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3,64

sur 170 notes
A peine sorti, ce livre rencontre déjà un beau succès. Andréa Bescond, auteure des « chatouilles », une écrivaine que je découvre à l'instant.

Ce serait dommage d'en dire trop sur ce livre au risque de spolier l'histoire. J'en dirai donc le moins possible.

Trois protagonistes : Louisette, Hervé et Lio. Louisette, 1964, elle s'enfuit le ventre rond chez sa soeur cadette, elle fuit une famille défaillante. Hervé lui, 2016, il essaie de relever la tête de l'eau après le décès prématuré de son grand amour Magnolia. Maintenant c'est sa mère qui décède. Et il n'est pas au bout de ses peines.
Lio, 2018, elle a vingt ans, sa mère n'est plus et elle n'a qu'une idée en tête, la vengeance.

Ces trois-là se connaissent, un peu, beaucoup, presque pas mais quelque chose les relie au-delà des liens du sang, c'est la fatalité, le destin qui s'est acharné sur eux tous. Comme une pierre qui roule et roule et pousse le malheur à chaque génération. Ça porte un nom il me semble, constellation familiale, généalogie.

J'ai beaucoup aimé la première partie du roman où l'on découvre l'histoire de chacun. le suspens et la tension sont menés tambour battant. Arrivent les révélations, le puzzle s'emboîte et la mayonnaise est retombée de mon côté.

Ça part un peu dans tous les sens sans apporter un ancrage psychologique ou émotionnel. Ça parle beaucoup de sexualité, de beuh aussi, je n'adhère pas avec cette sexualité pornographique que décrit l'auteure sous prétexte que c'est l'époque qui veut ça.
Je suis aussi assez sceptique sur cette relation père-fille peace and love, passe-moi ton joint.

Si l'histoire démarrait vraiment bien, je regrette cette seconde partie qui aurait mérité plus de fouille, plus d'envolée émotionnelle, plus de troubles, plus de profondeur en somme.

Une lecture en demi teinte.
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J'ai l'impression d'une erreur de casting… Un comble pour une autrice qui est également réalisatrice !
Quelle mouche m'a piquée ? Ladybirdy avait bien fait un retour sur ce bouquin, mais en ne mettant que 3 étoiles, je ne devais pas avoir les yeux bien en face des trous ….
Au début pourtant ça ne partait pas trop mal, j'étais dans ma zone de confort avec ces trois personnages cheminant cahin-caha dans les années 60 : Louisette, sa soeur aînée Suzanne et son mari Jean.
Entrait ensuite en scène en 2016 un certain Hervé dont on comprend très vite qu'il est le fils de Louisette, apparemment il est le seul à ne pas être au courant et se croit le fils de Suzanne. Et puis arrive Lio, la fille d'Hervé, et là ça a commencé à partir en cacahuète…
Déjà, cette Lio qui passe sa journée à fumer de l'herbe, de la beuh, de la sativa, de la chaispasquoi, rabâché à longueur de pages par l'auteur, j'avais l'impression de sentir l'odeur dans mon salon jusqu'à la nausée (et puis, elle paye tout ça avec quel argent au juste ?), mon agacement s'est encore aggravé quand la fille se fait la séance de fumette avec son père, comme une volonté effrénée de l'auteure de vouloir faire « djeuns ». Dans la même veine, Andréa Bescond parsème son texte de scènes de sexe qui n'apportent pas grand-chose à l'histoire, et d'un soupçon de vulgarité dont je me serais volontiers passée (exemple en parlant de la sexualité de femmes âgées en ehpad (p.227) qui m'a laissée plus que dubitative).
Ce livre m'a semblé coupé en deux, d'un côté, les chapitres avec Louisette, Suzanne, Jean, Hervé qui sont cohérents et racontent quelque chose, et, de l'autre, les passages avec Lio qui m'ont horripilée ; ça part dans tous les sens, sans queue ni tête entre sa soif de vengeance, les voyages en Inde ou à Londres. J'ai regardé ce train passer en me demandant ce qu'il venait faire dans le paysage, à part gâcher l'histoire des autres personnages.
Tout cela m'a semblé beaucoup trop capillotracté, pas crédible pour deux sous, de plus comment croire qu'à cinquante ans passés Hervé n'a jamais eu son acte de naissance entre les mains ?
Morale de l'histoire : je m'y reprendrais dorénavant à deux fois à compter les étoiles données par mes amis babéliotes ! je ne peux même pas me plaindre que je n'étais pas prévenue !
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Dans les années 60, une jeune femme quitte sa famille, pour s'épargner les semonces de son entourage. Elle attend un enfant qu'elle n'a pas pu « faire passer ». Elle se réfugie chez sa soeur, devenant témoin malgré elle des difficultés du couple.

