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Après avoir lu le premier tome "Bleu Calypso" en mars 2021 et le deuxième tome "Rouge tango" en mai 2021, il s'est passé du temps pour la lecture du tome 3 "Vert samba". A cette occasion, j'ai relu mes critiques des tomes 1 et 2 qui étaient enthousiastes. Celui-ci m'a un peu moins plu, mais peut-être en attendais-je plus ?
J'ai lu dans plusieurs avis sur ce tome 3, qu'on pouvait les lire indépendamment mais je ne suis pas vraiment d'accord. Bien sûr c'est chaque fois un nouveau crime, mais les personnages récurrents évoluent dans ce petit coin de paradis près de Sète. Des trois tomes, j'ai préféré le tome 2 qui était pour moi, le plus aboutit.
Mais je vais vous faire un résumé de celui-ci.
On a retrouvé deux cadavres d'ostréiculteurs avec sur leurs bras un même tatouage nazi. On peut difficilement dire que ces deux meurtres ne sont pas liés.
Niels Hogan, notre héros ainsi que Lizzy sa compagne, enquêtent accompagnés de leurs pères respectifs, Paddy et Vieux Bob. Sans oublié, Malkovitch, leur ami mais néanmoins gendarme de profession.
C'est un récit plutôt tranquille, du moins au début, et qui va crescendo au fur et à mesure que l'enquête avance. C'est un polar doux et non violent, pas d'hémoglobine à outrance.
Un polar que je recommande, une lecture tranquille et sans trop de pression.
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J'ai pris plaisir à retrouver Niels Hogan dans ce nouveau polar de Charles Aubert (Tomes précédents : Bleu Calypso et Rouge Tango. Ils peuvent être lus de façon indépendante).Niels pour ceux qui ne le connaissent pas, c'est un homme qui a décidé de tout quitter et de se retirer du monde en venant vivre dans une cabane dans le sud de la France. Il ne supportait plus la violence, son métier… Il fabrique maintenant des leurres qu'il vend sur Internet. Très peu de monde dans sa vie, son père et Lizzie et son propre père. Quelques amis se sont greffés mais il est plutôt solitaire et souhaite simplement vivre une vie tranquille… Sauf que dans son petit coin sauvage, deux ostréiculteurs vont être retrouvés morts. Un tatouage sur le bras fait le lien entre ces deux meurtres. Ce tatouage semble faire référence à un vieux groupe de rock local dont les membres appartiendraient à l'extrême droite. Avec sa compagne Lizzie qui exerce le métier de journaliste, il ne va pas avoir le choix, il va devoir l'aider à mener l'enquête. En plus, le père de Lizzie et son amie directrice de l'ESAT semblent savoir des choses.
Avec Charles Aubert vous savez que le polar qui vous attend ne sera ni violent, ni gore. On nous indique en quatrième de couverture qu'il s'agit d'un « polar doux » et c'est tout à fait le cas. Pas de sensation forte au rendez vous, juste un polar bien ficelé, au style fluide, où les évènements s'enchainent sans accroc. Pour moi Charles Aubert apporte une touche de sérénité dans son polar, son style est apaisant, peut être le coté nature, l'eau, la pêche et la situation géographique de l'histoire, un lieu isolé, près d'un étang. L'auteur évoque également des thèmes autour de son enquête. Ici l'amour, les secrets/non-dits, la différence, le retour à l'essentiel, la nature,…
Je ne sais pas si une suite est vraiment prévue mais la lecture laisse sous entendre que oui et évoque une piste de titre mais chut je vous laisse le découvrir…
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Avec Charles Aubert, on a désormais l'habitude de romans policiers dont l'intrigue n'est qu'un élément de l'histoire. Et, cette fois encore, cela fonctionne remarquablement. On a toujours notre compte de cadavres, de coups tordus, de manipulations. On a également notre dose de tensions entre Lizzie, qui ne peut pas s'empêcher d'enquêter, en bonne journaliste, et Serge Malkovitch qui, en bon policier, voudrait voir ses amis ne pas empiéter sur ses enquêtes.

Mais, ici, et c'est sans doute l'originalité de ce troisième tome, nous sommes aussi les témoins des affres dans lesquelles Niels se débat, alors qu'il voit des pans entiers de sa vie menacer de s'effondrer. Paddy, avec lequel il parvient enfin à entretenir une relation apaisée, commence à présenter de curieux troubles de la mémoire, de l'équilibre ; Lizzie parait par moment bien lointaine ; et Niels, lui-même, se pose beaucoup de questions, alors que tous ceux qui l'entourent l'appellent à faire face à ce qu'il est vraiment.

