Une lecture intéressante, sans plus.
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Voilà un livre fort troublant !plongée passionnante dans l'histoire biblique d'Esther que les auteurs confrontent aux propos mystérieux d'un nazi à l'instant de sa pendaison !
un peu surprise par le style pauvre de l'écriture et de commentaires inutiles au propos ;
Mais c'est à lire car c'est une formidable interrogation sur la question "et si l'histoire de l'humanité était écrite ?"
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Troublant !
Histoire (ou plutôt récit) très intéressant mais qui se heurte un peu à mon coté (trop ?) cartésien.
Parce que bon, "on peut toujours voir les ressemblances a posteriori" et que le plus logique pour moi serait que Streicher ai voulu dire que les juifs se soient sauvés. Car Pourim étant une fête juive normale/courante, qui célèbre un sauvetage de la population juive (ce qui est le cas à la libération).
Bon je n'ai peut-être pas été hyper clair mais ce livre promet des livres oubliés, des prophéties et tout le tralala pour qu'au final on se retrouve avec une interprétation x des auteurs (sans vouloir remettre en cause leur travail, ce n'est que mon humble avis...).
Au final, ce livre permet surtout de ce poser des questions et permet d'en savoir un peu plus sur la religion juive.
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ça partait pourtant bien !
Franchement, je n'attendais pas spécialement une histoire vraie, un bon roman m'aurait suffit. Eh non, voila que les auteurs s'embarquent dans une sorte de pseudo documentaire. Et là, patatras, on ne passera pas à côté de la théorie du complot et de tout ce qui va avec.
Je n'avais pas réalisé que l'auteur était, en plus, un des journalistes d'envoyé spécial. Et je pense que la déception a été d'autant plus grande.
En effet, le 4ème de couverture annonce un suspens autour de Julius Streicher...Qu'à t'il voulu dire, au moment de son exécution ? Que signifie son "Pourim 1946" ?
Et de là, on peut tout imaginer. Et bien, pas du tout, les deux auteurs se sont lancés dans une sorte de quête pour essayer de comprendre, de démêler les fils de la grande Histoire.
Sauf que, possiblement, il n'y a pas grand chose à démêler et que, lorsqu'on veut voir des signes, on les voit.
In fine, je trouve que cet ouvrage est mal rédigé, pas agréable à lire (J'ai d'ailleurs voulu l'abandonner à plusieurs reprises) et ne met pas en valeur la qualité journalistique des auteurs.
C'est dommage.
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Ce livre vous plaira :
- si vous aimez les énigmes et les enquêtes historico-religieuses
- si vous êtes prêts à faire le lien entre la Perse antique et l'Allemagne du IIIe Reich, entre la reine Esther, le vizir Aman et les hauts gradés du parti nazi jugés à Nuremberg
- si vous avez envie d'un voyage de la Bavière à Jérusalem qui vous fera rencontrer rabbins, archivistes, historiens, journalistes et petits et grands témoins de la Seconde Guerre mondiale
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Pourim 1946 Nurembert... Et si tout était écrit.
Un document étonnent, et très bien écrit .
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Un livre de 300 pages environ et 125 pages avant d entrer dans le sujet . l'auteur parle de lui, sa vie, ses coutumes . Hors sujet. Heureusement que la copie n est pad notée car cela ne vaut pas la moyenne. l'analyse est succinte, sans rigueur, on n apprend pas grand chose. Dommage, le sujet etait prometteur.
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Le rapprochement entre Pourim et le régime nazi remonte à 1938 selon wikipédia. Julius Streicher l'évoquait déjà après la nuit de cristal. Est il possible que ce rapprochement ait influence le procès de Nuremberg ? C'est peu probable , 12 pendaisons étaient prévues, le suicide de Goering était imprévisible...Des traductions du livre d'Esther remonte à loin , en grec 2eme siècle avant notre ère, mais aujourd'hui il ne reste en hébreu que le codex de Leningrad. le livre d'Esther ayant été détruit en 1947 dans le codex d'Alep. Or le codex de Leningrad ne reproduit pas les lettres irrégulières du codex d'Alep. Il est probable que ces lettres irrégulières se trouvaient dans le codex d'Alep . Est ce le plus vieux manuscrits avec ces lettres irrégulières ? On trouve d'autres lettres irrégulières dans la bible, visible dans le codex d'Alep et non reproduite dans le codex de Leningrad. Ayin et dAleth dans Shema Israël deuteronome 6 4, un petit aleph dans vayikra levitique 1 1, le kaf dans genèse 23 2 lorsqu'abraham se lamente de la mort de Sarah .
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