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Critique de gill
Ce vénérable ouvrage, paru en 1951, n'est pas vraiment ce que son titre annonce ; "Les plus belles histoires de mer", qui donne l'impression de tenir un recueil de plus, de textes consacrés à l'océan et destinés aux plus jeunes.
Si ce livre est bien un recueil de nouvelles, souvent très courtes, et parfois inédites, il s'agit bien là de textes d'auteurs et de la meilleure littérature qu'il soit.
Blaise Cendrars, dans une sorte de petit hommage amusé à Jules Verne, nous évoque le pot au noir, le passage de la ligne et appareille vers des océans explorés par d'illustres écrivains ; notamment par Georges Duhamel qui nous montre un petit village paisible, où chacun vaque à son ordinaire occupation, et qui se transforme certaines nuits en un sombre repaire de naufrageurs.
Jean Dorsenne, dans un texte très beau, met à nu l'amour du capitaine pour son vaisseau et Claude Farrère nous conte les mésaventures du matelot de 1ère classe -304- le Kerrec, commandant maladroit de la baleinière deux.
Et ce recueil nous offre, ainsi, des signatures prestigieuses telles que celles de Georges Duhamel de l'académie française, de Paul Chack, de Marguerite Comert -pour un texte poignant et inattendu-, de César Fauxbras -pour un formidable texte inédit-, de Frank Bernard, et de bien d'autres écrivains talentueux.
Ce vieux livre vénérable est une belle réussite et un petit joyau, qui sent le large et l'aventure, celle de toutes les marines et de tous les rivages.
Si ce livre est bien un recueil de nouvelles, souvent très courtes, et parfois inédites, il s'agit bien là de textes d'auteurs et de la meilleure littérature qu'il soit.
Blaise Cendrars, dans une sorte de petit hommage amusé à Jules Verne, nous évoque le pot au noir, le passage de la ligne et appareille vers des océans explorés par d'illustres écrivains ; notamment par Georges Duhamel qui nous montre un petit village paisible, où chacun vaque à son ordinaire occupation, et qui se transforme certaines nuits en un sombre repaire de naufrageurs.
Jean Dorsenne, dans un texte très beau, met à nu l'amour du capitaine pour son vaisseau et Claude Farrère nous conte les mésaventures du matelot de 1ère classe -304- le Kerrec, commandant maladroit de la baleinière deux.
Et ce recueil nous offre, ainsi, des signatures prestigieuses telles que celles de Georges Duhamel de l'académie française, de Paul Chack, de Marguerite Comert -pour un texte poignant et inattendu-, de César Fauxbras -pour un formidable texte inédit-, de Frank Bernard, et de bien d'autres écrivains talentueux.
Ce vieux livre vénérable est une belle réussite et un petit joyau, qui sent le large et l'aventure, celle de toutes les marines et de tous les rivages.
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