à point que ce que j'aurais espéré. (Notons au passage que Guy de Maupassant a recyclé dans Une Vie un certain nombre de nouvelles déjà publiées ailleurs : j'ai reconnu notamment Voyage de noce, Histoire Corse, Conte de Noël, Vieux Objets, etc.) Nous allons donc suivre, à l'époque de la Restauration, un quart de siècle de la vie d'une jeune noble provinciale.

Élevée chez les soeurs, sortie pleine d'idées hautes sur l'Amour, le Mariage, les Hommes, et, en un mot, la Vie. La demoiselle, devenue promptement dame, va vite déchanter. Contrairement à Emma Bovary, elle ne passe pas des heures à lire des livres en regardant tomber la pluie mais l'on sent tout de même qu'elle s'ennuie ferme dans son manoir normand de bord de Manche.

Et son mari est ce que l'on peut nommer, sans excès de féminisme, un salaud. La malheureuse Jeanne en voit de toutes les couleurs mais, et c'est là que je trouve que le personnage manque cruellement de profondeur, bon sang qu'elle est passive, bon sang qu'elle est résignée ! Jamais une once, une parcelle, un fin liseré de rébellion en elle…

Entre des parents poules qui la couvent de leur éternelle bienveillance, un mari coureur, mesquin, violent des relations de voisinage quasi inexistantes et un cruel manque d'imagination, il ne restait plus à Jeanne qu'à avoir des enfants…

Et on peut dire que là aussi, elle a tiré le bon numéro ! Avortons dans ses jeunes temps puis nullissime ensuite, tout juste bon à croquer la fortune et s'amouracher de la première venue, on peut, là encore sans cynisme excessif, affirmer que la maternité n'a pas comblé toutes les espérances de Jeanne.

Alors que reste-t-il, me direz-vous ? Eh bien ça, ce sera à vous de le découvrir, car c'est, me semble-t-il, tout le fond du roman, ça, le « que reste-t-il ? ». Donc, une impression pas désagréable mais pas non plus franchement enthousiaste me concernant. Cependant, d'autres avis sont très différents du mien et je vous invite à les consulter car ceci n'est, bien entendu, que mon a-vie, c'est-à-dire, pas grand-chose.
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« Une vie ». Il s'agit bien là de la narration d'une vie : celle de Jeanne le Perthuis des Vauds, fille de bonne famille, de sa sortie du couvent du Sacré-Coeur – elle a dix-sept ans – aux vieux jours, enfin apaisée.
Une vie, certes, mais aussi et surtout, un mariage… raté… Un mariage avec Julien de Lamare , fils d'une noblesse déchue qui s'avèrera un piètre et brutal amant, ainsi qu'un mari infidèle et avare. Et bien pire encore…

Dans cette fin de XIXème siècle si prolixe – « Une vie » a paru en 1883, la même année que « Au bonheur des dames » de Zola Maupassant nous livre son analyse de la noblesse de terre, dans sa Normandie si chère. Une noblesse à l'image du climat de la région, jamais ni chaud ni froid : bon.
Autour du Baron Simon-Jacques le Perthuis des Vauds ; on voit évoluer domestiques, journaliers, paysans, tous croqués avec une grande justesse. Et le Curé ? Peut-être un peu caricatural, mais en même temps tellement vrai !
Enfin, et c'est devenu un lieu commun : la Nature, véritable personnage du roman, magnifiée par la plume si belle de l'auteur.

Je persiste et je signe ( et pas seulement pour faire plaisir à Nastasiabuergo qui partage mes origines normandes et un goût certain pour Maupassant ) : Maupassant, n'est pas du « sous-Zola campagnard » ; c'est du grand ! du très grand !

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Tout a déjà été dit, de façon souvent très brillante sur ce roman De Maupassant.
Je ne parlerai donc que de mon ressenti de lectrice.
Lorsque j'ai ouvert ce livre pour la première fois, je devais avoir quinze ou seize ans, un âge où l'on croit qu'amour rime avec toujours et qu' « Une vie » ne peut être que belle.
En découvrant le tragique destin de Jeanne, j'ai versé bien des larmes sur l'injustice de son sort.
Quelques décennies plus tard, je sais que tout n'est pas rose dans « Une vie », mais qu'elle peut-être magnifiée par des romans intemporels à lire et relire.
Maupassant est un ami, il a toujours été auprès de moi tout au long de ma vie.
J'ai une préférence pour ses nouvelles et j'aime m'y plonger régulièrement avec chaque fois le même plaisir.

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C'est le premier roman que je lis De Maupassant, j'avais déjà lu des nouvelles ("le Horla", "les contes de la bécasse" que j'avais appréciés.

Mais ce roman m'a enveloppée d'une couverture de tendresse et de révolte.

