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sur 1016 notes
"D'acier" sublime l'amitié et autopsie impitoyablement les rêves d'évasion de deux jeunes adolescentes coincées dans une petite ville industrielle sinistrée de Toscane. Entre patriarcat, maltraitance et entrée dans l'âge adulte, Sylvia Avallone dresse un portrait beau, intense et à la fois douloureux de deux âmes soeurs.

D'une sensualité débordante qui transpire à chaque page, "D'acier" se nourrit d'un point de vue féminin à la limite de la caricature. Et c'est ici que l'auteur m'a malheureusement perdu après cinquante magnifiques premières page aériennes qui auguraient de belles choses.

Sylvia Avallone livre un récit binaire où aucun homme ne peut rattraper l'autre et où chacun d'eux révèle un bourreau en puissance.

Vision tranchée, désespérée et au relent pornographique, "D'acier" m'a laissé le goût d'un roman indigeste révélant néanmoins une auteur de vingt-cing ans qui a su donner une véritable épaisseur à ses personnages (féminins).

Et l'envie de dire à ceux-ci que dans chaque ville de plus d'un habitant, vit toujours un poète et une belle âme quelque part. Mais c'est ma part de féminité qui s'exprime ici bien sur...
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« Ca veut dire quoi, grandir dans un ensemble de quatre barres d'immeubles d'où tombent des morceaux de balcon et d'amiante, dans une cour où les enfants jouent à côté des jeunes qui dealent et des vieilles qui puent ? Quel genre d'idée tu te fais de la vie, dans un endroit où il est normal de ne pas partir en vacances, de ne pas aller au cinéma, de ne rien savoir du monde, de ne pas feuilleter les journaux, de ne pas lire de livres, où la question ne se pose même pas ?
Cet endroit-là, elles s'y étaient rencontrées et elles s'étaient choisies. »

Elles, ce sont Anna et Francesca, deux adolescentes issues d'une ville ouvrière d'Italie. Soudées par une amitié qui leur semble indestructible, elles vivent leurs quatorze ans avec un mélange d'insouciance et de fatalité. Elles ont déjà conscience des embûches que le destin leur prépare – vivre dans une cité n'offre pas la facilité, ni un avenir lumineux.
L'amitié entre les deux filles est le noyau central du roman. Autour gravite une galerie de personnages tous aussi intéressants les uns que les autres. Il sera question d''amour, de sexe, de trahisons, de drames et d'acier.
D'amour ? on n'échappe pas à cet idéal : trouver l'amour, le vrai et puis, on en revient, fatigué par des années de mariage usantes et décevantes.
De sexe ? Que ce soit la première fois, une manière d'oublier le quotidien ou le sexe facile- à acheter, il est omniprésent.
De trahisons ? Celles qui entravent l'amitié mais aussi, et surtout, celles de la vie.
De drames ? Inceste, violence, prostitution… L'auteur se veut réaliste, rien n'est édulcoré.
Et enfin, d'acier ? Une usine de métallurgie sert de toile de fond à l'histoire. Et puis, il y aussi l'acier trempé qui coule dans les veines des personnages : la volonté de s'en sortir malgré tout.

J'ai été happée par ce roman, par la force qui s'en dégage. L'auteur insuffle la vie à ses personnages. Tout le long de ma lecture, j'ai eu l'impression de faire partie du décor, de marcher discrètement en compagnie d'Anna et de Francesca. Peut-être suivais-je les pas de l'auteur qui a grandi dans cette ville ?
Si le fond est plutôt sombre, voir glauque, il reste de l'espoir et de la beauté dans le monde des deux amies. J'ai aimé ce message, que tout ne peut pas être totalement blanc ou noir. L'existence est faite de nuances, de difficultés et de beaux moments, qui que l'on soit et où que l'on vit.

Merci à Babelio et aux éditions J'ai lu pour m'avoir offert ce livre dans le cadre de masse critique.
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De la fenêtre, vue azuréenne sur la Méditerranée. Une eau, un ciel, tous deux parés d'un bleu magnifique. En face l'île d'Elbe, une terre de vacances juste à côté, mais pourtant si loin des habitants de Piombino. Une barre d'immeubles, gris sale et à la fenêtre un père qui regarde aux jumelles cette plage où la jeunesse de cette cité industrielle s'échappe. Pas voyeur, non, il rage de voir sa fille habillée comme une pute. Ça va cogner à son retour, hé oui, y'a des types comme ça.

Même immeuble, autre étage, et donc autres moeurs, une mère qui enchaîne les heures de taf au lieu de s'occuper de la marmite et d'étendre le linge sur le toit de l'immeuble, un père dont l'absence et la fidélité laissent entrevoir un nouveau beau portrait de famille. La fille, elle, est à la plage, bikini magnifique. de quelle couleur ? Pervers, je suis. En attendant, je rêve de spaghettis alle vongole... Je les prendrais al dente.

