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Un livre fort avec pou toile de fond la Syrie, le Liban et la guerre. On suit la destinée d'une famille qui se retrouve autour et dans la maison familiale à Beyrouth. Cette maison, dont plus personne ne s'occupe et qui reste vide, va rassembler la famille, en particulier les enfants éparpillés, et révéler ses secrets. Belle histoire familiale.
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Ce roman raconte l'histoire de toute une famille moyen-orientale, avec de multiples secrets enfouis durant de nombreuses années, les désillusions de la vie de couples, des souvenirs d'enfance, des ententes et disputes entre frère et soeurs...
J'ai mis un certain temps à m'approprier ces personnages et, finalement, en comprenant peu à peu comment se sont forgé leurs destins, je me suis attachée à eux. J'ai dû retourner plusieurs fois en arrière pour mieux comprendre les tenants et les aboutissants du roman.
Cette famille dysfonctionnelle à cause du poids des non-dits a été libérée lorsque la vérité a éclaté.
La condition des femmes est aussi évoquée et leur différence de traitement selon leur classe sociale, le racisme aussi et différemment selon que les protagonistes (ayant du émigrer) se trouve d'un côté ou de l'autre des océan et mer.
La ville de Beyrouth, dans sa modernité déroutante, contrastant avec la vétusté des camps de réfugiés, est présente tout au long de la lecture.
Une certaine maison de famille est un personnage à part entière de ce récit. Mais d'autres lieux sont décrits avec acuité par l'autrice.
Enfin, la musique a un grand rôle à jouer dans l'histoire.
Pour ma part, je pense qu'il s'agit d'un bon roman car j'ai terminé ma lecture à regret.
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Idris, chirurgien immigré depuis 40 ans en Californie, décide de mettre en vente sa maison de Beyrouth, la seule propriété de la famille en terre arabe. C'est aussitôt le branle-bas de combat et tout le monde se retrouve, bon gré mal gré, au Liban.
5 parties et autant d'allers-retours entre passé et présent permettent de comprendre ce qui se joue ne réalité derrière cette vente et quels secrets hantent les membres de la famille Nasr.
L'autrice est également psychologue-clinicienne, ce qui se ressent dans sa manière de démêler les fils du récit : jalousie au sein de la fratrie, déception liée à l'immigration et à la difficulté d'intégration, couples qui se délitent, mensonges par omission...C'est aussi un récit d'amour, avec la joie des retrouvailles et les plaisirs partagés. Mazna, la mère aux répliques incisives et souvent injustes, et sa fille aînée Ava, le roc qui s'effrite, sont les héroïnes de cette saga, mais aucun personnage n'est négligé. S'ils ne sont pas tous aimables, on comprend leurs réactions.
Dans une langue tantôt sèche et directe, tantôt très étudiée et très belle, l'autrice donne vie aux villes évoquées dans ce roman sur lequel plane la douleur de la Naqba et de la guerre civile. Beyrouth est évidemment au centre, aussi magnifique qu'insupportable.
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À la fin des années 70, Mazna et Idris sont contraints de fuir leurs pays : la Syrie pour Mazna et le Liban pour Idris. Ils partent s'installer aux Etats-Unis, des rêves et des secrets pleins la tête.
Alors qu'Idris réussit à réaliser son rêve et devient médecin, Mazna quant à elle doit à devenir actrice pour élever leurs 3 enfants, Ava, Marwan, Naj.
Nous retrouvons la famille Nasr, 40 ans plus tard, lorsque Idris décide de vendre la maison familiale de Beyrouth où plus personne ne se rend, tous embarquent au Liban pour la conserver.
Entre le passé et le présent, l'histoire raconte la rencontre entre Mazna et Idris entre la Syrie et le Liban dans les années 70 ainsi que la vie de leurs 3 enfants à notre époque et le retour au Liban.
J'ai adoré cette belle saga familiale, au coeur de l'histoire du Liban. Comme toute belle saga le lecteur retrouve les ingrédients indispensables : secrets, histoire de famille, drame, amour, trahison…..
Les personnages sont attachants, je n'ai pas vu passé les 430 pages !
Entre Beyrouth, les Etats Unis et La Syrie, le roman nous plonge à travers cette famille au coeur de la guerre civile, des tensions politiques et religieuses et de l'histoire du pays des cèdres.