Jeanne, qui a passé 5 ans au couvent en sort avec des rêves de jeune fille : rencontrer le grand amour comme dans les contes de fées, vivre intensément, être choyée par ses parents qui l'adorent. Une jeune fille très sage avec des espoirs et souhaits aussi sages qu'elle.

Lorsqu'elle rencontre le beau Julien de Lamare, elle croit que ses rêves sont désormais réalisés. Dès la nuit de noces, Julien se comporte en goujat et Jeanne n'est pas revenue de ses désillusions, Julien se révélant avare, infidèle, sans coeur et tyrannique ... Jeanne voit s'effondrer tous ces rêves et illusions.

De plus, elle s'ennuie dans la campagne normande où il lui semble désormais vivre sans projet, sans autre avenir qu'une routine perpétuellement recommencée.

Elle ne trouvera un peu de paix qu'au seuil de la vieillesse mais au prix de quels renoncements ! ... Et se remémorera désormais les beaux instants de sa vie passée, oubliant le pire pour ne garder que le meilleur.

Ce roman m'a bien souvent évoqué "Madame Bovary", non pas dans les réactions des personnages, Emma se révolte alors que Jeanne est résignée, Charles est un brave homme un peu balourd alors que Julien est une fripouille sans états d'âme mais dans leurs rêves de jeunes filles qui s'avèrent la déception de leurs vies.
Cela n'est pas très étonnant quand on sait que Flaubert était en quelque sorte le père spirituel De Maupassant.

L'écriture est magnifique et je me suis laissée bercer par cette atmosphère sans hâter ma lecture afin de profiter au maximum de sa beauté.

Un livre qui est donc, à mes yeux, un véritable chef d'oeuvre, tout en douceur, on glisse sur les mots comme sur une barque tranquille.

Et je me demande, nonobstant la différence d'époque et l'évolution des moeurs qui en découle si la plupart des jeunes filles actuelles n'ont pas encore les mêmes rêves, souhaits et aspirations de Jeanne ou d'Emma
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Cruel ! Poignant ! Tel est ce roman de Guy de Maupassant, paru en 1883 ! La triste histoire de cette jeune fille trop inexpérimentée, trop passive comme beaucoup de femmes à cette époque !

Ce livre m'est tombé dans les mains l'année dernière par la prof de français. Elle distribuait des livres (différents) empruntés au CDI du lycée et il fallait faire une fiche de lecture pendant les vacances.

Le début n'est pas très accrocheur, voire décourageant : énormément de description et peu d'action. J'aurais sûrement lâché si je n'étais pas obligé de le lire (pardonnez mon manque de courage !) et j'avais tendance à penser à autre chose quand je lisais le début et quand j'ai lu le passage où la jeune Jeanne rêvait d'amour et de romanesques promenades avec l'élu de son coeur, j'ai cru que la prof s'était moquée de moi ! Pourtant, je pensais que cela n'allait pas durer longtemps (en connaissant le pessimisme De Maupassant).

Les descriptions étaient certes, très longues, mais certains montraient la beauté de la Normandie et sa poésie, l'attachement de Jeanne pour ses parents etc.

Puis, tout change au moment où elle rencontre le séduisant et noble vicomte Julien de Lamare. Il se rencontrent, s'aiment, se fiancent et se marient. Que rêver de mieux quand on est une jeune fille de bonne famille, sortant du couvent ?

Hélas, Jeanne commença à déchanter lors de la nuit de noces où elle découvre chez Julien, une brutalité sexuelle inconvenante ! Cependant, la passion revient pendant le voyage de noces en Corse mais s'éteint définitivement au retour. Les jours deviennent mornes et Jeanna verra en Julien, un homme impitoyable et avare et égoïste et adultère ! Il lui fera cependant un fils à qui elle donne tout son amour mais celui-ci ressemblera à son père en tous points et ne sollicitera sa mère que pour payer ses dettes !

De nombreux thèmes sont évoqués : innocence, passion, trahison, avarice, infidélité, brutalité, fanatisme religieux (avec l'abbé Tolbiac), le libertinage (de nombreuses jeunes femmes étaient enceintes quand elles s'étaient mariées), l'anticléricalisme (avec le père de Jeanne), l'assassinat passionnel, la jalousie, l'ingratitude de la progéniture, la passivité de la femme de l'époque (pas toutes pourtant, il faut prendre du recul), tristesse, pessimisme etc.

La seule chose que l'on ne pourrait pas reprocher au fanatique abbé Tolbiac est le fait qu'il avait exhorté à Jeanne de quitter son mari infidèle mais celle-ci ne le fera pas par pure passivité !
( Info : l'abbé Tolbiac qui a succédé au laxiste abbé Picot, nous voyons alors deux extrêmes religieux : le fanatique et le laxiste.)

