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3,4

sur 217 notes
Entre roman d'espionnage et enquête policière, Don Alfon a imaginé une chasse à l'homme pied au plancher compressée en à peine plus de 24 heures. Tout démarre par un kidnapping en plein Roissy d'un ressortissant israélien ... qui met en branle tout un tas de personnages, flics, espions, mafieux ( ah le gang de tueurs chinois ! ) évoluant sur une carte géopolitique complexe puisqu'on y croise des Israéliens, des Chinois donc, des Russes et des Français.

L'auteur, franco-israélien, actuellement directeur de la publication et de la rédaction de Libération, est un ancien officier du Mossad, plus particulièrement l'Unité 8200 : une unité secrète de renseignements technologiques, type NSA américaine ou DGSI française, qui fournit des renseignements basés sur des écoutes, par câbles sous-marins, satellites and co. de l'espionnage ultra high-tech très loin des gadgets jamesbondesques.

Bien évidemment, Don Alfon a puisé dans son expertise pour délivrer un récit à la fois crédible et précis, mais avec une volonté évidente de divertir le lecteur plutôt que chercher à le faire réfléchir sur les tensions géopolitiques actuelles. Y a pas le temps, en fait ! Avec un séquençage ultra efficace, alternant des chapitres très courts qui offrent de changements rapides de décors et de personnages, le lecteur court derrière le scénario qui a toujours un temps d'avance.

Pas facile d'entrer dans un roman avec un tempo aussi saccadé, j'ai eu souvent du mal à tout comprendre, à tout démêler de cet écheveau survolté. Je n'ai pas décroché pour autant. Même si ce type de thriller n'est pas totalement ma came et que le scénar' ne m'a pas captivé, je me suis amusée avec tous les personnages qui tiennent bien leur rôle, clichés assumés. le duo colonel Zeev Abadi / lieutenant Oriana Talmor, très charismatiques, fonctionne bien. Et j'ai savouré les passages décrivant les chicaneries intestines au sein de l'administration israélienne, services secrets compris, tout comme j'ai apprécié le clin d'oeil à un Premier ministre ressemblant fort à Netanyahou.

Un roman plaisant, avant tout divertissant, mais tout de même bien loin des romans d'espionnage de John le Carré ou de Frédéric Paulin

Lu dans le cadre du jury Prix Bureaux des Lecteurs Folio RTL 2021 #1
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Ce roman passionnant, instructif et jubilatoire m'a régalé. L'auteur a effectué son service militaire dans un service de renseignements israéliens dédié à la guerre électronique puis est devenu correspondant à Paris du quotidien Haaretz.
Il nous offre une intrigue ramassée en vingt-quatre heures et presque autant de cadavres qui nous balade entre Paris, Tel Aviv, Monaco, nous montre les arcanes de la politique israélienne et des « mécènes » qui financent les écuries politiques et nous dévoile (très partiellement) les ramifications des services d'écoutes et d'actions qui assurent la sécurité d'Israël. Les équipes de geeks qui du fond du désert écoutent la planète usent et abusent d'innovations technologiques mais se font parfois dépasser par le flair et l'instinct des agents de terrain.
Les héros de ce roman sont aussi actifs qu'empathiques et nous emmènent dans une intrigue trépidante d'autant plus prenante qu'elle se déroule en région parisienne dans des lieux bien connus ce qui nous plongent au coeur de l'action.
Enfin le romancier pratique un humour au second degré qui est un véritable régal avec ses caricatures des mères juives, des blondes (au tailleur rouge), des fourmis asiatiques et des policiers.
Un régal à déguster dans son salon pour oublier la litanie de malheurs qui font les titres de nos médias en ces jours de virus.
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Les bons romans d'espionnage se faisaient rares depuis quelques années, à croire que la fin de la Guerre Froide avait tari la source. Mais ça, c'était avant. Non seulement Unité 8200 dépoussière le genre, mais elle vous rend complètement accro. Après une nuit blanche passée à tourner frénétiquement les pages tout en piochant dans des M&M's® je connais enfin le dénouement de ce "frileur haletant", comme pourraient nous le vanter les bandeaux publicitaires.
Unité 8200 -du nom de l'unité de renseignement de l'Armée de défense d'Israël qui gère le renseignement d'origine électromagnétique et le décryptage de codes- s'ouvre sur une scène très hitchcockienne. Tout comme on ne doit pas prendre un appel téléphonique au nom de George Kaplan quand on s'appelle Roger Thornhill, il ne faut pas se faire passer pour un autre dans un aéroport.
C'est ce que fait Yaniv Meidan, un jeune entrepreneur israélien pour draguer une belle blonde qui attend un passager dans le hall d'arrivée de Roissy. Meidan va littéralement se volatiliser sous les yeux ébahis de ses collègues.
Le colonel Zeev Abadi, de l'unité 8200 présent par « hasard », décide de proposer ses services à la police française qui n'aime pas que des passagers disparaissent dans un des lieux les plus surveillés du territoire. Et l'affaire va prendre une tournure et une ampleur inattendues. Mieux que Jack Bauer, Abadi va devoir cavaler pendant 24 heures chrono, aidé de la lieutenante Oriana Talmor, depuis Israël. Des Chinois, des hackers, des policiers français, des services israéliens qui se tirent la bourre…c'est la foire d'empoigne dans les rues de Paris.