Merci beaucoup à Babelio et aux éditions Marabout.
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Le prologue est une partie très importante du livre , il est la clé de compréhension de cette famille .
Il y a le Liban d'une part , la Syrie de l'autre , deux pays aux destin bien compliqué , le Liban qui a connu une guerre , qui a recueilli de nombreux réfugiés palestiniens jusqu'à l'asphyxie , le Liban qui est en train de vivre une dévastatrice, gigantesque crise économique et la Syrie qui connaît une guerre civile épouvantable.
Le décor est planté , Mazna a quitté son pays la Syrie et son mari , Idris a quitté le Liban .
Ils vivent depuis à peu près 40 ans aux EU dans une petite ville dans le désert californien , Idris est un chirurgien cardiaque renommé , sa femme Mazna n'a , elle , pas pu réaliser son rêve , celui de devenir actrice .
Ils ont trois enfants qui ont comme dans chaque famille pris un chemin différent .
Beaucoup de non -dits , de secrets dans cette famille exilée qui essaie vaille que vaille de garder un lien avec le pays d'origine .
J'aime beaucoup l'histoire de ses deux pays , le Liban et la Syrie , j'ai donc été attirée par ce spécial masse critique , hélas comme de nombreux autres lecteurs , ce roman n'a pas répondu à toutes mes attentes.
Un grand merci à Babelio et aux éditions Marabooks pour ce partage .
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MERCI pour la confiance de Babelio et des éditions de la Belle-Etoile...qui m'ont offert l'occasion de lire cette autrice- poétesse americano- palestinienne....

Même si ce riche roman possède moult qualités, j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l' histoire à cause du nombre de personnages mais surtout pour le mélange des périodes sans explications...Ainsi, il faut conjuguer tous ses efforts pour reconstituer le " puzzle"

Le récit démarre par quelques pages rapides décrivant la mort d'un des personnages centraux, Zacharian, le "Royal absent" qui va hanter tout le livre !!

...puis juste après on se retrouve vingt ans plus tard avec la génération suivante....alors que cette histoire de famille aurait pu démarrer avec les parents,Mazna et Idris Nasr, qui ont dû quitter leur pays à la fin des années 1970: la Syrie pour elle; le Liban pour lui. On apprend après plus d'une centaine de pages...la rencontre d' Idris, jeune libanais de famille aisée et de Mazna, syrienne, de milieu modeste....dans ce duo, se trouve Zacharian, le meilleur ami d'Iris ( mais aussi fils de la femme de ménage de la famille d' Idris....).Mazna tombe amoureuse de Zacharian...ce qui mènera à une tragédie !

Ainsi , après la mort brutale de Zacharian, Idris vient rendre visite à Mazna, dans sa famille, alors qu'elle est tombée en profonde dépression après l'assassinat de son amant...

Idris la persuadera de l'épouser et de partir commencer, ensemble, une nouvelle vie en Amérique , où on l'attend comme médecin-étudiant , où il commencera à pratiquer tout en achevant son " cursus"...

De son côté, Mazna accepte ce départ américain, tout en continuant de rêver à une carrière de comédienne...

Ils vont se construire une nouvelle vie : Idris deviendra médecin, chirurgien cardiaque ( comme une sorte d'ironie du sort!) comme il le souhaitait, contrairement à Mazna qui ne fera pas une grande carrière ni au théâtre ni au cinéma comme elle le rêvait ! Elle aura trois enfants; deux filles et un garcon: Ava, l'aînée (scientifique et biologiste ), Marwan, musicien puis cuisinier responsable d'un restaurant et Naj , la petite dernière...surdouée de la musique...

On va suivre les parcours de chacun et les vissiccitudes de toute cette famille pendant plus de 40 ans: des années 1960 aux années 2000...

Quarante ans plus tard, la famille est éparpillée à travers le monde, tentant de maintenir des liens tourmentés et entachés de trop de non-dits...
un événement va tous les obliger à se réunir à Beyrouth, car leur père a décidé brusquement de vendre la demeure familiale ancestrale...sans même consulter sa soeur, Sara, qui n'est pas d'accord et semble la seule, au courant de la " mystérieuse raison, inavouable" de cette brusque volonté de se debarasser du passé !!....

Nous découvrirons très, très progressivement les secrets, les mensonges, les concessions ...les trahisons d'Idris comme de Mazna...tout cela sur fond de guerres, d'exils...
Ce pourquoi j'insère l'extrait suivant, montrant les origines mélangées et hybrides des parents , émigrés aux États-unis ; origines encore plus cosmopolites pour les
enfants !...

La fuites des parents : fuite de la guerre, fuite pour oublier la mort d'un être adoré...qui continue d'habiter silencieusement leur vie intime , fuite de diverses culpabilités...!

Avec de nombreuses remarques sur les injustices dûes aux différences sociales, face à la guerre, au simple quotidien...

