Dans le mortel palace

On dira ce qu'on voudra, ce recueil n'est pas Dante, mais ça s'en rapproche tout de même un peu, en langage peut-être plus propice au dialogue. Le problème majeur de ce recueil, c'est la couverture! Elle n'est pas très réussie, non en raison de l'oeuvre de l'auteur qui y sied, mais car le graphisme est désenchanteur par sa trop forte évidence et mauvaise impression (on voit quasiment les pixels tellement la couverture est floue, manque de netteté). D'autant plus que l'oeuvre a été coupée sans raison, car l'oeuvre est beaucoup plus riche que ce qu'on en peut voir sur le livre, qui ne rend pas valeur à la création, contenu(e) dans l'om. On préférerait donc peut-être se procurer la version e-pub ou numérique plutôt que la version papier car ce petit livre est tout de même intéressant pour son contenu plus que pour sa forme, car avouons-le, il s'agit peut-être plus de philosophie (ou de chant) que de poésie, du moins à ce que l'auteur oserait bien le penser.