La moyenne pour ce tome deux, plus pour le style graphique que pour les extrapolations historiques.
L'Histoire est tronquée par un jeu de mixage de faits réels et de fantaisie artistique sans doute mais qui ne rend pas crédible le fond du récit
On a pêle-mêle la révolution d'octobre, la naissance de la République de Weimar, le traité de Versailles et un tout jeune caporal prénommé Adolf, pas la peine d'en dire plus sans devoir dévoiler l'intrigue.
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Villa Ipatiev, Ekaterinbourg, juillet 1918, la famille impériale russe est sur le point d'être révolvérisée par les Révolutionnaires rouges. Coup de théâtre de dernière minute, elle sera sauvée in extremis et remplacée par des cadavres anonymes. S'engage alors une fuite vers des pays alliés à travers la Russie en plein chaos. Errance, espionnage, tentative d'assassinat rythment ce 2ème tome de Kamarades.
Si l'histoire m'a parue parfois un peu confuse, j'ai été impressionnée et séduite par les dessins qui conjuguent un trait sobre et tonique à des couleurs sublimes, transparentes ou mates, saturées de pigment ou froides selon. A elles seules, elles impriment un tempo tumultueux à l'histoire qui s'achève sur une double page d'anthologie.
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