Anna et Francesca, deux adolescentes de treize ans, bientôt quatorze. Toujours important, ces bientôt à cet âge-là. Elles sont à la fois entre l'insouciance du moment, et les coups de la vie adulte. Difficile de croire, quand je vois le calme plat de la mer, au flot incessant des vicissitudes de cette vie-là, une vie au coeur d'une ville industrielle où l'aciérie locale tient lieu de tous les espoirs, de toutes les défaites, le seul regard où ses longues cheminées par lesquelles transitent une colonne de fumée grise bouchent même la vue sur l'Elbe. Pourtant, lorsque je ferme les yeux, ce ne sont pas les bikinis bleus qui s'agitent sous mes étoiles mais bien les dernières vagues venues s'échouer sur cette plage, lieu de premières rencontres, lieu de premiers joints, lieu de premiers sexes. Fais chauffer le scoot'…

Alors oui, les femmes italiennes sont soit des putes, soit des ménagères – clin d'oeil, je plaisante – mais d'un autre côté c'est aussi un peu le constat que fait Silvia Avallone, qui a un triste regard non pas sur les faits, mais sur ces hommes, aussi machos qu'italiens – pléonasme. Et que dire de ce premier roman qui a ce côté rageant mais qui met aussi bien en lumière (d'un bleu azur) cette jeunesse italienne, par le regard de deux amies – pour la vie –, une belle histoire d'amitié, Anna et Francesca dans cette ville d'acier, Piombino avec vue sur l'Elbe. Sublime et triste, un premier roman coup de poing coup de coeur, sans calcio mais avec uppercut dans l'âme, des histoiresss avec 3 s, sociale, sidérurgique et sociétale. Une putain de découverte, un verre de vin, Greco di Tufo.
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Il y a des livres, lorsque vous venez de tourner la dernière page, vous savez d'emblée qu'ils resteront longtemps en mémoire.
« D'acier » de Silvia AVALLONE en fait partie. C'est pour ma part une petite pépite.

A Piombino, ville de Toscane vivent Francesca et Anna, deux jeunes adolescentes de 13 ans. Francesca la blonde, Anna la brune règnent sans partage sur la cité italienne. Insolentes de beauté à en faire chavirer le coeur de tous les hommes, elles sont liées depuis l'enfance par une amitié et une complicité indéfectibles.
Leur ville, face aux portes du paradis que sont les splendeurs de l'île d'Elbe, est une triste cité dominée par une aciérie et son haut fourneau. Un enfer industriel, rongé par le chômage et la pauvreté. Mais Francesca et Anna n'en ont cure. Reines de ce royaume en perdition, elles resplendissent, arrogantes et provocatrices à l'extrême, jalousées par les autres jeunes filles. Avides de liberté, leur rêve est de s'enfuir vers le bonheur et la gloire. En particulier Francesca, meurtrie par un père qui la tyrannise, mais surtout secrètement éperdument amoureuse d'Anna. Mais Anna aime Mattia. Alors l'été de leurs 13 ans, tout va basculer.

L'amour, l'amitié ? Lequel sera le plus fort ? Ce sentiment si fort qui les unit envers et contre tout survivra t-il ?

Dès les toutes premières lignes, nous sommes plongés littéralement dans l'atmosphère plombante de Piombino, où se côtoient l'enfer et le paradis.
L'enfer du quotidien de ces mères écrasées sous le poids de leur tâche et impuissantes face aux pères absents, mafieux et particulièrement brutaux, face à cette mer si belle et si bleue. On suit irrémédiablement les deux jeunes filles dans leurs rêves, leur soif de liberté et surtout leur amitié inébranlable.

Sylvia AVALLONE a tout simplement écrit un roman social splendide et poignant, mais également extrêmement sensuel.
Avec sobriété et talent, elle nous décrit une partie de l'Italie à fleur de peau. C'est également un superbe texte sur l'adolescence et bien sûr l'amitié, à travers Francesca et Anna si émouvantes et attachantes.

