Des diables et des saints

traversée temporelle dans un foyer des Pyrénées d un orphelin pianiste... Et bien c est une belle histoire mais je dois dire que cela m a un peu perdu dans ces descriptions... de personnages... Un peu confus cette épopée... Alors je ne laisse que la moyenne car il me semble avoir un peu peiné a la lecture malgré cette histoire romanesque et pourtant joliment écrite.

Pourquoi ce pianiste, au crépuscule de sa vie, joue encore et toujours du piano dans les gares et les aéroports ? Nous ne le comprendrons que dans les toutes dernières pages, après être remontés dans son passé, son adolescence d'orphelin notamment. Très descriptif, ce que j'ai vécu parfois comme des longueurs, il en ressort une belle humanité. Au milieu de la violence de sa vie, le narrateur pose un regard plein de tendresse et d'humour sur ce passé-là et ces gamins balancés là sans rien avoir demandé, un regard sans complaisance aussi.p

Deuxième roman de cet auteur que je lis.
L'histoire n'est pas convaincante , je trouve que l 'auteur sur des sujets connus l'enfance, les traumatismes , l'orphelinat
ne va pas au fond des choses et surtout des émotions. Je suis à nouveau déçue ; cela se lit très facilement, les personnages sont un peu caricaturaux pas assez authentiques , les situations un peu trop scénaristiques
; j'ai cherché a nouveau ce souffle épique et de fraicheur de l 'enfance et ne l'ai pas trouvé....certains passages sont un peu longs…...
mais faites vous votre opinion ...

C'est l'histoire d'un enfant qui du jour au lendemain se retrouve orphelin. Il se retrouve "incarcéré" dans un pensionnat ou il devra trouver sa place et trouver un moyen d'échapper à un quotidien dur, très dur. Il reste une chose à cet enfant de son passé : sa capacité à jouer très bien du piano. C'est ce don qui va lui offrir une porte vers l'extérieur de ce pensionnat et qui va l'amener à découvrir Rose.

C'est une jolie histoire d'infortune, d'amitiés et de musique, qui nous dresse un tableau très sombre des orphelinats. le livre se lit facilement, le style est agréable et les personnages travaillés en profondeur.

Attention captée dès les premières pages de ce roman, je me suis laissée emportée jusqu'aux dernières lignes.
Une écriture fluide, claire, sans artifices et pourtant soignée, avec un vocabulaire riche qui nous fait voyager dans le temps, dans la vie d'un pianiste.

L'histoire est somme toutes assez banale et on en tire rapidement toutes les ficelles. Certains passages sont vraiment très agréables à lire : les souvenirs sans mélodrames de l'enfance d'un garçon qui a perdu ses parents. Notamment ses souvenirs de cours de pianos.

Par contre, certains passages et formules sont vraiment lourdingues. Oui en fait, certains passages sont agaçants car déjà vu, déjà écrits et très consensuels. Et puis il y'a quelques épisodes qui ont l'air d'être là à titre anecdotiques mais vraiment là pour exhiber une culture ou une recherche avant l'écriture et qui m'ont vraiment semblé ajoutés comme un cheveu sur la soupe. D'ailleurs, à un moment le narrateur nous rappelle qu'il va en venir au fait, pas de panique, attendez, n'abandonnez pas la lecture...

Le personnage principal à un côté bourgeois qui rend crédible son côté virtuose du piano qui a eu accès à une éducation musicale, mais le rend vraiment très agaçant parfois. Les autres personnages sont assez caricaturaux, ce qui retire à la crédibilité de l'ensemble. Quand à la crédibilité de l'histoire même... de mon côté, ça ne prend pas.

Donc pas vraiment convaincue par cette lecture, bien que j'ai passé un bon moment, il y a beaucoup d'éléments qui m'ont déplus.

C'est tendre, c'est touchant.
Souvent c'est injuste, mais chaque mots est d'une incroyable justesse.
Je vous recommande chaleureusement la lecture de ce livre.
C'est musical, c'est poétique. C'est un mélange d'innocence et de passage très rapide vers le monde des adultes..

Un roman dont je ne m'attendais à rien. le résumé m'a simplement plu lorsque j'étais en librairie. le résumé du livre papier n'est pas aussi étayé que celui-ci, je ne m'attendais même à passer tout le livre (ou presque) dans un orphelinat. Un sujet sur lequel je n'ai pas lu grand-chose. Je fus agréablement surprise par cet auteur que je ne connaissais pas non plus, découvrir les questionnements et l'injustice de l'adolescence, les conditions violentes dans les orphelinats à cette époque. Se regrouper pour allumer un peu d'espoir dans le coeur de ces orphelins.
Je ne dirai pas que c'était un livre exceptionnel, qui me laisse béate une fois la dernière page tournée mais j'ai passé un agréable moment.

Ce roman était dans ma PAL depuis un an. Il vient juste de sortir au format poche. du coup je me suis dit qu'il était temps de le lire.

Je ressors de cette lecture un peu mitigée. J'ai apprécié la plume de l'auteur. L' histoire est intéressante et assez émouvante.
Mais malheureusement il m'a manqué quelque chose.

Joe, le personnage central, voit sa vie basculer du jour au lendemain. Il se retrouve dans un orphelinat. Il va y rencontrer des diables, des saints, des copains et Rose.

Dans ce récit on perçoit les souffrances de Joe et des autres. Mais aussi leurs espoirs, leurs rêves
Entre enfance, résilience et espoir, le roman n'est en rien larmoyant.
Petite mention sympa avec le côté musical très présent dans le récit.

C'est bien écrit. La plume est poétique.
Malgré tout j'ai trouvé quelques longueurs. J'ai eu du mal à m'imprégner de l'histoire et de l'atmosphère. Je n'ai pas été emportée comme je l'aurais aimé.

Comme je le dis chaque fois, je ne peux que vous conseiller de le lire afin de vous en faire votre propre avis.
Il a eu de très bons retours.

À la lecture du roman, des images me sont apparues entre le cercle des poètes disparus et Les choristes.
L'écriture de Jean-Baptiste Andrea est visuelle. Les scènes du film se succèdent pour faire un récit trépidant. Les rebondissements sont incessants. Dans mon fauteuil rouge, j'ai vécu l'injustice, l'amour, la revanche et l'amitié.
La galerie de personnages est hétéroclite, avec mentions spéciales pour le professeur Rothenberg, l'astronaute Michael Collins, Rose et l'abbé Sénac.
Des diables et des saints se lit sans entracte.

Bon le thème de l'orphelinat avec enfants maltraités... Pas super neuf quoi. Je l'ai fini pour le finir mais bonjour la déprime. Comprends pas cet emballement pour ce bouquin... Mais oui bon, ça se lit bien.
Pas un gros gros suspense. Malheureusement sûrement inspiré de la réalité. Et je vais aller au bout des 252 caractères mais vraiment je ne sais pas quoi dire de plus...