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« Le plomb a un goût amer quand il comble autre chose que les dents.  »

Tu vois, c'est pour des aphorismes de ce style qu'on aime Michel Audiard et que j'ai aimé me plonger dans le roman de son petit fils Marcel.
Oui, je t'entends déjà arguer que Marcel Audiard devrait être jugé pour ce qu'il est et non à l'aune du talent de son papi.
J'entends mais te rétorque illico que, primo, m'est avis que le Marcel en question n'aurait peut être pas été publié s'il n'était le petit fils à son grand père ; deuxio, l'auteur assume et revendique l'héritage (pour toi qui es connaisseur, le titre du bouquin doit fatalement te titiller le cortex préfontal... et quand je t'aurai dit que le père de la gamine a pour blaze Raoul Volponi ( ça y est je te l'ai dit), tu conviendras que je te bourre pas le mou) ; troizio, c'est ma critique et j'ai parfaitement le droit de ne pas être objectif et j'emm... les empêcheurs de pisser debout ; quarto, on devrait pas être autorisé à écrire des phrases si longues ; cinquo, je mets un point et je m'arrête.

Donc oui, j'aime la gouaille de l'auteur, ses sentences sentencieuses, sa façon de nous balader dans un 18ème populaire et de nous faire rencontrer des gaziers pas piqués des hannetons.
J'ai aimé ces minos débrouillards, ces malfrats teutons, ce daron pochard, cette maison poulaga qui bat de l'aile..., cette ex tapineuse en charrette, cette autre qui s'est fait refaire le pare choc à grand coup de silicone... toute une série de portraits, appuyés ou à peine esquissés qui m'a mis en joie.

Si tu t'arrêtes ici de lire ce billet ( Oué Cécile, je sais, c'est trop long...) Tu vas en conclure que j'ai adoré ce bouquin et tu te mettrais le doigt dans l'oeil jusqu'au coude.
Parce qu'il y a la partie immergée du glaçon :
Je n'ai pas aimé ces minos trop débrouillards (le môme de 10 ans avec son flingue... l'escalade de l'immeuble de stranding par le conduit électrique...), la daronne complètement pas concernée par l'enlèvement de son fiston, cet imbloglio d'histoires d'enlèvements, de prise d'otage dont on ne sait pas trop ce que ça apporte au récit, cette fin abrupte et un peu baclée.
D'ac, je sais, tu vas me dire que cet opus est le premier d'une trilogie à venir et qu'on aura toutes les explications très bientôt. C'est tout le mal que je souhaite à Monsieur Audiard et à ses lecteurs

Un dernier bémol, mais de taille (au point qu'il fait descendre la note de deux ou trois tons, ce qui l'apparenterait alors à un triple bémol, mais je m'égare...) : la présence marquée de remarques populistes à la limite du poujadisme qui se veulent sans doute droles mais qui, à mon humble avis, desservent le propos... Les fonctionnaires sont des faineants payés à surveiller leurs montres, les enseignants sont en grève quand il nese sont pas en arrêt maladie, j'en passe et des plus lourdes...
un parfum légèrement nauséabond vient gâcher cette si bonne odeur de tonton flingueur...

Je ne sais pas encore si je lirai la suite des aventures du club des cinq contre les caves. Peut être, si les éditions du cherche midi me font le plaisir de me l'envoyer comme ils l'ont fait à l'occasion de cette Masse Critique (qu'ils en soient remerciés, ainsi que léquipe Babelio).

