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Citations sur Le Barbier de Séville (115)

FIGARO : La difficulté de réussir ne fait qu'ajouter à la nécessité d'entreprendre.

Acte I, Scène 6.
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FIGARO : La pauvre jeunesse est si malheureuse aujourd'hui, qu'elle n'a que ce terrible choix : amour sans repos, ou repos sans amour.

Acte II, Scène 2.
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ROSINE : Quand on s'aime,
La gêne ajoute encore
Au plaisir même.

Acte III, Scène 4.
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LA JEUNESSE : Y a-t-il de la justice ?…
BARTHOLO : De la justice ! C’est bon entre vous autres misérables, la justice ! Je suis votre maître, moi, pour avoir toujours raison.
LA JEUNESSE (éternuant.) : Mais, pardi, quand une chose est vraie…
BARTHOLO : Quand une chose est vraie ! Si je ne veux pas qu’elle soit vraie, je prétends bien qu’elle ne soit pas vraie. Il n’y aurait qu’à permettre à tous ces faquins-là d’avoir raison, vous verriez bientôt ce que deviendrait l’autorité.

Acte II, Scène 7.
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On ne s’intéresse guère aux affaires des autres que lorsqu’on est sans inquiétude sur les siennes.
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ROSINE (chante) : Quand, dans la plaine
L’amour ramène
Le printemps
Si chéri des amants,
Tout reprend l’être,
Son feu pénètre
Dans les fleurs
Et dans les jeunes cœurs.
On voit les troupeaux
Sortir des hameaux ;
Dans tous les coteaux
Les cris des agneaux
Retentissent ;
Ils bondissent ;
Tout fermente,
Tout augmente ;
Les brebis paissent
Les fleurs qui naissent ;
Les chiens fidèles
Veillent sur elles.

Acte III, Scène 4.
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quand la jeunesse et l'amour sont d'accord pour tromper un vieillard, tout ce qu'il fait pour l'empêcher peut bien s'appeler à bon droit la Précaution inutile.
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BAZILE : La calomnie, Monsieur ! Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j’ai vu les plus honnêtes gens près d’en être accablés. Croyez qu’il n’y a pas de plate méchanceté, pas d’horreurs, pas de conte absurde, qu’on ne fasse adopter aux oisifs d’une grande ville en s’y prenant bien : et nous avons ici des gens d’une adresse !… D’abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l’orage, pianissimo murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et piano, piano, vous le glisse en l’oreille adroitement. Le mal est fait ; il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche il va le diable ; puis tout à coup, ne sais comment, vous voyez calomnie se dresser, siffler, s’enfler, grandir à vue d’œil. Elle s’élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au Ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription. Qui diable y résisterait ?

Acte II, Scène 8.
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LE COMTE : Je ne te reconnaissais pas, moi. Te voilà si gros et si gras…
FIGARO : Que voulez-vous, Monseigneur, c’est la misère.

Acte I, Scène 2.
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ROSINE : Il est inouï qu'on se permette d'ouvrir les lettres de quelqu'un.
BARTHOLO : De sa femme ?
ROSINE : Je ne la suis pas encore. Mais pourquoi lui donnerait-on la préférence d'une indignité qu'on ne fait à personne ?

Acte II, Scène 15.
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