Le Barbier de Séville - Le Mariage de Figaro - La Mère Coupable

Écouter ? C’est pourtant ce qu’il y a de mieux pour bien entendre.

FIGARO : [...] Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur.

(Le mariage de Figaro, Acte V, Scène 3)

MARCELINE : [...] Ah ! quand l'intérêt personnel ne nous arme point les unes contre les autres, nous sommes toutes portées à soutenir notre pauvre sexe opprimé, contre ce fier, ce terrible... (En riant.) et pourtant un peu nigaud de sexe masculin.

(Le mariage de Figaro, Acte III, Scène 16)

MARCELINE : [...] La jalousie...
FIGARO : ... N'est qu'un sot enfant de l'orgueil, ou c'est la maladie d'un fou.

(Le mariage de Figaro, Acte IV, Scène 12)

LE COMTE : [...] Où m'égaré-je? En vérité, quand la tête se monte, l'imagination la mieux réglée devient folle comme un rêve !

(Le mariage de Figaro, Acte III, Scène 3)

LA COMTESSE : Vous demandez pour vous un pardon que vous refusez aux autres : voilà bien les hommes !

(Le mariage de Figaro, Acte II, Scène 19)

SUZANNE : Prouver que j'ai raison serait accorder que je puis avoir tort.

(Le mariage de Figaro, Acte I, Scène 1)

ROSINE : [...] Ah, Lindor ! le plus affreux supplice n'est-il pas de haïr, quand on sent qu'on est faite pour aimer?

(Le barbier de Séville, Acte IV, Scène 6)

BARTHOLO : Quelle rage a-t-on d'apprendre ce qu'on craint toujours de savoir !

(Le barbier de Séville, Acte II, Scène 15)

FIGARO : [...] Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer.

(Le barbier de Séville, Acte I, Scène II)