De nouveaux personnages apparaissent, comme Nora, la directrice de l'ESAT ; on retrouve avec plaisir les anciens – ceux qui ont survécu aux aventures précédentes, évidemment -. Et l'on retrouve également avec joie les paysages que Charles Aubert nous fait découvrir, à pied, en canoé ou en voiture, depuis le début de cette série.

Mais, même dans ce petit coin reculé, loin des hommes et du monde, notre réalité reste présente. Entre violences faites aux femmes et virus menaçant le monde – hein, quoi, de quoi parlez-vous ? -, c'est bien au coeur de nos vies que cette histoire s'ancre.

Niels, en pleine introspection, va devoir trouver un nouveau chemin. Saura-t-il s'inspirer de l'exemple de Tao et Nathalie, deux des pensionnaires de l'ESAT, qui posent sur le monde un regard joliment décalé et profondément poétique ? Osera-t-il modifier le cours de sa vie ? Il faudra sans doute que la trilogie devienne une quadrilogie pour que nous ayons toutes les réponses…
Lien : https://ogrimoire.com/2021/0..
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Une fois de plus, j'ai commencé une trilogie par la fin, il paraît qu'on peut la lire indépendamment mais normalement je préfère commencer par le début. Donc je lirai prochainement les deux premiers tomes.

Niels vit avec Lizzie au bord de l'étang de Thau, elle anime un site d'information avec son collègue Vincent, alors qu'il a plaqué sa situation à Paris depuis longtemps pour vivre de la confection de leurres pour pêcheurs, d'où le titre du roman. Son père Paddy est venu passer quelques semaines chez son fils, la cabane voisine est occupée par Vieux Bob, le père de Lizzie, qui tient un restaurant proche. Il emploie des résident handicapés de l'ESAT, une institution du quartier. Paddy de son côté apprend à pêcher à Tao, un jeune handicapé du centre. La vie pourrait s'écouler ainsi, heureuse, si Niels n'était pas si mal dans sa peau et surtout si l'un des ostréiculteurs de l'étang n'avait pas été retrouvé mort dans son exploitation, abattu au fusil à bout portant. Puis un autre ostréiculteur. Lizzie ne peut s'empêcher d'enquêter sur ces meurtres, même si leur ami Malkovitch, un policier intègre essaie de la tenir à distance.

Ce livre est qualifié de policier doux, c'est une sorte de cosy mystery, en dehors de la campagne anglaise. Il y a l'enquête avec des rebondissements, Niels s'y trouve entraîné contre son gré par la remuante Lizzie, mais le centre du roman n'est pas l'aspect polar. Cette période est racontée par Niels, qui voit sa vie sur le point de s'effondrer, du moins le pense t'il. Son père montre des signes de démence qui l'inquiètent au plus haut point, il sent la distance se creuser avec sa compagne et ne sait que faire, il se sent totalement impuissant. Il fuit ses problèmes en se réfugiant dans son monde intérieur peuplé de poésie japonaise et de cérémonies du thé. Je trouve que le mal être de Niels est le vrai sujet du livre et j'ai trouvé cela vraiment lourd, d'où ma notre très moyenne. Je n'ai pas beaucoup d'empathie pour ce personnage, sorte d'adolescent attardé qui se noie dans un verre d'eau, sans doute parce qu'il me rappelle trop de personnes que je côtoie dans la vraie vie et qui me donnent vraiment l'envie de les secouer un bon coup.

A part ce personnage lourdaud, les autres sujets abordés dans le livre sont très intéressants. La nature joue un grand rôle c'est un personnage à part entière et j'ai eu grand plaisir à redécouvrir cette région visitée il y a bien longtemps. La nature est douce, mais peut aussi se montrer implacable, avec la canicule, la malaïgue et les feux de forêts. La pêche est une image de la vie idéale, mais Niels apprend à Tao à relâcher les poissons. Ceci dit, je ne vois pas à quoi sert de blesser cruellement ces animaux avec des hameçons si on prétend les aimer, autant leur ficher la paix, encore une contradiction de Niels. le thème de la différence est vraiment très bien traité par l'auteur, travaillant aussi dans le domaine du handicap, j'ai apprécié sa délicatesse. Tao et Nathalie sont les contrepoids de la société, avec une vision poétique et innocente de la vie. Personnellement je pense comme Camus que l'innocence est au placard depuis longtemps, mais j'ai apprécié ces deux personnages lumineux, qui s'aiment de manière simple et sans drame, contrairement à Niels et Lizzie. On y parle aussi de politique, de corruption, de secrets, la violence de la société s'oppose au microcosme (plus) apaisé de Niels et de son petit monde.

Le style est fluide et agréable, l'écriture poétique. Même si je n'ai pas beaucoup apprécié Niels dans cet opus, je vais découvrir le début de cette trilogie prochainement.