« Si t'étais pas c'que t'es et si t'avais pas l'nom qu'tas, t'aurais pas dit la moitié ce c'que tu viens de dire parce que je t'aurais emplafonné avant » ( Michel Audiard, Mélodie en sous-sol)
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Quand on s'appelle Audiard, qu'on est le petit-fils du grand dialoguiste Michel Audiard et le neveu du réalisateur Jacques Audiard et qu'on choisit de se lancer dans le roman, il faut avoir bien du courage. Car si votre patronyme peut vous ouvrir des portes, il peut aussi être très lourd à porter. Surtout si l'on choisit de tremper sa plume dans un genre proche de celui de ses glorieux aînés. On espère alors des dialogues aussi géniaux que dans les Tontons-flingueurs, une dimension sociale aussi élaborée que dans Dheepan.
Seulement voilà, si dès le titre, l'auteur revendique cette parenté (Le Cri du corps mourant est un clin d'oeil au Cri du cormoran le soir au-dessus des jonques réalisé par Michel Audiard), force est de constater que malgré de belles trouvailles, le roman n'est pas à la hauteur de cette ambition.
Cela dit, on s'amuse à suivre cette joyeuse bande d'enfants à la recherche de leur frère et ami qui a subitement disparu du pavé parisien. On se délecte de leur gouaille et de leurs métaphores improbables. On en viendrait presque à oublier le scénario un peu bancal de cette histoire à laquelle il manque une sortie en apothéose.
Mais il est temps de vous présenter la famille Volponi (vous souvenez-vous des frères Volfoni dans les Tontons-flingueurs ?), à commencer par Odile, la mère qui «donnait aussi l'impression d'avoir passé ses dernières vacances à Dachau.» Sa fille n'est guère plus épaisse : «A quatorze ans, Puce donnait l'impression d'en faire onze à peine, du fait d'une constitution squelettique, diaphane. Chez elle, pas de place pour le gras.» La fratrie est constituée de deux frères. «Son frangin François, également de père inconstant, avait dix ans et passait son temps à tester les structures scolaires : il avait déjà acquis suffisamment de connaissances pour rédiger le premier guide à usage des cancres du primaire parisien.» C'est ce dernier qui va être kidnappé par… son père Raoul!
Mais bien vite le lecteur va se rendre compte que ce dernier, alcoolisé plus que de raison – son état habituel – s'est laissé entraîner dans une drôle de combine. Une équipe internationale de truands a fait d'une ancienne clinique du Vésinet un refuge pour leurs enlèvements. Mais si François n'est pas seul à goûter aux joies de la séquestration, il va montrer une belle énergie à pourrir la vie de ses gardiens et même réussir à leur fausser compagnie, tout en laissant à Gertrud, sa garde-chiourme un petit souvenir sanglant.
Alors que la police est avisée, Puce décide de mener elle aussi l'enquête avec ses amis. « Puce s'était entourée d'une cour restreinte de quatre zigues : Louis, Mourad, Blanche et Castille. Facétieux, les parents de Blanche étaient malgaches. Nettement moins facétieux, les parents de Mourad étaient kabyles. Mous, l'aîné de Mourad, était tombé deux ans plus tôt pour trafic de came. Se retrouver à Fleury pour de l'herbe, c'était bien naturel. Les parents de Castille n'étaient pas espagnols, mais parisiens "de souche", particularisme qu'ils revendiquaient dès qu'ils étaient en société. C'est-à-dire, tout le temps. » le Club des cinq ne va pas tarder à retrouver la trace de François, grillant la politesse à Maarek, Bursky, le commissaire Dubley et l'inspecteur Hamdoni, des enquêteurs qui finiront, après moult tâtonnements, à suivre la trace des ravisseurs.
On passera sur les quelques épisodes annexes, les enlèvements de Emma Stolzberger, celui du Baron Hauptin, sur le cadavre en décomposition découvert dans l'appartement du frère, pour retrouver tous les protagonistes à l'heure du dénouement… qui va quelque peu nous laisser sur notre faim. Il y avait pourtant là de quoi nous offrir un beau feu d'artifice : les flics, les voyous et une bande de gamins intrépides. Peut-être que le prochain opus viendra concrétiser les jolies formules de ce roman aussi noir que cocasse.

Lien : https://collectiondelivres.w..
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J'ai beaucoup hésité avant d'écrire cet avis, non parce que je ne savais pas quoi penser de ce roman, mais parce que je savais très bien ce que j'en avais pensé : je ne l'ai pas aimé.
Pourtant, ma lecture avait bien commencé. J'aimais le jeu sur la langue, verte, imagée, percutante. Puis, au bout d'un moment, je me suis lassée, parce que cette langue finissait par nuire au déroulement de l'intrigue en surjouant l'existence d'un Paris populaire, d'un milieu (les truands, les prostituées et les policiers d'antan) pas forcément en adéquation avec ce qui nous est raconté, surlignant lourdement des clins d'oeil à l'actualité.
Je parle de « l'intrigue », je devrais plutôt dire les intrigues, entre l'enlèvement de François, celui d'Emma, jeune fille dépressive de bonne famille juive, l'alcoolisme de Raoul, le père de François et son étrange histoire avec le co-ravisseur de son fils, Ruby, les agissements du frère aîné de Mourad, un des proches de Puce, soeur aînée de François, sans oublier un incendie causant la mort de deux personnes, l'agression d'une petite vieille et celle d'un antillais baraqué. J'ai failli oublier une prise d'otage – probable que l'IGPN, chargé de l'enquête, ne l'oublie pas. Et, pour l'instant, toutes ses intrigues m'ont paru inachevées, avec des liens entre elles très ténues.
Surtout, je ne me suis attachée réellement à aucun personnage, si ce n'est Puce, Marie-Violette pour l'état civil – les prénoms désuets fleurissent dans ce livre. Avec Puce, la solidarité de l'ex anorexique que je suis fonctionne à fond, son ressenti est vraiment très réaliste. Elle se démène face à une mère pas formidablement compétente – je vous passe sous silence un fait peu crédible de nos jours (et quand je dis « un »), un beau-père noyé dans son égoïsme alcoolisé, une grand-mère aux idées surannées. Elle put compter sur ses copains pour l'aider, ou pour créer encore plus d'ennuis. Quant à la police… oublions-la, elle a ses propres soucis.
Le cri du corps mourant est un livre qui m'a donné envie de relire un de mes auteurs fétiches, mais pas de lire un second ouvrage de Marcel Audiard.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Le titre vous évoque quelque chose? Oui, moi aussi j'ai eu cette impression... j'ai cherché, j'ai trouvé! "Le Cri du cormoran..." de Michel Audiard.
Et oui! le grand-père!

