Bon ça y est la saison 2 est terminée, pourtant j'avais hésité à la commencer mais l'habile coupure du premier volet ne laisse pas vraiment le choix et finalement la scène d'ouverture en vaut la peine.
Les descriptions sont toujours aussi pauvres en vocabulaire (le rouge passe du coquelicot au pivoine, pourquoi pas) et le verbe "morigéner" semble être le préférée de l'auteure tant il est employé.
Beaucoup plus de scènes érotiques que dans le tome 1, un petit fond d'intrigue pseudo-policière et un soupçon de drame réussisse à nous amener à la fin de ce tome.
La coupure tombe, comme pour le premier tome, sur un élément interrogatif, mais cette fois la stratégie marketing ne m'y prendra pas. Deux tomes de romance suffisent amplement à cette découverte et même s'il est indéniable que l'auteure s'est améliorée au niveau de la diversité de son intrigue dans ce second opus, je vais lire autre chose.
Plus qu'un livre, ce genre de récits à tiroirs fait penser aux séries devant lesquelles on pose son cerveau. Distrayant mais l'addiction ne reste pas.
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