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Panini France [corriger]

Panini est une maison d`édition italienne, créée en 1961 par Giuseppe et Benito Panini, marchands de journaux à Modène. Elle est connue pour l`édition d`albums d`images autocollantes et de bandes dessinées, avec ses collections Panini Comics et Marvel France. Ses principales publications sont regroupées sous les collections "Panini Comics", "Panini Mangas", "Panini Books" et "Panini Kids".

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Dernières critiques
Kamikaze, tome 1

Premier tome de ce qui semble être une excellente série, l'auteur de Riot frappe une fois de plus très fort. Tous les ingrédients sont réunis pour faire de cette série un gros moment épique. Tout comme dans Riot l'histoire semble solide et prête à nous emmener très loin.



Le pouvoir de la terre, de l'eau, du feu et de l'air semblent prêts à s'affronter. Au milieu d'une intrigue complexe deux personnages apparaissent. La jeune fille de l'eau dont ses pouvoirs ne demandent qu'à apparaître et l'homme de la terre maniant le sabre Kamikaze. Leurs destins semblent étroitement liés et leurs ennemis nombreux.



Ce premier tome est des plus captivant en faisant par moment penser à Kojiro. La suite au prochain tome.
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Vampire Knight - Mémoires, tome 9

Bien que toujours très confus, je pense avoir plus aimé ce tome que bien des autres auparavant grâce aux quelques voiles qui se sont levés et à l’ambiance mélancolique générale.



Depuis le début de ce spin-off, je reproche à l’autrice le caractère flou de sa narration. Qu’il soit volontaire ou pas, il nous perd dans des circonvolutions qui n’ont pas lieu d’être et font passer la série pour plus complexe qu’elle ne l’est. Cependant, je dois avouer qu’enfin je commence à trouver que cela porte ses fruits.



J’ai donc apprécié dans ce tome de revenir encore sur le passé d’Ai et Ren, et notamment le moment où cette première a pris les rênes et tenté d’apporter la paix entre vampires et humains. Même si l’autrice ajoute toujours des touches humoristiques un peu lourdes, la belle ambiance mélancolique de ce moment était plutôt réussie. C’était émouvant de voir Aï se sacrifier en formant un mariage blanc avec son ami Taro, le fils de l’ex Empereur humain afin de libérer un peu tout le monde. L’autrice nous conte cela avec pas mal de finesse, même si il y a sacrifice à cause de sentiments que je trouve contre nature et n’ayant pas leur place ici… Reste que c’était intéressant comme mouvement.



Cela nous a permis à nous lecteurs d’avoir une proposition pas mal différente du très linaire Vampire Knight premier du nom avec une opposition basique. Ici, on découvre un passé où humains et vampires ont dominé à tour de rôle, se sont fait du mal, jusqu’à ce que Aï et Taro ait le courage de proposer autre chose. C’est bien joué, cela donne plus de profondeur à la série.



Pour autant qu’elle est la finalité de ce récit avec ce qui se passe dans « le présent » avec Kaname ? Ce n’est pas encore très clair. On voit bien que les filles cachent encore bien des choses et ce même entre elles. On a bien quelques pistes qui nous sont suggérées notamment avec ces « reversion » de vampires qui arrivent désormais à redevenir humains s’ils le souhaitent, mais rien n’a encore été explicité de ce côté-là et il reste encore bien des siècles, des millénaires (?) à nous raconter avant de rattraper le moment qu’on vit.



Ce spin-off se détache vraiment joliment au fil du temps de sa série d’origine, si on accepte d’avoir une autrice qui improvise un peu au fur et à mesure et qui nous dévoile au compte-goutte les secrets de ses héroïnes dans une ambiance de flou mélancolique. Ici, ça fonctionne parce que l’histoire du tome autour d’Aï et Taro est touchante. Espérons que la suite soit aussi convaincante mais bien heureux celui qui la devine.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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The Ultimates, tome 1 : Rien ne va plus

Bon, je vous ai déjà parlé des éditions Urban Comics Nomad et de ma profonde affection envers cette ligne éditoriale car oui, j’adore tout particulièrement lire dans les transports en commun, dans la rue, en marchant, en me douchant (si, si vous en doutez ?) bref un peu partout dès que je peux. On ne reviendra donc pas dessus. En revanche, il ne me semble pas vous avoir partagé ma joie infinie en découvrant cette semaine, lors d’un heureux et hasardeux détour à la Fnac – si bien que je commence à m’dire que tous les chemins mènent à la Fnac et non pas à Rome finalement – les éditions Marvel Pocket. En gros, il s’agit du petit frère des éditions Nomad du côté de l’écurie concurrente. Autant vous dire que j’ai dégainé la CB aussi vite que Popaul lors d’une soirée « fessée, chocolat et Cie ».



Mark Millar est en principe un nom qui résonne positivement dans l’esprit des amateur(e)s de comics. On doit notamment à ce scénariste à la plume affutée, et souvent engagée, son travail sur certaines séries unanimement approuvées au sein de la sphère des lecteurs de BD ricaines : Kick-Ass, Wolverine, Superman et Civil War en tête. Aussi quand j’ai vu son nom sur la couverture, mes yeux ont vu des étoiles, et accessoirement j'ai bavé mais passons. Car oui, la saga Ultimates était une des rares de l’auteur que je n’avais pas encore lues. Banco comme on dit, enfin comme on disait il y a 15 ans. Aujourd’hui je n’sais plus, j’suis largué.



Côté histoire c’est du Millar tout craché : c’est dense, très travaillé avec une psychologie des personnages particulièrement soignée, et parsemé ci et là d’engagements politiques et de castagne de forain. Mais attention, contrairement à ce que la bannière Marvel x Avengers (on a un certain nombre d’Avengers dans le lot des protagonistes) peut laisser présager, il n’est pas question d’une pléthore de pétarades et destructions massives en tous genres. L’auteur préfère subtilement jongler entre sombres desseins, complots retors, action XXL façon space opera à la sauce Michael Bay (mais en plus lisible je vous rassure) et moments plus calmes et même parfois profondément humains. C’est ce subtil dosage qui confère toute sa puissance à ce comics.



Sur le plan graphique, Bryan Hitch assure, et pas qu’un peu. C’est propre, très propre même, clair net et précis. Son coup de crayon chirurgical fait des merveilles, en particulier dans les scènes de batailles où il leur octroie une incroyable lisibilité. Bref, c’est fluide, très beau, si bien que c’est un régal pour les rétines.



Ce premier tome est donc une très belle surprise, qui ravira non seulement les fans du genre mais pas que. Si vous aimez le cinéma d’action avec en filigrane de l’espionnage, de la machination et de l’Héroïsme avec un grand H, vous êtes au bon endroit. Et à petit prix, ça ne se refuse pas. Vous n’avez donc plus d’excuse. Ca tombe bien la paie doit être tombée ou va tomber de manière imminente. Ne me remerciez pas. Bon j'ai une couche à changer j'vous laisse et vous dis à bientôt pour le tome 2 qui doit arriver mi juin.



PS : ah oui j’oubliais, joyeuse fête de travail les faces de poulpes, j’vous aime, enfin pas toutes et tous mais une bonne partie.
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