Je dois dire que je me suis laissée séduire par le titre et par le résumé. Mais, comme souvent aujourd'hui, ce beau titre n'a pas trouvé échos dans le roman.
On y suit une bande d'ados, tous au caractère bien trempé. On y suit un groupe de truands dignes des films du grand-père. Enfin, on y suit de la flicaille un peu alternative.
Le point commun de tout ce petit monde? Une vision assez diluée de l'autorité et un sens de la nostalgie assez aiguë.

Je ne sais pas si j'ai été déçue ou lassée. Car là où chez San-Antonio, la langue verte (comprendre l'argot) sert un propos, j'ai trouvé que le langage un peu trop systématiquement fleuri était un peu lourd. Pas une seule page sans un merde ou un putain... au début c'est gai, c'est irrévérencieux, mais à la longue, c'est frustrant.
Aussi, n'étant pas parisienne, j'ai trouvé que la place octroyée à Paris était un peu trop importante et qu'au fond, ce n'était pas nécessaire d'avoir le nom des rues, squares et bistrots du 18ème.
Enfin, l'histoire semble se terminer en queue de poisson et laisse un goût d'inachevé. Rassurez-vous, mon petit doigt m'a dit que c'était le premier volet d'une trilogie.

Je pense que "Le cri du corps mourant" ravira les amateurs de San-Antonio, du Poulpe, des films de gangsters français des années 60 et les amoureux de Paris.
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Je ne peux pas commencer cette chronique sans préciser que Marcel Audiard est le petit-fils de Michel Audiard, ce dernier étant, à mon sens, le plus grand dialoguiste du cinéma français du vingtième siècle («Les Tontons flingueurs», «Le Pacha», etc). Quand on a passé une partie de son enfance sur les plateaux, dans le milieu du cinéma, cela laisse des traces.

J'ai été attiré par ce livre pour son titre et sa couverture. J'ai bien aimé le style du romancier, fortement influencé par l'héritage familial. Certains pourront trouver ça un peu lassant à la longue, mais de mon côté, j'ai apprécié, malgré le fait que le style alourdisse la fin de l'histoire et rende les derniers chapitres un peu trop lents pour moi. Il n'y a pas de gros rebondissements, mais j'ai pris plaisir à suivre les différents personnages, et surtout Puce et ses camarades.
[...]
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Un titre très accrocheur qui reflète un côté sombre et tyrannique. Une couverture très simple et profonde de noirceur... Tous paraient pour le mieux parfait pour un thriller qui se respecte... Mais il y a plusieurs côtés négatifs qui ont fait que, j'ai plus ou moins apprécié cette lecture.

Dès le départ, on suit Puce, une petite fille de quatorze ans, malade…

Petite point à préciser : l'auteur nous lâche directement dans un environnement, pas très bien décris, mais au contraire va faire des pavée et des pavée de description inutile sur tous les fais et geste de Puce … « A 15h … A 16h tapante …. A 16h20 … » Toute ces lignes auraient pu être mieux utilisées pour permettre à l'auteur de mieux s'identifier à la situation. Je n'ai donc pas pu rentrer « Directement » dans le bain... Mais j'ai tout de même continué la lecture pour creuser en profondeur les talents de l'écrivain …

On suit donc le cours de la lecture …

Puce va chercher son petit frère à la sortie de l'école, mais s'aperçoit que celui-ci n'y est pas… Son père est venu le chercher, lui a-t-on dit. Elle avertit donc au plus vite sa mère …

Encore un point à préciser :
Que fille de quatorze ans s'inquiète pour son frère et part à sa recherche, je comprends tout à fait … Mais que sa mère s'enfiche totalement, c'est difficile à gérer. Mais c'est peut-être ce qu'à voulus faire l'auteur ?