Un grand merci à Delphine des Editions Slatkine pour ce roman.
Lien : https://patpolar48361071.wor..
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Retrouver Niels Hogan, sa cabane, Lizzie sa compagne est à chaque fois un immense plaisir. L'été est là , tout semble aller bien mais lorsqu'il y a mort d'homme , que cet homme est un ostréiculteur, que ce sont les compagnons de l'ESAT, un centre pour des jeunes différents qui trouvent le corps, que Nora leur directrice est la chérie de Vieux Bob le père de Lizzie., que Paddy vieillit.....
Le monde change, le présent se vit à l'aune du passé. La violence s'installe, la mort s'invite !
Et Niels dans tout cela? va t'il arriver à gérer ses émotions, ses ressentis, son envie de fuite ?
Parce que Charles Aubert nous fait visiter cette splendide région occitane autour de l'Etang de Thau, parce qu'il s'attache à décrypter les personnalités de ses personnages, leur mode de pensée sans oublier les arcanes du polar, ce roman a une tonalité originale et particulière, de là à parler de douceur ...
Un grand merci à Delphine des éditions Slatkine pour ce partage.
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Ce que j'ai ressenti:

Le trouble en Vert

Dégringole sur l'étang

Et va vers sa nuit…

✨Stelphique✨

Je cherchais dans l'azur une réponse que je ne trouvais pas.

On cherche tous des réponses. Des réponses à la vie, à nos émotions, à nos troubles, à la mort. Souvent, regarder le ciel peut aider. Pas toujours, mais des fois, oui. Méditer aussi, ou encore aller pêcher. Juste histoire de se reconnecter à la nature, au ciel et à la terre, tenter de retrouver le fil. le fil de la vie, de nos conversations, de nos rêves. Depuis maintenant, trois polars aux saisons différentes, j'ai un fil magique avec Niels, où certes, je n'ai pas, encore, toutes les réponses à mes questions, mais j'ai quelques heures de douces rêveries et cela, c'est précieux. C'est un fil puissant qui me relie chaque année à la douceur du Sud, aux plaisirs authentiques de l'amitié et à mon penchant pour le polar. J'aime le trouble que Charles Aubert met dans ces histoires qui nous rappelle que la vie est pleine de surprises, de dégâts et de dissimulations. J'aime qu'il y ait des flottements, des demi-vérités et de l'amour en profondeur, qu'il faut aller dénicher sous la surface des choses. Alors bien sûr, même s'il y a des meurtres sordides, des actes ignobles et une affaire de liens mystérieux qui sont là pour nous tenir en haleine pendant 300 pages, je veux garder ce fil très particulier avec Niels. le nouer de bleu, rouge et vert, autour de mon coeur.

Je ne savais pas de quoi j'étais assoiffé. de vie, d'amour, de vérité. de paix sans doute.

J'aurai pu rajouter, de poésie. Parce que la poésie accompagne cette intrigue, elle se glisse un peu partout, comme de l'eau, elle s'infiltre. Elle infuse son pouvoir au fil des pages. C'est pour cela, que j'aime autant la plume de cet auteur, parce que malgré les ténèbres, les meurtres, les doutes, les mensonges, il fait ressortir de ces polars, une beauté pure et simple qui vient à chaque fois, me saisir. Niels oscille entre passé douteux et avenir incertain, il se laisse balloter par les événements présents, mais il ne perd rien de son charme. On le sent parfois, flancher dangereusement, mais ça le rend d'autant plus attachant. Malgré les leurres et la dérive, malgré les tourments et la canicule, « Ki fréko si XoXo », j'ai aimé vivre ces quelques heures auprès de ce groupe d'amis, où la tolérance est de mise, et la pêche, un art de vivre. le temps d'une lecture, juste vivre en paix, avec eux, c'est tellement réconfortant. Juste vivre, et se retirer loin du monde…Se complaire dans la cérémonie du thé et la déconnexion…

Mais la lumière brillait toujours, derrière la nuit, derrière la pluie.

Parce qu'il aborde les rivages imprécis de la vieillesse, des secrets douloureux, de la fuite du bonheur… Parce qu'il est ancré dans des problématiques actuelles, des sujets brûlants et si proche de la déliquescence… Parce que rien n'est totalement certain, mais l'entre-deux encore essentiel…Charles Aubert arrive encore avec ce tome Vert Samba à m'émouvoir. Les marges ont ceci de fascinant, c'est qu'elles sont tsunamis de sensibilités, et l'auteur s'emploie à sublimer la différence, à faire rejaillir la lumière dans la nuit…Un petit « crush » pour Tao, d'ailleurs, qui est tel un rayon de soleil sur les rives de l'étang de Thau. C'était encore un polar lumineux comme on les aime tendrement, et j'en reviens avec un coup de coeur, parce que en ces temps troubles, il n'y a rien de plus bouleversant, que la douceur…
Lien : https://fairystelphique.word..
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Après ‘'Bleu Calypso'' et ‘'Rouge Tango'', c'est un réel plaisir de renouer avec Niels, ses états d'âme, son mal-être (1), sa pétulante compagne, son père-traveller et ses amis pour lesquels le mot ‘'amitié'' a un sens profond. Sans compter cet étang de Thau auprès duquel il a trouvé refuge : espaces sauvages, faune, habitués, saisons changeantes. On se sent loin de la folie des hommes. Mais celle-ci va rattraper Niels et sa bande…