L'intrigue est solide, le rythme trépidant, l'écriture sans fioriture. L'auteur connaît son sujet, il était officier des services de renseignements israéliens et maintenant rédacteur en chef d'Haaretz (étonnant comme parcours). Il nous offre donc une plongée assez étourdissante dans l'univers des renseignements, israéliens, américains, français, et nous démontre, s'il fallait encore nous le prouver, que l'espion en gabardine et chapeau mou est une relique depuis belle lurette, puisque l'on peut coller aux basques de n'importe qui pour une durée illimitée lorsque l'on se trouve à des milliers de kilomètres. La police française symbolisée par le commissaire Léger, un flic à la Papa, a l'air bien à la traîne. On a l'impression qu'il est prêt à tout instant à endosser son pardessus pour aller manger une blanquette de veau au bistrot d'à côté. Mais il finit par avancer grâce aux indics et aux enquêteurs de terrain. Heureusement, car on se demande comment autant de services étrangers peuvent faire ce que bon leur semble sur le territoire français sans provoquer aucun remous...
Avec Unité 8200, Dov Alfon nous entrouvre les portes d'un univers effrayant où les bases de données gigantesques brassent des milliards d'informations, que les gouvernements peuvent manipuler à leur guise. Mais qui gardera ces gardiens? s'interroge l'un des personnages, Quis custodiet ipsos custodes? Personne malheureusement. On en viendrait à regretter l'encre sympathique et les parapluies bulgares. Quoiqu'il en soit, ce roman (politique fiction parfois, voir les passages consacrés au premier ministre israélien) très dense et sans temps mort se dévore. C'est l'un des meilleurs polar/ espionnage lus ces dernières années, Bref, j'ai adoré.
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La force tranquille.


Sur fond barbouzard israélien, le nouveau chef d'une unité d'élite de renseignement du même pays doit résoudre, en Guest Star, un crime et un potentiel complot criminel et/ou politique, en France mais où chinois et israéliens sont impliqués.


Le roman démarre lentement, pose les bases, tranquillement et poursuit sur sa lancée durant les trois quart de l'histoire, sans jamais s'affoler pour exploser dans l'action et les révélations dans le dernier quart.

On aurait pu se dire, tout ça pour ça ? On aurait pu s'ennuyer, eh bien non, dès le départ, j'ai adoré l'ambiance de lecture, le rythme pépère mais qui nous accroche immédiatement. L'auteur nous prend gentiment par la main et nous ballade agréablement jusqu'au final fort en émotions et en action. Les personnages sont superbes, l'histoire bien ficelée. Ce n'est pas un techno thriller, on mise plus sur l'humain (à part pour l'utilisation bien commode d'un beau gadget ultra techno (existe-t-il d'ailleurs en réalité ? )) et du coup on joue dans la cour du réalisme. On en en apprend pas tant que ça sur les structures de Tsahal, mais ce n'est pas gênant.


Une lecture très agréable.
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Je ne suis pas ce qu'on peut appeler un " amateur éclairé " des romans d'espionnage et , ma note en témoigne, je ne pense pas sûr le genre ait gagné un ardent défenseur en ma personne . Après , il en est si bien parlé dans d'autres critiques que je me garderai bien de me montrer trop sévère.
Personnellement , ce qui m'a gêné, c'est cet incroyable nombre de décès survenus par mort violente , à Paris , en moins de 24 heures . Gênant aussi ce regroupement de nationalités, toutes portées vers la " quête du Graal " , des Israéliens, des français, des chinois , des américains, et rien que des gens sympathiques . Ça part pourtant bien , l'arrivée d'un jeune israélien assez facétieux et accueilli " à bras ouverts " par une jeune et superbe ( évidemment ) blonde en ensemble rouge , un" bon coup " si vous me permettez cette expression d'un goût douteux , ce dont , du reste , le pauvre " Don Juan " , ...ne va pas avoir le temps de profiter .A partir de là, c'est l'explosion et ça va vite , très vite , trop vite sans doute et de façon un peu " exagérée ". Les technologies sont à la pointe et les personnages , sans se montrer attachants , se démènent comme des beaux diables comme des chatons empêtrés dans des pelotes de laine . Oui , certains passages sont très amusants mais l'ensemble , pour moi , tourne vite à l'imbroglio , et l'imbroglio engendre parfois une certaine confusion . Bien entendu , l'écriture ( simple mais efficace ) se met à l'unisson et s'il n'est pas désagréable à lire , ce livre ne sera , pour moi , qu'un passage parmi tant d'autres , même s'il pourrait constituer le scénario d'un très bon film comme on a pu en regarder dans un passé...un peu lointain ...J'aurais bien vu le Belmondo de ses grandes années...Mais ça, c'est la nostalgie , aujourd'hui , c'est la technologie ...Attention , amies et amis , ce n'est que mon avis et certains et certaines d'entre vous sont bien plus enthousiastes que moi .Ainsi va la vie d'un roman , on aime , on aime moins , on n'aime pas....Je suis dans le " j'aime moins ".....
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J'ai beau avoir lu des James Bond quand j'étais gamine, je dirais que ce livre est mon premier vrai roman d'espionnage.