Bref, la lecture s'enchaine, mais sans plus. Pas de réel rebondissement. Un langage non approprié, des pavées qui ne servent pas à grand-chose. J'aurais préféré que l'auteur se concentre sur la disparition du petit frère, qu'il nous raconte plus en détails les ressentis des différents protagonistes.

P.s : Je trouve que l'auteur a beaucoup de culot de dire « On a le droit de dire et d'écrire n'importe quoi, mais pas de le faire n'importe quoi. », étant donné que c'est un nouvel auteur et au vu de la qualité de ce roman.

Je tiens à remercier Babelio et les éditions Cherche Midi pour m'avoir fait confiance pour cette lecture.
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Dans la famille Audiard, je demande le petit-fils ! Marcel Audiard, petit-fils de Michel donc, signe ici son premier livre, et comme on dit « un chien ne fait pas des chats ». L'histoire de départ est simple : quand François, 10 ans, disparaît à la sortie de l'école, sa soeur, Marie-Violette, 14 ans, alias « Puce », part à sa recherche avec une bande d'amis. Mais le casting est détonnant, entre les ados (forte tête tendance tête brûlée), les policiers (un peu dépassés) et les méchants (une belle brochette de ratés, tous plus pathétiques les uns que les autres). Et le style et la langue, très imagés et très verts (on sent bien l'influence du grand-père), servent bien le propos de ce polar très irrévérencieux, un peu déjanté et très drôle. « le cri du corps mourant », c'est une sorte de Club des cinq à la sauce Tontons flingueurs … Absolument savoureux !
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Un titre alléchant "le cri du corps mourant", une très belle collection, une couverture attrayante, c'est parti pour la découverte de ce roman. Marie Violette dite la Puce, 14 ans, anorexique et mal dans sa peau va partir à la recherche de son frère François, kidnappé par un gang auquel appartient son père, et va mener sa propre enquête à l'aide de sa bande de copains Blanche, Castille, Louis et Mourad.Le ton est donné et nous allons suivre cette bande d'ados à travers moult péripéties, aventures et rebondissements. Peut-être faut il vraiment passer les cinquante premières pages le temps que tout se mette en place avant de réellement plonger dans l'histoire. Si le ton et l'écriture semblent un peu enfantins et légers au départ, le mystère s'épaissit au fur et à mesure et l'écriture se fait plus dense et rapide. D'autres enquêtes parallèles menées par des flics pathétiques vont se recouper et se rejoindre pour nous mener au dénouement final. L'intrigue est bien menée, la construction du livre équilibrée et l'écriture est fluide avec des notes humoristiques. Tout s'imbrique petit à petit à travers des courses poursuites dans Paris, des brigands qui n'ont plus rien à perdre, des flics paumés jamais là où il le faudrait, des ados déterminés avec du cran, des cliniques désaffectées dans lesquelles se passent de drôles de choses, tous les éléments sont réunis pour un cocktail détonant. Les personnages deviennent vite attachants et si certains indices ou scènes paraissent tirées par les cheveux, ce n'est pas grave, nous sommes dans un roman et une fiction. Là seule chose que je peux reprocher c'est qu' à différents moments du roman des éléments sont donnés, je pense notamment à la découverte macabre dans l'appartement du frère de Mourad, et on ne connaitra pas le dénouement et de même toute à la fin, on ne sait pas de ce que devient les autres membres du gang et leurs kidnappés. La fin est brutale, explosive et se termine de manière abrupte.
Je me suis donc prêtée à cette lecture, le Club des cinq en bibliothèque noire version revisitée et moderne de notre époque et je conclurai en disant que pour ma part, après tant d'années passées à la lecture du Club des cinq en bibliothèque rose et verte, le pari est réussi et j'ai passé un agréable moment.
Merci à Babelio Masse Critique et aux Editions Cherche Midi pour leur confiance.

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Livre très sympathique, léger et enlevé.
Promenade dans Montmartre, avec de jeunes qui mènent l'enquête, on en ressort avec le sourire au lèvre !
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J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire au début. Peut-être parce que la couverture indiquait thriller et que j'ai lu un polar pour moi !
Dans le roman le lecteur va suivre deux intrigues qui vont se rejoindre.
Les personnages sont bien construits.
Le problème que j'ai eu autre que le lent démarrage, c'est aussi l'humour qu'utilise l'auteur à travers son livre. Un humour que personnellement je n'aime pas :
‘‘Sur le chemin de la maison Poulaga, ils se dirent que cette histoire puait plus qu'un vieux camembert au soleil et qu'ils n'avaient aucune piste sérieuse''
En bref une petite déception pour moi car je n'ai pas su apprécier ma lecture
Lien : http://livresdeblogue.blogsp..
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