Jeanne devient surtout irritante : son mari la trompe, elle ne fait rien, son fils la rejette, elle ne fait rien, tout s'effondre autour d'elle, elle ne fait toujours rien ! On n'a qu'une envie, la secouer de toutes nos forces !

Finalement, Jeanne autrefois si belle et si remplie de vie, devenue, vieille et précocement fanée, sera recueillie par sa soeur de lait, la paysanne Rosalie qui lui dira de cesser de payer les dettes de son fils. Jeanne retrouvera finalement goût à la vie en prenant avec elle sa petite-fille issue de l'union de Paul, fils de Jeanne et d'une prostituée.

Et voici la phrase finale qui illustre, conclut et résume tout : La vie, voyez-vous, ça n'est jamais ni si bon ni si mauvais qu'on croit.
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Citations et extraits (405) Voir plus Ajouter une citation
Elle vit bien cette réprobation, et s'indigna en son âme de toutes ces pactisations, de ces arrangements de conscience, de cette universelle peur de tout, de la grande lâcheté gîtée au fond des cœurs, et parée, quand elle se montre, de tant de masques respectables.
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C'étaient de ces gens à étiquette dont l'esprit, les sentiments et les paroles semblent toujours sur des échasses.
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page 110 [...] Ses relations avec Julien avaient changé complètement. Il semblait tout autre depuis le retour de leur voyage de noces, comme un acteur qui a fini son rôle et reprend sa figure ordinaire. C'est à peine s'il s'occupait d'elle, s'il lui parlait même ; toute trace d'amour avait subitement disparu ; et les nuits étaient rares où il pénétrait dans sa chambre.
Il avait pris la direction de la fortune et de la maison, révisait les baux, harcelait les paysans, diminuait les dépenses ; et ayant revêtu lui-même des allures de fermier gentilhomme, il avait perdu son vernis et son élégance de fiancé.
Il ne quittait plus, bien qu'il fut tigré de taches, un vieil habit de chasse en velours, garni de boutons de cuivre, retrouvé dans sa garde-robe de jeune homme, et envahi par la négligence des gens qui n'ont plus besoin de plaire, il avait cessé de se raser, de sorte que sa barbe longue, mal coupée, l'enlaidissait incroyablement. Ses mains n'étaient plus soignées ; et il buvait, après chaque repas, quatre ou cinq petits verres de cognac.
Jeanne ayant essayé de lui faire quelques tendres reproches, il avait répondu si brusquement : "Tu vas me laisser tranquille, n'est-ce pas ?" qu'elle ne se hasarda plus à lui donner des conseils.
Elle avait pris son parti de ces changements d'une façon qui l'étonnait elle-même. Il était devenu un étranger pour elle, un étranger dont l'âme et le cœur lui restaient fermés. [...]
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L'amour ! Il l'emplissait depuis deux années de l'anxiété croissante de son approche. Maintenant elle était libre d'aimer; elle n'avait plus qu'à le rencontrer, lui !
Comment serait-il ? Elle ne le savait pas au juste et ne se le demandait même pas. Il serait lui, voilà tout.
Elle savait seulement qu'elle l'adorerait de toute son âme et qu'il la chérirait de toute sa force. Ils se promèneraient par les soirs pareils à celui-ci, sous la cendre lumineuse qui tombait des étoiles. Ils iraient, les mains dans les mains, serrés l'un contre l'autre, entendant battre leurs coeurs, sentant la chaleur de leurs épaules, mêlant leur amour à la simplicité suave des nuits d'été, tellement unis qu'ils pénétreraient aisément, par la seule puissance de leur tendresse, jusqu'à leurs plus secrètes pensées.
Et cela continuerait indéfiniment, dans la sérénité d'une affection indescriptible.
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Alors elle s'aperçut qu'elle n'avait plus rien à faire, plus jamais rien à faire. Toute sa jeunesse au couvent avait été préoccupée de l'avenir, affairée de songeries. La continuelle agitation de ses espérances emplissait, en ce temps-là, ses heures sans qu'elle les sentît passer. Puis, à peine sortie des murs austères où ses illusions étaient écloses, son attente d'amour se trouvait tout de suite accomplie. L'homme espéré, rencontré, aimé, épousé en quelques semaines, comme on épouse en ces brusques déterminations, l'emportait dans ses bras sans la laisser réfléchir à rien.
Mais voilà que la douce réalité des premiers jours allait devenir la réalité quotidienne qui fermait la porte aux espoirs indéfinis, aux charmantes inquiétudes de l'inconnu. Oui, c'était fini d'attendre.
Alors plus rien à faire, aujourd'hui, ni demain ni jamais. Elle sentait tout cela vaguement à une certaine désillusion, à un affaissement de ses rêves.
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