L'armée fantôme d'Aquitaine

Olivier Briant, un écrivain, reçoit une lettre envoyée à son nom à la maison d'édition. Cette lettre, écrite par une inconnue, le met en garde contre une menace qui pourrait lui nuire si un manuscrit, écrit par quelqu'un de proche lors de ses années de fac, venait à paraître.
S'ensuit l'envoi incessant de SMS et d'appels téléphoniques pour la plupart en pleine nuit.
Lors d'un week-end chez son éditeur, l'écrivain rencontre la capitaine de Gendarmerie Louise Sénéchal et lui parle de l'affaire. Elle lui donne des conseils et commence à enquêter officieusement.

Une mise en contexte assez longue où l'on suit la vie presque quotidienne de l'écrivain, ses relations avec sa compagne, mais aussi la vie de l'inconnue au sein d'une communauté survivaliste.
Il faut attendre un peu plus d'un quart du roman avant la rencontre avec la capitaine et que l'intrigue démarre véritablement.

Dans la deuxième partie du roman le récit dérape et l'intrigue d'une simple vengeance passe à du terrorisme international, et l'auteur finit petit à petit par perdre le lecteur.

Un dénouement un peu trop explosif.

Un thriller somme toute très moyen.
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- Dans un style vif et alerte, piqueté de dialogues qui sonnent juste, l'auteur nous entraîne dans les pas d'Olivier Briant, un écrivain à succès. Un thriller bien écrit et bien construit. Philippe Lacoche (Le Courrier Picard).
- Au temps des catastrophes environnementales, collapsologie et survivalisme prospèrent. Roger Anglument en fait le coeur de son thriller. Christophe Colinet (La Nouvelle République/Centre Presse).
- Comme tous les bons romans policiers, l'intrigue se multiplie. le fil conducteur ramenant le lecteur vers un univers survivaliste. Une tension bien menée autour des difficultés de notre société. Jean-Luc Richard (Journal Sud-Ouest).
- : "Un polar rythmé qui nous entraîne dans un univers complotiste et survivaliste… ». Radio Coteaux