Hermann Maag s'épanouit dans la mort. Issu d'une famille déchirée par le deuil, il s'engage dans les Jongvolk, les Hitlerjugend puis les Schutz Staffeln, mouvements allemands des années 30. Quelques années plus tard, l'histoire lui permet de donner libre court à ses pulsions criminelles. Après la défaite de l'Allemagne, il se réfugie dans les montagnes suisses où il mène une existence solitaire.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.