Israéliens, Chinois, Américains, Français. Secouez-moi tout ça  et vous vous retrouver avec un savoureux mélange de pouvoirs, pots de vins, mensonges et malversations.

Un jeune Israélien a disparu à Paris.
Qui pour résoudre cette affaire ?
La police française ? Un responsable des services secrets israéliens ?

Mais souhaite-t-on vraiment trouver une réponse à cette disparition ?
Quand la politique se mêle au monde de l'espionnage, nous sommes mal barrés.

Lauteur est, au sens large, un ancien espion. Je peux donc penser que la description qu'il fait des services secrets d'Israël est véridique.
Que de luttes de pouvoir, de guerres intestines pour flatter l'ego de l'un ou de l'autre. Tout n'est que calculs politiques, le regard tourné vers l'avenir pour tous ces petits chefs décideurs qui ne souhaitent que s'élever.

Nous avons deux personnages principaux.
Le colonel Abadi, à Paris, espion sur le retour.
Et Oriana Talmor, son adjointe, mon héroïne, la ninja warrior qu'il ne faut pas embêter.
Est-ce que ces deux-là suffiront à résoudre cette enquête où les morts s'accumulent, sans l'aval de leurs chefs et où les bâtons dans les roues sont plutôt des troncs d'arbres dans les chenilles d'un char d'assaut ?
Je vous laisse le découvrir en lisant ce livre qui, sur moi, a fonctionné à merveille.


L'avez-vous lu ? Qu'en avez-vous pensé ?
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Un roman d'espionnage haletant entre Paris et Israël...

Un jeune passager Israélien qui s'évapore au sortir de son avion, à Roissy Charles de Gaule...
Un ex- membre , ( mais fraîchement re-muté) des service secrets israélien qui passait par là, et qui veut diriger l'enquête à la place de la police française ...
Un autre jeune homme ( qui aurait dû être enlevé à la place du premier, qui n'avait rien à voir dans l'histoire qui sera développée plus tard), et qui donc, risque d'être enlevé à son tour , mais qui est introuvable...
Et des cadavres (qui font dans l'international ! ) qui tombent comme des mouches aux quatre coins de Paris...
Bref : le bazar total pour un commissaire français, plus très frais , qui ne va pas beaucoup dormir pendant 24h...
Et un auteur , dont c'est le premier roman, qui maîtrise son sujet sur le bout de ses doigts d'ancien officier des services de renseignements israéliens , et qui, habitant Paris, vous le fait visiter à travers un kaléidoscope trépidant et anxiogène du nord au sud en passant par la banlieue ...
C'est documenté, c'est rythmé, parfois marrant, et toujours hyper réaliste. On comprend totalement pourquoi ce roman est resté en tête des ventes pendant deux ans en Israël, pourquoi il a été édité dans douze pays, et pourquoi les droits télévisuels ont déjà été acheté...
Tout est dit !
Ultra professionnel et ultra agréable à lire ...

Challenge Mauvais genres.
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Faut pas tenter de jouer au plus fin quand on n'est qu'un amuseur de galerie. C'est ce que va vite comprendre Yaniv Meidan, jeune startupeur débarquant à Roissy et qui va démarrer son séjour parisien en tentant de brancher une hôtesse attirante. Petite cause, grands effets : sa blague dragouilleuse est le grain de sable qui va dérégler une vaste opération mafieuse impliquant les services secrets israéliens, américains, la police française et la mafia dorée chinoise et internationale.

À Paris le colonel Abadi, ex-paria des services secrets aujourd'hui réhabilité et promu à la tête de l'Unité spéciale de renseignements 8200, mais aussi à Tel Aviv avec son adjointe, Oriana Talmor aussi vive que surdouée, une course contre la montre est engagée pour décrypter ce qu'il se passe et agir pour sauvegarder au mieux les intérêts et l'image d'Israël.