Dans cet opus, Charles Aubert ajoute un ingrédient : le monde du handicap. Une partie de l'ancien domaine d'Alex a été transformé en CAT et Vieux Bob emploie certains des résidents handicapés dans le restaurant qu'il a hérité d'Alex. Les handicapés et leur entourage jouent un rôle non négligeable dans l'intrigue, certains d'entre eux y ayant même un rôle primordial.

Un roman plus sombre, moins axé sur l'intrigue policière, plus centré sur l'humain : le regard sur le handicap et la différence, Lizzie qui voie ses bases trembler, Niels toujours en proie au mal-être qu'il combat avec la poésie japonaise et des cérémonies du thé…

L'écriture de Charles Aubert est une écriture rare et unique à mes yeux.


PS : A quand « Rose Madison » que certains éléments du roman nous laisse espérer ?

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(1) « J'étais le genre de type pour qui rien n'était facile. Un de ceux qui étaient obligés de se raconter des tas d'histoires pour trouver la force de continuer un jour de plus »
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Rien ne va plus au pays de Thau. La chaleur étouffante de cet été caniculaire brouille les esprits, la cérémonie du thé perd de sa saveur et le Hagakuré apparaît tout à coup d'une fadeur écoeurante. Les pêcheurs n'attrapent plus que des Songes de Roche et la mort déploie sa toile à la façon d'une maîtresse insidieuse et destructrice.

C'est l'heure où tout bascule et où l'équilibre fragile se segmente, s'effrite et s'ébranle.

Le présent se fait opaque à la lueur d'un passé troublant qui rattrape notre petite clique et enveloppe l'Etang des Moures d'une profonde mélancolie. La faute à la prosopagnosie, aux gitans et à la malaïgue. Au coeur de ce foutoir angoissant, Niels se débat avec ses propres démons, que seuls les canadairs semblent pouvoir étancher.

Cet opus, plus sombre que les premiers, est également, à mon humble avis, le plus abouti. C'est le tome de tous les doutes, celui de la maturité, qui cache, je le souhaite, un ultime opus aux couleurs que j'espère chatoyantes et dansantes, un jaune ou un rose, oui, c'est bien ça, rose, un Rose Madison…
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C'est difficile de ne pas vous en dire trop car c'est déjà un troisième tome et j'aime préserver le plaisir de chacun surtout quand il s'agit de romans mais quel plaisir de retrouver Niels Hogan !

L'écriture de Charles Aubert est spéciale.

Elle m'aspire et me berce ; comme le clapotis des vagues ; je m'y suis sentie tellement bien ! Est-il nécessaire de vous dire que j'ai aimé cette lecture ?

Avec Vert Samba les personnages sont à un tournant de leurs vies et s'enfoncent de plus en plus vers l'obscurité. Tout ça m'amène à me demander comment vont-ils évoluer ? La réponse sera sans doute dans le prochain tome, il va falloir que je sois patiente.



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L'action se passe à Sète près de Montpellier sur l'étang de Thau. le narrateur, Niels, est un homme dont on ne connaît pas l'âge on sait juste qu'il a eu une enfance difficile (mais on ne sait pas quoi) il vit avec Lizzie … Son père est d'origine irlandaise et lui est également très proche.
Niels, fabricant d'hameçons, ancien parisien, va se retrouver mêlé à une enquête. Un homme est retrouvé mort, proche d'une exploitation ostréicole. Seul signe distinctif : un tatouage…
Son amie est journaliste, il a également un autre ami policier ce qui leur permet d'avoir des infos sur l'enquête.
Il y a des choses que j'ai bien aimé dans ce livre notamment le rapport entre les différents protagonistes en particulier le rapport avec les travailleurs handicapés sur les exploitations ostréicoles.
Les personnages sont très attachants même si cela m'a un peu gênée de ne pas avoir lu les deux tomes précédents de cette série.
À l'inverse il y a des choses qui m'ont un peu moins plu, le côté un peu prévisible de cette histoire de vengeance en particulier.
Cela reste cependant une très bonne lecture détente.
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