Quelques décennies plus tard, de nos jours, le narrateur pleure le décès prématuré de sa compagne, tandis que sa propre fille imagine mille scénarios pour venger sa mère des humiliations qu'elle a subies naguère.

Je n'apprécie pas beaucoup le fait d'être baladée entre les époques, à moins que cela ait un vrai sens dans le scénario.
De plus, le roman coche toutes les cases du politiquement dénonçable de notre société du vingt-et-unième siècle. Certes tous ces combats sont légitimes et il n'en est pas un que je laisserais pour compte. Mais dans un même roman, ça fait beaucoup (avortement, homosexualité, homophobie, pornographie, violences faites aux femmes ….)

Le risque est fort d'oublier vite le propos, tant ces sujets sont constamment repris dans la littérature contemporaine. Rien donc ne retient l'attention, le détail qui ferait qu'un mot-clé restitue immédiatement la mémoire de cette histoire.

Lien : https://kittylamouette.blogs..
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C'est l'histoire de trois personnages : Louisette, Hervé, Lio, Louisette, 1964 , s'enfuit le ventre rond chez sa soeur cadette——-s'épargnant ainsi les remontrances et la colère de sa famille —— chez Suzanne et son mari Jean ,dont elle est témoin , bien malgré elle, des rapports conflictuels , le couple tangue .
Un soir , l'irréparable se produit : Louisette se retrouve en psychiatrie pour des décennies …

Entre en scène ensuite un certain Hervé en 2016 , qui pleure le décès prématuré de sa compagne, tandis que sa fille Lio enquête sur sa mère….

L'auteure déroule des vies plombées par les non- dits , les secrets , un texte de va - et - vient entre Paris et la Bretagne des années 60 à 2020.

Ce puzzle très complexe se dénoue à la fin , une histoire pas si simple , noyée dans les méandres d'un passé recomposé .
Je n'en dirai pas plus …Ce serait dommage ! .


Trois générations , trois destins , trois époques , au coeur d'un roman qui explore les violences faites aux femmes, et aux enfants, le proxénétisme, l'homosexualité féminine, la privation de liberté , le sexe, la pornographie , la lenteur de l'évolution des moeurs, le poids des mensonges , les convenances, les comportements déviants .

Beaucoup de thèmes , trop ? .

Les secrets doivent - ils être révélés ? .

La vérité vaut - elle mieux que l'ignorance ? .

Je n'ai pas beaucoup aimé la crudité des scènes de sexe , ce récit recèle et coche nombre de cases des violences de notre société,, il interroge la filiation et la maternité , les relations hommes - femmes, le désir de vengeance , les protagonistes prisonniers de leurs non- dits, les ravages du chagrin…..

Mais l'écriture trop impersonnelle,———ce n'est que mon avis bien sûr ———pas assez littéraire gêne, empêche , comprime l'émotion.

Ça part dans tous les sens sans vrai ancrage psychologique intense, du moins à mon humble avis .
À mes yeux , c'est l'essentiel ….
En plus, la relation fille - Père : «  passe moi ton joint, la beuh » m'a gênée ….

Pour faire moderne ? .

Trop de sexualité pornographique jusqu'à la caricature …. Tue ,amoindrit , étouffe, profondeur, sentiments vrais .

Non décidément , je n'ai pas adhéré malgré les douleurs et le chagrin , les destins fracassés ….

«  Faire en sorte que la vérité anéantisse la douleur .
Confronter les secrets, pour être enfin libres et en paix ».
Oui , sans doute ….
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Bonjour par ici après un moment d'absence découragée. Je ne reçois ni messages, ni les notifications :((
Je poste malgré tout et l'on verra bien après la mise à jour qui j'espère sera efficace.


Une histoire de famille intergénérationnelle avec ses secrets et ses violences. Elle implique, Louisette, Hervé et Lio.

Je connaissais l'autrice à travers le film les chatouilles que j'avais beaucoup aimé.
Ce sera une découverte mi-figue mi-raisin pour ce roman et peut-être qu'en version papier, j'aurais pu mieux apprécier et m'imprégner de l'histoire comme quoi cela diffère…le