En près de 400 pages et 24 heures d'actions soutenues, Dov Alfon -traduit par Françoise Bouillot- m'a attrapé dès le début pour ne me relâcher qu'une fois le livre refermé, faisant de Unité 8200 un des meilleurs thrillers d'espionnage contemporains lus ces derniers temps.

Car tout y est : action soutenue, personnages creusés et rapidement attachants, réalisme des lieux et des situations, rebondissements léchés et crédibles qui ne tombent jamais dans l'abus et enfin, une construction chorale réussie, alternant les changements de sites à chaque -court- chapitre demandant un effort raisonnable de concentration au lecteur au début, qui se transforme rapidement en addiction volontaire à ce rythme d'enfer. What else ? dirait Georges.

Ce petit plus est apporté par l'extrême réalisme du sujet (Dov Alfon a servi dans les services secrets israéliens), qui ne tombe jamais dans le piège du sachant mais excelle à mettre en perspective les facettes de l'espionnage contemporain à l'heures des grands équilibres internationaux instables, et la réalité quotidienne de ceux qui s'y consacrent dont les armes de combat désormais renforcées par les nouvelles technologies restent bien le pragmatisme, la psychologie, le sang froid et parfois… l'humour. Une réussite !
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L'unité 8200 (prononcer 8-200) est une unité de renseignement israélienne très discrète. Alors que ce service est désorganisé suite au renvoi express de son chef, sans qu'aucune explication n'ait été donnée, un citoyen israélien disparaît sans laisser de trace dans les minutes qui suivent son arrivée à Roissy. Il a manifestement été attiré dans un piège par une fausse hôtesse d'accueil, blonde dans un uniforme rouge, introuvable sur les bandes vidéo de l'aéroport. le sujet devient une priorité pour le gouvernement et le monde du renseignement israélien. L'enquête de la police française, bien aidée par le colonel Zeev Abadia, opportunément présent à Paris, fait apparaître l'implication de tueurs chinois. La situation devient des plus confuses pour la jeune officier qui gère par intérim l'unité 8200 quand elle comprend que la victime n'était peut-être pas la cible des tueurs. de plus, elle s'aperçoit qu'elle ne dispose pas de toutes les informations sur cet enlèvement et que l'agent au plus prés de l'enquête à Paris n'est autre que son futur chef : Zeev Abadia.

Précédé de critiques favorables des amis Babelio, j'attendais cet ouvrage comme un grand thriller d'espionnage. Si c'est un incontestable page-turner et que les rouages du monde du renseignement sont ici détaillés avec talent, j'ai été un peu plus gêné par quelques invraisemblances sur le sol français. le diable est dans le détail. Deux, trois anomalies, sur des sujets connus, et on quitte un temps le fil du roman. Pour le reste, Alfon fait dans l'efficace, avec en plus un arrière-fond peu reluisant pour les politiques.
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Le dimanche 27 juin 2021, 17h23
A : Lecteurs de babelio
De : Mousquetaire11
Priorité : Immédiate

Pour débuter cette sélection 2021 du "Prix du bureau des lecteurs" folio RTL, j'ai pu découvrir un genre que je ne connaissais pas, celui du roman d'espionnage qui ici se passe entre Paris et Tel-Aviv.

Après son arrivée sur le sol français, un jeune entrepreneur israélien disparaît dans l'aéroport Paris-Charles de Gaulle après avoir suivi une jeune hôtesse toute de rouge vêtue. Quelques heures après cette disparition inquiétante, une équipe de renseignement israélienne est déployée pour résoudre cette enquête car un membre de cet unité d'élite était présent dans l'avion.
Est-ce une simple coïncidence? Au fil des heures de nombreux cadavres sont retrouvés. Une véritable course contre la montre s'engage alors pour les membres de l'Unité 8200 et le Commissaire Léger, un fonctionnaire proche de la retraite... Entre mafia, corruption et pots-de-vin, il va y avoir de nombreux rebondissements et secrets d'état révélés.
Dans ce premier roman policier Dov ALFON nous offre une véritable immersion dans la base israélienne 8200 et découverte des renseignements secrets, milieu dans lequel il a travaillé plusieurs années.
Les passionnés de romans d'espionnage vont se régaler surtout s'ils aiment les enquêtes où le temps est compté et qui doivent se résoudre très vite. Pour ma part, n'étant pas habitué à ce type de lecture et novice dans le domaine de la défense militaire, j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans cet ouvrage. J'ai eu de nombreuses difficultés à distinguer l'ensemble des personnages aux nombreuses nationalités. Peut-être qu'il aurait fallu que je prenne des notes pendant ma lecture pour mieux l'apprécier.

Quoi qu'il en soit cet ouvrage restera une bonne découverte.
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