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Citations sur Magic Charly, tome 2 (45)

La maison de Charly (..) était à dix minutes à pied, ce qui est une règle à Aix en Provence où tout, absolument tout, se trouve à dix minutes par principe, même quand c'est plutôt vingt en réalité.
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– Tu me connais à peine, tu dis que je suis l’idiot utile de l’Académie et tu es prêt à me confier ton amie ? Tu n’as donc rien écouté de ce que je disais tout à l’heure ? C’est très précieux d’avoir quelqu’un de prêt à tout pour vous protéger. C’est toi, le garde-fou de Sapotille. Ne laisse personne l’éloigner de toi, sauf si c’est elle qui te le demande, évidemment. Tu es sa meilleure protection. Et il est probable qu’elle soit la tienne.
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– Parce que le superficiel est parfois indispensable. Si on ne s’occupe plus que du nécessaire, on ne sait plus comment s’émerveiller et on n’a plus rien à espérer. Je crois que Sapotille a besoin de s’émerveiller. Un besoin urgent, même.
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Mais je garderai la papillote. Parce que c'est ça, le vrai luxe, tu vois ? D'avoir toujours une sécurité au cas où.
Charly songea qu'il n'avait jamais rien entendu de plus juste.
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La vraie gentillesse, ça demande du courage. Ça n’est pas de ne pas faire de vagues, ça n’est pas de respecter les règles, en tout cas je ne crois pas. Faire ce qui est bien, je crois que ça demande de se salir un peu, des fois. Alors, aujourd’hui, c’est ce que je fais. (Dodeline)

p.433
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(…) le superficiel est parfois indispensable. Si on ne s’occupe plus que du nécessaire, on ne sait plus comment s’émerveiller et on n’a plus rien à espérer. (Charly)

p.249
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- C’est très simple de savoir si on est intelligent ou si on est un imbécile. Il suffit de rencontrer une personne qui l’est plus que soi. Il y en a toujours. Si on est ravi à l’idée d’apprendre quelque chose à son contact, on est intelligent. En revanche, si on cherche à rabaisser cette personne ou à l’humilier par pure jalousie, alors on est un crétin. C’est tout.
(Sapotille)
p. 137
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La Bretagne excellait à réussir les mois de novembre, qu’elle appelait dans sa langue « les mois sombres ». Elle y faisait de magnifiques ciels plombés, du genre qui donne envie de ne pas quitter l’âtre avant le retour du printemps. Tout l’intérêt de l’hiver en Bretagne était de pouvoir le passer au chaud, un privilège dont les enfants de Saint-Fouettard ne disposaient pas.

p.89
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Tout à coup, neuf heures sonnèrent. Charly tourna la tête. C’était une horloge antipathique, tassée sur elle-même, sculptée d’une drôle de manière, comme si elle avait des mains furieuses posées sur les hanches. D’ailleurs, elle ne sonnait pas les heures, elle les houspillait.

p. 32
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Charly se tut un instant. Au fil des semaines, il avait mûrement réfléchi à la question.
- Je pensais plutôt lui prendre un cadeau totalement superficiel, reprit-il. Quelque chose de joli ou de délicieux, peut-être une confiserie. Mais surtout, rien d'utile.
Dodeline ouvrit des yeux ronds.
- Pourquoi ça ?
- Parce que le superficiel est parfois indispensable. Si on ne s'occupe plus que du nécessaire, on ne sait plus comment s'émerveiller et on a plus rien à espérer. Je crois que Sapotille a besoin de s'émerveiller. Un besoin urgent, même.
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