Il n’y a pas de place pour l’examen de l’équilibre physique, de l’acuité sensorielle, du goût esthétique, de l’esprit d’entreprise, du sens des initiatives, du goût des responsabilités, de la ténacité, de ce besoin de compagnonnage qui avec la générosité du cœur marqueront peut-être les hommes de demain.
(C. Freinet autour des évaluations scolaires académiques)
Tout à l’heure, j’entendais exprimer cette double exigence qui ne va pas de soi, car, semble-t-il, il n’y a pas d’harmonie préétablie : d’une part, le respect de l’enfant et de l’adolescent, saisis dans leur chair vive et à leur point de développement ; d’autre part, les exigences de la cité de demain.