Pourtant, en l'espace de quelques années, sous l'effet conjugué des crises démographiques et des contraintes économiques, le patrimoine foncier « non bâti » a perdu de sa valeur tandis que les charges associées demeuraient constantes ou augmentaient : des terres autrefois disputées ne trouvent plus d'acquéreurs.
Fermage couvrant à peine les charges, absence de repreneurs et perte nette de capital, le propriétaire envisage de plus en plus souvent le boisement ... >Voir plus