Son récit ponctué d'intonations de voix très fortes vous donne la chair de poule et de la rage au ventre mais à contrario c'est également gênant lorsque la conteuse raconte des scènes très vulgaires qui me dérangent et qui à mon sens gâche cette fiction aux multiples thèmes sociétaux dans lesquels, il n'est pas nécessaire d'en rajouter une couche.
Peut-être est-ce une écoute trop difficile pour moi…
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Pas si simple que ça cette histoire de famille.
Il y a Louisette qui, enceinte sans être mariée, se réfugie chez sa soeur.
Il y a Hervé, son fils, qui se remet mal de la mort de sa femme.
Il y a Lio, la fille d'Hervé, qui part sur les traces de sa mère.
Et tous les trois vont nous emmener au coeur de cette famille pleine de non-dits.
C'est un très beau roman.
Une histoire qui laisse des traces chez chaque membre de la famille.
Des êtres sensibles et émouvants.
Une écriture efficace et précise, pleine de sensibilité, malgré quelques passages un peu cru qui m'ont légèrement dérangée dans cette histoire toute en nuance.
Beaucoup d'empathie pour ces personnages et cette famille.
Pour une fois, les sauts dans le temps ne m'ont pas dérangée, ils servent bien l'histoire.
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Les histoires de famille ne sont jamais simples.
Il y a les non-dits, les mensonges et les secrets.
Le poids des convenances, les comportements jugés déviants, le reniement.
L'incompréhension, la solitude, les combats perdus d'avance.

Il y a aussi le besoin de savoir, qui l'on est, d'où on vient, pourquoi on nous a menti.

Les secrets doivent-ils restés enfouis ou être déterrés ?
La vérité fournit-elle un socle plus solide que l'ignorance ?
Comment ne pas se sentir trahi, quand

À travers trois personnages incarnant trois générations et trois époques, Une simple histoire de famille explore également les thèmes de la monoparentalité, des violences conjugales, du proxenetisme, de l'homosexualité féminine, de la privation de liberté et la (lente) évolution des moeurs et des mentalités.

La plume d'Andréa Bescond est délicate, sensible et sensuelle, évoque avec douceur l'écorce rugueuse du magnolia, la laine mouillée qui colle à la peau, l'odeur de chlore de la piscine, l'haleine de l'amant, la fraîcheur de la citronnade.
Ses personnages sont attachants dans leur douleur et dans leur quête.
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Selon la biographie du site Babelio, l'auteure est avant tout comédienne. Donc la lecture par elle-même de son ouvrage pour le format audio s'imposait. Ainsi, elle nuance bien la narration relative aux trois personnages principaux : Louisette, Hervé et sa fille Lio. En effet, par exemple, elle sait user d'un ton d'adolescente quand il s'agit d'un chapitre consacré à Lio, d'où la dynamique intéressante pour l'audition.

Les révélations de secrets de famille, accablantes ou libératrices, sont une source intarissable de rancoeurs, de jalousies ou d'interrogations. Comme la littérature fourmille sur ce sujet, voici quelques titres avec ce lien, et celui-ci, et celui-là. Cette « histoire de famille » n'y déroge pas : Hervé devra faire face aux non-dits enfouis depuis des lustres sur son identité. Il regrette même que la vérité éclate, car sa propre identité devient bancale avec les confessions concernant sa mère. Et les déclarations enregistrées de son épouse décédée destinées à Lio ont fragilisé les certitudes et l'insouciance de la jeune fille.

Faut-il dire toutes les vérités ?

Le personnage d'Hervé est le plus crédible de tous. Son attitude de colère, cette sensation d'avoir été manipulé pendant toutes ces années le rend assez réaliste et compréhensible.

L'histoire de Louisette est sociologiquement intéressante outre que l'on en devine une partie. Mais là encore, l'exagération gâche la crédibilité : comme si une adoption, un internement se soldaient d'un coup de baguette magique…

En revanche, Lio apparait comme une mauvaise caricature de sa génération, totalement exagérée, carrément insupportable. Je n'ai pas du tout aimé les chapitres relatifs à cette fille libérée. Tellement imprégnés d'un vocabulaire emprunté aux jeunes, ils deviennent si indigestes que sans la version format audio, je les aurais passés. La jeune fille enchaîne les « mecs » comme les joints. Et l'approbation fantaisiste, voire nigaude, de son père qui la vénère alors qu'on ignore ce qu'elle fait à part se laisser vivre m'a exaspérée. En plus, je n'ai pas apprécié cette soif de vengeance pour le viol de sa mère où l'on retrouve trop le politiquement revanchard de « me too ». L'auteur a surfé sur la vague de l'air du temps. Too much pour moi.

J'ai du mal à adhérer à l'intégralité du récit, mais on passe un bon moment avec cette famille.

Attention : Les scènes de sexe ne se prêtent pas à tous les publics.

Remerciements aux éditions Audiolib et au site Netgalley.
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Lien : https://lesparolesenvolent.c..
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Un narrateur extérieur raconte l'histoire de plusieurs personnages : Louisette, Hervé, Lio, Suzanne et Magnolia. Dans une alternance de chapitres, consacrés aux trois premiers, leurs destins sont déroulés et reliés.