C'est tout simplement une très grande et très belle réussite que je vous recommande chaudement. Et oui, de tel roman me conforte dans cette passion qu'est la lecture.
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Une cité pauvre au bord de la mer face à l'ile d'Elbe, deux adolescentes qui passent trop vite dans le monde des adultes, leurs familles pas toujours simple, leurs amis et puis l'usine où on produit l'acier, personnage à part entière. Cela fait un roman haletant qui nous emmène dès les premières pages, des personnages pas toujours sympathiques mais que l'auteur nous rend attachants malgré tout, c'est deux années de la vie d'Anna et Francesca et de ceux qui les entourent qui nous est contée, c'est l'adolescence et ses troubles, c'est l'amitié, l'amour, les colères, les drames dont on est témoin dans un tourbillon qui ne nous lâche qu'à la toute dernière page.
L'écriture est dense, fluide, très agréable à lire, parfois avec un coté cinématographique, Silvia Avallone nous embarque dans son roman et il est bien difficile de s'arrêter.
Et au fond du paysage, comme un rêve permanent, l'ile d'Elbe, Anna et Francesca finiront-elles par y aller, ensemble ?

Lien : http://allectures.blogspot.f..
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Viva Italia ! Piombino, cité industrielle, où grandissent comme des herbes folles deux jeunes adolescentes inséparables Francesca et Anna,l'une est brune, l'autre est blonde. Belles, insolentes, insouciantes, qui rêvent de "s'arracher " à cette vie de misère, sous un soleil de plomb, elles aiment se se retrouver dans leur "jardin secret , un coin sur la plage pour rêver à leur avenir...au loin l'île d'Elbe. Côtoyant ces familles qui vivent dans ces barres de béton, entourés d'usine qui crachent jour et nuit des fumées où la violence est le lot quotidien de leur vie, des femmes au foyer prisonnières de leur vaisselle et du ménage, dépendantes d'hommes querelleurs, voyous ou alcooliques...là où tout le monde sait mais se tait quand il y a des drames.
Francesca et Anna ont l'insouciance de leur jeunesse, inconscientes de leur beauté et pourtant presque femmes quand elles essayent de faire tourner des têtes et testent leur amitié inaltérable...

Quelle balade ! on se retrouve les pieds sur une plage, une bande son à la Lelouch..........et le film commence ! mais nous sommes loin de la Dolce Vita , nous en avons que les effluves où justement nos deux héroïnes aspirent à vouloir y arriver . Ce roman est une ode à la nonchalance, on se laisse surprendre à cette paresse "doucereuse"à cette sensualité , on ressent le soleil torride, on entend cette petite musique qui happe les adolescentes et leur soif de liberté, les prémices de leurs sentiments, une once de rébellion et leur envie surtout d'échapper à leur condition.

Roman magistral ! Calez-vous dans votre méridienne, sirotez une menthe à l'eau !...et vous voguerez avec délice dans cette histoire.
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Anna et Francesca ont 13 ans. Ces deux gamines qui ne se sont jamais quittées depuis les bancs de la maternelle sont les meilleures amies du monde. Leur univers se circonscrit aux HLM de la rue Stalingrad, à Piombino, face à l'île d'Elbe. Leur quotidien, c'est la plage où se jettent les égouts. C'est aussi une vie de famille difficile. Dans cette Italie de Berlusconi, les maris sont avachis devant le petit écran pour mater les bimbos qui présentent des jeux à la con. Ils fantasment devant ces garces à la plastique parfaite, tout le contraire de leurs femmes. Anna et Francesca surnomment leur père les babouins. Celui de la première abandonne souvent sa famille et trempe dans des trafics à la petite semaine. le père de Francesca est un mari violent troublé par le corps de sa fille et qui passe ses après-midi à la regarder aux jumelles depuis le balcon. Anna a aussi un frère qui travaille à l'aciérie locale. le plus grand employeur de la ville, une usine et des hauts-fourneaux qui broient les ouvriers à coup de cadences infernales dans une chaleur insupportable.

Les deux amies ne voient pas leur avenir de la même façon. Anna va rentrer au lycée général. Pour elle, l'éducation est la seule voie d'émancipation pour les femmes. Anna ne rêve que de plateaux télé, de mini-jupes et de talons hauts. Seule certitude pour ces ados un peu paumées, leur indestructible amitié ne les séparera jamais, quoi qu'il arrive…

Ce premier roman est un coup de maître. Ample, dense, extrêmement construit, il pose un regard sans concession sur une Italie ayant fait du consumérisme et des reality-show graveleux la culture dominante. Un véritable « roman social », au sens le plus noble du terme. C'est également un superbe texte sur l'adolescence, ce moment où sensualité, doute et fragilité se conjuguent et où des destins de femmes se construisent parfois.

Personnages incarnés, réalité sociale parfaitement décrite, D'acier est un texte d'une très grande force. Une divine surprise qui m'a permis de découvrir une nouvelle voix de littérature italienne actuelle et qui m'a définitivement convaincu que cette dernière ne se limitait pas au seul Erri de Luca.

Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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L'histoire de ce roman se déroule à Piombino, une ville industrielle de Toscane où domine l'imposante aciérie Lucchini, principale source d'emploi du secteur. le décor est dressé. 2001, dans ces barres d'immeubles où le monde s'arrête à ce que l'on connaît, où les plages sont loin d'être celles des cartes postales, où les chats errants survivent tant bien que mal, vivent Anna et Francesca. Elles n'ont pas encore quatorze ans. Leurs pères, elles les appellent les babouins, celui d'Anna enchaîne les magouilles tandis que celui de Francesca est un géant à la main lourde qui surveille chacun de ses mouvements.

Au fil du récit, on suit le quotidien de ces gamines qui se plaisent à provoquer, à exercer leur pouvoir de séduction sur les hommes sans réfléchir. L'île d'Elbe leur apparaît comme un rêve, un moyen de s'évader de ce quotidien misérable. Elle leur semble inaccessible, pourtant il suffirait de prendre le ferry pour s'y rendre.

J'ai vraiment aimé cette lecture. A la base, ces deux adolescentes ne sont pas forcément des personnalités que j'aurais tendance à apprécier. Mais l'univers est tellement bien dépeint que je me suis attachée à chacune autant qu'aux personnages secondaires : les mères Sandra et Rosa aux tempéraments différents mais qui pourtant ne parviennent pas à quitter leurs maris respectifs, le frère Alessio et ses amis Cristiano, Mattia, les autres adolescentes mal dans leur peau comme Lisa et sa soeur Donata handicapée.

La vision patriarcale de la femme-objet qui déteint sur ces adolescentes est terrible. Pour ces jeunes filles qui ne connaissent que ce milieu, elle fait partie de leur quotidien, elle n'est pas à remettre en cause. Ce livre m'a complètement plongée dans l'univers d'Anna et de Francesca. J'aime les livres comme celui-ci où j'ai l'impression d'être plongée dans l'action d'un film. Beaucoup d'émotions, notamment la tristesse de cette voie qui apparaît toute tracée. L'écriture m'a beaucoup plu. Un coup de coeur donc pour ce premier roman de l'auteure italienne Silvia Avallone !
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Ce roman social se passe en Toscane dans la ville de Piombino, nous somme dans le quartier des laissés pour compte, des pauvres, de ceux qui travaillent dans les hauts fourneaux.
Nous suivons surtout deux familles dont les filles sont amies depuis la maternelle, les parents ne se fréquentent pas. La mère de Francesca est une femme au foyer, le père travaille à l'usine, c'est un homme violent, il passe son temps libre à surveiller sa fille. Les parents d'Anna, la mère travaille et est militante syndicaliste, le père est un petit escroc souvent absent, le frère travaille à l'usine.
Anna et Francesca, plus tout à fait des enfants, pas encore des femmes qui se savent belle et regardées vont nous faire traverser ce roman social noir, très noir, au rythme d'une histoire soutenue, qui vous bouleverse,vous prend aux tripes, vous met en rage, déprimante aussi car les personnages sont attachants, on ne ressort pas indemne de cette lecture et je pense que je ne l'oublierai pas.
Un très bon roman sociologique dont je découvre la plume, il faut aussi noter que c'était le premier roman de Silvia Avallone, quel talent !
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A Piombino, Anna et Francesca sont inséparables. Elles ont grandi ensemble, un seul étage entre elles. Elles auront quatorze ans dans quelques mois et elles rayonnent de bonheur et de naïveté. Elles ont des rêves plein la tête et elles se sont juré de ne jamais se séparer. Pourtant, rien n'est simple via Stalingrado… et la vie est toujours beaucoup plus compliquée que des rêves d'enfants…

Anna et Francesca. Les Sorrentino et les Morganti. Une histoire d'amour, d'amitié, du temps qui passe et d'obstacles à surmonter. Silvia Avallone signe avec D'acier, son premier roman, un récit totalement envoûtant…

C'est en plein coeur d'un quartier aux grandes tours, aux plages sans sable fin et aux algues persistantes, avec ce grand fourneau qui rythme tout, que vivent deux jeunes filles à la vie devant elles. Elles sont belles, elles attirent le regard et elles attendent de pouvoir porter des talons hauts et conduire leur scooter. Elles se sentent libres et fortes car elles sont deux, toujours…

Mais en grandissant, il n'y a pas que leur corps qui change. Il y a les rêves, les passions, les amours… Et ces pères, violents, absents, étouffants et menteurs…

D'acier est une histoire universelle. Celle d'une amitié brute, pure, qui vole en éclats lorsqu'un grain de sable minuscule et insensé vient se coincer dans les rouages de la vie. C'est aussi celles de deux femmes en devenir, qui vont devoir gravir les montagnes qui se dressent devant elles.

J'ai laissé Anna et Francesca avec émotion… et déjà une pointe de nostalgie…
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