"(...) Elle-même à moitié syrienne, Naj avait passé toute sa vie à reléguer cette part de son identité au second rang, derrière Beyrouth et son éducation hybride en Californie. Étudiante, elle avait pris l'habitude de se rendre à Damas en voiture une ou deux fois par an pour voir ses grands-parents. Elle oubliait toujours de signaler aux gardes- frontières qu'elle était syrienne.Ce n'était pas comme si les deux pays n'avaient aucun rapport l'un avec l'autre.La frontière qui les séparait semblait plus anecdotique qu'autre chose. Les soldats syriens étaient entrés au Liban dans les années 1970 et avaient abusé de la bienveillance de leurs hôtes durant trois décennies, comme son père aimait à le répéter. (...)

Une lecture intéressante à bien des égards, qui m'a toutefois été peu aisée : longueurs, sauts dans la chronologie, auxquels on s'habitue, une fois, que l'on a enfin fait connaissance avec le passé et la jeunesse des parents : Idris et Mazna...qui sont le socle de cette fresque familiale !
Toutefois, je suis restée très frustrée du côté de l' Histoire même du Liban... !

Une couverture réussie...au vu des sujets, dont cette guerre omniprésente, ayant détruit un pays, d'innombrables familles...
...Et cette famille, qui a ses propres guerres internes...même si ces retrouvailles familiales dans la maison des grands-parents, à Beyrouth provoqueront des explications, confessions, rebondissement au sein de la fratrie..et apporteront, au final un début d'apaisement...

Je laisserai le mot de la fin au Père, Idris :

"Il voulait tout: l'Amérique, les enfants respirant ce pays par tous les pores de leur peau.Il voulait rayer Beyrouth de sa vie.C'est le problème avec le destin : on vole vers celui auquel on veut croire. "

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La ville des incendiaires

Mazna a quitté la Syrie et Idris le Liban dans les années 70.
Ils se sont connus à Damas lors d'une représentation au théâtre. Mazna était l'actrice du rôle principal et Idris l'ami du metteur en scène. Séduit par la jeune femme, il n'a eu de cesse de lui proposer de l'accompagner passer des journées avec lui à Beyrouth, voir ses amis, sa famille.
C'est la que Mazna a rencontre Zakaria, l'ami d'iris, le presque frère, le fils de la domestique palestinienne.

Quarante ans se sont écoulés. Idris est devenu chirurgien, il opére des coeurs, il leur parle et les écoute. Et c'est un coeur qui lui a enjoint de vendre la maison de son père à Beyrouth. Cette maison où plus personne ne vient, mais qui est malgré tout chère au coeur de tous les membres de sa famille.
Mazna essaie d'imposer à ses enfants de se retrouver à Beyrouth pour tenter d'empêcher la vente. Si chacun d'eux a des raisons différentes de ne pas vouloir y aller, ils ont aussi toutes les bonnes raisons du monde pour y venir.

Leur fils Marwan refuse d'aller à Beyrouth, son groupe de musique est plus important que tout. Mais finalement il se décide et ira avec Harper.
Leur fille Ava ne sais pas trop, envie, pas envie, faire plaisir aux parents, retrouver la maison de famille. Atermoiements, interrogations, hésitation puis décision, ce sera Beyrouth avec ou sans Nate, ce mari qui ne lui refuse rien.
Reste à voir comment va réagir Najla, la petite soeur installée à Beyrouth justement. Pas chez ce grand-père qui est décédé et qu'il faut honorer avant la vente, mais pour y vivre sa vie de chanteuse à succès, et pouvoir être elle-même, amoureuse de ces femmes qu'elle quitte aussi vite qu'elle les séduit.
Mais peu à peu des secrets pourraient se révéler au cours de ce voyage au pays des origines.

Faisant des aller retour entre présent et passé, l'autrice réussi à travers le parcours chaotique de cette famille à décrire la complexité des relations entre le Liban, la Syrie et la Palestine.
Destinées qui se mêlent et s'entrechoquent au rythme des guerres, des tensions religieuses toujours fratricides et jamais assouvies et des aléas politico religieux qui ont si souvent décidé du bien être ou du malheur des populations de cette partie du monde.

Un bémol important, la taille de la police de caractère qui a rendu cette lecture bien fastidieuse et compliquée, quel dommage.