En 1964, Louisette fuit la maison familiale. Âgée de trente ans, elle va bientôt accoucher. Elle aurait voulu avorter, mais la faiseuse d'anges a été arrêtée. Aussi, elle a décidé d'élever son bébé seule. Elle est certaine que sa soeur l'accueillera. Cette dernière « n'avait pas eu le choix, il avait fallu qu'elle se marie avec celui qui l'avait fécondée. » (p. 17)


En 2016, Hervé, qui savait déjà que celui qui l'a élevé, n'est pas son géniteur, est sidéré par les révélations de sa mère : ce n'est pas elle qui l'a mis au monde. En colère, il refuse d'écouter ses confidences. Hélas, deux semaines plus tard, Suzanne est victime d'un accident cardio-vasculaire et ne peut plus parler. Hervé ne connaîtra la vérité qu'à la mort de la vieille dame.


Lio, la fille d'Hervé, a perdu sa maman, quand elle était petite. Elle a maintenant vingt ans. Son père lui tend un DVD : « c'est ton cadeau de la part de maman, pour tes vingt ans, elle m'a fait promettre de ne pas le visionner, j'ai respecté sa volonté. » (p. 50) le message post-mortem de Magnolia est terrible, tel un poids tombant d'un immeuble et écrasant les épaules de sa fille.


Louisette rêvait de liberté, mais elle a passé sa vie enfermée. Elle a commis l'irréparable, pour sauver sa soeur, et a été internée. Lio se croyait libre, mais elle a été rattrapée par les révélations maternelles. Elle est enchaînée par son besoin de réparer les souffrances de sa mère. Hervé se débat entre le passé familial et son envie de sérénité. Pour le père et la fille, il y a un sentiment de « retard ». Pourquoi ne pas avoir parlé avant ? Les vivants se retrouvent seuls avec ces confessions. Que faire de cette charge foudroyante ?


J'ai ressenti un puissant sentiment d'injustice en découvrant l'histoire de Louisette. J'ai été touchée par le désarroi d'Hervé. C'est un homme sincère et authentique, confronté aux mensonges et aux non-dits des femmes de sa vie. J'ai été moins proche de Lio, cependant, j'ai été, extrêmement, bouleversée par le destin de sa mère. J'ai, d'abord, été en colère. Je ne comprenais pas pour quelle raison elle avait parlé à sa fille, sachant qu'elle ne pourrait pas répondre à ses questions légitimes. Puis, j'ai compris que cette réaction était liée à mes questionnements. Saurais-je trouver les mots à dire à ma fille avant de ne plus être là ? Sera-t-il nécessaire de le faire, puisque j'ai coupé la chaîne d'une autre manière ?


Les secrets de famille sont au coeur de ce roman délicat et sensible. A travers trois générations, l'auteure traite de la transmission du silence, des séquelles des traumatismes sur la personne concernée et leur héritage inconscient, ainsi que de la nécessité de briser la spirale du non-dit, comme le montre la fin emplie d'espérance. Une simple histoire de famille est un coup de coeur pour moi.


Lien : https://valmyvoyoulit.com/20..
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Une simple histoire de famille, déroule des vies plombées par les secrets et la violence intra-familiale. le texte fait des va-et-vient entre la Bretagne et Paris des années 1960 à 2020, il n'est pas linéaire .le puzzle se reconstitue à la fin, parce que les personnages Hervé et sa fille Lio ont besoin de tout savoir sur leurs origines et le talent de l'auteur réside dans le fait que partant d'un fait réel de l'histoire de sa famille elle bâtit une fiction qui tient la route si le lecteur a quelque indulgence pour les invraisemblances …
Le récit interroge la filiation et la maternité, les relations hommes-femmes.
Louisette, trentenaire célibataire et enceinte, fuit de chez ses parents pour aller rejoindre sa soeur Suzanne mariée à Jean.Hervé naît,il met de la joie dans la famille mais le couple Suzanne -Jean tangue .Jean est violent. Louisette est témoin de cette domination et lorsque Jean frappe Suzanne , Louisette, qui veut sauver sa soeur commet l'irrréparable.Embarquée le soir,même elle se retrouve en psychiatrie pour des décennies .Hervé est orphelin. Suzanne va l'élever dans le mensonge. Ce n'est que dans son lit d'hôpital qu'elle commence les révélations et lors de ses obsèques Hervé va apprendre la vérité de la bouche d'Henri. le second mari de Suzanne. Non Suzanne n'était pas sa mère non Jean n'était pas son père .
Il y a Lio la fille d'Hervé qui elle aussi enquête sur sa mère…
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