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A Beyrouth, un homme meurt assassiné, conséquences d'erreurs commises dans son passé.
Aux Etats-Unis et à Beyrouth, les trois enfants d'Idris et Mazna Nasr sont en panique : leur père veut vendre la maison familiale de Beyrouth suite au décès du grand-père, leur mère s'y oppose et met tout en oeuvre pour qu'ils se rejoignent tous sur place. Or c'est une famille paradoxalement soudée tout en étant désunie. Chacun est déjà suffisamment embourbé dans ses problèmes personnels. Les enfants évidemment ne savent rien de l'histoire de leur mère, ils ne comprennent pas ses réactions, les tensions palpables, ils sont pris dans les secrets de famille comme des mouches dans une grande toile d'araignée.
L'entrée en matière par un court prologue est très réussie, très accrocheuse : violence, drame, secrets. Ensuite les 5 parties alternent les époques et les points de vue : nous passons alternativement de l'époque actuelle avec le point de vue des enfants, au récit de l'histoire de Mazna, personnage clé de l'histoire et du drame.
Le ton, l'écriture, est différent selon l'époque et les personnages, c'est très cohérent : vif, enlevé, cinglant, très contemporain du point de vue des enfants ; plus classique, avec de plus longues phrases, du point de vue de Mazna. Les dialogues sont parfaits, dignes d'un scénario de série. Les situations sont finement décrites. Les personnages sont crédibles et attachants.
La ville de Beyrouth est présentée en filigrane et se révèle être un des personnages importants du roman.
C'est aussi un autre regard sur l'immigration musulmane aux USA, a priori « réussie », mais en apparence seulement.
C'est un roman très abouti qui nous offre de belles heures de lecture très agréables.

Merci aux éditions Marabout et à Babelio pour cette belle découverte via une masse critique.
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À la fin des années 1970, Mazna, syrienne, et son mari Idriss, libanais, sont obligés de fuir leurs pays et s'installent en Californie où ils fondent leur famille. Quatre décennies plus tard, Idriss souhaite vendre la demeure familiale à Beyrouth mais sa femme s'y oppose et compte sur le soutien de ses trois enfants désormais adultes. 

Tous se retrouvent à Beyrouth dans cette maison où le passé resurgit et les secrets  volent en éclats.

Les premières pages de ce roman nous transportent à Beyrouth au travers d'une scène terrible dans laquelle un homme nommé Zakaria se fait exécuter. Une tension forte qui retombe rapidement mais qui aiguise notre curiosité puisque la première partie du récit nous emmène à la rencontre des trois enfants de Mazna et Idriss de nos jours. 

Dans cette saga familiale naviguant entre passé et présent, l'autrice fait la part belle aux personnages sur deux générations de la famille Nasr. Des personnages étoffés, nuancés et imparfaits. Mazna qui occupe une place centrale avec sa douloureuse histoire ainsi que la relation complexe qui l'unit à Idriss m'a particulièrement marquée. 

Avec pour toile de fond la guerre au Liban et ses répercussions, Hala Alyan évoque également de nombreux sujets dans ce roman riche tels que les non-dits, le pardon, la jalousie ou encore l'amour. 

Une plume magnifique qui nous fait voyager entre la Californie, la Syrie et le Liban avec ce récit passionnant et poignant.

Une des belles surprises de cette rentrée littéraire.
Lien : https://mesechappeeslivresqu..
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Mazna et Idris Nasr sont installés en Californie depuis la fin des années 70. Mazna a quitté la Syrie, avec l'espoir de devenir actrice, Idris a quitté le Liban et est devenu un brillant chirurgien. Leurs trois enfants vivent chacun leur vie, tant bien que mal, les liens entre chacun d'eux s'altèrent de plus en plus. Mais quand Idris décide de vendre la maison familiale à Beyrouth, malgré les réticences de chacun, ils sont bien obligés de se revoir.

Cette saga familiale est une très belle surprise. le prologue donne le ton sur le drame qui a pu se jouer. En quatres parties qui alternent présent et passé, la parole sera donnée aux trois enfants et à Mazna, on suit leur histoire à travers le temps. le présent permet de faire connaissance avec les enfants Ava, Marwan et Naj. Leur vie, leur lot de problèmes, les liens entre chacun d'eux. le présent avec son lot de mystère, de questions et de non-dits. Des enfants qui ne comprennent pas leur parent. Des parents qui tentent vainement de suivre leurs enfants.
Le retour dans le passé m'a énormément plu. On retrouve Mazna en Syrie, enfant, évoluant au sein de sa famille avec l'espoir de devenir actrice. Un avenir qui semble tout tracé, un avenir prometteur. Sa rencontre avec Idris, le Liban, la guerre. Plus tard le départ aux Etats-Unis, l'adaptation, les rencontres, les opportunités et les déceptions.
Immersion totale dans ces deux pays, au sein de leur famille attachante et touchante. La cuisine, la chanson, le théâtre, la chirurgie, des rêves et des espoirs, des désillusions, des mystères, des incompréhensions, des disputes et de l'amour. La vie quoi. Mais la vie tellement bien écrite, les personnages tellement criants de vérité. Une histoire dense, complète que l'on ne veut plus quitter. Une écriture entraînante qui m'a fait voyager et aimer cette famille.
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